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C'est si bon...

Publié le par Plaisir d'écrire

J’ai comme l’impression que Bérénice lâche du lest et qu’elle ne pense plus à rien.

 

Elle ne pense plus qu’à nous deux. Elle est corps et âme et sexe, à moi.

 

Elle est si belle. Le plaisir lui va si bien.

 

Sa peau a rougi du fait qu’elle a pris beaucoup de plaisir depuis tout à l’heure et que je me suis occupé d’elle, toute entière.

 

Ses yeux sont mi-clos, et elle a un beau sourire aux lèvres.

 

Oh… oui… Le plaisir lui va si bien.

 

Elle reprend son souffle. Elle en a besoin.

 

Elle va en avoir besoin parce que je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin : j’ai encore envie de lui faire l’amour et de lui donner plus, bien plus, encore plus, toujours plus de plaisir. Je n’en ai pas fini avec son petit cul…

 

Bérénice est encore et toujours à quatre pattes. Moi ? Mon torse épouse toujours autant son dos. Nous sommes collés l’un à l’autre. Nous sommes à fleur de peau, au sens physique du terme. Nous aimons beaucoup ça, que nos corps se caressent et se touchent. Se rencontrent.

 

Nos lèvres se rencontrent. Se touchent. Se goûtent. Se caressent.

 

Bérénice et moi, nous aimons beaucoup ça, nous embrasser. Nous y prenons… beaucoup de plaisir.

 

Nous jouissons de ce moment de répit pour renforcer l’amour et le désir que nous avons l’un pour l’autre.

 

Bérénice a les cheveux lâchés, et je sens leur contact pendant que je l’embrasse et que je continue d’être allongé sur elle, ma poitrine contre son dos.

 

Ma poitrine contre son dos, je sens son corps qui est un peu en sueur. Ce contact est agréable…

 

Je suis si bien avec elle. Et… je sais qu’elle se sent à l’aise quand elle est dans mes bras ou bien quand son corps est contre le mien.

 

Telle une jeune chatte avide et en recherche de caresses, Bérénice fait en sorte que nos deux corps se touchent beaucoup. Elle raffole de ça, la petite coquine !

 

Je suis en érection. Et alors que je continue d’embrasser et de caresser Bérénice, je m’arrange pour que mon sexe se frotte à ses fesses.

 

Et Bérénice le sent contre son beau petit cul, mon pénis… Même si je la domine puisque je suis allongé sur elle, elle joue un peu de ses fesses pour faire en sorte que mon membre coulisse. C’est si bon…

 

Bérénice adore que je m’occupe d’elle, toute entière, et que je lui donne du plaisir. Beaucoup de plaisir… Mais, et elle me l’a déjà dit, la tête sur l’oreiller, après que nous ayons fait l’amour : elle se sent belle, désirée et séductrice quand elle m’en donne. C’est son souci à chaque fois : que je prenne du plaisir et que je jouisse. Elle a besoin de savoir ça, Bérénice. Parfois, elle n’a pas besoin de me parler. Il ne suffit que d’un regard de sa part pour qu’elle me demande. En réponse, je caresse ses cheveux. Je hoche la tête. Je lui souris. Je pose une main douce sur sa joue. Je prends son visage entre mes mains. Je l’embrasse tendrement. Je lui dis que je l’aime. C’est aussi simple que ça. Je prends déjà beaucoup de plaisir quand elle m’embrasse et qu’elle me dit qu’elle est toujours aussi folle de moi. Le fait qu’elle s’occupe de moi et qu’elle me fasse jouir, c’est du bonus à l’état pur.

 

Je sens que mon sexe est si dur. Ça en est presque douloureux. Pourtant, le fait que Bérénice fasse coulisser son joli petit postérieur contre ma queue, c’est si bon...

 

J’en profite alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient contre ses fesses. Je m’y masturbe un tout petit peu. C’est si bon…

 

Ma petite amie, elle, elle sent bien que je me masturbe. À entendre les petits bruits de plaisir qu’elle se remet à émettre, ça lui plaît. Ça lui plaît… beaucoup.

 

Tous les deux, nous avons beaucoup de plaisir...

 

 

 

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