Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

"tu te souviens ?"

"Tu te souviens?" 20

Publié le par Plaisir d'écrire

Arrêtes, Bérénice ! Rien que de t'entendre dire ces choses-là, je continue de bander et ça me fait mal à force . Et si je bande encore et encore, y'a deux solutions, Béré'. C'est aussi simple que ça. Soit je reviens en toi et je te reprends ton petit cul. Soit je te demande de te mettre à genoux et tu me suces jusqu'à ce que tu me sentes jouir dans ta bouche. C'est toi qui vois, jolie coccinelle. Pour reprendre le fil du film de notre première fois… Voilà. Tu as joui une nouvelle fois et c'était un bel orgasme que tu as eu, n'est-ce pas ? Oh… oui, ce devait l'être… Tu es belle quand tu jouis, Béré', tu sais ?

Mon amour… Mais J'AIME quand tu bandes dur pour moi ! Ta belle grosse queue… elle est toute à moi, rien qu'à moi. Elle est la seule que je branle. La seule que je prends dans ma bouche, que je suce, que je pompe. La seule que je masturbe entre mes jolis seins lourds. La seule qui me pénètre… mon vagin… mon anus… Oh… oui, Théo. Tu es le seul homme avec qui je fais l'amour, avec qui je baise… et j'aime ça. Oh… oui. Et quand tu me fais jouir, mon chat… Eh bien… dans ces moments-là… ça me rappelle qu'il n'y a qu'un seul homme dans ma vie et cet homme… c'est toi, mon chat. J'aime que tu me donnes un orgasme, Théo. Tu sais pas à quel point…

Je… crois savoir, jolie coccinelle. Ça fait deux ans maintenant qu'on est ensemble. Je te connais de mieux en mieux et je sais quelles sont tes réactions pendant l'amour. Tu fermes les yeux quand c'est trop bon et que tu laisses le plaisir prendre possession de toi. Tu me regardes, les yeux dans les yeux, et tu me supplies quand tu as envie de quelque chose en particulier ou comme si tu penses que je vais te priver d'un orgasme. Tu portes l'une de tes mains à ton sexe et tu caresses parce que tu veux nous donner plus de plaisir à tous les deux, quand je suis en toi et que je te fais l'amour, ma belle. Tu vois, Bérénice ? Je te connais plus que tu ne l'imagines. Tu es… tout simplement… la femme que j'aime et que je désire. Tu es la femme de ma vie, Bérénice et je veux que tu deviennes mon épouse. Je t'aime, ma jolie coccinelle.

Je suis si bien quand je suis avec toi, mon chat. Ça pourrait être jamais mieux. J'oublie tout quand tu me prends dans tes bras. Tu me fais fondre quand tu me regardes dans les yeux et que tu me dis que je suis belle, que je suis la femme de ta vie. Et quand tu m'embrasses… quand tu me caresses… quand ton sexe est en moi et que tu me fais l'amour… je perds le contrôle, je perds la raison. Il n'y a plus aucune logique. Je me contente de me laisser aller et de savourer l'instant présent, avec toi. C'est aussi simple que ça. Je t'aime, joli oiseau.

Si tu savais à quel point toi aussi, tu me fais fondre, Béré'. Rhoo… Tes yeux… Tes longs cheveux châtains… Ta bouche, ton sourire… Ton corps mince… Tes beaux gros seins… Ton pubis et tes poils… Ton minou… Ton «petit» cul… Tu me rends fou, Bérénice. Si tu savais… Tu es si belle. Je te veux à mes côtés pour le restant de mes jours. J'ai envie d'imaginer comment chaque jour peut être avec toi. Et quand je te dirai «oui» à la mairie et à l'église… quand je te passerai la bague au doigt… je serai tout à toi, rien qu'à toi.

Mon amour… Mon a… mour ! Mon coeur bat très fort quand je t'entends me dire ces mots-là. J'ai des papillons dans le ventre, si tu veux tout savoir, Théo. Et pour être tout à fait franche avec toi, mon joli oiseau, j'en ai les larmes aux yeux. Tu es le premier homme que j'ai dans ma vie et tu me dis tout ça. J'ai pu t'en parler… Y'a eu des gars au collège, au lycée, à qui je savais que je plaisais. Mais moi… les garçons, tu sais, à ce moment-là… ça m'intéressait pas. Ils avaient beau être mignons et me draguer… J'y prêtais pas attention. Et puis… toi, Théo… tu as débarqué dans ma vie et j'ai tout de suite su que tu étais différent. Pour la première fois, j'ai laissé sa chance à un homme et c'est la meilleure décision que j'ai jamais prise.

Dès nos premiers échanges, dès les premiers messages… j'ai craqué pour toi, Bérénice. Je lisais tes textes et je m'imaginais dans la peau de l'homme qui était le héros de tes histoires érotiques. Tu parlais de tes seins blancs, tu parlais de tes fantasmes. Tu t'y mettais à nu, Bérénice et ça, je l'ai rapidement compris. C'est comme ça que tu m'as fait craquer et que je t'ai proposé que l'on se rencontre. Pour moi aussi, ça a été la meilleure décision que j'ai jamais prise. Deux mois plus tard, on se retrouvait dans ta ville bretonne et on y a passé un week-end qui restera gravé dans nos mémoires, à toi comme à moi.

Tu m'as faite jouir, mon chat. Plusieurs fois, même. J'avais le souffle coupé parce que ça avait été tellement fort, ce que j'ai ressenti. Moi aussi, j'avais envie de te faire jouir. Alors, j'ai baissé ma tête et je t'ai englouti dans ma bouche. Je t'ai masturbé d'une main. Je t'ai sucé, je t'ai pompé. Toi, tu as rapidement glissé une main dans mes cheveux, tu m'as guidé. De haut en bas… De bas en haut… Je te regardais. Tes yeux étaient tout pleins d'amour. J'ai lâché prise et j'ai placé ton sexe entre mes seins et je t'ai branlé avec, tendrement, lentement. On se regardait. On se mangeait des yeux. J'étais si heureuse, j'étais fière. Et soudain ta respiration a été plus rapide, plus irrégulière. Tu as gémi plus souvent. Tu as fermé les yeux. Et puis tu as crié… et tu as joui. Ton sperme… J'ai senti plusieurs longs jets de ta semence et j'en avais beau-coup entre mes seins. Tu avais joui, joli oiseau ! Je t'avais fait jouir. L'homme que j'aime venait de jouir entre mes seins et c'était toi qui lui avais donné cet orgasme en cadeau. Je t'aime, Théo. A… mour… A… mour !

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 19

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon amour… Mon bel amour… Mon unique amour...Tu étais très mignonne. Ah… Ce mot… «Mignonne»… C'était comme ça que je t'avais considérée, Bérénice. Tu m'avais envoyé un jour une photo de toi. Tu m'avais demandé comment je te trouvais. Jusqu'alors, on s'était contentés des e-mails, des appels et des SMS. Mais… déjà… j'avais craqué pour toi. Ça en était fait de moi car je savais que j'avais un faible pour toi, Béré'. J'avais aucun doute là-dessus. Oh… non. Et là, quand j'ai reçu cette photo où tu portais la robe bleue et où tu avais ce sourire timide à tes lèvres, j'ai été ensorcelé. Tout simplement.

Mon amour… Mon bel amour… Mon unique amour… J'avais espéré que tu dises que j'étais belle. Ni plus, ni moins. Et quand j'ai ouvert ton SMS et que je l'ai lu, ce mot… «Mignonne»… sur le coup, je te cache pas que j'ai été déçue. Parce que… effectivement… je voulais que tu me dises que j'étais belle. Tout simplement. Carrément. Et là, tu m'écrivais que j'étais… mignonne. Pour moi, ça avait beau être positif comme qualificatif de beauté, bien sûr… c'était quand même… comment te dire, mon chat… un peu moins fort, un peu moins émoustillant que «belle». Mais là, et c'est quelque chose que j'aime chez toi, mon amour… tu m'as rassurée et tu m'as dit que «mignonne», à tes yeux… c'était beaucoup beaucoup. Tu as même ajouté que tu n'avais d'yeux que pour moi.

Mon cœur… Effectivement… j'avais senti dans ta réponse que tu avais espéré davantage. Mais… et là, je te rejoins, princesse… je pouvais plus détacher mes yeux de cette photo, cette toute première photo que tu m'envoyais. Je te voyais pour la première fois. Cette robe bleue t'allait bien. Elle te le mettait en valeur, ton joli «petit» corps. M'en veux pas, a… mour mais je les ai toute de suite remarqués, tes seins lourds. Oh… oui. Comment il aurait été possible de ne pas les voir, Béré' ? Impossible. Tes cheveux étaient lâchés et ils t'arrivaient aux épaules à ce moment-là. Je m'en souviens, Béré'. Je me souviens de tout. Et pendant que je te parle, c'est comme un film qui passe dans ma tête…

Un film érotique, mon cœur… Un film X dont nous étions à la fois les réalisateurs et les acteurs. J'espère qu'il te plaît toujours, mon chat… Que vois-tu au moment où l'on se parle ? Moi je pense que… hmmm… tu en es au moment où tu as repris les choses en main. Si c'est le cas… hmmm… moi aussi, c'est ce qu'il est en train de passer dans mon esprit. Tu me saisissais fermement les fesses et c'était comme ça que tu t'arrimais à moi. Moi ? J'aimais ça. Dans mon corps, dans ma tête, j'étais à toi. Je me laissais faire parce que j'avais confiance en toi. Pour rien au monde j'aurais voulu que le rythme diminue, Théo.

On regarde la même scène alors, jolie coccinelle. Ce moment-là, mais c'était… Je sais pas s'il y a des qualificatifs, pupuce. Ce dont je suis sûr par contre, c'est que tu m'excitais. De te voir encore et toujours sur moi, ça me… Bérénice… On en avait parlé de nombreuses fois, quand on faisait l'amour via le téléphone rose. Mais là, encore une fois, c'était pour de vrai. Tu étais à califourchon et tu me chevauchais. Tes seins ballottaient et ils s'agitaient comme bon leur semblait parce que je te prenais. Je te prenais. Oh… oui. Et j'allais plus fort, plus vite en toi, mon cœur. Et tu sais pourquoi ?

Hmm… Laisse-moi devenir, joli oiseau… Toi aussi, tu prenais autant ton pied que moi, je le prenais. Et je peux te dire que je le prenais, mon pied. Et pas seulement à l'intérieur de mon corps ou carrément dans mon vagin… Non… De te voir comme ça alors que tu me mangeais des yeux et que ton regard était posé sur moi… De te sentir particulièrement bien en moi pendant que tu allais et que tu venais plus vite, plus fort… Moi aussi, ça me… , tu sais, Théo ? Si tu avais continué comme ça, sur ce rythme, j'aurais répondu de rien au moment où je jouirais comme une folle. Et… si tu te souviens bien, a… mour… C'est ce qu'il s'est passé. Ni plus, ni moins. J'ai joui une nouvelle fois.

Tu m'étonnes que tu as joui, ma belle… Forcément, vu que je te prenais à présent plus vite, plus fort… Je te pilonnais même, désormais. C'était plus fort que moi. J'avais le diable au corps à mon tour et je me laissais aller. C'était aussi simple que ça. Je m'abandonnais au plaisir. À ce plaisir que l'on se donnait et que l'on se partageait, toi et moi, Bérénice. J'avais toujours autant envie de toi. C'était si fort. Et pour tout te dire, pour être honnête avec toi… quand je pensais à toi, des fois, je me mettais à bander alors même que j'étais au boulot, là-bas… ça en devenait presque… comment te dire… inconfortable.

Tu… bandais au travail ??? Mon a… mour… Mon a… mour ! Oh mon cœur… Si j'avais su… Petit… cachottier ! Petit coquin, Théo ! Si j'avais été présente… on se serait consacrés un petit moment à nous et je me serais occupée de toi. Dis… Qu'est-ce que tu en penses, mon chat ? Je t'aurais plaqué contre un mur et j'aurais posé un doigt sur tes lèvres… Je t'aurais demandé de te laisser faire… J'aurais sorti ta chemise de ton pantalon… Ton pantalon, je l'aurais déboutonné et j'en aurais abaissé la braguette… Ni une, ni deux, ton caleçon aurait subi le même sort… Je me serais agenouillée et je t'aurais sucé et pompé jusqu'à ce que tu gicles dans ma bouche ou sur mon visage… Thé… o… Et si c'était à ça que tu pensais pendant que tu me baisais ? Dis-moi...

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 18

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon… dieu ! Béré… nice ! Quand tu en parles, je me remémore ce que nous avons pu vivre et ça me laisse pas indifférent. Ça reste clair comme de l'eau dans mon souvenir. Ça reste gravé dans ma mémoire. Tu étais émoustillante, jolie coccinelle. Tu étais si belle. Là, c'était sûr ! Je pouvais plus du tout le nier. Je te mangeais dans la main. Et là, ni une ni deux, tu t'étais mise à prendre le contrôle. C'était toi qui me faisais l'amour à présent. En effet, je te laissais avec plaisir me prendre… et me chevaucher à ta guise, Béré'. C'était si bon quand tu faisais ça. Je voulais que tu continues. J'aimais ça.

Mon a… mour ! J'étais sur toi et j'aimais ça. Ça pouvait être mieux ? Je sais pas. En y réfléchissant… Hmm… Je ne pense pas. Tout ce qui se passait entre nous deux, c''était ce dont j'avais rêvé. Ni plus, ni moins. Tu y mettais de la douceur, tu y mettais de la tendresse. Tu y mettais ton amour, tu y mettais ton désir pour moi. Oui, Théo… C'était tout pour moi, rien que pour moi. Mais là… c'était moi qui prenais les rênes. Je prenais le dessus sur toi, mon chat. Ça aussi, j'en avais rêvé. J'en avais fantasmé. Et là, ni une ni deux, j'avais mis à exécution ce fantasme. C'était moi qui te faisais l'amour car c'était moi qui bougeais et qui te faisais aller et venir en moi, a… mour.

Oh… oui, pupuce. C'était toi qui prenais le dessus. Soudain, c'était toi qui me faisais l'amour. C'était toi qui me baisais, j'aimerais même dire. Et c'était trop… bon. Ta chatte était toute douce. Elle était chaude à l'intérieur. C'était agréable. C'était parfait. J'aimais tout de ce moment que l'on vivait, que l'on partageait. C'était unique. C'était parfait. La femme que j'aimais était sur moi et je voyais son corps s'agiter là, juste sous mes yeux. Elle était belle. J'avais particulièrement envie d'elle. Il ne pouvait pas en être autrement. Bérénice… c'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu étais si belle, mon cœur. Moi non plus, je n'en revenais pas, tu sais ? J'étais là, dans cette chambre d'hôtel et je faisais l'amour avec cette jeune femme que j'avais rencontré quelques mois plus tôt.

Mon amour… Je me pâmais de tes yeux sur moi. Ça, c'est un truc qui restera dans ma mémoire. Tu me quittais pas un seul instant des yeux. C'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu avais beau ne pas parler… tes yeux parlaient pour toi, Théo. Et ils me parlaient. Ils me disaient que tu n'en revenais effectivement pas. Ils me disaient que j'étais belle. Ils me demandaient de continuer et de remuer comme ça sur toi. Je ne ménageais pas mes efforts. Il n'était pas question que je m'arrête. Le plaisir, je le sentais en moi. Tu sais que je sentais mon sexe vibrer parce que tu me pénétrais ?

C'était si bon de te sentir tout autour de moi, ma puce. Et je dois dire que… ça m'excitait beaucoup de te regarder bouger, onduler comme tu le faisais. Et plus tu maintenais ce rythme, plus je me sentais pris. Non seulement tu maintenais ce rythme, mais j'avais comme l'impression que tu augmentais la cadence de tes mouvements. Ai-je raison ? Ai-je tort ? Bérénice… Tu allais et tu venais plus fréquemment. Plus vite, plus fort sur mon sexe. Et… aussi… c'était moi ou ton sexe était de plus en plus serré et qu'il retenait prisonnier mon membre ? C'était toi qui me faisais l'amour, Béré'. Tu étais si belle. Et plus tu bougeais comme ça… plus je sentais mon plaisir monter en intensité.

Thé… o… Toi aussi, tu me faisais l'amour ! Ne l'oublies pas, voy… ons ! C'était ton sexe qui était en moi. Il était beau. Il était gros et il allait et venait à merveille dans mon vagin tout mouillé. J'avais beau être à califourchon sur toi, mon cœur… c'était bel et bien ton sexe que je sentais. Et dieu sait que je la sentais à merveille, ta belle queue. Oh… oui. Je m'en lassais pas le moins du monde, de ta queue. Tes yeux sur moi… Je me laissais aller. Tu me faisais me sentir belle. Je vais même aller plus loin, joli oiseau. Je me sentais carrément sexy. J'étais la femme à qui tu faisais l'amour et tu n'avais d'yeux que pour moi.

Princesse… Tes cheveux étaient longs et ils étaient lâchés. Ils volaient au vent et ils semblaient n'en faire qu'à leur tête. Ça et le fait que tu étais en Andromaque sur moi… Ça te donnait un côté sauvage, ma belle… et ça me plaisait. Et quant à tes seins… Rhoo… Ils me faisaient de l'oeil. Ces deux beaux monts d'amour… ils étaient gros et ils s'adonnaient à une danse qui leur était propre et ce, au moindre de tes mouvements, Bérénice. Je les aimais… Je les aime toujours tellement et tu le sais. De les voir s'agiter comme ça, juste sous mon nez… Je sais pas ce qui m'a pris alors, pupuce.

Ah ? Tu sais pas, mon chat ? Eh bien, moi… je vais te dire ce qu'il t'est passé par la tête. C'était clair comme de l'eau. C'était aussi simple que ça, Théo. Tu étais émoustillé parce que j'étais nue et c'était moi qui bougeais, qui te baisais. Si tu savais à quel point je me suis sentie désirée, bébé… T'as pas idée… Mon petit ami me laissait bouger juste au-dessus de lui et c'est moi qui laissais son sexe aller et venir à l'intérieur de moi. De voir tout ça… car tu le voyais… ça t'a fait un… je-ne-sais-quoi. Et je le comprends, ça. Tes mains ont atterri de nouveau sur mes fesses et tu les prenais fermement. Tu me les malaxais, tu me les pétrissais, mes fesses… et t'aimais ça, hein ? C'était clair comme de l'eau. C'était toi qui me baisais. Et je te sentais plus spontané, plus hardi, plus vigoureux. Tu me baisais à présent, Théo...

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 17

Publié le par Plaisir d'écrire

Moi aussi, je voulais continuer de te faire l’amour, Bérénice. J’avais pas envie qu’on s’arrête en si bon chemin, toi et moi. Tout simplement parce que tu me donnais grave envie, pupuce. J’avais tellement envie de toi. Tu allais et tu venais sur moi. J’allais et je venais en toi. On se regardait. On se mangeait des yeux. Tu étais si mignonne, Béré’. Oui… C’était juste pas possible de ne pas avoir envie de toi. C’était pas possible de te résister. Et la preuve ! Je voulais satisfaire le moindre de tes désirs, ma belle. C’était tout pour toi.

Ta belle queue… je la sentais bien en moi et elle me donnait beaucoup de plaisir. J’étais si bien. C’était trop… bon. Tu faisais tout pour me mettre à l’aise. En retour, ce n’était que pur délice de t’avoir en moi. Tout se passait comme j’en avais rêvé depuis que j’avais été ado. Et dieu sait comme j’ai pu en rêver. Et là, tu étais à mon écoute et tu veillais à satisfaire le moindre de mes désirs. Je me donnais à toi, tout entière. J’en étais fière. À ce moment-là, tu pouvais pas savoir à quel point. Comprends-moi, joli oiseau ! Je faisais EN-FIN l’amour avec toi ! Mon a… mour… Mon a… mour ! J’aurais pas pu vivre mieux ma première fois. Ça, c’était pas possible. Mon amour… Tout ce que je voulais, c’était que ce moment ne s’arrête pas et que tu continues de me prendre.

Oh… oui, Bérénice. Et tu pouvais compter sur moi pour ne pas baisser le rythme de cette étreinte que l’on partageait. Même pas en rêve… C’était tout pour toi et j’avais pas l’intention de m’arrêter là. Pas avant que tu aies pris beaucoup de plaisir. Je vais même aller plus loin tant que j’y suis, Béré’. Je voulais que tu te lâches, que tu prennes ton pied. Je voulais que tu t’abandonnes. Je me répète, peut-être à l’excès, mon amour mais… C’était tout pour toi, rien que pour toi.

Théo… C’était si romantique, tout ça… L’hôtel… La chambre… Tes yeux sur moi… Les mots que tu avais dit, que tu avais chuchoté… Je pensais à rien, je faisais le vide dans ma tête. C’était tout un contexte qui s’était créé progressivement et ça faisait que je m’épanouissais à tes côtés, a… mour. C’était aussi simple que ça. Et là… je ne pouvais être que bien. Oh… oui. On avais pris notre temps auparavant, quand on jouissait et qu’on se réjouissait des préliminaires. Ça avait eu pour conséquence que j’étais prête pour toi, joli oiseau. Aussi bien dans mon corps que dans ma tête. Et là… j’étais sur toi. J’étais à califourchon. Ton sexe allait et venait en moi et je le sentais, en effet. Vu que je mouillais mais comme c’était pas permis, c’était… bon de le sentir.

Tu m’étonnes que c’était bon pour toi, Bérénice… En même temps… Je faisais tout pour que ce soit agréable pour toi. Tout devait se passer comme tu en avais envie, ché… rie. Tout devait être très bien sinon parfait. Oui, je sais… Toi comme moi, on pense que la perfection n’existe pas. Et pourtant… j’étais à l’écoute de tes désirs, mon amour et je voulais les satisfaire, chacun. Bérénice… tu me faisais fondre. Je craquais pour toi. Tout ce que t’avais envie, je te l’aurais donné. Et là… je n’avais d’yeux que pour toi. Tout ce que tu voulais, je te l’aurais fait.

Je les voyais, tes yeux sur moi. Ils étaient comme des projecteurs qui sont braqués sur une star. Mais là… c’était tout pour moi, rien que pour moi. Mmmh… Oui, Théo… Y’avait plus que moi dans ton esprit. Tu me mangeais dans la main, mon chéri. Tu me mangeais des yeux. Et ça… ça me faisait encore plus mouiller, tu sais ? T’avais même pas idée… Plus je mouillais, mieux ton sexe coulissait dans le mien. Plus je mouillais, plus c’était agréable. J’ai alors compris que je devais faire abstraction de tout. Et c’est ce qui s’est passé. Je me suis détendue au maximum et je me suis mise à davantage remuer et m’agiter sur toi, mon chat.

Il a dû se passer quelque chose à l’intérieur de toi, ma chérie car j’ai pas compris sur le coup. Tu t’es mise soudainement à onduler. Tes mains sont devenues plus fermes sur ma poitrine et elles s’y sont agrippées. Qui plus est, je t’entendais bien, Béré’. Oui… Ta respiration était plus… prononcée. Tu gémissais… Tu soupirais… Je sais pas mais… tu devais particulièrement ressentir mon sexe et ses mouvements de va-et-vient à l’intérieur de ton vagin… Pour moi, il pouvait pas en être autrement. De plus, je sais pas pourquoi mais… Quand tu bougeais… C’était comme si ton vagin me prenait de plus en plus et qu’il me retenait prisonnier. En tout cas… c’était ce que je ressentais et j’y prenais bien plus de plaisir.

J’en avais tellement rêvé… Et là… c’était tout doux. C’était si… bon. Et… tu as raison, mon chat. J’avais appris entre temps à jouer de son vagin et de ses muscles. J’en jouais… avec toi… Ton érection prononcée… Ta belle grosse queue… Mon a… mour ! Je te sentais particulièrement en moi. Je me souviendrai de cette sensation pour le restant de mes jours. J’en ai rajouté et j’ai joué de mes fesses. Toi… tu as relâché ton étreinte sur moi et tu as reposé tes bras le long de ton corps. Je l’ai vu et je m’en suis donnée à cœur joie. C’était à mon tour de te prendre, joli oiseau...

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens ?" 16

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mon cœur... Je venais de te pénétrer pour la toute première fois. J'étais... enfin en toi, comme j'en avais souvent rêvé depuis qu'on s'était rencontrés. C'était tout doux... tout chaud à l'intérieur de toi, dans ton vagin. Tu étais à califourchon sur moi. Nous faisions de petits mouvements de va-et-vient pour commencer, toi comme moi. Tu sais que j'aime que tu prennes place au-dessus de moi, Bérénice. J'aime sentir le poids de ton corps quand on se fait des câlins. J'aime voir tes seins s'agiter parce qu'ils sont gros. Bérénice... ça me faisait un... je-ne-sais-quoi que l'on fasse l'amour.

- Mon amour... Toi aussi, tu sais que j'aime te chevaucher. Et d'ailleurs... toi... ça te laisse pas insensible non plus. Ne le nies pas, Théo... Je sais que tu aimes me regarder quand je suis comme ça. Et t'aimes plus particulièrement quand j'aime faire frotter mon minou quand t'es en érection. Et là... j'avais effectivement décidé de me mettre comme ça, sur toi. Si tu savais le nombre de fois où j'en ai rêvé... où j'en ai fantasmé... Tu le sais... il m'est même arrivée de me masturber en y pensant. Je me demandais... je m'imaginais comment ce serait... ce que je ressentirais quand ton sexe serait en moi et que tu me prendrais...

- Bérénice... je te laissais me chevaucher avec plaisir. Ché... rie... J'avais posé mes mains sur le bas de tes reins et je t'accompagnais dans tes mouvements. Ta peau était toute douce. Ce n'était que pur plaisir de poser mes mains sur toi. Bérénice... je faisais tout pour que le moindre contact... pour que la moindre sensation te soient agréables. Que tu sois à l'aise, pupuce... Tu étais belle. Et moi... j'étais honoré d'être l'homme à qui tu offrais ta virginité. Ce n'était que pur délice de t'avoir toute contre moi et de te faire l'amour, Béré'. J'avais tellement envie de toi.

- Théo... Je le sentais que tu avais très envie de moi. D'ailleurs... c'était une idée ou ton sexe continuait de grossir encore et encore dans mon vagin alors qu'il allait et venait lentement, doucement ? Moi c'était ce que je me disais. Cette sensation... Mmmh... c'était si... bon. Mon a... mour! Tu étais si doux avec moi alors que tu me faisais l'amour. Tu étais à mon écoute, tu faisais tout pour que je me sente bien. Tu savais que c'était ma première fois. Et... vu que c'était ta première fois à toi aussi... tu y allais doucement, avec moi. Je jouissais de ressentir le moindre centimètre de ton sexe dans le mien. Par ce biais, je me rendais compte que mon vagin était profond et que je pouvais t'accueillir loin... très loin en moi.

​​​​​- On était au lit et qu'est-ce qu'on y était bien... Rhoo... Les draps étaient doux, ils étaient frais. Qu'est-ce qu'ils étaient confortables... Pour ma part, j'étais allongé sur le dos et je ne pouvais que te laisser coulisser en avant, en arrière, sur moi. Bérénice... qu'est-ce que tu étais jolie... Tu avais bien fait de libérer tes cheveux. Ils sentaient si bon. Je sais tout le soin que tu leur portes, ma puce. Et là... ils volaient au vent parce que tu allais et venais sur moi. Tu étais très mouillée. Nos mouvements ont commencé à être vraiment fluides. C'était si... bon. C'était parfait.

- Il n'y avait pas la moindre gêne, pour toi comme pour moi, joli oiseau. En ce qui me concerne, je me posais pas la moindre question et tu sais pourquoi ? Je faisais enfin l'amour avec mon petit ami et j'étais si bien avec lui. Au regard de ce qu'il s'était passé jusque-là, je savais qu'il était sincère et qu'il m'aimait. Je savais aussi que je le laissais pas indifférent et qu'il avait particulièrement envie de moi. Moi, du haut de mes 20 ans... Moi, la jeune bretonne plutôt solitaire... J'étais dans la chambre de cet hôtel en plein cœur de ma ville et j'étais enfin en train d'y vivre ma première fois avec LUI. Théo... Cet homme que j'avais rencontré sur Internet. On avait passé des mois à se connaître et là... nous y étions. Nous faisions l'amour.

- J'ai déplacé mes mains et je les ai posées sur tes fesses, chérie. Tu sais pourquoi ? Je voulais t'accompagner dans tes mouvements alors que tu me chevauchais. Ça et... je voulais sentir la douceur de tes fesses généreuses. Tu as un beau "petit" cul, Bérénice. Quand je te le dis...! Et là... c'était aussi simple que ça. Je voulais t'aider à aller et à venir sur moi. C'est pour ça que je me suis emparé délicatement de tes fesses et que j'ai accéléré un petit peu le rythme. Toi... tu as tout de suite compris. Tu as posé tes yeux sur moi, Béré'. Et tu as baissé ta tête dans ma direction. Tu voulais m'embrasser.

- Ché... ri... Oui... j'avais envie... d'un baiser. De plusieurs baisers. De tout pleins de baisers. Tu avais beau me faire l'amour... Je passais surtout un beau moment, un moment doux avec mon petit copain. Tu faisais de moi une amoureuse transie, Théo. J'étais attendrie. J'étais émue. Pour rien au monde j'aurais voulu que ce moment s'arrête. Au contraire ! Si on avait été maîtres du temps, ce moment... j'aurais voulu faire un arrêt sur image et que ça dure autant que ça nous plaisait. C'était juste toi et moi sur l'oreiller.  On avait prévu tout plein de choses. Le musée des Beaux-Arts... Le grand parc... Les bords de la rivière... Que tu rencontres mes parents... Mais là, tout ce qui m'importait, c'était toi. Toi... et ton sexe en moi. Je voulais que tu continues de me faire l'amour comme ça.

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 15

Publié le par Plaisir d'écrire

– Heu… chéri… T'as pas oublié que c'est pas dans cette position qu'on a fait l'amour ? Ce que tu viens de dire… C'est vrai, je m'en souviens… Tu étais allongé sur moi et j'étais à l'aise parce que je sentais ton corps contre le mien… Ta peau à perte de vue… Ta peau à perte de toucher… Elle était chaude. Elle était en sueur. Elle avait la chair de poule. Tu étais donc comme moi, Théo. Tu étais tout chose. Mon amour… Ça me donnait encore plus envie de toi, tu sais ? Mon petit ami était couché sur moi et il était tout nu. Je l'entendais respirer. Je sentais son érection qui était collée à ma peau et qui me touchait. J'avais… très envie de toi, ché… ri.
– Moi aussi, j'avais… très envie de toi, jolie coccinelle. Et d'ailleurs… tu pouvais que le remarquer parce que je bandais comme ce n'était pas permis. C'était pour toi que je bandais comme un fou, Bérénice. J'étais fou de toi, c'était aussi simple que ça. Tu étais très belle. C'était juste pas possible de ne pas avoir envie de toi. C'était pas possible de résister à l'envie de te faire l'amour, princesse. Et tels qu'on était, on aurait très bien pu rester comme ça. Je serais resté allongé sur toi et on aurait fait l'amour en missionnaire. Mais vu que tu as ce fameux cinquième as, Bérénice… Tu en as décidé autrement. Tu m'as regardé, tu as posé l'une de tes mains sur ma joue et tu m'as dit: «Tu les aimes, mes jolis seins lourds… Et j'aime être sur toi quand on se fait des câlins… Laisse-moi te chevaucher, mon chat...»
– Ah… Bérénice… Bérénice, Bérénice, Bérénice… Qu'est-ce que je n'aurais pas fait pour toi… Tu sais… moi aussi, j'aimais bien… et j'aime toujours autant d'ailleurs… t'avoir au-dessus de moi. Et là… quand tu as dit ça, ça m'a émoustillé. Moi aussi, j'avais envie que tu me chevauches, mon cœur. Tu avais ta main posée sur ma joue et tu me la caressais. Tu étais très douce, toi aussi. C'était une facette de toi que j'aimais, bébé. Que j'aime toujours ! T'as pas changé, mon amour. Je suis toujours aussi amoureux de toi. Et… mmmh… mon envie de toi ne s'est jamais estompée avec le temps. Non… C'est même tout le contraire…
– Tu ne peux pas me résister, joli oiseau et je le sais. Tes regards en disent long sur le désir que tu ressens pour moi. Et quand je parviens à te prendre sur le fait, je sais que tu me manges dans la main, Théo. Et là… c'était comme si tu étais sous hypnose. Tu ne cillais pas. Tu n'as pas une seule fois cligné des yeux. Ton regard était uniquement plongé dans le mien. C'était touchant. Et tu sais quoi, Théo ? Ça me faisait toujours ce je-ne-sais-quoi. J'en étais émue. Ça voulait dire qu'il n'y avait que moi et que moi, je te rendais tout chose. C'était tout pour moi. Je mourais d'envie d'accueillir ton sexe en moi, mon trésor.
– Toi aussi, ton regard, il était braqué dans le mien et tu me quittais pas des yeux. Tu me mangeais des yeux, pupuce. Rappelle-toi… Mon corps était tout contre le tien. On était à fleur de peau. Bébé… tu avais ce beau sourire aux lèvres et tes yeux… Rhoo… c'était comme au petit matin, quand tu te réveilles et que tu les ouvres tout doucement. Tes lèvres… elles étaient à moitié ouvertes, en partie parce que tu haletais. Tes lèvres… elles étaient toutes douces, elles étaient roses. Elles étaient délicieuses parce qu'elles étaient vanille. Et tes yeux… Rhoo… je m'y étais noyé tellement ils étaient chocolat, profonds.
– Ah ! Tu vois, mon a… mour? Tu es toujours autant sous mon charme. Tu peux pas le nier. Et à ce moment-là, au lit, dans cette chambre d'hôtel, non seulement t'étais sous mon charme mais t'avais carrément envie de moi. Ça, tu pouvais plus me mentir là-dessus. Ton érection… je la sentais. Elle était très prononcée. Elle était collée à mon ventre et parfois, je la sentais même coulisser sur mon sexe éclos. Ton érection… tu pouvais ni la réprimer ni l'empêcher de s'épanouir et moi de toute façon, j'en avais pas la moindre envie et tu sais pourquoi, trésor ? Tu me désirais et tu avais envie de moi. C'était tout pour moi, rien que pour moi. Je faisais… je donnais envie à mon chéri ! J'avais envie que tu me pénètres. J'avais envie que de ça.
– «Bérénice… Tu en as envie?» «Oui, mon amour. Je veux faire l'amour avec toi.» «Tu veux vraiment que ce soit sans capote entre nous, comme on en a parlé?» «Théo… je veux te sentir. Toi, tout entier. Pas de capote entre nous.» «J'arrive plus à me retenir, je t'avoue. J'ai envie de toi.» «Ne te retiens plus, mon chat. Moi aussi, j'attends plus que ça. Viens en moi.» C'est comme ça qu'on a interverti nos places et qu'on a changé de position. C'est moi qui me suis allongé sur le dos. C'est toi qui t'es placée à califourchon sur moi. Je n'ai de cesse de te le dire, Béré' mais… j'aime quand tes seins ballottent quand tu fais le moindre mouvement. Et là… je pouvais pas ne pas les voir. C'était juste pas possible.
– Tu les aimes, mes jolis gros seins. Mon 90C… Mes «monts d'amour» comme tu les appelles… Je pouvais comprendre pourquoi tu voulais pas les quitter des yeux, joli oiseau. Oh… oui. Moi ça m'excitait de constater qu'ils te plaisaient à ce point comme ça. Je me sentais couler entre mes jambes. J'en pouvais plus. «Théo… j'en peux plus. J'ai besoin de t'avoir en moi.» «Détends-toi, ma belle. Je ne vais pas te faire de mal. N'aies pas peur.» «Je te fais entièrement confiance, chéri. Je suis prête.» Sur ces mots, je me suis détendue au maximum et j'ai respiré un bon coup. Tu ne me touchais pas car tu avais ton érection en main. Tu t'es introduit doucement en moi et j'ai senti progressivement les premiers centimètres de ton sexe. J'ai poussé un long gémissement bruyant. Je me suis pas du tout retenue. C'était… si bon. J'ai posé mes deux mains sur ton torse. Je me suis cramponnée à toi. Tes mains, tu les as posées sur mes fesses et tu as commencé à aller et à venir dans mon vagin. Eh oui… nous faisions l'amour...

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 14

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon a… mour… Mon a… mour ! J'en revenais pas. Je venais d'avoir mon tout premier orgasme et c'était toi qui me l'avais donné. Là encore, je comprenais pourquoi on en fait tout un plat. Mon corps était en sueur. J'avais l'impression que ma poitrine déjà lourde avait pris du volume. Je sentais que mon sexe était beaucoup mouillé. Je me connais… je devais avoir de petits yeux. N'est-ce pas, Théo ?

Tu haletais, ma chérie. Tu avais besoin de retrouver ton second souffle. Il faut dire que je t'avais plus ménagée, avec ma langue et mes deux doigts en toi ? Moi, là encore, tu pouvais compter sur moi pour que je te quitte pas des yeux. Tu inspirais, tu expirais. Ta poitrine lourde se soulevait à chacune de tes respirations. Bérénice… tu étais bel et bien en sueur et quand je passais mes doigts tout doucement sur ton sexe, je peux te dire que tu l'étais, trempée. Ça présageait une suite intéressante, émoustillante. Et… oui… Bérénice… tu les avais, tes jolis petits yeux. Mais là, c'étaient pas des petits yeux du matin. Non… c'est parce que tu venais de jouir, ma chérie. Et moi, j'étais fier de l'avoir donné, ce sacro-saint premier orgasme. Le premier d'une longue… très longue série, Bérénice et j'y comptais bien. Ma jolie coccinelle… C'était tout pour toi, rien que pour toi et j'avais bien l'intention de continuer. Oh… oui.

Mon amour… Je te voyais, tu sais ? Je te quittais pas des yeux, moi non plus. Tes yeux… c'étaient les yeux d'un homme qui est fou amoureux de la femme qui partage sa vie. Et là… tu me regardais. Il n'y avait que moi. Oui, Théo… C'était à moi que tes regards doux, amoureux étaient destinés. Ça me faisait un… je-ne-sais-quoi. Je sais pas pourquoi mais je me disais dans ma tête que j'étais la seule, la dernière femme sur Terre. J'étais Vénus, la déesse de l'amour et de la séduction. J'étais Bérénice, ta petite amie, ta déesse du sexe. Et à ta façon de me regarder… moi aussi, je me sentais bel et bien follement amoureuse. Oh… oui. À ta façon de me regarder, Théo… c'était tout pour moi, rien que pour moi. Tu te tenais au-dessus de moi et tes yeux étaient pétillants. Thé… o… tu peux pas le nier, même aujourd'hui.

Comment j'aurais pas pu les avoir comme ça ? Bérénice… Béré', Béré', Béré'… Dis-moi… Tu étais nue et toi aussi, tu me quittais pas des yeux. Avec tes petits yeux… avec tes longs cheveux lâchés… sans tes lunettes… tu faisais un petit peu plus jeune encore que tu l'étais. Tu me souriais. Et toi non plus, ne le cache pas. Ne mens pas. Tes yeux à toi, eux aussi, ils l'étaient, pétillants. Et même si tu avais les traits déjà marqués parce que le plaisir te fatiguait, tu n'attendais plus que moi, tout entier.

Ché… ri… J'avais beau être allongée, j'arrivais à le voir, ton sexe. Je savais quel goût il avait. Je t'avais masturbé, je t'avais sucé. À présent, je savais aussi sa taille et sa grosseur. Mais… Mais il me restait une inconnue. Oui… je mourais d'envie de te sentir tout entier en moi. J'étais curieuse de découvrir ce que je pourrais ressentir une fois que tu me pénétrerais. Ces sensations… cette taille… cette grosseur… Y'avait quelque chose qui me manquait. Des informations essentielles. C'est alors que je t'ai regardé. Je me suis mordue la lèvre. J'en pouvais plus d'attendre. Je te voulais, Théo.

Toi… tu voulais me faire craquer. Avoue, Bérénice ! Tes yeux… ils me suppliaient. J'avais beau être au-dessus de toi… ça t'empêchait pas le moins du monde de gigoter. C'étaient le désir et l'excitation qui te faisaient faire ça. Tout ça… je le voyais. J'étais pas dupe, tu sais ? J'étais pas idiot. J'étais tout sauf ça. Je savais que tu n'attendais plus qu'une seule chose. Tu mourais d'envie d'avoir… de recevoir… d'accueillir mon pénis en toi. Il faut dire qu'on en avait parlé de ce moment-là. On l'avait envisagé sous toutes les coutures. Avec ou sans préservatif ? Toi sur moi, et tu me chevauchais ? Moi sur toi ou bien moi derrière toi ? Nous deux, l'un contre l'autre, enlacés, en «petites cuillères» ? Là… je sais pas pour toi mais moi, ça avait peu d'importance au final.

Toi aussi, tu en mourais d'envie d'introduire ta queue dans mon vagin et de me pénétrer, mon chat. Et tu sais comment j'en étais sûre ? Tu bandais comme ce n'était pas permis. Elle était grosse, ta queue. J'avais beau appréhender parce que c'était la première fois… Ton beau sexe… il était en érection et il me donnait l'appétit. Oh… oui. Il était gros. Quand je t'avais branlé avec mes mains… avec mes seins… je t'avais décalotté ton gland. Et là, à mesure que tu étais excité et que t'avais envie de moi, ton gland… il était brillant. Mon a… mour ! Je te donnais vraiment envie, ça voulait dire ! Désolé si j'ai pas pu réprimer un gloussement mais…

Bérénice… Je te comprends. J'étais au-dessus de toi et tu me voyais. Je portais plus rien pour cacher l'envie que j'avais de toi. J'en étais fier de cette érection que j'avais À CE MOMENT-LÀ, tu sais ? Elle traduisait avec fidélité l'amour, la tendresse, l'envie, le désir, la passion que je ressentais pour toi, jolie coccinelle. On se disait rien. Nos yeux parlaient pour nous. On se mangeait des yeux. On se souriait. Ché… rie… j'avais tellement envie de toi. Tu l'as compris. «Mon a… mour… Fais-moi l'amour… Ton sexe dans le mien… J'en rêve depuis longtemps… Viens…» Je t'ai embrassée, princesse. Je me suis couché sur toi et tu m'as serré très fort. Avec ma main droite, je me suis guidé jusqu'à l'entrée de ton vagin. Je me suis glissé tout doucement en toi. Nous y étions. Nous faisions l'amour.


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 13

Publié le par Plaisir d'écrire

Thé… o… Je ne pouvais que m'en remettre à toi, les yeux fermés. Tu étais si doux, à mon écoute. Je me faisais pas le moindre souci. Je savais que j'étais entre de bonnes mains. Et… à ce propos… tes mains… Au départ, elles m'avaient caressée. Elles m'avaient couverte, recouverte de chair de poule. Tes mains… elles m'avaient massée. Elles avaient dessiné des arabesques sur ma peau. Elles étaient douces. Elles étaient chaudes. Elles m'avaient faite me sentir bien. Thé… o… Tu me léchais. Tu me doigtais. Et pourtant… tu me regardais. TU me quittais pas des yeux un seul instant. J'étais l'objet de ton désir. J'étais l'objet de tes regards. C'était tout pour moi, rien que pour moi. J'étais ta chasse gardée. Tu avais un doigt en moi. Tu le fais coulisser… aller et venir doucement. Ta langue, elle… elle préférait mon clito. Quand je te dis que je n'étais plus que mon clitoris… ce n'est pas tout à fait exact. Non… En réalité, je n'étais plus que mon vagin, aussi. Je n'étais plus que ma belle «petite» chatte. Et toi, là… tu avais la tête collée à mon minou et c'était une «petite» gâterie que tu m'offrais là, en plein après-midi. Le soleil donnait mais mon esprit, il était focalisé sur cette chambre d'hôtel et l'ambiance tamisée que tu avais crée il y avait peu. Il était tourné vers toi, mon esprit, joli oiseau. J'étais à toi, corps et âme, chéri.

Bérénice… Si j'avais allumé la lumière, si j'avais joué avec… c'était pas pour rien. Je voulais te créer tout un contexte. Bon d'accord… il n'y avait ni seau, verres et bouteille de champagne, ni pétales de rose sur le lit, ni mignardises. Mais je voulais compenser ces manques par d'autres choses. La pénombre due aux rideaux que j'avais tiré et fermé… Les lumières tamisées… De l'huile de massage à la fraise… Un bandeau pour tes yeux… Mon amour… Ma tendresse… Ma passion… Mon désir… Oh Bérénice… C'était tout pour toi, rien que pour toi, ce week-end là. Tout ce que tu voulais, je te le donnerais. Et là… alors que t'étais allongée sur le lit et que tu étais particulièrement bien, j'étais émoustillé. Ça oui. Comment j'aurais pas pu l'être, Bérénice ? Tu peux me le dire ? Tu étais entièrement nue et tu étais à ma merci. La femme que j'aimais… elle était corps et âme… à moi, rien qu'à moi, et moi aussi, j'étais à elle. Bérénice… Ah Bérénice… J'avais tellement envie de toi. T'arrangeais rien à l'affaire, toi non plus, quoi ! Tes beaux yeux chocolat… Tes lèvres vanille… Tes jolis seins lourds… Ta belle «petite» chatte poilue… Ton bouton de rose qui était tendu, gonflé… Si tu savais à quel point tu me faisais perdre la raison, Béré'. Tu te souviens de ces moments ? Tu t'en souviens ?

Mon a… mour… Toi aussi, tu m'émoustillais, tu sais ? Et d'ailleurs… je sais pas si tu avais remarqué ça… Moi aussi, je perdais la raison au fur et à mesure. C'était de ta faute, quoi, si je peux dire les choses ainsi ! J'avais chaud. J'avais la chair de poule. J'étais à la limite du court-circuit tellement mon cœur battait vite et fort. J'étais au bord du précipice. Et avec ta langue sur moi, avec ton doigt en moi… j'étais d'autant plus ta petite chose perdue, Théo. Plus tu me léchais et tu me doigtais simultanément, plus je ressentais une sensation étrange mais agréable au creux de mon ventre, des guillis au niveau de mon bas-ventre. Ça me picotait, ça me chatouillait. Ça me faisait du bien. J'ai posé une main sur mon cœur et je l'ai senti battre sous mes doigts. Qu'est-ce qu'il battait la chamade… Rhoo… Je pouvais pas être mieux. Ton doigt… je le sentais aller et venir à l'intérieur de moi. Plus je mouillais, plus j'autorisais ton doigt à aller un peu plus profondément en moi. Je n'étais plus que plaisir et sensations. Et petit à petit… je ressentais des petites mais intenses décharges électriques qui me piquaient au vif. Je contrôlais plus les mouvements de mon corps. J'y étais pour rien, Théo. C'était le plaisir qui prenait le contrôle de moi. C'était aussi simple que ça. Je contrôlais plus rien. Je m'en remettais à toi, mon chéri.

C'était dingue, ces mouvements incontrôlables que tu faisais soud ain, Béré' chérie. C'était comme si tu étais possédée. En effet, tu contrôlais plus du tout les mouvements de ton corps. Et j'avais l'impression que ton vagin allait et venait sur mon doigt. C'était pas moi qui allais t'exorciser de ce plaisir qui te ravageait, ma chérie. Ça, c'était clair, net, précis. Et comme tu lâchais prise et que tu mouillais encore plus, toujours plus… c'était le moment que j'avais attendu pour te donner un second doigt. Tu as poussé un cri de tous les diables, ça, je m'en souviens. Toi aussi, au fond de toi, c'était ce que tu avais attendu, joli coccinelle. Ça avait été un cri libérateur du fond de ta gorge. Un cri bestial. Un cri guttural. Mes deux doigts… je les enfonçais plus profondément à l'intérieur de ton vagin. Mes deux doigts… je les savais badigeonnés de ta cyprine chaude, humide, saline. Nous étions dans le feu de l'action, toi comme moi. Y'avait pas besoin de musique. J'avais beau avoir prévu une clé USB et y avoir programmé une playlist, là, on s'en passait. La seule musique qu'il y avait en fond sonore, c'étaient les bruits que l'on faisait. Nos soupirs… Nos gémissements… Nos cris… Nos halètements, nos respirations mêlées… Nos mots murmurés, nos mots chuchotés… Quand soudain… ton corps s'est brusquement, brutalement arqué et tu t'es laissée retomber sur le lit. Tu respirais fort. Tu avais carrément le souffle court. Tu venais de jouir avec mes doigts, avec ma langue, Bérénice. Tu te souviens de ton tout premier orgasme ? Tu t'en souviens, princesse ?


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens?" 12

Publié le par Plaisir d'écrire

Ché… ri… J'étais si bien. Tu prenais beaucoup de précautions. Tu prenais soin de toi. C'était aussi simple que ça. Tes regards… Tes gestes… Tes mots… Tes attentions… C'était tout pour moi. Rien que pour moi. Ce lit était très confortable. Tu avais plongé notre chambre dans la pénombre et tu avais joué avec l'interrupteur. Comme ça, les lumières étaient tamisées et ça donnait un côté intimiste à cette chambre pleine de charme. Nous y étions si bien. Et là, ces lumières… cette intimité… moi qui étais confortablement installée, allongée… toi qui t'occupais de moi inexorablement, consciencieusement… J'avais toujours les jambes bien écartées, et toi… tu restais dans ta position de lécheur. Tu me léchais bien. Oh… oui. Ce n'était que pur délice de sentir tes lèvres, ta langue sur ma vulve. J'arrivais plus à me calmer. J'étais tellement excitée. Je me sentais… J'ÉTAIS beaucoup mouillée. Je n'étais plus que mon clitoris. Je pouvais plus rien faire à part me laisser aller. J'avais plus qu'à te laisser me lécher, me manger, me bouffer, me dévorer avec envie et gourmandise. Oui, Théo… C'était plus qu'une question de temps. Tu avais raison. Tu avais tout fait jusqu'à présent pour me mettre à l'aise. Tu étais allé jusqu'à placer un oreiller derrière ma tête pour que ce soit encore plus agréable pour moi. C'était la première fois dont j'avais tellement rêvé, mon chat.

Mon amour… Bérénice… Tu le sais bien à présent. Ton bien-être et ton plaisir sont les deux mamelles des priorités que je me fixe quand nous faisons l'amour. À mes yeux, il peut pas en être autrement. Et ce jour-là… pour notre première fois, c'était à ton confort et à ta jouissance que je pensais. Limite… ça m'obsédait. J'avais plus que ça dans ma tête, dans ma bouche. À ton tour de te mettre à ma place, Béré'. Tu étais là. Tu étais allongée et tu semblais particulièrement à l'aise. Tu portais plus que ton tanga en dentelle blanche. Je l'aimais bien, tu sais ? Mais à force… il me gênait et c'était de moins en moins pratique pour moi. Du coup… je t'ai regardée, ma chérie. Toi… tu as deviné ce qui se tramait dans mon esprit. Aah… toi et ton fameux cinquième as, il faut dire… «Mon amour… tu l'aimes, ma lingerie. Je l'ai choisie et je la porte rien que pour toi. Mais là… tu me regardes… Elle te gène, n'est-ce pas ? Mon chat… Retire-le moi… Enlève-le moi, mon tanga. Vas-y...» Bérénice… Bérénice, Bérénice, Bérénice… Tu faisais si jeune, avec un côté ingénu mais en fait… tu cachais bien ton jeu, tu savais ce que tu voulais. Alors sans perdre plus de temps, je te l'ai enlevé, ton tanga. Tu étais toute nue.

Toute cette lingerie que j'avais porté jusque-là… C'était comme du papier-cadeau qui recouvrait mon corps intégralement. C'était ce que je voulais pour notre première fois. Être belle à mes yeux, à tes yeux. Être sexy. Que tu aies envie de moi. Qu'il y ait plus que ça qui compte pour toi. Je t'avais dit au téléphone que j'aimais bien aller dans les magasins de lingerie et y faire quelques «petites» emplettes. Eh bien… Quinze jours avant que tu ne viennes, j'étais tombée sur cette boutique, sur la grande avenue de ma ville, là où il y a cette rivière qui coule. Et je suis tombée sur cette parure en dentelle blanche. J'ai complètement craqué dessus. Ni une ni deux, j'ai dégainé ma carte bleue à la caisse. J'étais certaine que j'avais fait le bon choix. Il y avait pas le moindre doute dans mon esprit. Je savais déjà que je serais sexy à tes yeux et que tu me mangerais des yeux. Tu me mangerais dans la main. Le même jour, je suis allée à l’hôpital et je me suis faire dépister pour le VIH. Toi, tu l'avais fait quelques jours avant. On avait décidé ça tous les deux. Tu savais pourquoi. Je voulais te sentir en moi, tout entier. TOI. Rien que toi. Sans capote. Sans rien du tout entre nous. Comme lorsque tu m'as pénétrée d'un doigt. Ce doigt… Et ta… langue ! Hmmmmmmm… C'était si… bon. Tu allais me faire jouir, il pouvait pas en être autrement.

J'ai pris soin de te l'enlever, ton tanga, Bérénice. Ça oui. J'ai pris mon temps. Le voir coulisser le long de tes jambes… Voir ton sexe duveteux, juteux… Bérénice… Ton corps était frêle et tu semblais vulnérable, alors… Mais justement, c'était là où j'avais tout faux. Oh… oui. Tu avais chaud, tu avais le diable au corps. Coquine Bérénice… Perverse Bérénice ! Tu le portais déjà plus, ton sous-vêtement. Je te quittais pas des yeux, Béré'. Tu avais un sourire énigmatique aux lèvres. C'est une idée ou bien tu faisais semblant de me faire la moue ? Je te quittais pas des yeux, Béré'. Chaque fois que tu bougeais ne serait-ce qu'un tout petit peu, tes seins tressautaient, ils ballottaient. Je les aimais beaucoup. Bérénice… Ah Bérénice… Bérénice, Bérénice, Bérénice… C'était un moment hors du temps qu'on vivait. Et même si on était dans cet hôtel, en plein centre-ville, nous, on se sentait coupés du monde. Tu étais si belle, mon cœur. Et tu me donnais tellement envie. Tout en continuant de te lécher ton minou, j'ai introduit délicatement une puis deux phalanges de l'un de mes doigts. Tu as de nouveau poussé un long et non moins éloquent gémissement. Tu étais ma petite chose perdue. Tu avais fermé les yeux, tu avais les mains posées sur tes seins. Tu t'en remettais à moi, les yeux fermés, au sens propre du terme. Je le léchais, je te doigtais.


 


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

"Tu te souviens ?" 11

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mais moi aussi, ça me plaisait, mon chat ! Avoir ta tête entre mes jambes... Que tu me lèches... Quand on se parlait pas et que j'étais chez moi, qu'il y avait personne... J'étais dans ma chambre d'ado. Je me détendais, je pensais et repensais à toi. Je m'imaginais déjà ce qu'il allait se passer, ce que l'on allait vivre. Toi, tu étais là-bas, pas très loin de Lyon. J'étais en Bretagne. J'attendais le grand jour, je t'attendais avec impatience, mon chéri. Le téléphone rose... On se racontait nos fantasmes. On faisait l'amour à distance. Je me caressais en t'écoutant me parler. Tu as une jolie voix, Théo. C'était comme si elle me caressait. Et quand je t'écoutais me dire... me raconter ce que tu me faisais... je me caressais les seins, je glissais une main timide dans ma petite culotte. C'était si bon. Je me sentais... J'ÉTAIS dévergondée. Je fermais les yeux, je faisais le vide dans ma tête. Ta tête se plaçait malicieusement entre mes jambes, tes yeux se braquaient dans les miens. Je me sentais en sécurité, je n'en avais plus que pour toi. Et là, ce vendredi, presque à la fin de l'été, il faisait beau en Bretagne. Tu te souviens que c'était l'été indien, Théo ? Tu t'en souviens ? Nous, nous étions dans cette chambre d'hôtel pleine de charme et c'était déjà faire l'amour, ce que l'on faisait. Oh... oui. Et moi, j'étais si bien. J'étais allongée sur ce lit douillet et tu me le faisais, ce cunni.

- C'était un bel été, mon amour. Un été placé sous le signe des rencontres. De l'amour. De la sensualité. Du sexe. Et nous, nous nous étions rencontrés. Et en ce début de septembre, j'étais rentré de mon boulot de guide touristique. J'étais enfin là. Avec toi. POUR toi. Il faisait très beau dehors et ce devait être bon de se promener en ville par ce temps. Nous, on en avait décidé autrement. Oui... On avait décidé de laisser notre amour naissant et notre désir incandescent éclater au grand jour. Et là, c'était à mon tour de m'occuper de toi, jolie coccinelle. Je voulais jouir de chaque instant. De chaque geste. De chaque émotion. De chaque réaction. De chaque sensation. De chaque ressenti. Et tu sais quoi, Bérénice ? Je voulais que tu en fasses autant. C'est pour ça que j'ai volontairement, délibérément fait une pause. Toi... Ça t'a étonnée. Tu m'as regardé. C'était comme si tu étais frustrée. Comme si tu étais pas contente que je m'arrête en si bon chemin. Bérénice... Bérénice, Bérénice, Bérénice... Nos séances de téléphone rose ne t'avaient-elles donc rien appris ? Tu croyais vraiment que j'allais m'arrêter là ? C'était vraiment mal me connaître si vraiment t'as pensé ça. Tu savais que j'étais pas comme ça. Tu savais que je serais l'homme le plus heureux, le plus fier sur Terre si je te donnais un orgasme. Et la suite m'a donné raison, pas vrai?

- Ché... ri... Je n'en doutais pas. Simplement... et... effectivement, ça m'a surprise que tu marques comme ça un temps d'arrêt. Je m'y attendais pas. Mets-toi à ma place, joli oiseau. Ta bouche était sur mon sexe. Ta langue me chatouillait, elle me caressait, me titillait, me léchait et j'en voulais toujours plus. Et là, tu t'étais arrêté. Comment ne pas se sentir frustrée ? Mets-toi à ma place, Théo. Mon petit ami me léchait mon sexe. J'avais vu plus d'une fois ses yeux. Il m'aimait, je lui plaisais. Il me léchait, je lui faisais de l'effet. Et là, il s'était arrêté. Je n'étais plus aussi belle à ses yeux ? Il n'aimait pas mes poils ? Mon sexe ne sentait pas bon? Tu sais que... une femme peut se poser des questions quand ça se passe comme ça ? Tu m'as regardé, tu m'as chuchoté un "Je t'aime, Bérénice. Si fort..." J'ai lâché prise, j'ai poussé un gémissement et ce, même si c'était pas fait d'exprès. J'ai sangloté. Toi, tu as compris. Tu as compris que c'était fort, ce que je ressentais à ce moment-là. Tu as quitté mon sexe momentanément et tu es venu m'embrasser, Théo. Tu avais compris... C'était ce dont j'avais besoin. C'était le baiser le plus délicat qu'on m'avait jamais donnée à ce jour. J'ai complétement perdu la tête. Je m'explique : tes yeux dans les miens... C'était intense. Ils étaient rassurants, protecteurs, tes yeux, mon a... mour. Je savais que j'étais définitivement entre de bonnes mains. J'avais plus qu'à me laisser aller.

- En aucun cas je t'aurais privée de plaisir, Bérénice et tu le sais. Tu étais déjà une petite chose perdue. Tu es bonne à marier. Bonne à baiser. Et... bonne à faire jouir. "Bérénice... T'as pas à avoir peur... Je te veux aucun mal. Je veux ton plaisir. Je t'aime, ma jolie. Fais-moi confiance." Ta réaction immédiate, ça a été de me regarder à ton tour dans les yeux. Tu m'as souri. Tu as posé une main sur ma joue. "Théo... Je suis toute à toi. J'ai totalement confiance en toi. Fais-moi l'amour. TOI!" Ta main, elle s'est déplacée et elle s'est emparée de l'une des miennes. De ma main droite. Tu l'as faite poser sur ton cœur. Il battait à toute allure. "Mon cœur... Tu vois... Tu sens comment tu me rends? Je suis à la limite limite du court-circuit. Fais-moi l'amour." Ta main, elle s'est déplacée en compagnie de la mienne. Nos deux mains, tu les as posées sur ton sein droit. Tu as eu comme une grimace et puis l'instant d'après, tu as poussé un long gémissement. C'était très éloquent. Ça se passait de mots. On s'est regardés. On s'est souri. Et puis, on s'est embrassés. Tu me tenais la main et nos deux mains jointes, conjointes, elles s'étaient posées sur ton beau sein droit, blanc. J'ai poussé un long soupir. Là encore, c'était éloquent. "Ché... ri... Ta main sur mon sein... Toi qui es au-dessus de moi... Fais-moi l'amour. Je suis... Je suis prête. Tu m'entends, Théo? Je suis PRÊTE !"  Mon autre main, je l'ai posée entre nous. J'ai voulu savoir et effectivement... tu l'étais... prête. J'allais te faire l'amour, Béré' chérie. C'était plus qu'une question de temps à présent.

​​​​​​

Voir les commentaires

1 2 > >>