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chere lectrice rousse aux petits seins

Chère lectrice rousse aux petits seins: le cadeau de Candice (1ère partie )

Publié le par Plaisir d'écrire

14 février 2024. Je suis seul à la maison, ce soir. Candice n'est pas là. Elle dort à l'hôtel. Elle s'absente pour le travail. Je suis perdu dans mes pensées. Je pense à Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins me manque particulièrement. Elle a ce don d'éblouir mes jours comme de réchauffer mes nuits. Elle met du sucre et du chocolat comme du sel et du poivre dans ma vie. En ce 14 février, jour de la Saint Valentin, Candice est MA Valentine. Elle est l'élue de mon cœur. Lorsqu'elle reviendra, nous rattraperons le temps perdu. Ne dit-on pas qu'il n'y a pas de jour spécial pour se dire "je t'aime" ? C'est tous les jours qu'on se le dit, "je t'aime".

 

Je pense à Candice. Des images de notre histoire d'amour refont surface. Je souris. Le vie est belle, aux côtés de ma tendre et chère lectrice rousse aux petits seins. C'est une fierté et un honneur de la partager avec elle, cette vie, depuis le jour où nous nous sommes rencontrés.
J'espère que tout se passe bien pour Candice. Je me demande ce qu'elle peut bien faire en ce moment même. Est-elle bien installée dans sa chambre d'hôtel ? Est-ce qu'elle travaille ? Est-ce qu'elle est avec d'autres personnes ? Est-ce qu'elle s'accorde du bon temps ? Toutes les hypothèses défilent dans ma tête. Voilà, ça y est : j'ai le cerveau en ébullition. Ça me plaît de m'interroger sur ce que Candice fait, en mon absence. Le plus important pour moi, c'est qu'elle soit heureuse et qu'elle fasse attention à elle. Je l'imagine en train de se détendre dans sa chambre, allongée sur le lit. Je l'imagine travailler sur son ordinateur portable, griffonner des notes sur une feuille de papier. Je l'imagine être au téléphone avec quelqu'un, rire sur des choses puériles, échanger de manière animée. A t-elle emporté avec elle un ou plusieurs sextoys pour s'amuser ? Ça ne m'étonnerait pas. Candice est une femme qui aime le plaisir. Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Ma chère lectrice rousse aux petits seins n'en fait qu'à sa tête. Elle m'a déjà raconté ça, agrémenté de détails croustillants...et particulièrement coquins. Je m'en souviens, de ces confidences. C'était après avoir fait l'amour, un jour, la tête sur l'oreiller. On se faisait des câlins.
Candice m'avait avoué que c'était impossible pour elle de résister à l'envie de se donner du plaisir quand je n'étais pas là et lorsqu'elle pensait intensément à moi. J'avais compris ce qu'elle m'avait exprimé. Je ressens la même chose quand elle, elle n'est pas là. Je suis sur la même longueur d'onde qu'elle. Nos vies sont liées. Nous sommes amoureux comme jamais. Elle est belle, notre histoire d'amour. Je souris quand je pense à ça. Je n'ai jamais été amoureux comme je le suis de Candice. C'est simple : cette femme a un je-ne-sais-quoi. Elle met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie. Elle ensoleille ma vie, elle la rend plus bleue. Plus belle. C'est un bonheur de la partager avec Candice, ma vie. Quand Candice n'est pas là, elle me manque. J'ose à peine imaginer nos retrouvailles lorsqu'elle rentrera. J'ai hâte... J'attends avec impatience son retour. Je ferai le beau. Et je serai tout beau pour elle.

 

En attendant, je vaque à mes occupations. Je ne cache pas que mon cerveau est en ébullition. Que c'est agréable d'être dans cet état d'esprit. Ce serait idéal si Candice était à mes côtés, là...

On ne peut pas tout avoir, à savoir le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière. Ce serait trop beau. Mais justement : j'imagine à quel point ce serait idyllique. Moi et la femme que j'aime... On se boufferait des yeux. On se dirait des mots d'amour, des paroles enflammées. Le reste n'aurait plus la moindre importance. 

 

Alors que je divague et que mes pensées partent dans tous les sens, mon téléphone se met à vibrer. Surpris, j'ai un mouvement de sursaut. Qu'est-ce que cela peut être ? De qui s'agit-il ?
Je déverrouille l'écran de mon portable. C'est une notification de SMS. Puis, de nouvelles vibrations se font entendre. Je regarde. Ça vient de Candice, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Mon cœur palpite encore plus fort, soudain, dans ma poitrine. Quand il s'agit de la femme que j'aime, je ne réponds plus de rien. C'est ELLE, pas une autre femme dont je suis fou mais ELLE. J'ouvre le message. La lecture me donne encore plus le sourire aux lèvres. C'est typiquement Candice, ce qui est écrit.
 
"Mon Benoit...
Voilà ce qui t'attend lorsque je serai de retour à la maison.
Ouvre les deux fichiers..."
 
En regardant attentivement, le SMS est effectivement accompagné de deux fichiers MMS. Je les ouvre. Le premier est un cliché pris par ma chérie. Elle est confortablement allongée sur le lit de sa chambre d'hôtel, le sourire aux lèvres, ses longs cheveux roux lâchés et les seins nus.
Quant au second fichier...

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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (4ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Je m'abandonne. Ça s'appelle l'amour. C'est la passion qui m'habite. Je ne me pose aucune question. Je compte rattraper le temps perdu lorsque Benoit me manque. C'est aussi simple que ça et je ne calcule rien. Être avec l'homme dont je suis amoureuse, ça me rend heureuse. Me comporter comme je le fais, ça va de soi. Oui. Je suis Candice et je suis fière de l'être.

 

Je ne me suis jamais allée sentie aussi sensuelle. C'est normal après tout. J'aime être la femme que je suis au contact de Benoit. Sourire, me dorloter. Surenchérir, minauder. Quand l'hymne de notre amour résonne, 'Dopamine' de Purple Disco Machine, je ne réponds plus de rien. Mon cœur bat la chamade. Je réponds à l'appel. Je prends la pose, je suis une femme heureuse. J'ai le sourire aux lèvres, je suis amoureuse. Je dis oui au plaisir, je dis oui à la vie. Ce matin, je n'ai pas envie de croissants. Ce matin, ce sont des caresses, des égards et des baisers dont j'ai envie. Ah... Les coups de langue de Benoit, ses coups de queue... Oui. Je ne réponds plus de rien. Je suis insatiable. Quand Benoit me parle, plus rien n'a d'importance. Quand Benoit me touche, je ne suis plus du tout la même Candice.

Dans le feu de l'action, on est capable de faire n'importe quoi. N'est-ce pas ce qu'on dit ? Dans mon cas, c'est l'amour qui m'inspire. Et c'est la passion qui m'habite. Là. C'est dit. J'ai envie de faire l'amour avec Benoit. Tout simplement. Je veux sentir son sexe pénétrer le mien. Je veux le sentir coulisser à l'intérieur. J'ai envie de regarder Benoit dans les yeux. J'ai envie de lui parler. Ah ce que l'on fait quand on aime quelqu'un... Ça s'appelle l'amour. C'est aussi simple que ça. J'ai le cœur qui fait boum boum boum dans ma poitrine. Je l'écoute, mon cœur. Je suis fofolle, ce matin. Je suis un feu follet, je suis heureuse. La perspective de faire l'amour avec l'homme que j'aime me comble de joie. La perspective de prendre du plaisir avec cet homme qui est allongé sur le dos m'excite. Je me retiens. Je me demande encore comment je fais.

Je vais rester à califourchon sur Benoit. C'est comme ça que j'ai envie de faire l'amour. Ne m'a t-il pas demandée si j'aimais prendre le dessus sur un homme, pendant l'amour ? Ne m'a t-il pas avouée qu'il aime être allongé sur le dos afin de pouvoir admirer une femme sous toutes ses coutures, lorsqu'elle est sur lui ? Ça me plaît de prendre les rênes. Et j'adore que Benoit me regarde. Je veux être belle aux yeux de Benoit. Qu'il me dise qu'il a envie de moi. Je me sens sexy. Que Benoit me fasse l'amour...

 

Sans même me toucher, je sais que je suis on-ne-peut-plus mouillée. Si je suis dans cet état, je le dois à Benoit. Quand il me parle du désir qu'il ressent pour moi, je ne réponds plus de rien. Quand nous sommes les yeux dans les yeux et quand il me sourit, les dégâts sont perpétrés. C'est alors que j'ai envie de lui. Je sais que c'est proportionnel à son envie de moi. Ce matin, j'ai particulièrement faim. Mais non, je ne veux ni café ni viennoiseries. J'ai envie de sexe. Je ressens le besoin d'avoir Benoit en moi. Ma belle 'petite' chatte toute humide, mon mystérieux n'aura aucune difficulté pour la pénétrer. Mieux ! Je sais déjà que mon vagin accueillera son pénis de la plus délicieuse des manières. Je sais déjà que Benoit sera on-ne-peut-mieux à l'intérieur de moi. Je brûle d'envie de prendre l'homme que j'aime entre quatre yeux au moment où je m'empalerai sur sa queue. Je meurs d'envie de sentir à quel point c'est bon de faire l'amour.

À califourchon sur Benoit, je ne peux pas être mieux. Je ne peux pas me sentir plus sexy qu'à l'instant-t. J'aime que mon chéri me dévore du regard. C'est moi, alors, la plus belle femme au monde, la femme la plus désirée sur Terre. Je n'ai pas envie qu'il me résiste, Benoit. J'use et j'abuse de mes charmes. Je souris, je minaude. Je gigote, je me trémousse. J'ai chaud, je suis chaude. Je me cambre de telle sorte que mes petits seins soient mis en valeur. Je tiens à ce qu'ils soient dans la ligne de mire de Benoit. Je sais qu'il les aime. Je pose mes deux mains sur son torse. Là. Je lui montre qu'ainsi, il m'appartient.

 

Poser mes deux mains sur les pectoraux de Benoit, me cambrer de telle sorte que ma petite poitrine soit pile dans l'axe du regard de mon chéri... Me dandiner pour continuer de donner à Benoit l'envie de me faire l'amour, faire en sorte que mon sexe se frotte au sien... Mon... dieu ! Que j'aime sentir que nos deux sexes coulisse ensemble.

C'est moi qui mène la danse, ce matin. Benoit me laisse faire. Quelque chose me dit que ce n'est pas pour lui déplaire. Quelque chose me dit d'autant plus qu'il ne boude pas son plaisir à me voir me comporter comme je le fais. Benoit est allongé sur le dos et il ne peut que me laisser prendre le dessus sur lui. Je me fais le serment de rendre son réveil... et ce matin inoubliables. Exalter ma sensualité comme je le fais, c'est quelque chose de naturel. Faire la belle pour que mon homme continue de n'avoir d'yeux que pour moi, c'est quelque chose qui me plaît. J'aime être et rester la chère lectrice rousse aux petits seins de Benoit.

 

 

C'est moi ou il fait chaud dans la chambre ? En ce qui me concerne, j'ai chaud. Et... Je me sens chaude. C'est tout sauf pour le déplaire, ce contexte.

 

 

Les premiers rayons du soleil dardent, percent à travers les stores des fenêtres de notre chambre. À mes yeux, il n'y a pas mieux pour bien commencer la journée. Bon d'accord : la perfection n'existe pas. Mais c'est fort, ce que nous sommes en train de partager, comme moment. C'est riche en émotions. J'aime Benoit. Et ce genre de moment passé à deux lorsque nous sommes ensemble, ça me rend feu follet. Rien ne peut souiller la beauté ainsi que la volupté de ces instants privilégiés, intimes. C'est une bulle familière de bien-être et de sérénité dès lors que nos âmes se lient et se retrouvent. Voir Benoit me bouffer des yeux comme ça dès le matin, c'est un plaisir incomparable. Ça n'a pas de prix. Ses yeux... J'y lis l'amour qu'il a pour moi. J'y devine qu'il me désire. Ils ne peuvent pas mentir, ses yeux. Dès lors, moi aussi, je m'adonne volontiers à ce jeu et je dévore Benoit du regard. Je le fais allègrement. C'est lui, l'homme que j'aime et que je désire. Aaah... Qu'est-ce que j'aime ça. Je n'en fais qu'à ma tête. Dans le même temps, c'est une envie de twirker sur Benoit qui me prend. Je veux qu'il m'observe faire.

Benoit repose ses mains sur moi. J'aime ça. Mais qu'est-ce que j'aime ça. Ça fait de moi la femme que Benoit aime, respecte. Je suis la femme qu'il vénère et qu'il désire. Quand c'est comme ça, ça me donne l'envie de m'offrir tout entière à lui. Je l'aime. C'est aussi simple que ça. C'est une ambiance voluptueuse qui règne dans la chambre. Il fait chaud. Et plus nous nous câlinons, plus nos corps sont en sueur. Nous prenons notre temps et nous nous prélassons au lit. Rien ne presse car rien n'a d'importance. La seule chose qui compte, c'est le plaisir à passer ces moments ensemble. Je brûle d'envie de faire l'amour avec Benoit, ce matin.

 

Mon sexe est humide. Je le fais coulisser sur le sexe en érection de Benoit. J'aime jouer à ce jeu-là qui est d'entretenir cette belle érection de telle sorte qu'elle reste comme telle. De la même manière, en prenant Benoit entre quatre yeux, je joue avec son désir. Ce n'est pas pour me déplaire et ainsi, je peux déterminer s'il est tout cuit, tout rôti. Au moment propice, son sexe pénétrera le mien. Mais comme je sais qu'il adore les préliminaires et qu'il en raffole autant que moi...

 

Je suis moite de la tête aux pieds. Le sport en chambre, ça fait transpirer. Et quand votre binôme de plaisir vous rend toute chose, cette personne vous fait mouiller. Je sais que la mignonne rousse luisante de sueur que je suis plaît à Benoit. Combien de fois m'a t-il dit que ça me donne un côté sauvage m'allait bien et qu'il trouve que chez moi, c'est joli ? Chez moi, ça rentre par une oreille mais ça ne sort surtout pas par l'autre, ces paroles.

 

Ce matin, malgré la nuit d'amour qu'on a passé, Benoit et moi, je ne suis pas rassasiée. Et lorsque Benoit me bouffe des yeux comme il le fait là, ça n'arrange rien à l'affaire. Je ne peux pas me défaire de cette envie irrépressible de faire l'amour. C'est plus fort que moi. Ne dit-on pas que ça fait partie des petits plaisirs de la vie ? J'aime les plaisirs. J'aime le plaisir. Benoit est sur la même longueur d'onde...

 

 

Je me sens feu follette. Je suis en train de m'en donner à coeur joie. J'ai le temps cœur qui bat la chamade. J'ai le vent en poupe. Ce sont des sensations que j'aime ressentir. J'aime la sensualité et l'érotisme. Je raffole des préliminaires. Ça m'ouvre l'appétit. C'est l'entrée qui exacerbe les sens et qui titille les papilles. Le plat de résistance ? C'est lorsque Benoit me pénètre et qu'il me fait l'amour. Je ne contrôle plus les mouvements de mon corps. Des vagues de plaisir se succèdent en moi alors que mon sexe mouillé coulisse sur celui en érection de Benoit. Benoit n'aura aucune difficulté lorsqu'il sera en moi. Mon souffle est court. Mon cœur palpite si vite. Je prends du plaisir.

C'est toute une atmosphère qui se crée, ce matin. Je me sens si bien. Je ne pense pas à mon travail, aux tâches quotidiennes ou aux factures. C'est un moment privilégié que je vis avec Benoit, un peu comme si le temps s'est arrêté. Seuls notre amour et notre intimité comptent. Benoit me témoigne qu'il m'aime lorsqu'il me regarde et qu'il me touche. Benoit a envie de moi quand il est en érection, quand son sexe va et vient à l'intérieur du mien. Notre amour, c'est un mélange de lui et de moi. Notre plaisir, c'est un cocktail de nos fluides sécrétés. C'est si... bon de sentir que mon vagin a éclos pour qu'il accueille le pénis de Benoit. Ce n'est plus un secret pour lui que j'aime le sexe. J'apprécie ça tout particulièrement lorsque c'est sensuel et langoureux. Je chevauche Benoit. Je le fais comme je l'entends. C'est comme ça. Cependant... Je ne tiens plus en place. J'ai envie...

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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

S'entendre dire qu'on est aimée, s'entendre dire qu'on est belle et qu'on nous aime, ce sont les plus beaux compliments que l'on puisse faire à une personne. Si mon cœur continue de pulser comme ça, je ne sais pas ce qu'il va en être de moi, ma parole ! Mais j'aime ça. Quand Benoit me serre contre lui, quand il me parle, je ne réponds plus de rien. Dans ces moments-là, j'ai juste envie de rester comme ça. J'ai juste envie de passer de bons moments auprès de lui. Les yeux dans les yeux, sans dire un mot, je souris à l'homme que j'aime. Je suis la femme la plus heureuse du monde. Mon amoureux laisse ses mains parcourir mon corps. Je ferme les yeux quelques instants, histoire de savourer la sensation de ces deux mains qui me caressent. Ce contact me donne encore un peu plus chaud. Au fur et à mesure que l'on se connaît, que notre relation évolue et progresse dans le temps, ces moments à eux seuls suffisent à me rendre humide. Ce n'est pas pour me déplaire, quand je sens que ma petite culotte est mouillée. Mon sang ne fait qu'un tour. Je décide de rompre le silence qui a commencé à s'installer dans la chambre. Je n'en fais qu'à ma tête. Je fais un peu plus sentir à Benoit le poids de mon corps. Je pose une main sur le visage de Benoit. Il m'attendrit, mon mystérieux.

 

 

Benoit me regarde. Je le regarde. Il me fait fondre. Benoit me sourit. Je lui souris. Je dépose tout doucement mes lèvres sur les siennes. Je ferme une nouvelle fois les yeux. Être avec mon homme me comble de bonheur. L'émotion m'étreint et me prend au corps. Elle ne me lâche plus. Que de chemin parcouru ensemble, depuis notre rencontre sur le site d'écriture érotique... Sur cette pensée, je me montre fougueuse et j'embrasse Benoit avec davantage d'ardeur. Je ne me retiens pas. Je ne me contrôle plus.

Pourquoi vouloir de meilleures choses lorsque le bonheur est là ? Benoit m'apporte de la joie et du plaisir. Pourquoi vouloir toujours plus beau, plus loin, plus haut ? Bon d'accord. Je lève la main et je plaide coupable. Je me rends coupable de plagiat. Je viens de paraphraser Étienne Daho. J'ai des étoiles plein les yeux lorsque Benoit me mate dans la salle de bain ou dans la chambre, quand il me dit que je suis belle et que c'est un honneur pour lui d'avoir une femme comme moi qui partage sa vie. Pourquoi vouloir décrocher la lune ? Atteindre le septième ciel, c'est quelque chose que j'aime. Quand Benoit me dit que je suis une sauvageonne doublée d'une jouisseuse voire même triplée d'une hédoniste, comment lui donner tort ?

J'ai faim, ce matin. Mais je n'ai pas envie de nourriture. C'est Benoit que je veux. Et là, c'est moi que j'ai envie qu'on mange. Je suis à point...

 

 

Au tour de Benoit de s'occuper de moi, quoi ! Ce n'est pas juste ! Nous devons être à égalité ! Il va me faire le plaisir de me rendre la monnaie de ma pièce. Qui plus est, je suis toute cuite et toute rôtie. Je suis prête à être dévorée. Pas de temps inutile à perdre. Cet homme m'appartient et je compte bien en profiter. D'une voix que je veux à la fois douce et sexy, je dis à Benoit que c'est à son tour de me donner du plaisir, de me procurer ce plaisir dont je ne peux pas me passer. Je pousse encore un peu plus le bouchon en lui demandant de retenir son souffle. Qu'il se tienne prêt. Là, ce dont j'ai envie, c'est de l'un de ces cunnis dont je raffole lorsque nous faisons l'amour. Sa petite barbe me chatouille lorsque son visage touche ma peau. Ce qui m'émoustille, c'est quand Benoit reste allongé sur le dos et que j'enjambe sa tête avant de déposer mon sexe sur sa bouche. Je n'en fais alors qu'à ma tête et c'est moi qui ai le dessus sur lui, là. Je me souviens de son message sur le site, à l'époque où l'on flirtait en virtuel. Benoit m'avait demandé si j'aimais dominer ou, tout du moins, si prendre le dessus pendant le sexe, ça m'excitait. Je lui avais répondu que je n'y voyais pas d'inconvénients. La première fois où je suis venue chez lui, j'avais décidé de ne plus m'épiler et de laisser mon pubis se couvrir de poils.

 

 

Je laisse un tout petit peu d'espace à Benoit pour qu'il puisse continuer de respirer. Je l'entends, Benoit. Il me dit qu'il aime que mon sexe soit comme ça. Je le sens. Je baisse les yeux et je vois qu'il frotte son nez sur mon mont de Vénus. Je ferme les yeux. Je savoure cette sensation. Je pose une main sur mon corps et je me caresse. Mon... dieu ! Qu'est-ce que j'aime quand Benoit fait des trucs comme ça... La voix de mon homme me ramène sur Terre. Mon chéri me demande s'il est possible que mon pubis reste tel qu'il l'est, là. Hmm... Pour Benoit, je ferais beaucoup de choses. Ce que dit Benoit, ça me fait chaud au cœur. Mon cœur, il bat tellement vite, tellement fort.

Et surtout... Surtout... Je n'en finis pas de mouiller. Du tac au tac, je dis à Benoit qu'il les aime, les belles "petites" chattes avec des poils. C'est à mon tour de frotter ma légère toison pubienne sur le nez de mon mystérieux. Je veux qu'il en apprécie à la fois la texture et l'odeur. J'entends un "Mmmh...". Quelques instants après, c'est un soupir qui me parvient aux oreilles. Benoit apprécie ma "petite" chatte à sa juste valeur. Je lui demande s'il a envie de me goûter. Il me répond qu'il a même l'intention de faire plus que ça. Je relève le propos car ça titille ma curiosité. Je fais l'étonnée, je fais semblant de ne pas comprendre où il veut en venir. Bon d'accord. Je plaide coupable une nouvelle fois et je l'avoue : je brûle d'envie de sentir les lèvres de mon amoureux sur moi. Je ne réponds plus de rien lorsque sa bouche s'unit à mon sexe. Et c'est ce que je fais : mon sexe se pose sur sa bouche. Je réduis un tout petit peu l'espace que j'avais laissé libre pour permettre à Benoit de respirer. Attention, hein ! Loin de moi l'idée qu'il manque d'air ! Mais d'un autre côté, je veux qu'il sente et qu'il sache à quel point je suis mouillée. Je n'ai pas besoin de dire quoique ce soit de plus. Non. Benoit tire la langue. Je le sens, ce premier coup de langue qu'il porte à mes nymphes. Il ne me laisse pas indifférente, ce coup de langue. Je laisse s'échapper un soupir. C'est ainsi que mon corps se met à onduler au rythme des coups de langue de mon amoureux.

 

 

​​​​Je ne pense à rien. Je me sens bien. Ce n'est que du bonheur en barres, ce que Benoit me donne. Au fur et à mesure que nous faisons l'amour depuis la première fois où nous nous sommes vus pour de vrai, Benoit me connaît de mieux en mieux, intimement parlant. Et ce qui me plaît, c'est qu'il ne se repose pas sur ses acquis. Il est mon pendant masculin : il exhalte sa sensualité lorsqu'il se sent bien avec quelqu'un, quand il désire cette personne. Il aime autant que moi essayer de nouvelles pratiques, qu'elles soient sensuelles ou sexuelles.

 

 

Benoit connaît les mots pour me rendre toute feu, toute flamme. Quand il me dit qu'il m'aime, ça me fait chaud au cœur. Quand il me dit qu'il aime la tenue que j'ai choisi de porter pour la journée, je ne peux pas m'empêcher de faire un tour sur moi-même afin qu'il puisse l'admirer sous toutes mes coutures. Quand il m'embrasse dans le cou et qu'il me dit qu'il aime mon parfum, ça fait de moi la femme la plus désirée du monde. C'est MOI, Candice, la femme que Benoit aime. Et là, ses coups de langue me font perdre la raison.

 

 

Je me mords la lèvre. Impossible de me taire. C'est trop... bon, le plaisir que je ressens lorsque Benoit me lèche. Je me déchaîne. Mon corps ondule de plus belle. C'est un délice de sentir la langue de Benoit titiller mon sexe. Il s'y prend bien. C'est un bon lécheur, lui. MON lécheur, mon cunnilinguiste. Je ferme les yeux. Je souris. Je suis bien. Je suis heureuse.

 

 

Qu'est-ce que c'est agréable lorsqu'une personne, qu'elle soit homme ou femme et quelque soit son orientation sexuelle, se focalise sur les caresses qu'elle vous donne et qu'elle est à l'écoute de vos réactions. À chaque fois, c'est un plaisir pour moi d'être léchée par Benoit. Je ne pense à rien lorsqu'il me fait un cunnilingus. Il sait que je raffole de ça. Je débranche tout et je me concentre sur les sensations que j'ai. J'ai toute confiance en l'homme avec qui je suis et je sais que j'ai du plaisir. Il s'y prend bien. Je sais même que je vais être en mesure de jouir, incessamment sous peu. Quel délice c'est. Et quel pied je prends ! C'est un plaisir de sentir que je suis trempée. C'est un plaisir de sentir la langue titiller les coins et les recoins de mon sexe. C'est un plaisir pour moi de m'offrir tout entière à l'homme que j'aime. Je veux que Benoit prête attention à la manière dont je réagis à ses coups de langue. Je veux que Benoit entende à quel point j'y suis réceptive.

 

 

C'est trop... bon, le plaisir que Benoit me donne. Je ne m'en lasse pas. Et j'aurai beau dire... Je ne suis jamais rassasiée. Je parle à Benoit, je lui demande si ça va. Je le prends en compte, je lui demande s'il a besoin d'air. Je me soucie de lui, je retire mon minou de sa bouche pour qu'il puisse respirer. Ça me tient à cœur. Oui, j'aime le sexe avec Benoit. Oui, j'aime le plaisir... et les orgasmes qu'il me procure. Oui, j'en suis insatiable.

 

 

Je donne à Benoit le temps de trouver son second souffle. Ça tombe bien, à vrai dire. Ça me permet à moi aussi de calmer mes ardeurs. Oui. Ce n'est pas plus mal. Je desserre l'étau que mes cuisses forment autour de la tête de Benoit. Je me relève et je viens de nouveau m'allonger sur lui. J'ai besoin de sentir et de m'imprégner de nouveau de la chaleur de son corps. Hmm... Oui. Je suis bien, dans les bras de Benoit.

 

 

Je tends une main et je la pose tout doucement sur la joue de mon chéri. Je lui dis qu'il ne sait pas à quel point je suis heureuse avec lui. Je plonge mes yeux dans les siens et j'approche mes lèvres des siennes. Là. Nos lèvres se retrouvent. Je ferme les yeux. Je savoure ce baiser. Je me laisse emporter par l'amour que j'ai pour Benoit, par la passion qu'il m'inspire. Ce baiser a la saveur de son amour pour moi ET de ma cyprine. Je me délecte de ce que mon corps sécrète.

 

 

 

L'amour et la passion m'inspirent particulièrement, ce matin. Je n'ai jamais été aussi que je le suis de Benoit. Je ne maîtrise plus rien. Je laisse mes désirs et mes envies me guider. Je me redresse et me voilà à califourchon sur mon mystérieux. Je pose mes doigts sur le bas de ma nuisette et je la remonte. Plus elle remonte, plus elle dévoile mon corps. Je finis par l'enlever complètement. Là. Je suis entièrement nue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (2ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Je le branle, Benoit et j'y prends du plaisir. Je ferme les yeux et je laisse s'échapper de ma bouche un soupir de plaisir. Je ne pense qu'à mon homme. Je ne pense qu'à son plaisir. Ça m'excite, moi aussi. Benoit n'a d'yeux que pour moi et moi, je n'ai d'yeux que pour lui. Il n'y a que Benoit pour m'exciter comme ça. Le silence règne dans la chambre. C'est bien. C'est ce qu'il faut. J'ai confiance en cette branlette que je suis en train d'offrir à Benoit. Il y prend du plaisir, visiblement. C'est à son tour de laisser s'échapper de sa bouche un soupir de plaisir. Je suis sur la bonne voie, ça veut dire. Je continue, alors. Parce que j'aime ça, lui donner du plaisir, à Benoit.

Je n'ai pas besoin de jeter un œil sur ma main qui va et qui vient. Ce qui m'intéresse, c'est de voir comment Benoit y réagit. Je le regarde. Je lui souris. Je lui parle. Je minaude. Je suis un feu follet et je ne compte pas m'arrêter là. Pas avant qu'il n'ait joui...

 

 

Mes yeux sont plongés dans ceux de Benoit et y restent rivés. Je tiens à ça. Tout comme je ne perds pas une miette du plaisir que Benoit a lorsque je le masturbe, je veux en retour qu'il voit que je prends du plaisir à le lui en donner. Ça me tient à cœur. Je veux qu'il voit que j'ai le sourire aux lèvres. Je veux qu'il voit que mes yeux brillent. Je me penche encore un peu plus. Je me cambre et je sais qu'il aime quand je fais ça, mon homme. Mes petits seins ont les tétons durs parce que je suis excitée. Mes tétons pointent. Sans même regarder, je sais qu'ils dardent sous le tissu de la nuisette vaporeuse ultra courte que je porte. Je les aime, mes petits seins. Ils sont en forme de poire et je les trouve mignons. Je sais qu'ils fascinent Benoit. Il me l'a même déjà dit: il a un faible pour eux. Du coup, j'en joue, de cet aveu. Je dois dire que ça me plaît. Je l'avoue. Je reste la Candice que je suis dans l'intimité d'une chambre. Ça me plaît d'exalter la sensualité que j'ai au plus profond de moi. Entendre Benoit geindre de plaisir, ça me fait un je-ne-sais-quoi. Ça m'excite. Les yeux dans les yeux, je lui demande de continuer de se détendre. Les yeux dans les yeux, je lui promets que ce sera... bon. Ni une, ni deux, je n'en dis pas plus. Je n'en pense pas moins. Je préfère agir. Les mots, c'est beau. Je préfère les actes et les preuves.

Hormis quelques poils par-ci et par-là, Benoit a le corps épilé. C'est quelque chose que j'apprécie, pour être honnête. Ça excite de déposer des baisers sur ce corps qui me rend curieuse. Ça m'émoustille de couvrir de coups de langue ce corps dont j'aime sentir le poids sur moi, ce corps où j'aime poser les mains lorsque je suis à califourchon sur Benoit. Être sensuelle, ça me plaît particulièrement. Me faire belle, j'aime y prendre du temps. Rester la muse de Benoit, je me donne les moyens pour l'être et pour le rester. Je souris à la glace et je prends des poses. Je dis des mots doux à Benoit et je le caresse. Je crève d'envie d'aller plus loin encore...

Je ne veux pas me défaire de l'accès de sensualité qui a pris possession de moi. Benoit est beau. Benoit me plaît. Le corps de Benoit est un appel au crime. Le corps de Benoit m'excite. C'est simple et c'est sans appel : je ne maîtrise plus rien lorsqu'il est question de mon mystérieux. Benoit est mon homme. Et ce matin, j'ai envie de faire l'amour avec lui. Je ne pense à rien d'autre. Je ne pense qu'à Benoit, quand il m'embrasse. Je ne pense qu'à Benoit, quand il porte et quand il pose ses mains sur moi. Je ne pense qu'à Benoit, quand sa tête est entre mes jambes pour m'offrir l'un de ces cunnis dont il a le secret et dont je raffole.

 

 

Ma bouche se pose sur le bas-ventre de cet homme que j'aime. Bien que je n'ai ni piercing ni tatouage sur mon corps, Benoit est tatoué en moi. 

Mes lèvres déposent des baisers, légers comme des plumes. Je veille à ce qu'ils soient doux. Je sais qu'il aime quand je fais ça. En ce qui me concerne, j'ai le cœur qui bat la chamade. J'ai chaud et je me mets même à transpirer, à vrai dire. Ce qui m'importe, c'est Benoit et c'est le plaisir que je peux lui donner. Quand je parle, quand je respire, je veux que Benoit m'entende. Quand je le touche, quand je le caresse, je veux que Benoit me sente. J'aiguise sans cesse ma sensualité tout comme je titille et excite Benoit, dans le même temps. Je ne cache pas que j'ai du plaisir à le faire. Ça me plaît. Ça m'excite.

 

 

Je fais la belle. Je fais l'amour. Je continue d'embrasser Benoit, là où mes lèvres sont en mesure d'atteindre sa peau. Dans le même temps, je reste attentive à sa façon de respirer, à sa manière d'exprimer le plaisir qu'il peut avoir. Ça me met en émoi. Mon esprit est en ébullition. Je ne sais pas où donner de la tête. Par contre, ce que je sais, c'est que je ne pense qu'au plaisir de Benoit. Plus mes lèvres se rapprochent du membre de mon amoureux, plus l'eau me vient à la bouche. Je le vois, ce pénis raide car il est gorgé de sang. Je le vois, ce pénis dur car c'est moi qui fais que Benoit est dans cet état. Son pubis est doux car il est rasé. J'aime y poser mes lèvres. Benoit est dans ma ligne de mire. Je suis sur le point de passer à la vitesse supérieure...

 

 

 

Me voilà en train de déposer des petits baisers mouillés sur le sexe de Benoit. Ça me plaît. Du coup, je suis concentrée sur ce que je fais. Je me focalise sur le bien que ça procure à mon mystérieux. Ça m'excite de voir que plus je m'occupe de lui, plus son érection reste raide. L'eau me vient à la bouche de plus belle. J'ai conscience que Benoit a les yeux braqués sur moi. Ça me fait de l'effet.

 

 

Je continue ce que j'ai commencé. À vrai dire, ce matin, plus le temps passe, plus les idées se succèdent et se multiplient dans ma tête. Mon esprit est inspiré et c'est délicieux. J'aime être dans cet état d'esprit. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, je me sens sexy. Au plus profond de moi, quand c'est comme ça, un accès de sensualité s'empare de moi et je me sens prête à réaliser mes désirs du moment, alors.

 

 

Un râle de plaisir s'échappe des lèvres de Benoit. Il y a un lien de cause à effet à ça. Ma bouche coulisse le long du sexe bien membré de cet homme que j'aime. Je vais et je viens, plutôt lentement. Je préfère que Benoit sente l'étreinte de mes lèvres qui prennent son pénis en étau.

J'ignore quelle mouche m'a piquée, ce matin. Ce que je sais, c'est que quand je suis amoureuse, que quand j'ai un homme dans la peau, j'aime faire plaisir à cet homme. Ce que je suis en train d'offrir à Benoit, c'est ce que j'ai de plus beau et de plus fort. Mon amour.

 

 

 

Benoit se laisse aller. Benoit est beau. Je l'entends. Je le vois. Il faut que je continue. Je suis sur la bonne voie.

Benoit n'a pas idée de ce qu'il se passe dans ma tête. À l'instant-t, il ne sait pas à quel point je me sens sexy alors que sa queue va et vient dans ma bouche. Donner du plaisir, c'est quelque chose qui me plaît. Lorsque j'entre dans l'antre intime, plus rien n'a d'importance. Seul le plaisir l'a, cette importance. Que je sois vêtue, que je sois nue, je me concentre sur le plaisir. Que je le donne, que je le prenne, je suis toujours partante pour le partager.

 

 

 

Ce ne sont plus des râles et des soupirs qui me parviennent aux oreilles. Benoit a baissé sa garde. Les coups de langue que je porte à son anus le font gémir. C'est beau, un homme qui est nu et qui exprime son plaisir. C'est beau, un homme qui se laisse toucher et qui exprime ce qu'il ressent. J'écoute mon cœur, j'écoute mon corps. J'exalte ma sensualité, je la mets au service aussi bien du plaisir que de l'amour. J'aime Benoit. Je continue d'avoir envie de lui.

C'est moi qui lui fais l'amour. J'aime prendre les devants. Je me souviens du temps où l'on se parlait sur le site d'écriture érotique. On prenait du plaisir à apprendre à nous connaître. C'était avec le même plaisir que l'on flirtait. Ainsi, ça n'a pas été plus mal que notre relation naisse de cette manière. Petite touche par petite touche, notre imagination nous a permis d'aiguiser une sensualité qui nous est propre et qui ne cesse de se développer. Au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas le souvenir d'avoir autant été audacieuse qu'avec Benoit. Plus le temps avance, plus j'aime être avec lui. Il met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie. Je ne peux pas me passer de lui, c'est aussi simple que ça. Je laisse s'échapper un soupir. La voix de Benoit me ramène à la réalité. Je me redresse. Je le regarde. Je lui souris. Je lui dis que ce ne peut pas être meilleur, ce moment câlin qu'on partage ce matin.

 

 

 

Je m'allonge sur Benoit. J'ai envie de coller mon corps contre le sien pour qu'il en sente le poids. Vu que je sais qu'il aime se rappeler de la sensation de mes formes et de mes courbes, je ne me fais pas prier pour le faire. Je saute sur l'occasion.

Je ne tiens pas en place. Je suis excitée comme une puce. Je ne veux pas que cet état d'euphorie disparaisse. Ce qu'on vit ce matin, c'est le genre de matin que j'aime. Je suis allongée sur l'homme que j'aime et je laisse mon amour s'exprimer comme bon me semble. J'espère bien qu'il y aura pleins d'autres matins comme celui-ci. J'en fais le serment.

Avec la sensualité que je suis capable de faire ressortir lorsque je suis bien avec un mec ou une nana, j'approche lentement mon visage de celui de Benoit. Mes lèvres se rapprochent petit à petit des siennes. Je prononce son prénom. Je lui demande de fermer les yeux. Je lui demande de ne penser à rien. Il ne répond pas. Je me focalise sur ce que je suis en mesure d'entendre. En étant on-ne-peut-plus attentive, la respiration de Benoit est audible. Je jette un œil sur mon amoureux. Là. C'est bien. Il est paisible. C'est un peu comme s'il s'était rendormi. Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Là. Nos lèvres se retrouvent. Je ferme les yeux, à mon tour. Je donne tout, dans ce baiser. Je me donne à Benoit. Je m'abandonne...

 

 

Nous avons tous les deux les yeux fermés. Nos lèvres restent collées, unies. On n'entend plus un mot dans la chambre. Seuls nos souffles se font entendre. Ce câlin nous plaît, si je m'en reporté aux soupirs qui me parviennent aux oreilles.

Je ne m'en réfère pas qu'à l'ouïe. J'aime la sensation de nos peaux qui se touchent. Nos corps se découvrent et se redécouvrent, ainsi. Je sens que mon corps se couvre de chair de poule lorsque Benoit pose ses deux mains sur moi. Ses mains, elles parcourent mon corps. Benoit me caresse. Ça me fait frissonner.

Une nouvelle fois, je laisse s'échapper un soupir. C'est agréable, comme sensation. Quand Benoit me touche, c'est la seule chose qui compte pour moi. J'aime l'idée que mon corps lui plaise et le rende fou. Elles me font ronronner de plaisir, ces mains qui sont douces et qui me réchauffent. Pour rien au monde je ne veux que l'on mette un terme à ce câlin. Je soupire. Je ne peux pas m'en empêcher. Je dis à Benoit que ça me plaît bien, ces câlins.

Benoit remue les lèvres. Il me demande de rouvrir les yeux. C'est ce que je fais. La première chose que je vois, c'est Benoit qui me sourit. Il est beau. Ça m'attendrit. Ça s'appelle l'amour, ce que je ressens. Je dis à Benoit que je l'aime. Benoit me dit qu'il m'aime. 

 

Nous sommes bien, dans ce lit, ce matin.

 

C'est beau, l'amour...

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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (1ère partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Benoit dort paisiblement. Il a les yeux fermés et son sommeil a l'air profond. Il est dans les bras de Morphée. Je souris. Je sens une montée de chaleur en moi. Benoit est-il en train de faire de beaux rêves ? Y suis-je, moi, sa chère lectrice rousse aux petits seins, dans ces beaux rêves ? Ça ne m'étonnerait pas d'y être. Que se passe t-il, dans ces rêves ? Y sommes-nous chastes? Ou bien y sommes-nous au contraire coquins? La chaleur en moi ne se dissipe pas. J'ai même de plus en plus chaud, en fait...

Quand je le vois comme ça, Benoit, j'ai le cœur qui fait boum boum dans ma poitrine. Je suis heureuse car je suis amoureuse. J'ai le sourire aux lèvres car Benoit m'aime. Je dirais même plus : il me désire toujours autant et je ressens toujours le même plaisir lorsque son regard se pose sur moi.

 

 

Vêtue seulement d'une nuisette vaporeuse courte rose et noire que j'affectionne particulièrement, avec des froufrous bien évidemment, je me sens sexy. J'aime beaucoup la porter car je trouve qu'elle met en valeur le décolleté de mes petits seins. Le décolleté est en V et elle est attachée dans le dos par un noeud qui est élégant. Une féline sommeille en moi et ronge son frein. Il me tarde de voir les beaux yeux noisettes de Benoit s'ouvrir. Il me tarde de voir sa réaction quand il découvrira ma lingerie.

Sans faire de bruit, je me rends dans la cuisine pour boire un verre d'eau. J'ai soif. Il est vrai que nous nous sommes encore beaucoup donnés au lit, cette nuit. Nous ne sommes jamais rassasiés de sexe, Benoit et moi. Et il ne cesse pas de m'offrir de beaux orgasmes, qui plus est. J'espère qu'il continuera de m'en donner. Sur cette pensée coquine, je décide de revenir dans notre chambre.

 

 

Quand je rentre dans la chambre, j'ai l'agréable surprise de retrouver Benoit, les yeux ouverts. Il a dû se réveiller lorsque je suis allée boire le verre d'eau. Il est étendu sur le dos et il me sourit. La couette blanche du lit recouvre son corps. Elle est froissée et c'est dû au sport en chambre que nous avons pratiqué, cette nuit. Il est beau et je craque pour lui. Je fonds dès que je le vois. Quand je lui disais qu'il met du sucre et du chocolat comme du sel et du poivre dans ma vie... C'est lui qui fait battre mon cœur. C'est lui que je désire. Et j'ai encore envie de lui, ce matin.

 

 

Un accès de sensualité s'empare de moi. Je ne veux pas lutter contre mes désirs. Le corps de Benoit est un appel au crime. C'est un plaisir pour moi de le redécouvrir à chaque fois, quand Benoit est légèrement habillé ou bien même lorsqu'il est nu. J'ai chaud, j'ai l'eau à la bouche et j'ai le cœur qui bat fort lorsque mon chéri est dans le plus simple appareil. Et là, je sais qu'il est à poil, sous la couette. Je brûle d'envie de couvrir son corps de tendres bisous. Je crève d'envie de le rejoindre pour qu'il m'accueille dans ses bras protecteurs. Je meurs d'envie que l'on se fasse de tendres câlins qui vont nous ouvrir l'appétit pour que l'on fasse ensuite l'amour. J'ai si chaud et je sens que je suis toute mouillée.

Mon esprit se remplit de pensées libidineuses. Je ferme un instant les yeux et je me concentre sur les visions coquines qui me viennent. Il y a tant de possibilités et, par conséquent, j'ai l'embarras du choix. Je me mords la lèvre et je pose mes mains sur mon corps. Je l'aime, mon corps, et c'est un plaisir pour moi de le couvrir de lingerie. C'est un plaisir pour moi de le toucher. Sous les yeux de Benoit, je me caresse. L'accès de sensualité qui s'est emparé de moi me fait me sentir sexy. Pourvu que Benoit saisisse la balle au bond... Pourvu que ça lui ouvre l'appétit... et que ça lui donne envie de me faire l'amour comme il ne me l'a jamais fait... Sur ça, je continue de me toucher.

 

 

Quand je prends une douche ou bien un bain, je pense à Benoit et je m'imagine que ce sont ses mains qui sont posées sur mon corps mouillé, que c'est lui qui me lave. Quand je me brosse les dents ou bien quand je contemple mon reflet dans la glace de la salle de bain, je me dis qu'il est à mes côtés et que c'est à lui que j'adresse un sourire. Quand je m'habille et quand je choisis la lingerie que je vais porter, je vois Benoit qui me regarde et qui me fait un compliment qui va me droit au cœur. Il n'y a que lui. Chaque jour depuis notre rencontre sur le site d'écriture érotique, j'aiguise une sensualité propre à Benoit. Ça me plaît.

 

 

Je laisse à Benoit le temps de se réveiller. Ma voix est douce. C'est comme une plume qui le caresse. Je minaude. Mes yeux pétillent. Oui. Ce doit être un beau réveil.

Je me retiens de fondre sur Benoit. Je me retiens même carrément de me jeter sur lui. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui me manque. Je suis bien, on-ne-peut-mieux. Je vois ses yeux sur moi. Ils ne me quittent pas, ses yeux. C'est MOI, pas une autre mais MOI. C'est plus fort que moi, alors. Je me rapproche du lit et moi aussi, je ne le quitte pas des yeux, Benoit. Ma coiffure et mes yeux... Mon sourire et mon attitude... Ma lingerie et mes charmes... Je veux que ce soit tout pour lui, rien que pour lui, ce matin. Je m'apprête à rendre son réveil encore meilleur...

Le temps d'un instant, je fais un voyage dans le temps et les souvenirs me donnent encore un peu plus le sourire aux lèvres. Notre rencontre sur le site... Notre rencontre en vrai... Les différents rendez-vous, les différentes fois où nous avons fait l'amour... Quand j'ai fait l'amour avec Léonie, la jolie serveuse... Les deux blacks avec qui j'ai couché au club libertin où nous sommes allés...

Oui. Tout ça, je le garde bien au chaud. Car ça fait partie de moi. Ça fait partie de nous et ça me rend toute chaude. Depuis ma rencontre avec Benoit, j'exhalte ma sensualité et la voilà exacerbée. Je veux que Benoit ne cesse plus jamais de me désirer. 

C'est alors que Benoit joue le jeu. Il tapote la couette de notre lit. Je reçois l'invitation cinq sur cinq. C'est une invitation. C'est MOI, et pas une autre que MOI. Puis, il remue un petit peu sous la couette et c'est une fierté pour moi, cette vision qui apparaît. Je vois son érection. Il est dur! C'est pour moi qu'il l'est. Je me sens belle et désirée. L'accès de sensualité s'accentue à l'intérieur de moi. Il n'est pas question que Benoit oublie ce réveil de sitôt.

 

 

Je monte sur le lit et je me mets à quatre pattes. Je fais attention de bien me cambrer de sorte que Benoit ne perde pas une miette de mes formes et de mes courbes. Je rampe ainsi jusqu'à lui telle une féline et je ne le quitte pas des yeux. Je lui souris et je me penche sur lui. Là. Je l'embrasse. Je dépose sur sa bouche des petits baisers, doux comme des plumes. Je prononce son prénom et lui demande s'il a bien dormi. Il me répond qu'il a fait un rêve érotique particulièrement émoustillant... et que j'y étais la protagoniste. Il commence à me le raconter...

J'écoute attentivement Benoit et j'avoue que ça m'excite, ce qu'il me décrit. Je me redresse et glisse une main entre mes jambes. Je me mets à me caresser. Je ferme les yeux et je me concentre. Je suis à la fois à l'écoute du rêve érotique que Benoit a fait cette nuit ET de mon plaisir. Mes lèvres s'entrouvrent, j'halète. Mes doigts coulissent de manière fluide sur ma belle 'petite' chatte car je suis mouillée. Soudain... Volontairement, délibérément, je mets un terme à mes caresses. Je rouvre les yeux. Je regarde Benoit et lui adresse un sourire.

C'est son sexe qui devient le centre de mon attention. Il est raide car gorgé de sang. Délicatement, je le saisis et entame un mouvement de va-et-vient. Mes yeux ne quittent pas Benoit. Je veux voir comment il réagit à ce début de masturbation que je lui fais. Il halète à son tour. Je décalotte son gland. Rose, une petite goutte translucide qui perle à son sommet et qui s'échappe du méat... Je prends confiance en mes caresses. Je continue.

 

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Chère lectrice rousse aux petits seins: trio au club libertin

Publié le par Plaisir d'écrire

Candice... Mon cœur... Mon amour... Mon unique amour... Mon émoustillante... Ma mystérieuse... Ma chère lectrice rousse aux petits seins... Je te vois, tu sais? Tu es épuisée parce que tu t'es dépensée sans compter en compagnie de ces deux beaux gosses blacks. Et tu me vois, n'est-ce pas? Je ne vous quitte pas des yeux, tous les trois. Tu as beau être fatiguée... Tu as beau avoir la chair de poule... Tu as beau être couverte de sueur et de sperme... L'alcôve que ces beaux mecs t'offrent te réchauffe. Tu me regardes, Candice. Tu as beau ne pas remuer les lèvres... Tes yeux me disent tout. Oui. Ils me disent que tu es comblée, satisfaite. Ils me disent que tu es bien en compagnie de ces deux hommes. Et... Ils me disent que tu m'es reconnaissant de t'avoir permise de réaliser l'un de tes fantasmes. Candice... Mon amour... Ton bien-être et ton bonheur sont les deux mamelles de mes priorités lorsqu'il est question de toi. Tu le sais. Je t'aime.

 

Aller dans un club libertin et nous y exhiber... C'est tout nouveau pour nous. Mais tu es aussi libertine et exhibitionniste que moi. Du coup... J'ai pensé que c'était une bonne idée de t'y emmener. Et là... Tu me le confirmes.

 

T'emmener dans un club libertin... T'y exhiber... Quand nous sommes arrivés à l'entrée de l'établissement, tu m'as regardé sans cligner ni ciller des yeux. Ça a été comme si tu voulais savoir. Était-ce vraiment ce que je voulais, moi? Tu as haussé un sourcil. L'instant d'après, tes lèvres ont remué et tu as esquissé certainement ce qui est ton plus beau sourire depuis que l'on se connaît. Je plaide coupable, Candice. Tu m'émoustilles, plus que jamais. Et si je t'ai demandée de te mettre sur ton trente-et-un sexy... Si je nous ai conduits ici, c'était qu'il y avait une raison. Même si tu tu as des doutes quand un contexte inconnu se présente à toi, je sais que tu finis par y être comme un poisson dans l'eau. Comme lors de la fête chez Alessio et Lara, une fois l'inconnue passée et dépassée, tu as su révéler la femme que tu es dans la vie de tous les jours. Tu es une femme pleine d'énergie. Tu es extravertie et tu aimes découvrir de nouvelles choses, de nouvelles personnes. Là, devant l'agent de sécurité, tu as fait semblant de faire la moue. Ne... mens pas, jolie rousse. Tu n'es pas une sainte. Tu n'es pas innocente. Tu peux me dire ce qu'il s'est passé une fois que nous avons franchi les portes du club? Tu peux me le dire? Tu m'as souri et tu m'as pris par la main pour que l'on explore ce club. De ton propre chef, tu t'es mise à l'aise. Tu l'as fait dans le vestiaire qui t'a été attribué. Une fois ressortie de ton vestiaire, tu t'es affichée au grand jour, Candice. Mademoiselle Candice... Si tu savais l'effet que tu m'as fait... À te voir, c'était tout sauf... t'indisposer.

 

Vêtue d'une brassière de coton de fortune et d'un string du même acabit, on aurait dit que tu n'étais pas farouche. Et la suite me l'a, nous l'a confirmé. N'est-ce pas? Tu as fait effet dès que tu es apparue. Comprends-les, Candice. Une belle jeune femme rousse... De jolis petits seins en poires... Des yeux qui transpirent le désir et le sexe... Une émoustillante "petite" chatte qui n'en finit pas, plus d'être remplie. Satisfaite. Comblée.

 

Là, les deux hommes te touchent, te caressent, Candice. Ils te complimentent sur ta beauté. Ils te disent des mots doux. Candice... Tu as les yeux particulièrement brillants. Dilatés. Je suis en retrait. Mais cette fois, j'ai été clairement aux premières loges... et que tu l'as vu. Oui. Je t'ai vue t'abandonner. Je t'ai vue prendre ton pied.

 

Mon amour... Mon unique amour... Candice... Je t'avais demandé de te mettre sur ton trente-et-un. Une fois n'a pas été coutume... Tu as été à l'écoute de ce que je t'ai demandée. Le moins que je puisse dire, ça a été que tu as voulu être la plus émoustillante possible. Comme à ton habitude, j'ai envie de dire. Avant de te mentionner la destination de notre soirée, je me suis connecté à YouTube et j'ai immédiatement choisi LA chanson que je voulais alors que je t'avais demandée d'être la plus belle et la plus sexy possible. "Dopamine" de l'artiste électro allemand Purple Disco Machine. L'hymne de notre histoire d'amour.  Au son des premières notes, tu m'as adressé un regard ému et puis tu m'as souri. Ça voulait dire ce que ça voulait dire, ma jolie rousse. Je suis tombé pour toi instantanément. Patatras. Oui... Candice... Quand tu me regardes comme ça, tu sais l'effet que tu me fais.

Dans les bras de ces beaux mecs, toute contre eux, tu as été bien, Candice. Et je l'ai vu, ça, tu sais? Oui... Tu as été radieuse et tu as exalté ta sensualité comme tu sais le faire, ma jolie. Nue, belle comme une Vénus, avec ton habituel chignon d'où s'échappent quelques mèches sauvages, je comprends aisément comment tu les as fait céder à la tentation. Dès que je les ai vus le regarder et ne plus te quitter des yeux, ça a fait tilt dans ma tête et j'ai réalisé que ça a été TOI qui as capté ton attention. Ça a été TOI avec qui ils voulaient passer... et partager un bon moment. Eux et nous, nous nous sommes souri et nous nous sommes dit bonjour. Nous avons bu un verre tous les quatre. Puis, nous avons pris le chemin du coin câlin du club. Évidemment, les deux hommes n'ont eu d'yeux que pour toi, Candice.

 

Sans avoir besoin de nous parler, nos deux nouveaux complices de jeux ont compris que je t'offrais en cadeau à eux, Candice. Lentement, délicatement, les deux Apollons ont fondu sur toi, ma compagne. Tu m'as regardé. L'instant d'après, tu m'as souri et tu as pris chacun de tes deux nouveaux amants par la main afin de les entraîner vers un matelas confortable du club. Tu as fait mouche, Candice, comme d'habitude. Tes beaux yeux espiègles et ta fine bouche... Tes petits seins en poires et ta jolie chatte flamme... Je comprends qu'ils ne t'ont pas résisté.

 

Entourée dès le départ, prise en sandwich, tu n'as pas boudé ton plaisir, ma belle. Oh... non. Sensuelle et espiègle, oui, tu l'es. Mais vulgaire et racoleuse, non, tu ne l'es pas. Tu as accueilli avec plaisir et avec reconnaissance leurs lèvres et leurs mains sur ton corps tout entier. Moi? J'étais aux premières loges pour regarder... et pour entendre la femme que j'aime prendre son pied. Ça aussi, ça fait partie des priorités que je me fixe lorsque l'on est ensemble, mon amour. J'ai été fasciné par vous trois.

 

Allongée confortablement sur le dos, belle comme une Vénus, une bouche sur ta belle "petite" chatte, une queue entre tes lèvres minces, tu t'es abandonnée au plaisir d'en prendre... et d'en donner, mon amour. Ce que j'ai aimé, perso? Ça a été le fait que nos deux amis t'ont traitée comme une princesse. Des mots doux, de la bienveillance... Des baisers, des caresses... Si j'avais su que ça se passerait ainsi...

 

Candice... Je te l'ai déjà dit, je sais. Mais je veux que tu le saches. Le plaisir te va bien. Il te va aussi bien quand tu en prends... que quand tu en donnes. Quand je te dis que tu es une sauvageonne... Quand je te dis que tu es une jouisseuse... Te voir t'ébattre avec ces deux beautés masculines, voir que tu ne pensais à rien à l'exception de leur plaisir ET du tien... Voir ces deux mâles te caresser, te toucher, t'embrasser... Dès les premiers baisers, dès les premiers attouchements, dès les premières caresses...  Ton plaisir, tu l'as exprimé et pas qu'un peu. Entre tes soupirs et tes gémissements, entre tes yeux dilatés et ton langage corporel... Tu as été expressive et ça, ça a émoustillé nos partenaires de jeux. Petite touche par petite touche, tout ça combiné, ça a attiré l'attention de nos amis libertins présents dans le club. Crescendo, quelques hommes, quelques femmes ainsi que quelques couples se sont approchés de votre trio. J'en ai même entendu quelques-uns commenter vos ébats et s'en extasier.

Candice... Jolie rousse... Tu m'as converti à ce jeu de la séduction auquel nous aimons nous adonner d'ordinaire. Mon émoustillante coquine... Fuis-moi et je te suivrai. Séduis-moi et je te rendrai la pareille. Comprends-moi, mon amour. Y'a plus moyen de te résister quand tes charmes exaltent ta sensualité... et quand ils exaltent celle de tes amants et amantes. Candice... Tu détournes le monde de son droit chemin. Car quand tu déploies ce qui fait ta beauté au grand jour, c'en est fait de ceux... et de celles qui y sont sensibles.

 

Tes longs cheveux roux et tes taches de rousseur... Tes yeux espiègles, tes tétons qui ont pointé et ta minette toute mouillée... Les mains et les bouches des deux mecs... Poupée de chiffon prisonnière de leurs corps? Oui, mon amour. Mais quand je t'ai vue... Quand je t'ai écoutée... Leurs langues sur tes tétons, leurs langues sur ta vulve... Dis-moi le contraire, Candice. Dis-le moi. En réalité, tu leur as été offerte... et tu as joui de cette sensation voluptueuse d'être leur petite chose perdue, à ces deux hommes ravissants. Jolie rousse... Entre tes yeux suppliants et ta nudité, dénudée de toute protection capable de cacher à quel point te montrer de la sorte t'excitait... Oui, Candice. Tu n'étais plus qu'une petite chose perdue.

 

Je n'ai aucune idée de ce qui te passait par la tête, mon cœur. Ce que je peux te dire, c'est que j'ai essayé de m'en faire ma propre idée. Pour être en mesure de me faire une idée de ton excitation, des sensations qui se sont emparées de toi et du plaisir qui t'a pris au corps, je me suis fié aux cinq sens. Bien évidemment, TE VOIR t'abandonner aux côtés de tes amants, ça m'a fait quelque chose. Ça a dopé de plus belle le désir que j'ai pour toi. T'ENTENDRE soit soupirer, soit gémir... T'ÉCOUTER supplier tes partenaires pour qu'ils n'arrêtent pas de te prendre... SENTIR l'odeur de vos corps couverts de sueur du fait que vous vous ébattiez.... GOÛTER à ta peau après vos ébats chauds, Candice. TE TOUCHER une fois que nos deux amis nous ont laissés seuls après que vous ayez joui, tous les trois.

 

Protégée dans les bras de tes deux princes charmants d'un soir, cette alcôve d'érotisme et de sexe te rend particulièrement radieuse, mon amoureuse. Que de temps écoulé et que de découvertes émoustillantes depuis notre rencontre. Et ce soir, dans ce club libertin, je réalise que notre rencontre est la plus belle chose qui me soit arrivé. Je t'aime, ma chère lectrice rousse aux petits seins.

 

Nous sommes de nouveau rien que tous les deux. Ton premier réflexe, c'est de me tendre tes bras et de m'attirer contre toi. Ton corps est chaud et il est humide. Je me serre contre toi. Je t'enlace. Je pose mes mains sur tes formes et sur tes courbes. Je ne peux jamais m'empêcher de m'en faire une piqûre de rappel. Je te pelote. J'oriente mon visage vers le tien. Je tends mes lèvres vers les tiennes. Ni une, ni deux, je fais main basse sur ta bouche. Je te regarde droit dans les yeux. Nous nous regardons. L'instant d'après, je ferme les yeux et je m'unis à toi dans ce baiser. Nous faisons abstraction désormais soudain du monde qui nous entoure.

 

- Je t'aime, Candice.

- Je t'aime, Benoit.

 

 

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Chère lectrice rousse aux petits seins : premiers ébats lesbiens (2ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mon amour... Elle te plaît, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds. Léonie...
Mes mains étaient posées sur la chute de tes reins. Tu as poussé un gémissement on-ne-peut-plus éloquent.
 
- Benoit...
- Candice...
- Je... J'ai...
- Tu as envie de Léonie, jolie rousse. Je le sais. Je t'ai regardée, tu sais? Elle te plaît...
 
Mes paroles... Elles ont mis de l'huile sur le feu, mon coeur. Je le sais. Tu n'avais besoin que de ça pour oser, Candice. Je te serrais contre moi. Je faisais en sorte que mes mains soient douces au contact de ta peau. Je voulais que tu sois toute détendue. J'avais envie que tu te laisses aller à tes instincts sensuels, ma belle Candice.
 
- Benoit...
 
Ta voix... C'était comme si c'était une plainte qui émanait de tes cordes vocales. C'était comme si tu me... suppliais.
 
- Benoit... Quand tu me prends dans tes bras... Comme ça... Je ne réponds plus de rien.
 
Je t'ai fait pivoter, faire volte-face, Candice. J'ai voulu que l'on se regarde dans le blanc des yeux. J'ai voulu voir de tes propres yeux ce qu'il se passait dans ton corps et dans ton esprit.
 
- Benoit... Je... Tu sais que je t'ai dans la peau. Mais là...
- Candice... Tu es en train de dire oui au plaisir. C'est Léonie qui te fais ce quelque chose, n'est-ce pas?
- Benoit... Tu sais que je te suis fidèle. Mais là... J'ai jamais ressenti ça. Cette fille-là, Léonie... J'ai des papillons dans le ventre. J'ai jamais ressenti ça pour une fille.
- Chuuuut... Chut, chut, chut, Candice. C'est pas un crime, tu sais? Tu fais rien de mal. Tu sais ce que je pense...
- Mais toi? Et toi, Benoit?
- Chuuuuut, Candice. Elle te plaît, Léonie. Les papillons dans ton ventre... Tu dois avoir aussi les seins qui gonflent, les tétons qui sont tout durs et qui pointent, le sexe qui mouille... Tu ne fais rien de mal, tu sais, mon amour?!
- Benoit... J'ai envie de Léonie. Aide-moi. S'il te plaît.
 
Cette fois, c'étaient tes célèbres yeux suppliants que tu braquais sur moi. Il n'y avait aucune équivoque dans ce regard.
 
- Candice... Je t'aime. Et ce que tu veux, je te le donnerai.
- C'est de Léonie dont j'ai envie, mon mystérieux.
 
Là. Tu ne pouvais pas être plus claire, Candice. Tu venais d'exprimer au grand jour ton envie la moins réprimable. Tu voulais coucher avec la jolie serveuse. Et tu voulais que je sois à tes côtés pour que tu parviennes à tes fins. Je te regardais dans le blanc des yeux. Je ne te lâchais pas, plus d'une semelle désormais. Je savais ce dont tu avais envie, mon coeur. Et je voulais ce que tu voulais, ma jolie rousse. Et vu que j'ai pu avoir une certaine intimité par le passé avec Léonie... Ce serait peut-être plus... facile d'envisager un rapprochement entre elle et toi. Tu ne quittais pas la jolie blonde des yeux. Moi? J'étais... Je me collais à toi. Je te faisais savoir... Je te faisais comprendre que tu m'émoustillais. Je te souriais, mon coeur. Et toi, tu me souriais. Je voyais tes dents blanches.
 
- Mon amour... Mon mystérieux... Mon... Benoit...
- Ton... Benoit. Rien qu'à toi, Candice.
 
Nous étions dans les bras l'un de l'autre et nous nous faisions face. Nous étions bien ainsi. Nos visages se sont rapprochés et nous avons échangé un tout petit baiser où nos lèvres se sont touchées avant de se séparer. Nous nous sommes alors regardés et nous nous sommes souris. Tes yeux pétillaient tellement, ma belle. Ça me faisait particulièrement plaisir, chaud au coeur de te voir heureuse comme ça. Et quand je t'ai vu ainsi, souriante comme jamais, j'ai eu plus que tout envie de t'aider dans tes desseins: plaire à Léonie, la séduire. Faire l'amour avec elle.
 
Pour cela, je t'ai pris par la main et nous nous sommes rendus sur la piste de danse improvisée, Candice. Tu n'as pas cherché à comprendre.
Tu savais pourquoi. Tu m'as adressé un sourire qui m'a fait fondre. Tu avais compris. Nous nous sommes rapprochés de Léonie qui dansait, elle aussi. J'ai posé mes mains sur le bas de tes reins. Toi, tu as réagi instantanément à mon invitation et tu as passé tes bras autour de mon cou. Là. C'était on-ne-peut-plus clair, Candice. La situation nous excitait, autant à toi qu'à moi. Car on savait pourquoi on se comportait comme ça. Léonie a reçu le message cinq sur cinq. C'était clair comme de l'eau pour elle. Elle nous a souris. Qu'est-ce qu'elle était bellotte... Un ange. Un... ange? Une belle démone, une jolie diablesse, plutôt.
Et comme par magie, la... magie est née entre vous deux. Sur de la musique rythmée, entraînante, du reggaeton ou de la bachata, vous vous êtes trémoussées. Ça a été Léonie qui a initié le mouvement et toi, ça t'a émoustillée, Candice. Ça t'a fait quelque chose, ça a produit un effet sur toi. Car à ton tour, tu t'es mise à te déhancher sur la piste de danse. Et non seulement voir la jolie blonde être déchaînée a titillé ta curiosité, mais dans un accès d'audace, tu t'es rapprochée d'elle. J'étais soudain en retrait. Je te regardais. Léonie a gloussé. Puis elle t'a adressée un sourire radieux. Elle s'est collée contre toi et vous avez commencé à danser toutes les deux ensemble.
 
C'est fou à quel point deux femmes sont belles lorsqu'elles font l'amour ensemble. Moi, c'est ce que je me suis dit et pour être honnête... je continue de le penser alors que vous calmez enfin vos ardeurs. Vous êtes dans les bras l'une de l'autre. Vos lèvres se touchent et puis se quittent. Vous vous contentez de petits smacks. Ça vous plaît. Vous vous regardez dans les yeux. Vous vous dites des mots doux susurrés, presque murmurés, pratiquement inaudibles. C'est intime, ce que vous êtes en train de vivre. Ça doit rester entre les quatre murs de cette chambre.
J'ai tout vu, Candice. Je n'en ai pas perdu une miette. Et même si je me suis fait voyeur, c'est ton jardin secret. Léonie a été la fille parfaite pour ta première fois entre nanas. Je le savais. Tu le sais, à présent. Moi aussi, j'ai fait l'amour avec elle. Elle est douce. Elle est sexy. Elle a cette sensualité et cette ouverture d'esprit qui sont naturelles et qui sont innées chez elle. Et là, ce qu'il m'importe plus que tout, c'est le fait de te voir sourire, d'avoir les yeux pétillants et dilatés. Tu es toi-même. Tu es heureuse. Je ne suis pas à tes côtés. Soit. C'est tout comme. Je partage ton sourire, ton bonheur, ma jolie. Ton bien-être, ton épanouissement. Je les vois de mes propres yeux. Ce n'est pas moi qui le vis, qui les ressens. Je les vis par procuration, à distance. Le plus important, c'est que tu te laisses aller, jolie rousse. Déploie tes ailes. Tu as pu le voir... Léonie t'y aide. Là. Lâche du lest. Mon coeur... Je te vois. Je suis ému. Mon coeur bat la chamade. Pour... toi.
 
De fil en aiguille, les événements se sont précipités. Léonie et toi, vous avez eu une alchimie qui vous a connectées. Je réalise. Toutes les deux, vous êtes jolies et vous aimez vous faire coquettes. Toutes les deux, vous cachez ce côté libidineux en vous comme un trésor qui ne doit pas être souillé. Mais quand vous êtes à l'aise, en intimité, en toute sécurité, vous êtes... vous-mêmes. Et tout ce que j'ai pu voir... Ça me l'a confirmé. Léonie, toi... Ça a été comme si le monde autour de vous n'existait plus. J'ai été subjugué par la beauté de cette chorégraphie que vous avez interprétée ensemble sur la piste de danse.
 
Cette chorégraphie... Elle a pris une tout autre tournure, une tout autre ampleur lorsque vous vous êtes isolées dans cette chambre. A un moment donné, je suis allé fumer une cigarette avec des amis, des potes, des connaissances. Quand je suis revenu, tu n'étais plus dans le salon transformé en dancefloor. Je t'ai cherché dans l'appartement, Candice. Je ne te trouvais plus. Et puis... Je t'ai... Je VOUS ai entendues, Léonie et toi. Vous riiez. Vous minaudiez. Ça a titillé ma curiosité.
Je me suis rapproché de la chambre. La porte n'était pas complètement fermée. Un oubli de votre part? Quoi qu'il en était, je me suis fait discret et j'ai légèrement entrouvert la porte...
 
Ce que j'ai vu, au-delà du fait que ça m'a... excité, ça m'a apporté le sourire aux lèvres. Tu riais, tu badinais avec Léonie, Candice. Tu me faisais fondre. Ce n'était pas me tromper, ce qu'il était en train de se passer. Ce n'était pas du tout ça. Tu étais bien en compagnie de cette jolie blonde et tu te laissais aller. Tu laissais tes désirs et tes fantasmes te guider, mon amour. Tu te laissais guider tout aussi bien par cette jolie nana. Plus rien n'avait d'importance. Candice... Tu ne maîtrisais plus rien. C'était le désir qui te prenait au corps, qui prenait possession de toi. Pour la première fois, tu as osé porter tes mains sur le corps d'une femme. Et dans le même temps, tu t'es laissée faire, jolie rousse. Et ça t'a plu, je me trompe? Tu n'y as pas résisté, à ces contacts. C'en était fait de toi...
 
Elles sont belles, deux femmes qui ont le sourire ET qui se sourient parce qu'elles aiment passer du temps ensemble. Elles sont belles, deux femmes qui font l'amour ensemble.
Ces deux femmes, ce sont Léonie et toi. Qu'est-ce que vous l'avez été, belles, toutes les deux, Candice. Tu as appréhendé la suite des événements. C'est normal. Après tout, ça a été la première fois que tu as flirté avec une fille, mon coeur. Je les ai vus, tes yeux, tu sais? Tu as regardé Léonie. Tu cherchais à être rassurée, à être mise en confiance, ma jolie rousse. Léonie a été géniale dans sa manière de se comporter. Elle a posé le bout de ses doigts sur ton menton et elle t'a déposé un doux petit baiser sur les lèvres.
 
Vous vous êtes mises à faire plus ample connaissance. Intimement, je veux dire. Candice... Si tu savais comme tu étais belle à ce moment-là... Tu ne t'es plus posée la moindre question. Ta sensualité naturelle et débridée est très vite revenue au galop. Tu t'es mise à écouter ton instinct, à t'y fier. Mon amour...
Vous vous êtes mises à vous intéresser à la poitrine de l'autre et vice-versa. Je connais vos seins, à toutes les deux. Je n'en ai pas perdu une miette. Je ne me lasse jamais d'admirer de beaux seins émoustillants. Tu le sais, ça, jolie rousse. Tu sais qu'ils me plaisent beaucoup, les tiens, Candice. Oui. Je... les... aime.
Les tiens sont petits mais très mignons. Ils sont en forme de poires. Leurs aréoles sont plutôt larges et tes tétons pointent très vite lorsque tu es excitée.
Ceux de Léonie le sont tout autant, beaux. Ils sont un peu plus gros que les tiens, ma jolie rousse. Ils sont ronds. Du fait que Léonie est une adepte du topless à la plage et qu'elle en raffole, la poitrine de la jeune femme est mise en valeur par le soleil. Dorée.
 
- Tu es si jolie, Candice. Benoit a bon goût, décidément.
 
J'ai souri quand j'ai entendu la serveuse de l'Irish dire ça. Ça m'a rappelé cette nuit d'il y a quelques années où nous avons fait l'amour, Léonie et moi.
 
- Toi aussi, tu l'es aussi, si jolie, Léonie. Et nous avons les mêmes goûts en matière d'hommes.
 
Vous vous êtes mises à rire sur ces mots, toutes les deux.  Vous avez continué de vous embrasser, les filles. Vous vous êtes galochées. Vos langues se sont mises à jouer ensemble. Puis, soudainement, Léonie a posé l'une de ses mains sur ton sein gauche.
 
- Qu'est-ce que tu as de beaux seins, Candice!
 
Elle te les a massés délicatement, tes seins, mon amour. Je la connais, la serveuse. Oh... oui.
C'est fou à quel point elle est douce et sensuelle, dans l'intimité.
 
- Les tiens le sont tout autant, tu sais, Léonie!
 
Oh... oui. Je confirme. Ils sont ronds. Ni trop petits, ni trop gros. Mais ce qui m'a frappé aux yeux, ça a été la façon dont tu t'es exprimée, Candice. Ça voulait dire ce que ça voulait dire, princesse. Léonie... te mettait en confiance.
 
Léonie avait la tête collée à ta poitrine et elle s'occupait de tes deux belles petites poires, Candice. Elle y portait les lèvres. Elle y portait la langue. Je ne voyais que trop bien que tes tétons pointaient, qu'ils étaient tout durs parce que tu étais excitée à l'idée de connaître ta première expérience sensuelle et sexuelle avec une fille, parce que tu avais du plaisir pendant que Léonie s'occupait de toi. Toi? Tu l'encourageais dans ses actes, dans ses gestes, dans ses baisers, dans ses caresses en pressant sa tête contre toi. Et puis ça a été à ton tour de goûter les seins de Léonie, mon amour. C'était quelque chose dont tu avais de plus en plus envie, qui t'attirait inexorablement. Bon d'accord... Il est difficile de résister à Léonie. Je plussoie. J'en sais quelque chose. Tu t'en es délectée, à ce que j'ai pu voir. Ses seins sont ronds, un peu plus gros que les tiens, en forme de pommes. Tu avais les yeux fermés. Tu leur as donnés des baisers et des coups de langue, à ses seins. Je vous ai vues. Et j'ai entendu Léonie...
 
Vous avez prolongé votre quart d'heure de baisers et de caresses. Je vous ai vus. Vous aviez les yeux fermés, toutes les deux. C'est fou comment l'attirance entre deux femmes les rend magnifiques. Surtout quand elles sont jolies comme Léonie et toi. Vous voir vous toucher, l'une, l'autre, ça m'a émoustillé. J'ai donc voulu vous laisser dans votre bulle de bonheur et de sensualité, de bien-être et de volupté. Je n'en ai pas pensé moins. Non...
 
- Candice... T'es toute jolie. J'ai envie de toi. Tellement envie de toi.
 
J'ai entendu Léonie. Elle avait ce grain de voix enjoué qui lui est propre. C'est quelque chose que j'aime quand je vais boire un verre à l'Irish. Tu le sais, désormais, bébé.
 
- Moi aussi, j'ai envie de toi. Tellement envie de toi, Léonie. Mais j'ai jamais fait ça avec une fille. Je sais pas si...
 
Candice... J'ai tout de suite capté ton grain de voix sensuel, aguicheur. Et pourtant... Je le savais. Avant Léonie, et malgré ton ouverture d'esprit sur la sensualité et la sexualité, les plaisirs saphiques étaient une parfaite inconnue pour toi. Mais... Rappelle-moi. Léonie t'a rassurée.
 
Léonie a mis fin aux quelques doutes que tu as pu avoir, princesse.
 
- T'inquiètes pas, Candice. Je vais te guider. Je suis sûre que tu vas me donner du plaisir.
 
J'étais voyeur. Je vous ai observées. Vous vous compreniez de plus en plus. De là où j'étais, mes yeux, mon nez, mes mains, mes oreilles, ma bouche m'ont permis de comprendre qu'il y avait une alchimie entre vous deux, que vous vous trouviez des atomes crochus. Que vous deveniez complices. Vous badiniez. Vous jouiez ensemble. J'en avais le sourire aux lèvres. Parce que vous voir comme ça...
 
Ça a été ainsi que Léonie t'a fait t'allonger sur le dos. À compter de ce moment où tu t'es retrouvée allongée sur ce lit, Candice, tu as pu sentir la bouche de la barmaid sexy sur la peau de ton corps. J'étais voyeur. Je vous observais. Léonie savait se montrer douce, sensuelle dans l'intimité. Elle te donnait des baisers et tu aimais ça, jolie rousse. Je t'entendais, tu sais? Tu minaudais et ta voix était pratiquement inaudible. C'était intime. Secret. Ça devait rester entre les murs de cette chambre. Ça ne regardait que Léonie et toi. Ses cheveux soyeux le caressaient tout autant, ton corps. Tu ne pouvais pas être mieux, Candice. Puis, Léonie est descendue plus bas. Tu as poussé un soupir. Tu avais du plaisir.
La bouche de Léonie n'a jamais cessé d'aller toujours plus bas, sur toi, mon amour. Ta gorge... Ton décolleté... Tes deux beaux petits seins en poires... Ton ventre... Ton nombril... Ton pubis flamme... Je l'ai vue marquer un temps d'arrêt à ce moment-là. Elle a fixé tes poils pubiens et elle les a admirés. Puis, son regard est remonté et ses yeux se sont braqués dans les tiens. Elle t'a adressé un sourire radieux, bienveillant. Tu lui as rendu son sourire, Candice. Son attention s'est portée de nouveau sur ton entrejambe. Tes cuisses étaient grandes ouvertes, bien écartées. J'ai vu Léonie fermer les yeux. Je l'ai vue... te lécher.
 
Je t'ai vue te remettre de tes émotions, ma jolie rousse. Tu étais haletante mais dans le même temps, tes yeux étaient brillants. Ils étaient pleins de gratitude, Candice. Car Léonie venait de te faire jouir avec sa bouche. Je l'ai vue te lécher, te donner du plaisir. Elle s'y est prise comme il le fallait avec toi, ma chérie. Et toi... Tu y as succombé à ses baisers, à ses coups de langue. Tu t'es laissée aller et tu as fait confiance à Léonie. Tu as laissé le plaisir prendre possession de toi, monter crescendo en toi. Ce plaisir s'est métamorphosé en orgasme à son paroxysme. Au comble du plaisir, ton corps s'est mis à convulser. Il s'est arqué et tu as poussé un cri de jouissance à réveiller les morts. Léonie est venue t'embrasser. Grâce à ce baiser plein de sensualité et de tendresse, tu as pu goûter à ton plaisir, mon amour. Ça t'a plu. Je l'ai vu.
Suite à ça, cette fois, ça a été à ton tour de t'occuper de la jolie serveuse, de lui donner du plaisir. Tu l'as regardée, Léonie. Tes yeux étaient pleins d'incertitude, Candice. Mais là, et ça a été ce que j'ai apprécié de la part de ta copine de jeux lesbiens coquins... Elle a su te rassurer.
 
- T'inquiètes pas, Candice. Je vais te guider. Oublies pas.
 
Elle t'a souri. Puis, elle t'a adressé un clin d'oeil complice. Qu'est-ce qu'elle était belle... Belle comme toi, tu l'étais. En retour, tu lui as souri. C'était indéniable: elle te plaisait.
Candice... Si tu savais à quel point tu étais tout autant émoustillante, tout aussi... sexy en lécheuse et en bouffeuse de minou. Tu y as pris goût, à ce que j'ai vu. Léonie s'est abandonnée à son tour. Elle avait les yeux fermés. Elle savourait tes coups de langue et tes succions. Il fallait que tu continues...
 
Vous avez continué de vous ébattre, les filles. Qu'est-ce que vous étiez belles, décidément... Et... Qu'est-ce que vous l'êtes en permanence, Léonie comme toi, Candice... Je me serais bien joint à vous. Mais... Vous sembliez particulièrement bien dans votre bulle. Vous vous foutiez complètement du monde qui vous entourait. Ça a été donc pour ça que je vous ai laissées tranquilles, Léonie et toi, ma chérie. Vous avez décidées de vous retrouver tête-bêche, en 69, et vous vous êtes léchées l'une l'autre. Vous continuiez de vous donner du plaisir et vous aimiez ça. Tu étais sur Léonie et tu lui broutais son minou tout en lui mettant un doigt dans sa belle petite chatte glabre. Elle, elle a écarté tes fesses. Sa langue est allée et venue de ton vagin à ton anus...
 
Le calme revient après la tempête. Vous vous êtes allongées sur le lit, dans les bras l'une de l'autre. C'est un moment particulier. Un moment doux. Un moment intime. Un moment où vous êtes seules au monde. Vous vous embrassez. Vous riez. Vous vous échangez des regards bienveillants qui en disent long sur la complicité qui est née entre vous, qui en disent long sur la sensualité que vous avez aiguisé ce soir, Léonie et toi, et qui existe toujours entre vous, Candice. Vous êtes belles. À croquer.
Vous êtes épuisées parce que vous avez tant donné, toutes les deux. Il faut vous comprendre. Dès lors que tu as vu Léonie se déhancher comme elle le faisait sur la piste de danse, c'en était fait de toi, Candice. Et... Dès qu'elle t'a vu, Léonie, elle n'a pas résisté à ton charme et à ta beauté naturels. Vous vous êtes attiréees irrémédiablement, inexorablement, l'une et l'autre. Toi, tu t'es laissée attirer par la sensualité et le sex-appeal naturels de la serveuse. Elle, ça a été un plaisir de t'initier.
Vos yeux pétillent parce que vous êtes heureuses. Heureuses d'être ensemble et de partager un moment comme celui-là. Vous vous laissez aller à vous donner de tout petits smacks. Ça vous plaît, à ce que j'entends, à ce que je vois. Vous minaudez. Vous gloussez. Vous vous souriez. Vous faites semblant de vous faire la moue. Ça vous plaît.
Tu as aimé cette première fois, Candice. Je le vois. Je le sais. Mais c'est ton jardin secret. Tu n'es pas censée savoir que je vous ai observées, admirées faire l'amour, Léonie et toi. Tu ne peux pas me rendre plus heureux, tu sais? Et... Tu me rends encore plus fou de toi, ma chère Candice aux petits seins. Oui. Je t'aime, princesse.

 

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Chère lectrice rousse aux petits seins : premiers ébats lesbiens (1ère partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Vous êtes si belles, toutes les deux. Sensuelles. Vous faites la paire. Vous allez bien ensemble, je trouve. Vous vous complétez. Vous vous remettez de vos émotions. Vous retrouvez votre second souffle. Vous vous regardez. Vous vous parlez. Vous vous dites des mots doux, Léonie et toi. Candice... Je te vois, tu sais? Tu es focalisée sur cette jeune serveuse. Tu ne me vois pas, à priori. C'est bien, ainsi. Je veux que tu en profites, que tu n'en perdes pas une miette. Je te regarde. Tu poses tes deux mains sur le corps de ton amante et tu portes tes lèvres sur les siennes. Léonie ferme les yeux et s'abandonne dans votre baiser. De mes propres yeux, j'assiste pour la première fois au spectacle de deux filles qui sont heureuses ensemble et qui ont du plaisir à partager un bon moment, un moment aussi bien excitant que riche en émotions. Je reste spectateur. Voyeur. Car si je pénétrais dans cette chambre, la bulle idyllique dans laquelle vous êtes actuellement toutes les deux s'éclaterait et ce ne serait plus du tout la même chose. Il n'y aurait plus de magie. Quand je te vois telle que tu es, comme là, en compagnie de Léonie, c'est comme ça que j'aime te voir, ma princesse.  Tu es toi-même, à ses côtés. Je fonds.  De te voir aussi heureuse, épanouie... Libidineuse, coquine... Libertine... Je n'ai plus que jamais envie de toi, amour.
Léonie a été la partenaire idéale pour ton initiation aux plaisirs lesbiens, Candice. Si je t'ai laissé en sa compagnie, c'était parce qu'il y avait une raison. Je la connais bien et j'avais confiance en elle en ce qui te concernait, ma belle. Je savais qu'elle serait douce avec toi et qu'elle ferait en sorte que tu gardes un beau souvenir, un souvenir impérissable de ta première fois avec une nana. Je vous regarde, toutes les deux. Je mate le tableau de votre bonheur post-orgasmes.
Tu minaudes et tu portes ton regard dans celui de ta nouvelle copine de jeux. Je les vois, tes yeux. Ils sont brillants. Tu as des étoiles plein les yeux. Tes yeux, ils sont aussi particulièrement dilatés, Candice. Je te connais. Je sais ce que ça signifie. Tu es bien, mon coeur. Au contact de Léonie, tu es en confiance et en sécurité. Cette intimité que vous partagez te plaît. Je ne dis rien. Je me contente d'avoir le sourire aux lèvres. De te savoir heureuse, épanouie... C'est ce qui est le plus important à mes yeux. Vous riez, vous plaisantez. Vous êtes libidineuses, vous vous foutez du monde qui vous entoure. Vous êtes belles.
 
Si j'avais su... Si l'on m'avait dit...D'habitude, tu es pleine de confiance en toi, Candice. Mais là... Et je ne sais pas pourquoi... Tu as eu soudain peur de ne pas te sentir à ta place. Pour la première fois, je t'ai senti... en doute. Je me suis permis de poser mes doigts sur ton menton. Je me suis permis de te le faire relever, mais sans te brusquer. J'ai voulu que tu me regardes droit dans les yeux. Je t'ai souri.
 
- Candice... Hey! N'aies pas peur. Éclates-toi, ce soir.
 
Ta réaction immédiate?  Tu m'as souri. Tes yeux étaient déjà dilatés, Candice. Je savais ce que ça signifiait, princesse. Tu étais en confiance. Avec le temps qui passe, avec ces moments que l'on partage, avec ces ébats qu'on vit, on est plus que jamais corps et âme, l'un et l'autre. Ton bonheur et ton confort, rappelle-toi!  Ce sont les deux mamelles de mes priorités. Mon amour... Dans le reflet du miroir, je t'ai enlacée. Je t'ai embrassée. J'ai voulu que tu maintiennes ce contact visuel avec ton reflet.  Ça t'a... époustouflée.
Tes lèvres étaient entrouvertes. C'était comme si tu étais sur le cul, Candice. Je n'ai pas compris. Pourquoi? Pour... quoi? Toi? Toi, tu manques en fait de confiance en toi? Une autre, une nouvelle facette de toi?? Ce n'était juste... pas possible, ça!
 
- Benoit... Ne te méprends pas. Je suis, je reste la même Candice. Je...
- Candice... Quelque chose ne va pas. Je me trompe?
- Benoit... La fête... Tes amis... Je les connais pas. Moi, ma nature... Comment ils vont.... me regarder...?
- Chuuut... Chut, chut, Candice. Fais pause, s'il te plaît. De une, je ne suis pas seul. Il y a une femme dans ma vie, et ils le savent. Ils ont même hâte de faire ta connaissance, Alessio et sa compagne Lara, si tu veux tout savoir. De deux, c'est mon... NOTRE intimité et ça ne regarde que nous. De trois, tu es MA compagne et il n'y a que TOI. Je suis fier que tu partages ma vie, Candice.
 
Ça allait être la véritable première fois où tu rentrerais dans mon monde. Je t'ai préparée pour, mon amour.
 
De m'entendre dire ces mots-là pour te rassurer... Ça t'a libérée, délivrée, Candice. Ça t'a permis de lâcher du lest. Nous ne nous sommes pas quittés des yeux. Tu étais particulièrement radieuse, avec ton sourire d'un jour optimal. Quand tu es comme ça, enjouée, ça me fait plaisir, mon coeur. Et je vais même aller plus loin, tu veux? Ça me fait fondre. Tu respires la sensualité. Tu es sensualité, mon amour. Est-ce l'un de tes prénoms, par hasard? Si tu m'en donnes l'autorisation, c'est un prénom que j'ai envie de te donner, à l'avenir. Il faut que tu me dises s'il te plaît. S'il te plaît.  Fais-moi tomber à tes pieds. Continues de me faire perdre la tête. Et si je reste dans la chambre après que tu aies pris ta douche, lorsque tu t'habilles, c'est qu'il y a une raison. Je n'en finis plus d'avoir envie de toi, jolie rousse.
 
Pour aller à la fête, oui, nous nous sommes faits beaux. Mais non, ça a été sans chichis que nous nous sommes habillés. Pourtant, je te connais bien au fur et à mesure que le temps défile, Candice. Peu importe le lieu où tu vas, peu importe la météo qu'il fait, tu aimes te faire coquette. Ce soir, ça n'a fait pas exception.
Tu en as essayé, des bas, des sous-vêtements, des soutiens-gorges, des chaussures, des cosmétiques, des coiffures. Je le sais, Candice. Tu aimes être belle. Ni plus, ni moins. C'est ce qui te caractérise. Et moi, c'est ce qu'il me plaît, chez toi. Ça a été un véritable défilé de mode tout à l'heure. Mais c'est fou à quel point je raffole de ces moments quand tu t'exhibes. Quand tu me regardes... Quand tu me souris... Quand tu me parles... Quand tu minaudes... Je ne te quitte pas des yeux, ma belle. Il n'y a que toi. Il n'y a qu'une seule Candice sur Terre. Souris-moi. Parle-moi. Séduis-moi. Fais-moi perdre pied.
C'est comme ça que tu es toi, mon amour. Et si j'ai voulu que tu m'y accompagnes à cette fête, c'était qu'il y avait une raison, Candice. Je savais que tu t'y sentirais bien. J'avais la conviction que mon entourage t'accepterait sans le moindre souci. C'est ce qu'il s'est passé.
Nous venions de finir de nous préparer pour la fête. Je n'ai pas pu m'empêcher de te reluquer, de te déshabiller du regard, ma princesse. Comprends-moi. Tu t'étais mise sur ton trente-et-un, une nouvelle fois. Tu as coiffé tes cheveux dans ce fameux chignon où tu aimes quelques-unes  de tes mèches s'échappent. Tu t'es sobrement maquillée, juste ce qu'il fallait. Tu as jeté ton dévolu sur une robe noire, au dos nu, mais sans qu'elle ne soit vulgaire. Tu étais élégante, vêtue d'elle, et ce avec ton chignon, Candice. Tu portais des talons, pas trop hauts. Tu aimes ça d'ordinaire, les talons.
 
- Benoit... Si tu savais ce que je porte en dessous... ou non...
 
Ta voix... Sensuelle et caressante. Énigmatique et mystérieuse, lorsque tu veux me faire du charme. Quand c'est comme ça, tu titilles ma curiosité, Candice.
Dès lors que tu me parles de la lingerie que tu portes OU que tu vas porter, dès lors que tu me regardes droit dans les yeux et que tu me parles de tes intentions, les dégâts sont perpétrés. Tu le sais, ça. C'est quelque chose... parmi tant d'autres... que j'aime chez toi, ma belle. Et ça fait partie des choses qui font qu'il n'y a que toi, Candice. J'avais hâte d'être à cette fête, de t'avoir à mes côtés, que l'on y soit main dans la main. J'avais hâte que mes amis fassent ta connaissance, qu'ils mettent un visage sur ton prénom, qu'ils mettent un prénom sur ton visage.
Pour aller chez Alessio et Lara, on n'a pas mis longtemps à pied. Rue Félix Adam, c'est à deux pas de chez moi, de ma chère place Dalton où j'habite depuis plus de quatre ans. En cinq minutes, nous y étions arrivés. Place Dalton, rue Thiers puis rue Adam, on s'est tenu par la main, princesse. On s'est souri. On s'est embrassé. Qu'est-ce qu'on était bien... J'ai pressé la main que je tenais. Ta main droite, Candice. Car je savais ce que tu pensais, à l'idée de cette fête, de mon entourage, de mes amis.  Tu avais peur d'être outrageuse, sulfureuse. Ça, ça fait partie de notre intimité. Et sache que tu ne l'es pas, outrageuse et/ou sulfureuse. Sensuelle et coquine, oui. Mais vulgaire, non, pas du tout. Ta sensualité est débridée, mon coeur, et j'aime ça, chez toi. Dans le contexte de la fête chez Alessio et sa compagne Lara, j'étais persuadé, au contraire, que tu y serais la bienvenue. Et... Dis-moi ce qu'il s'est passé, au final, ma chérie? Tu peux me le dire? Tu as été comme un poisson dans l'eau, comme à ton habitude. C'est ce que j'aime aussi, chez toi. Alessio et Lara savaient qu'il y a une femme dans ma vie. Ils ont été enchantés de faire ta connaissance.
 
Ta main dans la mienne, il n'y avait plus de problème. C'est une idée ou bien tu as oublié tes craintes, tes peurs, mon amour? Ça a été l'impression que tu m'as donné.
 
- Benoit! Ça fait plaisir de te voir! Merci! Merci beaucoup d'être venu! Et cette jolie demoiselle n'est nulle autre que Candice, n'est-ce pas?
 
Tu m'as regardé, chérie. Tu as piqué un fard. Tes joues ont rougi. J'ai effectué une pression sur ta main, mon amour. Mes amis n'avaient pas à te faire peur. Et je connais aussi bien Alessio que Lara.  Ils étaient prêts, aussi bien l'un que l'autre, à faire en sorte que tu sois dans les meilleures dispositions.
 
- Alessio, enchanté.
- Candice, enchantée.
- Et je te présente Lara, ma compagne.
- Lara, enchantée.
- Candice, enchantée.
 
Vous vous êtes faites la bise.
 
- Ben' nous a parlé de toi, Candice. Nous avions hâte de te rencontrer, Lara et moi.
 
Lara a confirmé par un sourire qui lui est propre et que je connais: on a été un an dans la même promotion pendant nos études. Tu as de nouveau piqué un fard, princesse. Il ne fallait pas, surtout pas, tu sais. Et ça, Alessio te l'a confirmé.
 
- Candice... Faut pas que tu te sentes comme ça. Comme on t'a dit, c'est un plaisir pour nous de te rencontrer et de t'accueillir. Et on va tout faire pour que tu passes une bonne soirée. N'est-ce pas, Ben'?
 
Alessio m'a adressé un clin d'oeil. Lara, elle, n'a rien dit. Elle ne parle jamais pour ne rien dire. Pourtant, elle souriait. Ça voulait tout dire.
 
- Candice... TU sais peut-être qu'avec Ben', on est amis de longue date. Hein, Ben'!
 
Alessio m'a de nouveau adressé un clin d'oeil et un sourire sans équivoque qui voulait tout dire. J'ai tout de suite pigé: on se connait depuis des années, Alessio, Lara, moi.  Oui... Je sais...
 
- Candice... Tu es la bienvenue. Sache-le.
 
Lara qui parlait et qui te faisait entrer dans notre entourage. J'étais sur le cul. Mais j'en étais fier.
 
J'en ai profité pour... réeffectuer une pression sur ta main. Je voulais te confirmer que ce n'était pas un rêve. Tu m'as regardé. Je t'ai regardé. Tu étais... Ouais. Je t'ai souri. Tu m'as souri.
 
- Mon amour...
- Mon amour...
- Ah mais j'aime ça, quand les amoureux scellent leurs bouches et s'aiment.
 
Candice... Ça n'a fait que confirmer, cette envie de nous exprimer notre amour. De... l'exhiber.
 
Nous avons pris nos aises. Les différentes et les différents invités sont arrivés à la fête au fur et à mesure. Pour la plupart, ce sont des personnes que je connais depuis la fin de mes études universitaires, ici, à Boulogne sur Mer. Sofia, la grecque excentrique aux lunettes... Mehdi, le patron de l'Irish Pub et DJ à ses heures... Julie, la serveuse de La Maison avec qui j'entretiens de bonnes relations depuis que l'on se connaît... Entre autres... Et puis, il y avait ELLE. LÉONIE. LÉ-O-NIE. Mais je reviendrai sur elle en temps voulu si tu le veux, Candice. Là. Le ballet des invitées et des invités, à leur arrivée, continuait. Lara et Alessio nous avaient fortement suggéré de consommer une boisson... et de nous mettre à l'aise. De nous fondre parmi les invités.
 
- Candice... Qu'est-ce qui te fait envie?
- Mon amour... T'es galant. Les hommes galants, ils me font fondre. Tu le sais. Et je suis ta princesse.
- Et donc? Qu'est-ce que tu veux, mon cœur ?
- Hmm... Je crois que... je ne dirai pas non à une flûte de champagne, mon mystérieux.
 
Ça, c'était inévitable. Tu m'as adressé en plein dans la face tes yeux de biche. Je ne parle pas de ces yeux suppliants que tu aimes aussi braquer sur moi lorsque tu as on-ne-peut-plus envie de sexe et de plaisir, Candice. Non. Là, je parle bel et bien de tes yeux de biche, princesse. Et tes fameux yeux de biche, ils n'ont pas séduit que moi, mon amour. Non... Léonie... Toi...
Parmi l'une des invitées, cette jolie jeune femme aux longs cheveux blonds vénitiens. Je la connais, pour ma part, depuis deux, trois ans. Elle a toujours le sourire aux lèvres. Et elle est à la fois l'avenance et la bienveillance mêmes. Chaque fois où je la vois lorsque je me rends au pub où elle est serveuse, elle est systématiquement sur son trente-et-un, sexy dans les tenues qu'elle porte, dans les cosmétiques qu'elle utilise. 
 
- Pourquoi tu souris comme ça en la voyant, cette fille-là?
- C'est Léonie, Candice. Une amie. Elle travaille comme barmaid dans un pub où j'aime aller, ici.
- Elle est jolie, tu trouves pas ? Oh... Minute. Elle et toi, est-ce que vous avez... un jour...?
- Est-ce qu'on a... quoi..., Candice ?
- Est-ce que vous avez... couché ensemble ?
 
Tu me regardes et tu ne me quittes pas des yeux, jolie rousse.
Et puis, tu me souris l'instant d'après.
 
- Tu as couché avec elle, Benoit. Me... mens pas ! 
- Je ne le nie pas, princesse. C'était il y a quelques années. Et ça a eu lieu qu'une seule fois.
- Ah mais je ne dis rien, Benoit ! Elle est jolie, cette nana. Du coup, c'est normal que tu n'aies pas résisté. Je te comprends, mon chéri. 
 
Pour appuyer tes propos, tu m'as adressé un clin d'œil ainsi que l'un de ces sourires ravageurs dont tu as le secret.
 
- Il n'y a plus rien aujourd'hui...
- Chuuuuuttttt, mon amour. Chut, chut. Ça, je le sais. T'es à moi, mystérieux. Et moi aussi, je suis à toi. Je suis ta chère lectrice rousse aux petits seins.
 
Tu t'es abandonné aux côtés de Léonie, dans ses bras, mon amour. Vous êtes belles, tous les deux. Et je plaide coupable, Candice. À travers cet angle de mur, je vous regarde. Je... ne te quitte pas des yeux. 
Tu es apaisée. Tes yeux brillent de mille feux, ma belle. Tu regardes Léonie. Tu lui es reconnaissante. Pour toute réponse, elle pose l'une de ses mains sur ton visage et elle t'embrasse à pleine bouche. Tu ne luttes plus du tout. Tu te donnes à Léonie. Et qu'est-ce que vous êtes bellottes, aussi bien Léonie que toi, ma jolie. Je ne fais rien, je ne bouge pas. Vous êtes dans votre bulle, les filles. Je ne veux pas vous déranger.
 
À un moment donné de la soirée, Léonie, toi et moi, nous nous sommes trouvés proches, tous les trois. La serveuse esquissait quelques pas de danse. Elle était gracieuse dans ses mouvements.  Et elle avait aux lèvres ce fameux sourire qui la caractérise. Toi, ça ne t'a pas échappée, jolie rousse. Et je te voyais, tu sais, Candice ? Oui, je te voyais. Tu ne la quittais pas des yeux, la jeune femme.
'Somebody Else' résonnait à ce moment-là dans la pièce principale de l'appartement de Lara et d'Alessio. C'était une reprise du groupe The 1975, interprétée par le groupe électro-pop écossais Chvrches. 
 
- Bonsoir Benoit, comment tu vas ?
- Je vais bien, Léonie, je te remercie ! Et toi ? Permets-moi de te présenter Candice, ma compagne.
(...)
- Enchantée, Candice ! Ravie de faire ta connaissance ! Moi c'est Léonie.
 
- Enchantée, Léonie ! J'aime beaucoup ce que tu portes, tu sais ? Ça te va bien, je trouve.
- Merci ! J'aime ces tenues légères. Je me sens libre quand elles sont sur moi. Et l'effet qu'elles me font, c'est que je suis libre. 
- Je te comprends. Je ressens la même chose, tu sais ?
 
Vous vous êtes souries, toutes les deux, comme deux complices qui se connaissaient depuis toujours. Je ne sais pas pourquoi, mais... J'avais l'impression que quelque chose se dégageait, déjà. Qu'il était en train de se passer quelque chose de particulier. Et mon intuition ne m'a pas trompé, ma chérie. Ça a été précisément là où c'est né, entre vous deux. La suite me l'a confirmé. Dès le départ, dès la première fois où tu as vu Léonie, c'en était fait de toi, mon coeur. Elle t'intriguait, elle titillait ta curiosité, la jeune serveuse blonde. Et... Elle ne te laissait pas indifférente. Je le devinais, ça. Elle est allée butiner dans l'appartement, de droite à gauche, de gauche à droite, papotant avec les uns, souriant et rigolant avec les autres. Elle qui respire, transpire la joie de vivre, d'habitude... Elle était comme un poisson dans l'eau. Ça, ça ne t'a pas échappée, encore une fois, ma belle. Tu la suivais du regard, peu importe où elle allait. Tu la mangeais des yeux. Ne le nie pas. Car moi, dans le même temps, je te bouffais des yeux. Oui... Ça a été alors que je me suis placé à tes côtés. Je t'ai enlacée par-derrière. Tu as sursauté tant tu n'y attendais pas. Instantanément, presque dans un accès d'audace, j'ai relevé les cheveux qui me barraient l'accès à ta nuque. Je t'y ai déposé un petit baiser, Candice. Tu as émis un long soupir. Ça voulait tout dire.
Ça a été alors que je me suis mis à entrer dans le vif du sujet en te murmurant ces mots osés dans le creux de ton oreille...
 
 

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Chère lectrice rousse aux petits seins : essayages émoustillants

Publié le par Plaisir d'écrire

 
Reprends ton souffle, mon amour. Je les vois, tes yeux, tu sais? Tu es... épuisée. En même temps... Vu l'énergie, l'ardeur que nous avons déployé dans cette cabine d'essayage exiguë...
 
- Achète-les, le porte-jarretelles, le soutien-gorge et la petite culotte en froufrous, jolie rousse.
 
Tu ne dis rien. Tu acquiesces. Pour moi, ça vaut tous les mots du monde. Tes yeux parlent pour toi, Candice. C'est toujours... tou-jours bon de te toucher, de te caresser. De t'embrasser, de te lécher. De te pénétrer, de te donner du plaisir. De te donner ces orgasmes que tu apprécies à chaque fois à leur juste valeur. Nous nous regardons, les yeux dans les yeux. Nos lèvres deviennent muettes. Nous ne faisons que nous observer. Tu veux mon avis, jolie rousse? Ça résume notre couple, ces moments-là. Nous sommes complices dans l'amour et dans le plaisir.
Tu te rapproches tout doucement de moi et tu me regardes. L'expression de tes yeux est intense. Dans le même temps, ils sont brillants, tes yeux. ET... Tu ne serais pas en train de te mordre la lèvre, toi, par hasard? Oh? Oh! Can... dice! C'est dans ces moments-là, à travers des gestes comme ça, que je perds la tête. Ni une, ni deux, tu ne perds pas de temps. Tu m'attrapes par le col de mon blouson noir en cuir. Tu m'attires contre toi. Tu sais ce que tu veux, ma jolie. Et moi, celle que je veux à mes côtés; plus que jamais, c'est toi. TOI. Ma chère lectrice rousse aux petits seins.
 
Ce n'est pas facile tous les jours, tu sais? Me réveiller seul, prendre mon petit-déjeuner sans que tu ne sois là, Candice... Sans ton premier baiser, au petit matin... Rentrer seul dans la baignoire, sans que l'on se lave et que l'on se savonne... Ne pas être aux premières loges et ne pas t'admirer alors que tu es en train de t'habiller... Tout ça, ça me manque, dès que tu repars dans ta ville, là-bas. Tu comprends alors pourquoi j'ai envie de rattraper le temps perdu quand nous nous retrouvons. Et... Mon petit doigt me dit que... c'est la même chose pour toi, jolie rousse.
C'est fou, comment je suis, comment je me sens lorsque je te retrouve, ma chérie. Je me souviens de ce que tu as dit, la fois où nous avons fait l'amour, quand je t'avais bandé les yeux, quand je t'avais... sodomisée. Toi aussi, tu apportes du sel et du poivre, du sucre et du chocolat dans ma vie, Candice.
Laisse-moi te regarder droit dans les yeux, mon amour. Laisse-moi passer l'une de mes mains dans tes beaux et longs cheveux roux, ma princesse. Oui. Tu l'es, ma princesse. Nous sommes dans ce petit magasin de lingerie de ta ville où, d'après ce que j'ai compris, tu as tes habitudes. Oui... Je me remémore notre entrée ici. Les vendeuses, la gérante...  Toutes, elles t'ont souri, dit bonjour... et fait la bise. Tu m'as guidé à l'intérieur. Tu y étais comme un poisson dans l'eau, jolie Candice.
 
Comme toujours, tu es très féminine. Glamour, je dirais même. Je sais que c'est quelque chose qui te tient à cœur et qui te caractérise, ma chérie. Lorsque nous passons du temps ensemble au téléphone, lorsque nous nous échangeons des SMS, tu veilles à rester l'émoustillante Candice que tu es et qui me plaît. Cette... sensuelle rousse aux petits seins qui m'aime et que j'aime. Mon amour... Quand nous nous sommes retrouvés tout à l'heure, ta nouvelle coupe de cheveux me sautait particulièrement aux yeux.
Ma belle... J'ai comme l'impression que tu cherches à chaque fois à être la plus coquette possible. Tes longs cheveux roux sont d'ordinaire frisés. Là, quelle a été ma surprise de te voir, avec ce chignon qui faisait que tu étais particulièrement élégante. Quelques mèches s'échappaient de ce chignon, mais j'aimais l'effet que ça faisait, l'allure que ça te donnait. Que dire de l'éclat de tes yeux...? Que dire de la brillance et du rose de tes lèvres...? Sais-tu que j'aime quand tu te rapproches de moi, quand tu me tends le bout de tes lèvres? Tu me rends fou, Candice.
Quand nous avons échangé le premier baiser de nos retrouvailles, mon odorat a capté instantanément une senteur délicate mais agréable émanant de ton corps. J'ai plongé ma tête dans ton cou et j'ai humé ce parfum.
 
- Benoit... Ça me fait tellement plaisir que tu prennes le temps comme ça de me sentir, de me respirer. J'en... mouille ma petite culotte... en froufrous, déjà. Continue de t'imprégner de moi, comme ça, mon... Mysterious.
 
Je sais que tu aimes te faire toute jolie. Et quand tu te dévoiles, quand tu te mets à nu, quand tu t'exhibes, là, à mon nez et à ma barbe, tu sais que tu vas faire mouche. Tu le sais et surtout... surtout... Tu en joues. Tu n'as aucun doute là-dessus.
 
- Benoit... J'ai besoin, j'aime... me renouveler. Ma lingerie, mes parures... Tu n'y résistes pas. Non. Ne dis rien. Je le vois, je le... sais, tu... sais? J'aime... t'émoustiller, Benoit.
- Ce que t'es sensuelle, Candice.
- Sen... su... elle. J'aime ce mot. Be... noit.
- Can... dice.
 
Nous nous regardons. Nous ne nous lâchons pas des yeux. Toi comme moi, nous savons ce que nous voulons. Oui... Nous avons envie l'un de l'autre.
 
- Mon Chanel numéro 9... Mes bas... Mes... sous-vêtements... Le... soutien-gorge qui... emprisonne malheureusement mes... petits seins... Mais j'aime... te plaire. T'émoustiller comme ça. T'exciter, mon mystérieux. Ne me... résiste pas. Tu... m'entends? 
 
Je ne t'ai pas répondu. J'ai juste acquiescé. Je ne savais que trop bien où tu voulais en venir, ma petite rousse. Tes yeux... faussement suppliants... Ils ont fait la différence.
Candice... Can... dice! Tu n'as de cesse d'user... et d'abuser de ta sensualité. Car dès que tes yeux sont dans les miens, tu ne peux pas t'en empêcher. Tu le fais, sans vergogne. Comme je te comprends, belle rousse. Reste la femme que tu es. Ne varie pas d'un iota. Mets-moi, remets-moi en question, bouge-moi. C'est comme ça que tu me plais. La dernière fois, ta tête sur ma poitrine, tu étais haletante. Ne me... mens pas, Candice. Ton coeur a battu fort contre ma poitrine, elle aussi au bord du court-circuit. Et quand je plonge mes yeux dans les tiens, jolie rousse...
 
- Benoit... Oublie tout. Appartiens-moi... Sois... à... MOI!
 
Je te regarde, ma belle. Ce que tu me dis, tu n'as pas besoin de me le marteler. Ou bien, peut-être...
 
J'étais attentif au moindre de tes faits et gestes, tu sais, chérie? Pas possible, juste... pas possible que je détache mes yeux de toi. Tu étais concentrée et je te voyais loucher sur cette lingerie en tous genre, diverse et variée. Je ne sais que trop bien que c'est quelque chose qui te passionne et qui te fascine. Tu aimes en porter. Je le sais. Tu te sens sexy. Et c'est un dénominateur commun, à chacune de nos retrouvailles. Continue ainsi, alors, Candice. Ça me plaît. Ça me plaït... beaucoup.
 
On se prenait par la main, dans le magasin. Nous ne pouvions pas nous empêcher de nous adresser des sourires. Et je ne parle même pas du fait que l'on s'embrassait comme bon nous semblait. J'avais beau n’être concentré que sur toi, mon amour... Je ne savais que trop bien que l'on se donnait en spectacle et que le personnel  était aux premières loges.
Mais, il fallait nous comprendre, Candice. On respirait, on transpirait l'amour et la sensualité. Je suis honoré de t'avoir pour compagne, rien que pour moi. Et ça, je tiens à ce que tu le vois, à ce que tu le saches. Je veux que le monde entier, aussi, le sache. Oui.
Et surtout... surtout... Je veux que tout le monde sache, que TU saches que je ne te résiste pas. Je suis TON homme, je t'appartiens. J'aime te voir comme ça: sereine et souriante. Espiègle et sensuelle. Pleine de joie de vivre et remplie d'amour. Ça fait partie de ces choses dont je jouis et dont je raffole chez toi, Candice. Et ces moments que l'on vit, je les garde bien au chaud, je les grave dans ma mémoire. Parce que quand nous nous quittons à la fin de ces parenthèses dorées pour reprendre le cours de nos vies respectives, ce sont des choses que tu me laisses, ma chérie. Et je les savoure à leur juste valeur, jusqu'à la fois suivante où nous nous retrouvons et où nous rattrapons le temps perdu.
J'ai toujours apprécié que mes partenaires se fassent coquettes. Mais j'avoue que je n'en avais pas rencontré, des nanas comme toi. Il n'y a pas deux Candice sur Terre. Il n'y a que toi, ma belle. Je t'aime. Et quand je t'ai vu déambuler dans les rayons, je ne t'ai plus quitté des yeux. Tu lorgnais sur les parures de lingerie émoustillantes. Elles te faisaient de l'œil, Candice. Ça, je le voyais à ta manière de les examiner avec attention, de les toucher. Et puis tu t'es tournée vers moi. Tu avais les yeux dilatés et particulièrement brillants. Et bien évidemment, tu avais le sourire aux lèvres.
 
- Mon amour... Mon Benoit... Me verrais-tu avec ces lingeries?
 
Ces mots, tu les a susurrés, jolie rousse. Tu ne sais que trop bien que tu me fais perdre la raison quand tu me parles de cette manière. Dès lors, tu en joues, et... pas qu'un peu. Que dire, alors, de ton sourire radieux... Tu me fais fondre quand tu te comportes comme ça, ma belle. S'il te plaît. Reste telle quelle. Tu me plais comme ça.
 
- Benoit... Mon Benoit... J'aimerais que tu m'aides. C'est pour toi, après tout, que je suis là.  Je veux continuer de te plaire. J'ai envie de te rendre fou, encore et encore.
 
Tu me rendais fou de toi, ma jolie. J'étais déjà un homme perdu, si tu savais.
Je te regardais, amusé. Mais dans le même temps, je les imaginais sur toi, ces lingeries émoustillantes. Et je t'imaginais avec, ma douce Candice, lorsque l'on ferait l'amour. J'ai pris un coup de chaud, d'un coup. J'ai commencé à me sentir tout dur et à l'étroit dans mon boxer, aussi.
 
C'est fou à quel point tu me donnes envie de toi, Candice? Quand je te vois porter ces parures, quand je te vois... les défaire... Tu me séduis.
Oui. Tu me mènes en dehors du droit chemin, quand tu commences à jouer comme ça avec moi, Candice. Je t'ai suivie dans cette cabine. Il ne pouvait pas en être autrement. Et tu sais quoi, ma jolie rousse? Te voir, telle que tu l'étais... Je l'étais, émoustillé. C'était sûr, ça.
Mon amour... SI tu te pares de lingerie... Si tu me parles avec ce grain de voix caressant dont tu as le secret... Je veux me mettre à genoux, à tes pieds avec grand plaisir. Et tout à l'heure, ça a été... précisément ce qu'il s'est passé. Je suis entré dans cette cabine, à tes côtés et je t'ai vue. Je t'ai vue essayer ces soutiens-gorges, ces petites culottes, ces bas... et ce porte-jarretelles. Tu es exhibitionniste, Candice. Je le sais depuis notre première rencontre. Tu sembles avoir de moins en moins de secrets à me cacher.
 
Que tu es belle... Que tu es coquette, Candice... Et tu sais rester l'émoustillante jeune femme dont je suis tombé amoureux. Ce que nous venons de vivre, dans cette cabine d'essayage... En public... C'était pour ma part l'un de mes fantasmes. Mais, je ne pensais pas le réaliser un jour. A tes côtés, je réalise... que je me découvre. Je ne suis plus le même Benoit.
 
Tu as finalement choisi un soutien-gorge rouge, bien évidemment en dentelle. Pour accompagner ce haut de lingerie, tu as jeté ton dévolu sur la petite culotte assortie. Pour accompagner et compléter cette émoustillante parure, tu n'as pas mis longtemps pour faire main basse... et pour opter pour des bas autofixants ainsi que pour un porte-jarretelles. Comme une seule et même personne, nous avons pris le chemin des cabines d'essayage. Tu savais que je suis fan de tes formes et de tes courbes, Candice. Je l'ai donc fait exprès, de marcher derrière toi. Tu me connaissais à force, jolie rousse. Tu savais pourquoi je me comportais comme ça.
Tu as saisi la balle au bond, ma chérie. Tu as dandiné des fesses. Elles se mouvaient délicieusement, là, juste sous mon nez. Tu le faisais exprès, je le savais. Je n'étais pas idiot, tu sais? Je n'étais pas dupe. J'étais tout sauf ça. En tout cas, nos attitudes respectives, ça voulait dire ce que ça voulait dire. Mon amour... Mon unique amour... Cette sensualité que l'on aiguise depuis le début de notre relation, elle était on-ne-peut-plus palpable, à l'intérieur de ce magasin de lingerie. Notre alchimie sensuelle... et sexuelle était flagrante. A... mon avis...  Ce n'est pas dû au hasard que tu m'aies emmené ICI. Non... Tu ne savais que trop bien que tu voulais te montrer avec moi, TA conquête. Je ne suis rien qu'à toi. Je suis tout à toi, ma belle. Quand au fait que nous nous sommes comportés comme ça, devant ces femmes, ce n'était pas nous exhiber. Disons les choses telles qu'elles sont. Mais... Ce n'était que le début, une mise en bouche. Nous n'étions pas au bout de nos surprises...
 
Dans la cabine, tu as commencé par te déshabiller et ce, sous mes yeux. Tu me connaissais, à force. Tu savais que je suis un jouisseur, un hédoniste. Que j'aimais profiter des petits plaisirs de la vie et les savourer. Je t'ai révélé une autre facette de moi, Candice.
Oui. J'aime être voyeur. Surtout quand j'assiste à un spectacle de premier choix comme celui que tu m'as offert tout à l'heure, ma petite rousse. Et d'après ce que j'ai pu voir, ça t'a tout sauf dérangée. Tu aimais ça... Tu le faisais exprès, de t'exposer, de t'exhiber. Ça a été là, précisément, que ça a dérapé dans cette cabine.
 
Tu étais entièrement nue. Moi c'était tout l'inverse. Soit. Mais dans cette boutique de lingerie, à l'intérieur de cette cabine, c'était de toi dont il était question, ma jolie lectrice aux petits seins. Et telle que tu t'affichais, j'avais plus que tout, plus que jamais envie de toi. Ça, tu l'as tout de suite compris. Tu as écarté les jambes. Mes yeux ont été hypnotisés parce qu'ils voyaient. Ta belle petite chatte restée flamme, depuis... C'était une invitation. J'ai alors enfoui mon visage entre tes jambes, Candice...
 
Tu n'as pas boudé ton plaisir, ma belle. C'était trop... bon, ce plaisir qui se diffusait dans ton corps. Et tu sais comment je l'ai su, ça? Je t'entendais. Et tu avais tes mains enfoncées dans mes cheveux, Candice.
Tu me guidais ainsi, mon émoustillante rousse. Et tu étais toute sauf passive. Être passive et soumise, c'est tout le contraire de toi, Candice. Ça, tu me l'as montré et pas qu'un peu, la dernière fois. Depuis justement cette dernière fois, je suis limite obsédé par cette autre facette de toi que tu m'as fait découvrir. Quand je te dis que l'on continue d'aiguiser notre sensualité, à chaque fois...  C'est quelque chose qui me plaît et que j'aime tout particulièrement chez toi.
Là, tu me fourrageais les cheveux avec tes deux mains et c'était ainsi que tu maintenais ton emprise sur moi. Tu m'as écrit entre temps que tu ne voyais pas d'inconvénient à prendre le dessus sur moi pendant l'amour, rappelle-toi...
Tu t'abandonnais, dans le même temps, à mes caresses. Tu ne maîtrisais plus du tout les sons qui jaillissaient de ta gorge, mon amour. Ton corps se mouvait sous l'effet de mes succions et de mes coups de langue. Je me délectais, pour ma part, du sel de ta mouille ainsi que du tout fin duvet de ton pubis, Candice. J'étais préposé, dévoué à ton plaisir. Et je ne savais que trop bien que tu adores les cunnis. Je ne pensais à rien. Ou plutôt, si. Je pensais à ton plaisir et à cette sensation de plénitude qui prenait possession de toi, petit à petit. C'était ce que je me disais, en t'écoutant prendre ton pied, Candice.
Ma belle... J'adore quand tu dis oui au plaisir. Tu sais ce que tu veux. Et tout à l'heure, tu savais ce que tu voulais. Tu voulais... jouir. JOUIR. Tu m'as empoigné les cheveux. Ainsi donc, ça t'a plu, de prendre le dessus sur moi, la dernière fois? Intéressant, intéressant... Je t'ai laissé me guider, Candice. Oui... J'aimais ça...
 
Tu es belle quand tu jouis, jolie rousse. Une fois n'a pas été coutume: tu l'as été, belle. Qu'est-ce que j'aime quand tu exprimes tes orgasmes, Candice.
Quand je te dis que tu es une sauvageonne dès qu'il est question d'érotisme et de sensualité, de sexe. Tu es une hédoniste, une jouisseuse, ma chérie. Je suis plus que jamais en phase avec toi. Plus particulièrement dans ce genre de moments que l'on partage. Insatiable, tu as fini par jouir sur ma bouche. Qu'est-ce que tu es belle quand tu jouis, Candice...
 
Candice... Si tu savais... Je suis toujours aussi friand de tes lèvres qui entourent mon gland dans un premier temps, puis mon sexe tout entier ou presque dans un second temps. À présent que le calme revient après la tempête... après l'amour... je me rappelle de cette pipe que tu m'as fait. J'étais prisonnier de tes lèvres et tu me prenais. Le plaisir que tu m'as donné m'a vaincu et ça a fait que je t'appartenais, mon amour. Tu étais concentrée, appliquée dans tes caresses. C'était... bon. Qu'est-ce que c'était... bon. Tu avais beau me prendre... J'étais corps et âme avec toi.
Tu as cessé de me sucer. Tu t'es relevée et tu as fait semblant de me faire la moue avant de me rouler une pelle qui m'a mis les esprits sans dessus dessous. Qu'est-ce que j'aime... Non! Qu'est-ce que j'adore goûter le désir que tu as sur tes lèvres, ma jolie Candice rousse... Et quand je t'ai vu me faire la moue... Quand je t'ai senti me galocher goulûment... Quand je t'ai vu te retourner et me tourner le dos, mon sang n'a fait qu'un tour, ma belle. Tu t'es cambrée et tu as posé tes mains sur le mur de la cabine, côté miroir, pour y prendre appui. La position et l'invitation étaient on-ne-peut-plus claires sur tes intentions... 
Je t'ai demandé de te bâillonner la bouche car je ne savais que trop bien que tu ne fais JA-MAIS l'amour en silence. Tu as opté pour la petite culotte en froufrous que tu portais jusqu'à présent. J'ai posé mes deux mains sur tes fesses et je t'ai étreint ainsi.
Toi, tu as porté l'une de tes mains sur mon pénis et tu m'as introduit dans ton vagin, Candice...
Une fois encore, une fois n'a pas été coutume, tu as été délicieusement mouillée. Pour ma part, j'étais on-ne-peut-plus dur et j'ai a-do-re aller et venir à l'intérieur de toi, Candice. Dans le feu de l'action, tellement j'avais envie de toi, j'en ai oublié de mettre un préservatif. Mais tu prends la pilule et je me fais tester régulièrement. Nous étions tous les deux clean, jolie rousse. 
Toi et moi, on est très excités. Trop. Le côté exhibition inédit y a été plus que probablement pour quelque chose et ça explique ce qu'il s'est passé...
Au comble du plaisir, j'ai senti les muscles de ton vagin se contracter et tu as eu un nouvel orgasme. Heureusement que ton bâillon a étouffé tes cris de jouissance, si je puis dire, Candice. Les muscles de ton vagin enserraient agréablement mon sexe et c'est tout chaud, tout doux, en toi. Je me suis laissé aller à fermer les yeux tant les sensations étaient intenses et renversantes. Au paroxysme du plaisir, je me suis laissé éjaculer à l'intérieur de toi, Candice. 
 
Je t'aime et j'ai toujours envie de toi, la chère lectrice rousse aux petits seins.

 

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Chère lectrice rousse aux petits seins: des plaisirs inédits

Publié le par Plaisir d'écrire

Je reprends goût à la lumière. Mes pupilles se dilatent à son contact, petite touche par petite touche. 

- Benoit... Mon amour... Aaah...
 
Candice... Tu soupires. Qu'est-ce que tu peux, sais me faire craquer quand tu te mets à émettre des bruits de plaisir comme ça. Notre histoire d'amour n'en finit pas, plus d'être belle. Et que dire de notre sensualité que l'on continue d'aiguiser. Ce moment que l'on vient de vivre en est la preuve claire, nette, précise.
Tu m'as bandé les yeux et c'est toi qui as pris les rênes de nos ébats. J'ai aimé. Candice... Ma jolie rousse aux petits seins émoustillants en poires... Tu es sensuelle, plus que jamais. Tu es coquine. Et aujourd'hui, là, tu me dévoiles une autre, une nouvelle facette de toi. Je l'aime tout autant, cette Candice, tu sais? Oui... Du début à la fin de nos ébats, j'ai joui de chaque seconde, de chaque sensation, de chaque bruit. Je n'oublierai jamais ce que nous venons de vivre, toi et moi. J'ai toujours le même désir, la même envie de toi que lors de nos premiers échanges et de notre tout premier rapport sexuel ensemble. Je reste fou amoureux de toi.
Tu es allongée sur moi. Ton corps se prélasse contre le mien. Ta peau est chaude, en sueur. Tu sens toujours aussi bon. Candice... Maintenant, je peux te le dire parce que c'est de plus en plus clair, net, précis pour moi: jamais je n'ai aussi en phase avec une femme comme je le suis à tes côtés. Oui. Je t'aime.
 
Candice... Ça fait des mois et des mois que notre relation a commencé. Et plus les mois défilent, plus je suis heureux à tes côtés. Plus les mois passent, mieux je te connais. Nous ne vivons pas encore ensemble. C'est bien comme ça, pour le moment. Quand on se retrouve, c'est un feu d'artifice à chaque fois. Quand tu n'es plus là, ce n'est pas pareil. Je sais que c'est la même chose pour toi. Quand on se retrouve, tu es la sauvageonne, la jouisseuse, l'hédoniste pour qui je tombe. Je me remémore nos retrouvailles, tout à l'heure, à la gare. Oh... oui.
Cette fois, ce n'est ni dans ta ville, ni dans la mienne, que nous nous retrouvons. D'un commun accord, nous nous sommes donnés rendez-vous à mi-chemin. Toi comme moi, nous avons pris le train. Pendant le voyage, j'ai beaucoup écouté de la musique. Pendant que j'écoutais ces musiques, je n'ai pas cessé de penser à toi, Candice... et à nos retrouvailles. 'You and I' des Scorpions... 'Stop Loving You' de Toto... 'One Caress' de Depeche Mode... "Lost in the Fire' de The Weeknd ou encore 'Dopamine' de Purple Disco Machine dont j'ai fait l'hymne de notre histoire d'amour. 
La dernière fois où l'on s'est vus, dans ta ville, chez toi, à la Saint Valentin, je t'avais demandé si tu te voyais comme ma Joconde, ma Mona Lisa rousse aux jolis petits seins en poires. Et là, alors que je reprends contact avec la lumière, je sais que tu l'es, ma Mona Lisa.
 
La perfection n'existe pas. Candice... Tu es d'accord avec moi sur le sujet. Notre histoire d'amour n'est pas parfaite. Elle est belle, romantique. Oui. Mais non, elle n'est pas parfaite. Il nous arrive de ne pas être d'accord sur des sujets. Jusqu'à présent, nous n'avons pas eu de dispute sérieuse. Candice... Écoute-moi bien. Je ne voudrais pas que tu te méprennes. Je suis, pour ma part, épanoui dans notre relation telle qu'elle est au jour d'aujourd'hui. Mais... De mon point de vue, je suis convaincu que le jour où nous nous engueulons, ça ne nous sera que bénéfique. J'espère que ça nous aidera à faire évoluer notre couple encore et encore. Mais pour l'heure, c'était à nos retrouvailles... et seulement à nos retrouvailles...  auxquelles je pensais. Le reste...
On a donc décidé de vivre ces retrouvailles dans un endroit, dans une ville inédite. Ni dans la tienne, ni dans la mienne. Nous avons décidé de ne pas nous ancrer dans une routine, dans des habitudes. Moi qui habite Boulogne sur Mer... Toi qui vis dans ta ville, là-bas... Nous nous sommes retrouvés dans le hall de la gare de cette ville normande où nous allons passer ces quelques jours, rien que tous les deux. Je suis arrivé le premier à la gare. J'étais tout excité à l'idée de te retrouver, Candice. À l'idée que l'on reprenne le fil, le cours de notre histoire. J'avais le cœur battant et j'étais à dix mille volts. Comme à l'accoutumée, je me suis mis sur mon trente-et-un. Comme d'habitude, toi, tu as voulu te faire la plus mignonne, la plus émoustillante possible. Tu as été consciencieuse pendant que tu te préparais. Tu as pensé intensément à moi pendant que tu le faisais. Tu t'es imaginée mes mains sur ton corps et mes lèvres sur les tiennes lorsque nous nous serions vus dans le hall de la gare. Sur cette pensée, tu as posé tes deux mains sur ton corps et tu as soupiré de bonheur lorsque tes doigts sont entrés en contact avec ta peau douce. Can... dice!
Au moment où je m'y suis le moins attendu, toi, tu as posé tes mains sur mes yeux et tu m'as privé pendant quelques instants de la vue. J'étais en train d'écouter de la musique pendant que je t'attendais, Candice. 'Meet Me Halfway' des Black Eyed Peas... C'était ce qui résonnait dans mes oreilles avec mes écouteurs sans fil. Tu sais comment je suis. J'écoute presque tout le temps de la musique. J'AIME faire l'amour en musique. Et je sais au jour d'aujourd'hui que c'est pareil pour toi.
 
- Benoit... T'es toujours aussi beau... Tu m'excites toujours autant. Et... Je t'aime, mon amour.
 
Arrivés dans cet appartement Airbnb que nous occupons pendant ces quelques jours, le manque et la passion, le désir et l'attirance, l'amour et la sensualité, tout ça mis bout à bout, c'en était fait de nous, déjà. Nous nous sommes jetés l'un sur l'autre et nous nous sommes embrassés comme si nos vies en dépendaient.
Tes mains ont été fermes sur mes joues et tu m'as embrassé goulûment. J'ai senti immédiatement ton désir sur tes lèvres, Candice. Et ce baiser en a dit déjà long: tu avais follement, chaudement envie de moi. Moi? Mes mains se sont d'office posées sur la chute de tes reins et je me suis laissé aller à une piqûre de rappel de tes courbes. Dès que je te vois, le résultat est sans appel: c'est toi et pas une autre que toi. Je t'ai regardée dans les yeux et j'ai porté doucement mes lèvres sur les tiennes.
 
- Candice... Fais de moi ce que tu veux.
 
Tu n'as pas eu besoin de te le faire répéter, ma belle. Oh... non. Je ne sais que trop bien, avec le temps, avec toi, que ça rentre par une oreille et ça ne ressort pas par l'autre: tu es aussi coquine que je suis coquin. Et là, aujourd'hui, c'est à mon tour de te faire le don de moi, tout entier. Je le veux, Candice. Car c'est toi qui t'es donnée tout entière jusqu'à présent. Et j'en ai conscience, de ça. Oui. Nous sommes en phase, corps et âme, toi et moi.
 
- Benoit... Moi aussi, j'ai envie de toi. Si fort. Et... tout entier...
 
Quand tu as prononcé ces mots, c'en était fait de moi. Comprends-moi, mon amour. Notre relation est de plus en plus forte et nous sommes sur la même longueur d'onde, sensuellement ET sexuellement parlant. Tu as été mienne. Et là, aujourd'hui, c'est moi qui désire t'appartenir.
 
- Benoit... Laisse-toi faire. À ton tour de me faire confiance. Tu vas voir. Tu vas aimer...
 
Sur ces paroles ô combien émoustillantes, tu as fait main basse sur moi, chérie.
Ça a été ainsi que tu m'as bandé les yeux. Nous y étions... J'étais à toi... comme tu as été à moi; les fois précédentes. Je me suis laissé guider. J'avais confiance en toi. J'avais l'âme en paix. Je ne pensais à rien du tout. Sauf à toi...
 
C'était tout pour moi, rien que pour moi, à ce moment-là. J'avais les yeux bandés et je devais me fier à toi, les yeux fermés, au sens propre du terme. Et c'était ce que je faisais: je retenais mon souffle et dans le même temps, j'étais excité. Je sentais tes mains posées sur moi. Et petite touche par petite touche, tu m'as déshabillé...
 
Tu as fait main basse sur moi. Tu as fait de moi ta chasse gardée, Candice. J'avais totalement confiance en toi. J'avais beau ne rien voir... Je te sentais et je t'entendais. J'étais si bien, jolie rousse. Il n'y avait pas le moindre doute dans mon esprit. Quelle allait être la suite des événements, de nos ébats, du prolongement de la magie? Je ne me posais aucune question. Et tu sais pourquoi, mon coeur? Ce que nous allions vivre, c'était inédit. Et comme toute nouvelle expérience, comme toute chose qui se passe entre nous, ça allait être entre complices de plaisir et en douceur. Avec tendresse et tout en sensualité. Ce qu'il allait se passer allait me donner raison. Nous continuons d'être sur la même longueur d'onde, tous les deux. Je me suis laissé faire. Je t'ai laissé me toucher. Et puis... De fil en aiguille... Je t'ai laissé m'effeuiller, me déshabiller...
Candice... Tu y es allée petite touche par petite touche, sans rien brusquer, avec moi, dans ce moment intime inédit. Te sentir près de moi, toute contre moi, alors que j'étais privé temporairement de la vue, ça m'a fait prendre conscience de quelque chose, et non des moindres. Il n'y a que toi. Et... Ce que je vis avec toi, depuis notre rencontre sur le site, je me rends compte que je ne l'ai pas vécu à ce point, avant toi. Sur cette pensée, j'ai lâché prise et je me suis détendu encore un peu plus.
 
- Candice... Je... Je t'aime! Beaucoup. Passionnément. À la folie. Fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi. Tout à toi. Rien qu'à toi?
- Benoit... Mon Mysterious rien qu'à moi... Ce que tu me dis là... Eh bah je ressens la même chose que quand on s'appelle ou que quand on s'écrit. T'as les yeux fermés. Donc, par définition, tu peux pas me voir. Si tu les voyais, mes yeux, là...
 
Ta voix, Candice... Elle est toute douce. Aussi légère qu'une plume. Et quand tu me parles, ma jolie, elle me caresse, ta voix. C'est comme quand tu reprends ton souffle après que l'on fasse l'amour. C'est comme quand tu respires pendant que tu dors. Mon amour... Reste la femme que j'ai rencontré sur le site. Reste la Candice que tu es: celle qui n'a de cesse de me séduire... et de m'émoustiller.
Là, les yeux bandés, j'avais parfaitement conscience que tu me tournais autour. Que tu faisais main basse sur moi, crescendo. Tes mains sur moi, je les sentais. Te connaissant... Je pense que... tu ne perdais pas la moindre miette de ce qu'on vivait. Et la suite m'a donné raison. J'y pense, repense alors que tu te blottis dans mes bras, après l'amour. Après que tu aies... joui.
Ton toucher... Le son de ta voix... Ta respiration... Tes caresses... Tes baisers... Candice, si tu savais à quel point je perds la raison quand nous sommes ensemble. Et là... Mais c'était...
 
Je me suis complètement laissé aller, avec toi. J'avais totalement confiance en toi, ma jolie Candice. Quand je me suis retrouvé tout nu, tu en as allègrement profité. Tu as parcouru mon corps avec tes mains, avec ta bouche. Qu'est-ce que c'était agréable... Mais qu'est-ce que c'était agréable... Tu n'as fait qu'une bouchée de moi. Toute résistance était déjà vaine. Les dégâts étaient perpétrés. J'étais tout à toi, rien qu'à toi, ma douce. Un point, c'était tout. Tout doucement, tu m'as fait m'allonger sur le dos, sur le lit de ce logement Airbnb que nous louons pour ces quelques jours. La couette était douce, confortable et fraîche. J'appréciais sa caresse sur ma peau nue. Mais ça allait être une tout autre chose que j'allais apprécier, l'instant d'après...
En effet... À peine allongée, tu as porté de nouveau tes lèvres et ta langue sur mon corps. Ces premières caresses m'ont fait frissonner. Mon corps s'est rapidement couvert de chair de poule. J'étais bien...
 
- Benoit... Détends-toi. Fais-moi confiance. Je serai douce, avec toi. Et ce que je vais te faire... Le plaisir que je vais te donner... J'en ai envie. Depuis un petit moment, déjà.
 
J'ai poussé un soupir. À mes yeux, c'était éloquent. Ça traduisait on-ne-peut-mieux l'état de bien-être dans lequel j'étais, grâce à toi, Candice.
 
- Relève les jambes, mon Benoit. Fais la chandelle, avec elles.
 
Je ne me le suis pas fait répéter.
 
- Là. C'est bien, Benoit. Tu es fin prêt.
 
Ça a été là que j'ai senti... ta bouche... là... Sur... mon anus...
 
J'ai aimé. Mais qu'est-ce que j'ai aimé... Can... dice! J'ai a-do-ré ce que tu m'as fait, l'audace que tu as eu. Tu t'y es prise comme il le fallait. Avant de faire ta rencontre, j'avais déjà eu l'occasion de goûter à ces plaisirs osés mais délicieux, avec l'une de mes ex. Lorsque j'ai senti tes lèvres qui allaient et qui venaient sur mon sexe, je m'attendais à ce que tu t'en tiennes à cette nouvelle fellation savoureuse. J'ai eu tort. Ta langue s'est faite coquine et tu es descendue... plus bas.  J'ai été tout sauf indifférent à tes caresses... sur mon anus.
 
J'avais plus que confiance en toi, mon amour. Mon a... mour! Ta langue butinait sur ma peau. Elle faisait des allers-retours réguliers entre mes testicules et mon orifice anal. Je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas te sauter dessus et retourner la situation en mon avantage, Candice.
Tu peux m'expliquer pourquoi je t'ai dans la peau à ce point, jolie rousse? Tu peux m'expliquer comment je me suis laissé aller à ce point, Candice? Hein? Tu peux me l'expliquer, à quel point? Et alors que je recouvre la vue, alors que nous nous retrouvons nos souffles, je te regarde, les yeux dans les yeux. Je te regarde parce que... c'est aussi simple que ça, ma belle. Je n'ai d'yeux que pour toi. Je te regarde parce que... je suis ébahi et subjugué par cette audace dont tu as fait, couplée à la sensualité qui est innée chez toi. Je repense à tes lèvres autour de mon sexe. Je repense... à ton doigt dans mon anus...
 
Ces plaisirs osés, c'était bien beau, tout ça... Mais... il était temps que tu me fasses une piqûre de rappel de tes intentions. Et tu as été très claire.
 
- Benoit... C'est bien beau, que je te donne du plaisir... Mais le mien, on en fait quoi? Tu sais que je les aime, ces cunnis que tu me fais et dont je raffole. Tu me fais jouir à chaque fois, avec. Aujourd'hui ne fait pas exception à la règle...
 
Ça a été ce que tu m'as murmuré à l'oreille, Candice.
Et ni une, ni deux, tu as associé les actes aux mots.
 
- Mon amour... Les belles petites chattes avec des poils... Tu les aimes. Lèche-moi, mon mystérieux. Donne-moi ce plaisir que j'aime tant, avec toi.
 
J'ai entendu des mouvements, tout près de moi. J'en ai conclu que tu te déplaçais. Et mon instinct m'a donné raison, ma chérie.
 
- Je vais poser ma petite chatte sur ton visage... et tu vas me lécher. Tu... m'entends, Benoit? Tu vas me faire jouir, comme ça...
 
Mon... dieu! Can... dice! Tu avais toujours autant bon goût. Ta belle petite chatte, redevenue duveteuse... et flamme, avait un bon goût de chatte. Mais là, j'étais allongé sur le dos et j'avais sur les yeux ce bandeau noir en soie dont tu m'as vêtu au tout début. Là, c'est toi qui avais les rênes. C'est toi qui bougeais et qui remuais sur moi. C'est toi qui frottais ton sexe sur ma bouche et c'est ainsi que je te léchais. J'ai aimé sentir tes poils car ils me chatouillaient. J'ai aimé sentir ta cyprine dégouliner sur mon visage.
Je suis émoustillé. Tous mes sens ont été exaltés, en ébullition. Le toucher: même si j'étais allongé, même si mes mouvements étaient limités, je m'arrimais à toi pour que tu puisses frotter  ton sexe sur ma bouche du mieux possible. Le goût: ta mouille avait un goût salé, marin, une saveur délicate mais agréable. L'odorat: ton minou sentait bon et je savais que tu aimes prendre soin de toi. L’ouïe: t'entendre prendre ton pied, entendre ta chatte se lubrifier et entrer en contact avec ma bouche.
C'était tout pour toi, rien que pour toi, ma belle. Je voulais que tu le saches, Candice. Peut-être pas forcément avec des mots. Mais plus par les divers baisers et caresses que je te donnais, que ce soit avec mes lèvres, que ce soit avec ma langue. Par les divers bruits de plaisir que j'émettais, quand je soupirais, quand je gémissais. T'entendre prendre du plaisir alors qu'on était comme ça... Sentir, pour ma part, que tu étais bien et qu'on ne faisait qu'un... Je me suis donné à toi autant que toi, tu te donnais à moi comme tu le faisais, là.
 
- Elle est toujours aussi... bonne, ma petite chatte, Benoit?
 
Je ne t'ai pas répondu par des mots, Candice. Non... Ton sexe a un bon goût, un goût qui t'est propre et là, je m'en délectais.
C'était comme si ma bouche et ta vulve étaient aimantés et qu'ils s'attiraient inexorablement. Ton miel, Candice... Je ne m'en lasse pas. Non... Et j'aimais ça, ce que nous faisions. Ta mouille sur mon visage pendant que tu me chevauchais, un peu comme si tu faisais du twerk... Ta mouille sur mes lèvres et sur ma langue pendant que je te léchais, un peu comme un chaton qui boit du lait dans un petit bol...
 
- Hmmm... Hmmm... Hmmm...
 
Non, je ne parlais pas. Mais oui, je prenais du plaisir... à t'en donner.
Mais là, c'était toi qui avais les rênes. Je ne pouvais pas te voir, ma jolie rousse. Je n'avais pas les pieds et les mains liés, certes. Mais pour moi, c'était tout comme. Car tu n'en faisais qu'à ta tête. Et une nouvelle fois, la suite m'a donné raison. Oh... oui, Candice.
 
- Benoit... Mon amour... Mon unique amour...
- Candice... Mon amour... Mon unique amour...
- Ouvre... la bouche, mystérieux...
 
J'ai ouvert la bouche. Tout ce que tu voulais... je te le donnais.
 
- Ce que t'es sensuelle, Candice. Reste telle que tu es. Ne change rien.
- Mon Benoit...
- Ta voix... Elle a des trémolos là mais dans le même temps, elle me caresse.
- Mes petits seins... Tu les aimes. Garde tes lèvres comme ça. Là. Voi... là.
 
Candice... Je suis subjugué. Je suis émoustillé. J'avais été Pygmalion, l'autre fois, et tu étais Galatée. Nous avons inversé les rôles, aujourd'hui. C'est moi qui reprends goût à la lumière. Et mon premier regard, il est pour toi, jolie rousse. Tout à l'heure, quand tu m'as demandé d'entrouvrir les lèvres, je ne me suis posé aucune question. Car il n'était question que de toi. J'ai senti... J'ai goûté à l'arrondi de l'un de tes tétons que tu as fourré entre mes lèvres. Réflexe: j'ai raffermi l'étreinte et l'effet de succion de mes lèvres sur ton mamelon. Les yeux bandés, j'ai usé et abusé de mes quatre autres sens. Je t'ai tétée, mon amoureuse.
Tu as... soupiré. Tu as... gloussé. Tu as... gémi, mon émoustillante. J'avais beau avoir les yeux bandés... Je n'étais pas idiot. Je n'étais pas dupe, tu sais? J'étais tout sauf ça! Moi, c'était à ton plaisir et à ton bien-être que je pensais. C'étaient les deux mamelles de mes priorités, ô ma Candice. Je te tétais les seins. Et... te connaissant... jolie rousse... Tu y étais toute sauf... indifférente. J'ai senti ta main sur ma tête. Plus précisément sur l'arrière de mon crâne. Ça voulait dire ce que ça voulait dire: tu voulais que je fasse hennir les chevaux de ton plaisir. Alors, j'ai osé. Je me suis donné à toi, Candice, corps et âme.
 
- Benoit... C'est trop... bon, le plaisir que tu me donnes. Avec tes lèvres... Avec ta langue... Tu me titilles. Tu m'éveilles au plaisir.... Mais là... J'ai envie de beaucoup plus... Alors... Je vais... venir sur toi. M'empaler sur toi... Et ce sera moi... qui vais... te faire l'amour. Chuuut... Ne dis rien, Benoit.
 
Tu t'es empalée sur moi, ma chère Candice aux petits seins. J'avais beau ne rien voir.... Je te sentais. C'était une idée ou bien... tu mouillais, limite dégoulinais? Moi, ça a été ce que je me suis dit. J'ai senti tes deux mains sur mes pectoraux. Et j'ai senti, aussitôt, que tu jouais de ton vagin et ses muscles. J'étais collé mes bras le long de mon corps. J'étais tout à toi.
Ton cri de jouissance résonne... encore dans mes oreilles. Je te regarde. Et... tu me regardes, Candice. Tu me souris. L'instant d'après, mon réflexe est de te sourire. Le tien est radieux. Tu ne peux pas me rendre plus heureux. Oh... non. Tes yeux pétillent et tes tétons pointent.  Tu glousses et tu m'embrasses, comme si ta vie en dépendait. Je suis à toi. Tout... à toi. Je t'aime, Candice.
 
 
 

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