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- Rends-toi humide.

La jeune femme obéit. La personne qui est derrière elle et qui étreint ses seins, c'est la voix féminine qu'elle entend depuis le début à travers les hauts-parleurs. La jeune femme réalise: c'est cette femme qui lui a envoyé le colis et donné rendez-vous.

Les doigts humidifiés par sa salive et par sa cyprine, la jeune femme intensifie le mouvement et le rythme de ses caresses. De plus, les mains de la femme derrière elle sur sa poitrine sont agréables. Les lèvres entrouvertes, elle se laisse aller et gémit sans aucune pudeur.

Qu'est-ce que c'est... bon. La femme libère son sein gauche et s'en empare. Elle pétrit, malaxe, empaume, empoigne les deux beaux seins lourds. Dans le même temps, elle se met à donner sans vergogne des coups de langue sur le lobe de l'oreille et sur la joue de la jeune femme.

La jeune femme enlève la main qui la caresse jusqu'à présent. D'une, elle a besoin de plus de salive afin de rendre ses caresses encore plus jouissives. De deux, elle... a envie de savoir quel goût son sexe a. Elle porte la main à sa bouche. Elle découvre sa saveur. Hmmm...

Et puis ses doigts, attirés par la chaleur et la moiteur du vagin, repartent à son assaut. La jeune femme se sent, est tellement mouillée. Elle décide d'introduire un doigt dans son sexe. Là. Le doigt rentre sans aucune difficulté dans l'orifice. Elle gémit de plaisir et bonheur.

Elle passe ses doigts sur les moindres organes qui composent sa vulve. Ses petites et grandes lèvres... Son clitoris... Son pubis glabre... L'entrée de la fente de son vagin... Elle gémit de plus belle. Elle est émoustillée. Et puis elle se remet à se masturber, un doigt dedans.

La femme investigatrice du rendez-vous n'est pas en reste.Non... Elle n'en finit pas de donner des coups de langue sur le lobe de l'oreille de la jeune femme. Ces caresses la font frissonner. Qu'est-ce qu'elle aime ça... Un coup sur l'oreille... Et puis un coup sur la joue...

La femme écarte une mèche de cheveux roux de la jeune femme et lui lèche langoureusement, goulûment la joue. La jeune femme fond sous cette caresse et halète. La femme pose une main délicate sur le cou de la jeune femme et lui lèche à présent le cou. La jeune femme sent bon.

La jeune femme varie les caresses qu'elle se donne. Tantôt, elle raffole de ces petits mouvements circulaires, légers comme des plumes sur son clitoris. Tantôt, elle a besoin de sensations fortes, ébouriffantes et c'est ainsi qu'elle réintroduit un doigt en elle. C'est... bon.

La femme derrière elle continue ses coups de langue sur sa joue et sur son cou. Depuis qu'elle la connaît, elle mourait d'envie d'être intime avec la jeune femme. C'est chose faite, désormais. Elle est belle. Elle sent bon. Elle est émoustillante quand elle se donne du plaisir.

Ses seins sont lourds et ils sont agréables au toucher, à la caresse. Qui plus est, et par-dessus tout, la jeune femme est rousse. La femme raffole des rouquines, surtout si elles sont sexy comme c'est le cas de la jeune femme. La femme savoure le moment. Elle a le sourire.

La femme est une voyeuse. Une jouisseuse. Une hédoniste. Ça lui plaît... beaucoup... d'être là, aux premières loges de ce spectacle de premier choix dans lequel la jeune femme met en scène ses fantasmes et son plaisir. Yeux bandés, seins caressés, joue et cou léchés, elle aime...

Elle se retrouve là,au milieu de nulle part, dans cette usine désaffectée. On lui a donné rendez vous. Elle n'a aucune idée de qui peut être l'investigateur de ce rendez-vous. Elle s'est faite belle. C'était l'une des instructions qu'elle a reçu dans le courrier. Elle appréhende.

Elle porte une robe avec des couleurs chaudes et des motifs de fleurs. Avant de rentrer dans l'usine, elle s'est bandée les yeux avec le bandeau noir en soie qui était dans le colis. Elle retient son souffle. Son cœur bat très vite, très fort. Soudain... Une voix résonne... Une femme.

- Enlève ta culotte.

Il y a des hauts parleurs dans l'usine ou quoi? Elle ne perd pas de temps: elle obéit.

- Relève ta robe.

Elle obéit. Sa chatte est visible. Humide.

- Touche-toi.

Elle obéit. Elle se mord la lèvre: elle éprouve déjà du plaisir.

- Baise-toi.

Elle obéit. Ses doigts se font plus fluides, plus entreprenants sur son minou.

- Plus vite.

Elle obéit. Son souffle est plus court. Elle halète. Elle gémit sans aucune pudeur.

- Dénude tes seins. Elle obéit. Elle libère son sein droit du soutien-gorge qu'elle porte.

- Caresse ce sein.

Elle obéit. Elle empaume, empoigne le sein. Elle le masse, le malaxe. Tout en continuant de se masturber, elle caresse ce sein. Elle halète: ça lui donne du plaisir.

- Lèche ce sein.

Elle obéit. Sa langue se porte sur le sein et lèche le téton.

- Abaisse-toi. Mets-toi à genoux.

Elle obéit. Elle arrête momentanément ses caresses diverses et variées. Puis, au bout de quelques secondes, elle reprend avec appétit sa masturbation. Le téton de son sein droit retrouve avec gourmandise les coups de langue de la jeune femme.

Elle se concentre sur ses doigts. Elle délaisse de nouveau ses deux beaux gros seins. C'est à ce moment-là que deux mains s'en emparent avec assurance et fermeté. La jeune femme sursaute. Il y a clairement une présence derrière elle. Elle sent un souffle chaud sur son oreille.

Elle, jolie brunette, presque la trentaine. Lui, beau gosse ténébreux au sourire Colgate. Elle lui donne des cours particuliers pour son examen de chirurgie qui aura lieu en fin d'année. Il est assidu, studieux. Elle, les cours, depuis un petit moment, c'est un prétexte...

Elle n'en a que faire. Il lui plaît de plus en plus. En réalité... Elle a envie de lui. C'est ainsi que depuis un petit moment maintenant, elle fait très attention à sa tenue. Parce qu'elle aussi... Elle veut lui plaire. Elle veut qu'il ait envie d'elle. Elle s'en donne les moyens.

Aujourd'hui, elle s'est faite encore plus sexy que d'habitude. Un gilet léger, beige au décolleté plongeant. Un soutien gorge noir, fait de fine dentelle. Comme d'habitude à l'occasion des cours, elle porte des lunettes. Elle est coquine quand elle les porte. Ses yeux sont dilatés.

Lui, il est concentré, comme à son habitude. Elle, elle a chaud. Elle est... chaude. Elle... mouille. Les tétons de ses beaux gros seins... pointent. Ni une, ni deux... Elle fait exprès d'être maladroite et renverse la tasse de l'étudiant sur lui. Elle s'excuse. Elle tâte...

C'est ainsi qu'elle met son plan à exécution. Elle libère ses seins des bonnets du soutien gorge. Dans le même temps, sa main caresse l'érection prometteuse de son élève. Elle approche ses lèvres de l'oreille. Puis, droit dans les yeux...

-J'ai... quelque chose... à te montrer...

La soirée a été quelque peu... arrosée. Euphémisme... Je ne suis pas dans mon état normal. Toi non plus, je vois. Tu minaudes et tes yeux sont dilatés. Tu me chauffes. Tu as toujours été une amie. Mais là, même pompette, je regarde la vérité en face. Tu es bien plus...

Je viens de rompre avec cette fille. Tu le sais. Tu ne l'aimais pas. Je le sais. Et là, tu me dis que tu n'en pouvais plus d'attendre pour me déclarer ta flamme. Que tu n'as pas à te plaindre parce que je suis beau gosse à tes yeux et que je te plais. Toi aussi, tu me plais.

Tu t'approches de moi et tu déposes tes lèvres sur les miennes. J'aime ce baiser. Je te regarde. Tes yeux sont brillants. Tu es... coquine, toi! Tu l'es d'autant plus quand tu portes ta main droite sur mon sexe et que tu me caresses à travers mon pantalon.

-Ça te plaît, ça ?

Bien sûr que ça me plaît ! Tu t'y prends bien. Sache le. Je te regarde, je te souris. Tu glousses. Tu rapproches ton visage du mien mais cette fois, c'est de mon cou dont tu t'empares. Je gémis. C'est... bon. Je bande.

- Ça fait tellement longtemps. Tu m'excites trop.

Elle est bellotte. Et son corps est... divin. Quand j'ouvre les yeux pour me réveiller, mon premier regard est pour elle. Je l'aime. Et là, elle est à quatre pattes et elle exhibe sans complexe son petit cul à la face du monde. Mais il n'y a que moi pour en profiter...

Elle ne porte que sa nuisette en dentelle. Ses beaux petits seins pointent de désir. Elle minaude, elle me sourit. Elle me susurre des mots coquins, elle glousse. Elle le remue,son petit cul. Son minou est humide. Je le vois, ça.

- Je veux... que tu me le lèches, mon cul...

J'ai les yeux bandés. Candice... Ma chère lectrice... et amoureuse aux beaux petits seins en poires... Tu n'en as fait qu'à ta tête. Tu es plus que jamais coquine. Qu'est-ce que j'aime cette facette de toi... Et qu'est-ce que j'a-dore faire l'amour avec toi... Je t'aime.

J'ai les yeux bandés. Je suis allongé sur le dos. Je ne peux que me laisser faire... et savourer cette fellation des plus délicieuses que tu me fais. Candice... Tu es curieuse, tu es gourmande. Coquine. Ta bouche sur mon érection. Mes bourses. Mon périnée. Mon... anus...

Je sens un liquide tiède couler entre mon périnée et la raie de mes fesses. Je ne sens plus une bouche. Je sens... un doigt. Un doigt qui se veut curieux, prudent. Doux,gourmand. Ce doigt... Il me titille mon petit orifice. J'ai le souffle coupé. Candice... Continue. J'aime.

Tu me le titilles, tu me le tâtes. Mon petit cul... Je râle, grogne de plaisir. Je gémis. C'est tellement bon, ce que tu fais. Je sens ton doigt entrer tout doucement en moi. Ma tête part en arrière, sur l'oreiller. Tu me reprends dans ta bouche. Du plaisir... J'y dis oui.

Des papouilles, des caresses. C'est ça, ce dont elle a envie, ma femme. Je ne sais plus depuis combien de temps elle travaille sur cet article. Ce que je sais, c'est qu'elle n'est plus la même. On ne fait presque plus l'amour. Je dois faire quelque chose. Je le veux...

Je vais m'en donner les moyens. Je m'approche d'elle et lui masse les épaules. Je dépose un subtil petit baiser juste sous son oreille. Je dépose un subtil petit coup de langue sur le lobe. Je l'entends très clairement gémir.

- Des baisers, des caresses, c'est ce que tu veux?

Deux japonaises, deux brunettes mignonnes, dans leur tenue de service, attendent avant que les clients arrivent. Elles se regardent, elles se parlent. Elles minaudent, elles se susurrent des choses. Il n'y a pas le moindre doute possible : elles se tentent, elles se séduisent.

Leurs yeux, leurs mains sont très vite attirés par la jolie poitrine de l'autre, dissimulée sous la tenue de service. Deux beaux seins de taille moyenne, en poires, chacune. Les mains s'y portent. Puis les lèvres. Puis... la langue. Elles se parlent, elles gémissent. Plaisir.

Nous nous retrouvons dans notre appartement douillet, cosy. Qu'est-ce qu'elle est belle... Et qu'est-ce qu'elle me donne envie... Elle s'est mise sur son trente et un. Je la prends dans mes bras. Je l'enlace. Je l'embrasse. Je ne peux plus du tout lui résister. Je la veux.

Elle voit qu'elle me plaît. Que ses seins me plaisent, tout particulièrement. Elles les libère de son top. Là. Elle me sourit. Elle me fait comprendre qu'ils sont autant à moi qu'à elle. J'y porte mes lèvres, ma langue. J'y porterais... bien autre chose... Ça va se passer.

Qu'est-ce que nous sommes bien... Le lit est confortable et notre sommeil est délicieux. Il fait chaud, juste ce qu'il faut dans la chambre. Elle comme moi, nous émergeons lentement mais sûrement des bras de Morphée. Je l'entends glousser. Je la sens bouger. Émoustillé...

Émoustillé, je suis. Car elle m'embrasse à pleine bouche. Puis elle se redresse et se place à quatre pattes pour me faire face. Je suis tout dur. Elle me prend dans sa main. Puis, dans sa bouche. Mon gland humide, elle le porte à ses gros seins et s'en caresse les tétons.