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Caprice et moi, nous nous accordons un petit câlin. C'est le calme mais pendant la tempête. J'ai les yeux brillants, les yeux qui me piquent à vrai dire. Les yeux presque au bord des larmes, limite. Les yeux pleins d'amour et de désir pour la jolie coccinelle. Je l'aime.

C'est notre première sodomie, aujourd'hui. Caprice en est à l'initiative et ce même si le cunni que je lui faisais à la base a dérivé en anulingus. Caprice ne me laisse pas indifférent. Et je suis loin d'être insensible à ses charmes. La preuve... Nous ne faisons qu'un, là.

Une aussi émoustillante créature que Caprice... C'est juste... impossible de lui résister. Et aujourd'hui, tout ce dont elle aura envie, je le lui donnerai. Comme à présent. Elle est à quatre pattes. Elle veut que je continue de la prendre par le cul comme ça. Mais ... avant...

Ma pupuce s'est cambrée. Mon sexe est collé à ses fesses généreuses. Je lui donne des baisers et des petits coups de langue dans le cou. Elle se cambre. J'empaume ses seins lourds. Elle remue même pour que je les fasse miens.

- Mmmh... Ça me plaît bien, ces câlins, Théo... Encore.

Stella s'est faite toute belle. Elle se détend sur le lit. Les draps sont frais. Elle ne fait qu'un avec eux. Elle a le sourire aux lèvres. Son amoureux ne va plus tarder. Vêtue de sa nuisette et de son shorty, tous deux en dentelle, il ne lui résistera pas. Stella en est sûre.

La jeune femme touche la dentelle de ses sous-vêtements. Elle a chaud. Elle sent que la rouge lui monte aux joues. Elle n'arrive plus à se calmer. Qu'il arrive! Et... Quand on parle du loup... La porte s'ouvre. Son copain la rejoint. L'embrasse. Lui touche ses gros seins.

Katia me fait fondre quand elle fait semblant de faire la moue, quand elle braque ses yeux suppliants dans les miens. Elle a lâché ses cheveux, ce soir. Ses yeux sont pétillants. Dilatés, je dirais même.

- Mon amour... Laisse-moi m'occuper de toi, ce soir...

Elle s'agenouille.

Je lis le bonheur et le plaisir que Katia ressent alors qu'elle me prend dans sa bouche.

- Katia...

Je tends une main vers son visage et du bout d'un doigt, je lui caresse les lèvres. Katia me sourit.

- Mon a... mour!

Elle me prend dans sa main et me place entre ses seins...

Caprice est confortablement allongée sur le dos. J'ai été jusqu'à caler un oreiller derrière sa tête pour que ce soit encore plus agréable pour elle. J'y tiens. Son bien-être et son plaisir sont les deux mamelles de mes priorités lorsque notre faisons l'amour. Et là...

Elle est entièrement nue... et elle est mignonne,ma jolie coccinelle. Elle est émoustillante... et elle respire, transpire la sensualité. Je n'ai d'yeux que pour elle. Je la vois, tout entière. Elle a écarté les jambes. J'ai une vue plus qu'excitante de sa vulve... mouillée.

Moi aussi, je suis confortablement installé. Je suis à plat ventre sur le lit et mon visage est tout tout près de la belle petite chatte de Caprice. Humide comme l'orifice est, ma langue et mes lèvres y seront bien. Et je ne parle pas de mon pénis...

- Caprice... Profite.

Caprice émet un sanglot. Je la regarde. Elle est émue. Oh! Ses cheveux sont lâchés. Ses gros seins ballottent. Ses yeux sont dilatés. Son pubis est toison et il me plaît beaucoup comme ça. J'embrasse les cuisses de mon amoureuse. Elle gémit. Je ferme les yeux. Je soupire...

Je dépose un petit morceau de ma langue sur l'entrée de la fente de Caprice. J'aime son goût. Salé, marin.Une saveur délicate mais agréable. Ma langue parcourt l'entrée du vagin de bas en haut puis de haut en bas.Caprice gigote, Caprice ne tient déjà plus en place.

- Profite...

En voilà une femme heureuse, qui plus est belle ET avec le sourire aux lèvres. C'est ce que Nicolas se dit quand il voit Célia rentrer. Il la regarde attentivement. Elle n'est plus la même mais elle n'est pas tout à fait une autre non plus. Elle s'est faite une teinture...

Ses cheveux habituellement bruns sont... plus sombres. Mais Célia n'en est pas moins belle. Oh... non. Elle regarde Nicolas droit dans les yeux. La jeune femme fait un tour sur elle-même, histoire qu'il la voit, sa nouvelle robe.

- Tu es... juste... sublime, Célia.

Célia sourit.

Nicolas s'approche de la femme qu'il aime et il la prend dans ses bras. Il approche ses lèvres des siennes et leur dépose un tendre baiser. Nicolas respire le parfum que Célia a subtilement déposé dans son cou. Qu'est-ce qu'elle sent bon... Nicolas tombe pour Célia. Il la désire.

Nicolas ne peut s'empêcher de poser ses mains sur le corps de sa compagne, sous prétexte de toucher la texture de la robe qu'elle porte. En réalité... C'est une piqûre de rappel de ses formes et des courbes qu'il se fait. Elle a des fesses émoustillantes... et de beaux seins.

J'ai tout le temps envie de Caprice. C'est aussi simple que ça. Plus particulièrement dû au fait que notre relation est pour le moment à distance. Quand nous nous retrouvons, nous rattrapons allègrement le temps perdu. Et là... À peine arrivée... Caprice se déchaîne...

Ni une, ni deux, sans perdre plus de temps, elle me pousse fermement sur le lit et je m'y retrouve allongé sur le dos. Elle, elle se tient debout et elle me regarde droit dans les yeux.

- Je ne suis pas... celle que tu crois...

Caprice déboutonne son chemisier. Moi, sans voix.

Elle porte le soutien-gorge rouge push-up en dentelle que je lui ai offert à Noël. J'ai envie d'elle, plus que tout, plus que jamais. Caprice dézippe et déboutonne le jean moulant qu'elle porte et l'abaisse à ses pieds. Là, je vois le tanga rouge, assorti au soutif'. Sexy girl.

Elle porte ses mains sur les côtés du sous-vêtement et l'abaisse à son tour à ses pieds. J'ai les yeux qui me sortent de la tête, un peu comme le loup de Tex Avery. Je n'ai d'yeux que pour Caprice. Je vois son sexe, poilu mais entretenu. Je la vois s'approcher de moi...

Elle prend place à son tour sur le lit. Je la vois me chevaucher, crescendo. Je la vois enjamber ma tête et poser sa chatte sur mon visage.

- Je veux... que tu me lèches...

Elle enfonce ses doigts dans mes cheveux. J'accepte son invitation. Sa chatte a un bon goût de chatte.

Qu'est-ce que j'aime dormir avec elle... Rhoo...! Sa respiration est une musique agréable pour les oreilles quand elle dort, presque une berceuse. Et en plus, elle est apaisante. Mais c'est lorsqu'elle se réveille en pleine nuit qu'elle m'émoustille. Ah... L'amour, la nuit...

Et là, elle est à califourchon sur moi. Elle émet ces bruits de plaisir dont elle a le secret. La chambre est plongée dans l'obscurité. Je ne vois pas ma jolie coccinelle. Mais je la sens. Je l'entends. Je sens son sexe se frotter sur le mien. Je sais qu'elle aime faire ça.

C'est tout doux, tout chaud, ce qu'elle secrète dans son corps. Je ne m'en lasse pas. Caprice s'en donne à cœur joie. Elle prend mes mains dans les siennes. Elle les pose sur deux globes de chair, tendres, chauds. Elle manipule avec délicatesse mes doigts. Oh sa poitrine...

- Touche les. Caresse les. Masse les. Malaxe les. Pétris les. Titille les. Embrasse les. Lèche les. Suce les. Mordille les. Tète les. Baise les. Tu fais ça toujours aussi bien, mon amour. Vas-y... Sur ces paroles, elle soupire. Et puis, elle gémit. Ah l'amour, la nuit...

Antoine rentre du boulot. La journée a été longue. Il avait hâte de revenir à la maison... et retrouver sa jolie Laetitia. Ah sa Laetitia... Antoine fond direct' sur elle à peine la porte d'entrée de la maison fermée. Il la serre dans ses bras et l'embrasse. Il a envie d'elle.

Qu'est-ce qu'elle est belle avec ses longs cheveux bruns lâchés et sa parure de lingerie rouge, émoustillante... Laetitia a les yeux qui brillent. Elle se met à genoux et prend le sexe d'Antoine dans sa bouche. Il ne résiste pas et dégrafe le soutien-gorge. Ils se désirent.

Laetitia a glissé avec amour le sexe d'Antoine entre ses lèvres et celles-ci glissent avec aisance de bas en haut,de haut en bas sur le pénis tout dur, gonflé de désir et de sang de son compagnon. Elle le regarde dans le dans les yeux et ne le lâche pas. Elle a envie de lui.

Antoine se laisse aller et savoure la douceur, la chaleur et l'humidité de la bouche de sa femme qui coulisse sur son érection. Il glisse une main dans ses cheveux et la guide. Laetitia pousse un soupir de plaisir. Elle prend le pénis et le guide jusqu'à ses seins. Entre ses seins...

Son cœur bat la chamade. Depuis le temps qu'elle attend ça... Et là, il est là, à ses côtés. Il lui dit qu'elle lui plaît et qu'il n'y a qu'elle. Ni lui ni elle voulait faire le premier pas à la base, par peur d'être rejeté par l'autre. Il s'est finalement jeté à l'eau.

C'est la meilleure décision qu'il ait jamais prise. Et ce n'était pas gagné. Il a fallu que son pote lui parle. Cette fille qui lui a plu depuis le début... Elle est là. Il lui dit des mots doux à l'oreille. Elle rougit.

- Viens... Je connais un endroit. Ça va te plaire...

La femme s'empare de plus belle des seins de la jeune femme. Les caresses que cette dernière se donne la font soupirer, gémir de plaisir.

- Plus vite.

Elle obéit.

- Plus vite.

Au fur et à mesure où la jeune femme se masturbe et que son vagin s'humidifie, la cyprine s'entend.

La femme accompagne la jeune rousse dans le plaisir. Elle retire une main de l'un des seins et elle la pose tout doucement sur le minou trempé de la rouquine. Elle la caresse, la touche, la masturbe. Ça ne l'empêche pas le moins du monde de continuer ses coups de langue...

Les doigts de la jeune femme sont de plus en plus fluides et leur mouvement était frénétique. Il faut dire que vu la moiteur de son vagin... C'est tellement agréable. La femme derrière elle n'en perd pas une miette et glisse un doigt dans l'orifice vaginal dilaté à souhait.

- Plus vite.

La voix de la femme se fait moins... audible. Pourtant, elle n'en pense pas moins. Elle continue de doigter la jeune rousse et elle l'accompagne dans le plaisir. La jeune femme obéit.

- Plus vite.

La jeune femme obéit. Elle gémit de plus belle.

- Plus vite.

La jeune femme a les lèvres ouvertes et elle halète de plus belle. Message reçu cinq pour cinq pour la femme: elle porte un énième coupe de langue dans le cou et sur la joue de la rouquine. Cette dernière n'est plus qu'une petite chose perdue et va tout droit vers l'orgasme.

La jeune femme ne parvient plus du tout à se calmer. Sous l'emprise de la femme derrière elle, sous l'emprise du plaisir qui est plus que jamais intense, son corps se mouve sans qu'elle ne maîtrise quoique ce soit.

- Plus vite.

La jeune femme soupire.Gémit. Coup de langue...

La jeune rouquine perd complètement les pédales tant le plaisir est à son paroxysme. Elle tourne légèrement la tête en direction de sa partenaire du jour. Elle a envie de l'embrasser. Leurs bouches se rapprochent. La femme est perverse. Leurs langues s'unissent. Puis les lèvres.

La rouquine se déchaîne alors et porte ses lèvres et sa langue là où elle peut atteindre la femme qui se tienne derrière elle, qui lui lèche le cou et la joue depuis tout à l'heure et qui l'aide à prendre son pied. La jeune femme tremble: elle est sur le point de jouir...

Elle est aidée par la femme qui porte ses mains partout sur son corps. Son pubis... Ses cuisses.. Ses hanches... Ses seins... Ses épaules... Les deux femmes s'amusent comme des folles. Elles s'embrassent,elles se galochent.

- JOUIS!

L'ordre de la femme retentit. Sa voix est sévère.

L'ordre que la femme donne à la jeune femme rousse aux beaux gros seins résonne dans l'air comme un coup de fouet. Les cuisses bien écartées, accroupie, les mouvements de la jeune femme sont incontrôlables. Son vagin se contracte.

- Plus vite.

...

- Plus vite.

La rousse gémit.

Un énième coup de langue de la femme dans son cou fait définitivement chavirer la jeune femme. Elle pousse un gémissement des plus éloquents. Elle perd complètement la tête et elle n'est plus que sa main et sa vulve. Un coup de langue dévastateur l'achève. Elle crie. ELLE JOUIT.