mndq

Christian est un amant régulier. Il est beau et il est viril. L'idéal lorsque nous nous retrouvons, c'est lorsque nous sommes dans l'entre-deux, entre l'amour et la baise. J'aime sa queue et c'est un plaisir pour moi de la prendre en bouche. J'aime jouir à ses côtés. 

Antoine est l'un de mes anciens petits copains. Même si nous avons rompu, nous sommes restés en bons termes et il nous arrive de baiser de temps en temps. Aujourd'hui, je l'ai invité en même temps que Christian. L'atmosphère est glaciale entre les deux mâles au départ.

La glace est brisée entre les deux hommes. Mes deux amants s'entendent bien à présent. Ils sont complices. L'un était en moi, dans ma chatte et j'ai sucé l'autre. Et ils ont inversé les rôles. À présent, j'ai une queue dans mon vagin et une queue dans mon cul. Quel... pied!

Je rentre à la maison. C'est la fin de la journée. Après l'effort, le réconfort. Il est l'heure de se détendre et de se déconnecter du boulot. Je perds les pédales quand je vois ma compagne Sonia. Ma belle brune est assise sur le canapé, en tenue d'étudiante. Je bande.

Sonia a les cheveux attachés en chignon. Elle porte une chemisier blanc ainsi qu'une jupe écossaise. Elle porte des bas noirs ainsi que des talons aiguilles. Elle s'est sobrement maquillée. Elle est sexy, juste ce qu'il faut.

- Je vous attendais, Monsieur.

Elle veut jouer...

- Je veux être corps et âme à vous, Monsieur. S'il vous plaît.

Les yeux de Sonia sont suppliants. Elle joue la comédie. Je le sais. Et pourtant... Le rôle qu'elle joue m'émeut. Elle est sur le dos. Elle se... caresse

- Monsieur... Vous me voyez ! Je suis ... à vous !

Je suis assise sur ce fauteuil et je ne perds pas une miette du spectacle qui s'offre à mes yeux. Une jeune femme, la vingtaine à peine, brune, mince, petits seins, toute nue, est couverte de baisers et de caresses par deux hommes. Je me mords la lèvre. Je suis jalouse.

Je n'avais pas l'intention de rester sur ma faim plus longtemps. Moi aussi, j'avais envie de sexe, quoi! Les copines, ça doit partager! Un homme chacune... La petite brune laisse son partenaire se masturber entre ses jambes. Il lui empoigne les seins. Je suce l'autre homme.

​

​​​​​Quelle petite salope, cette fille! Le plaisir de ses partenaires, c'est important pour elle. Elle est prise en double par les deux hommes. Elle me lèche mon clitoris et me doigte ma petite chatte. J'exprime mon plaisir comme bon me semble et je me caresse les seins. Mmmh...

Léonie te parle, Candice. Son regard sur toi, ses yeux brillants et dilatés... Ça ne fait aucun doute, ma chérie. Tu lui plais. Et elle a envie de toi. Je ne suis pas à tes côtés. C'est tout aussi bien comme ça. Tu vas connaître l'amour... et le sexe entre filles. Profites...

Estelle raffole du contact de l'eau sur son corps. D'autant plus qu'il fait particulièrement beau, ensoleillé, aujourd'hui. C'est le premier jour de l'été et elle est de repos. Elle décide d'en profiter. Après s'être vêtue d'un maillot de bain deux pièces, elle est dans l'eau.

Le soleil et l'eau caressent le corps de la jeune femme. Celle-ci se sent on-ne-peut-mieux. Elle a le sourire aux lèvres. Elle aime profiter de ces moments-là où elle prend soin d'elle. Et... A vrai dire... Elle pense à son copain. Il est au boulot. Il rentre ce soir...

Estelle est excitée, à l'idée qu'il franchisse la porte d'entrée de leur appart' et qu'il l'embrasse, à peine être rentré. Quand elle y pense, elle a chaud. Sans réfléchir, elle libère ses beaux seins des bonnets du haut de son bikini. Là. Elle empaume ses seins. Ils pointent.

Estelle a bien profité de la piscine. A présent, elle est confortablement installée sur le canapé. Elle est entièrement nue et deux de ses doigts dessinent de tout petits cercles sur son clitoris. Elle a chaud. Son cœur a des ratés. Elle a du plaisir. Elle gémit. Elle jouit.

Clara est tellement insatiable. Ça tombe bien : je le suis tout autant. Je suis tellement fier, honoré qu'elle soit mon épouse. Je ne cesse jamais d'avoir envie d'elle. Remarquez, elle fait tout pour : sourire, faire la moue, minauder, susurrer, porter de la lingerie...

Je n'étais pas bien réveillé. Néanmoins, j'entendais Clara chantonner. Que j'aime quand elle respire, transpire la joie de vivre. Je l'ai entendu glousser.

- Mon amour... J'ai tellement envie de toi. J'ai tellement envie... que tu t'occupes de moi.

C'en était fait de moi...

Clara écarte un peu sa petite culotte en coton et elle pose son minou sur mon visage. Là. Les choses ne peuvent pas être plus claires. Elle veut que je la lèche. Elle veut baiser mon visage. Très bien. Je tends la langue et je commence un cunni comme elle les aime...

- C'est trop... bon...

Clara ne peut pas mieux me guider dans sa quête du plaisir, celui qui fait tout oublier... ou presque, à une femme. Je prends les fesses de Clara à pleines mains et je les empoigne. Je les écarte. Je titille son cul avec la pulpe de l'un de mes doigts.

Alexandra est une jeune femme brune, à la peau bronzée et aux gros seins. Hélène, elle, est rousse, elle a la peau pâle et de beaux petits seins émoustillants en forme de poires. Les deux femmes raffolent du broute-minou et des jeux saphiques divers et variés. Comme là...

Les deux jeunes femmes se sourient, se font la moue. Elles se séduisent, se tentent. Elles se plaisent, s'apprivoisent. Elles se parlent, s'embrassent. Elles se touchent, se caressent. Elles se pelotent, s'excitent. La tension monte. Ça leur plaît. Elles ont envie...

Hélène est instantanément, irrémédiablement attirée par la lourde... et alléchante poitrine de sa sexfriend. Ses lèvres trouvent le chemin des deux beaux seins généreux d'Alexandra. Cette dernière fond sous les baisers, les caresses et les coups de langue de son amante.

Alexandra rend la monnaie de sa pièce à Hélène, sa jolie rousse. Sa langue butine sur son vagin éclos, tout mouillé. Hélène gémit, s'abandonne au plaisir. Alexandra descend. Sa bouche trouve le chemin de son anus. Là. Hélène fond sous la caresse délicate. Alex' la titille.

Romain a tout de suite vu que quelque chose n'allait pas chez moi lorsque je suis rentré à la maison. Effectivement, j'ai vécu une journée de merde au travail. Rentrer à la maison et retrouver mon amant a été un putain d'échappatoire.

- Mon amour... Je vais m'occuper de toi.

Romain m'a demandé de faire abstraction de tout. Il m'a dit qu'il s'occuperait de moi. Il m'a demandé de ne penser à rien. Il m'a dit que ce serait tout pour moi, rien que pour moi. Il m'a déshabillé. Il m'a touché. Il m'a caressé. Ses attentions m'ont fait fondre.

Romain s'est mis lui-même entièrement nu. Il m'a fait m'allonger sur le canapé du salon. Il s'est enduit les mains d'huile de massage à la rose et il s'est mis à me toucher. C'était... bon, comme contact. J'en ai ronronné de plaisir. J'ai perdu complètement les pédales.

Le corps enduit, luisant d'huile de massage, j'étais si bien. Je fondais sous les caresses de Romain. Il me masturbait de sa main droite. Il avait un doigt de sa main gauche en moi et il me massait la prostate. J'avais chaud. Au comble du plaisir, j'ai crié. J'ai joui.

Manon vit le plus beau jour de sa vie. Elle ne réalise pas encore complètement ce qu'elle vient de faire. Elle vient de dire oui à son compagnon... et désormais mari, Alexandre. Et là, les deux amoureux s'apprêtent à vivre... et à jouir de leur nuit de noces. Manon a chaud.

Manon et Alexandre se rapprochent l'un de l'autre. Leurs visages se rapprochent et leurs lèvres se trouvent. Les deux jeunes mariés s'abandonnent dans ce baiser. Les yeux fermés, ils ne se disent rien. Ils n'en ont pas besoin. Ils se disent tout dans ce bisou. Manon aime.

Manon a les yeux ébahis. Cette chambre d'hôtel est juste... Un seau avec une bouteille de champagne et des glaçons, un plateau avec deux flûtes et des chocolats. Le lit est impeccablement fait et il y a des pétales de roses disposées un peu partout sur la couette blanche.

Alexandre pose ses deux mains sur le corps de sa belle. Et dieu sait qu'elle l'est, belle, dans sa jolie robe de mariée d'un blanc immaculé, virginal. Il savoure les formes et les courbes de sa femme. Puis, il la met à nu. La robe descend et révèle les petits seins de Manon.

Te voir avoir le visage fermé, te voir me tourner le dos dès que j'entre dans ton champ de vision, ça me fait mal. Julie... Si l'on m'avait dit ça, il y a quelques mois, pendant les fêtes de fin d'année... Je n'aurais pas misé un kopeck sur cette situation. Amour... Haine.

Amour? Si je venais dans cette brasserie où tu travailles comme serveuse, c'était parce que tu me plaisais. Oui, Julie. C'était pour toi. Ça, sauf si tu as un sixième sens, tu ne le sauras jamais. Ce n'est pas plus mal que je garde cette attirance cachée. Amour... Haine.

Amour? Quand tu étais occupée pendant ton service, je m'asseyais à une table de l'extérieur, raisonnablement éloigné du comptoir, juste ce qu'il fallait comme distance. Je faisais semblant d'être occupé. Il m'arrivait d'écrire. De l'érotique. Tu ne le sauras jamais. Non.

Haine. Voilà ce qui nous lie au jour d'aujourd'hui. Ça me fait un pincement au coeur quand je passe devant la brasserie. Je me remémore le passé. Ne restent aujourd'hui que mes désirs, mes fantasmes. Mes rêves aujourd'hui réduits en poussière. Tes yeux noirs, sombres. Julie.