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J'écoute attentivement ce que dit Caprice, à l'autre bout du téléphone. Je l'imagine, la pupuce... Ma jolie coccinelle... Je l'imagine, confortablement installée sur son lit, allongée sur le dos. Je l'imagine, entièrement nue, ses longs cheveux châtains lâchés. Je l'imagine...

Je l'imagine, sans ses lunettes, ses yeux mi-clos. J'imagine ses jolis seins lourds qui ballottent et dont les tétons sont allongés parce qu'elle est excitée. J'imagine Caprice qui retient son souffle. J'imagine sa jolie petite chatte qui est toute trempée et qui se dilate.

Je suis confortablement installé sur mon lit, allongé sur le dos, moi aussi. Je suis tout nu, moi aussi. Je retiens mon souffle, moi aussi. Caprice est chez elle, à Rennes. Je suis chez moi, à Boulogne sur Mer. Le téléphone rose nous permet de vivre notre vie sexuelle.

Et ce soir, je joue l'étudiant qui a fait une bêtise. Caprice est dans la peau de la CPE. Elle m'a convoqué. Si je veux éviter l'heure de colle, je vais devoir satisfaire, combler ses envies. Je caresse ses seins. Je lèche son minou, la doigte. Je la prends. Vagin. Anus...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le lavomatic est plutôt vide en ce bel après-midi. Un homme entre. Deux femmes approchant la trentaine y sont déjà. L'homme est frappé par la complicité qui semble unir les nanas. Elles sont belles et elles se sourient. Elles sont belles et elles flirtent. L'homme les observe...

Sa lessive passe au second plan. Il n'a d'yeux que pour les deux blondes qui s'embrassent à présent. Elles sont belles. Que c'est joli, deux femmes ensemble... Sous une pile de vêtements, caches puis dévoilés, un vibromasseur, un gode et un gode-ceinture. Il est sur le cul...

Son esprit s'égare. Il en oublie le but de sa venue ici. Il voit les deux belles blondes se donner du plaisir. Il les entend prendre du plaisir. Du broute-minou au gode-ceinture, il n'y a qu'un pas. 

Un petit éclat de rire le réveille. Il a de la lessive sur lui. Il est penaud.

Je suis avec ma compagne, Chloé. Elle est jeune et elle est belle. La vingtaine, blonde, de longs cheveux blonds, des gros seins, refaits, libertine comme moi. Je lui ai bandé les yeux pour le dîner. C'est que... j'ai une surprise pour elle. Je n'en dis pas plus. Surprise...

La surprise en question, c'est une femme. Jessica. Une blonde aux cheveux longs. Jolie. Presque le sosie de Chloé. À la différence près que notre invitée a une poitrine plus petite. C'est une coquine, une libertine, comme nous. Je la convié à notre table. Les yeux bandés... 

Une vision de rêve, j'ai. Deux belles blondes. Elles sont gourmandes. Coquines. Et les voilà copines comme cochonnes. Je ferme les yeux. Leurs lèvres, leurs langues s'activent sur ma queue. C'est délicieux. C'est voluptueux. J'ai hâte de les prendre, Chloé comme Jessica.

Thierry est chez l'hypnothérapeute. La femme l'écoute et prend des notes. L'homme confie que sa femme n'aime pas ses petits seins et qu'elle a pris la décision de les rendre plus gros. Il a peur de ne pas les aimer. 

Le médecin lui recommande l'hypnose. 

5, 4, 3, 2, 1...

Thierry est nu, allongé sur un matelas dans une véranda, près de la piscine d'une villa.

- Tu vas aimer les gros seins...

Une femme est à califourchon sur lui. Elle a de longs cheveux bruns. Elle frotte ses beaux gros seins sur le visage de l'homme. Sensation voluptueuse...

Thierry a chaud. Il transpire. Il a bien du plaisir. Après avoir été branlé puis sucé, après que la femme l'ait masturbé avec ses gros seins, après qu'il l'ait léchée, il la prend et ils aiment ça, l'un contre l'autre. Il va jouir...

- Ça va, Monsieur?

Il rouvre les yeux.

Lady Chatterley est frustrée. Frustrée d'être mariée... de ne plus être satisfaite. Ses meilleures amies en ont vent et un beau jour, elles rendent visite à Connie.

Les quatre demoiselles sont heureuses d'être réunies. C'est une explosion de joie dans le cottage des Chatterley.

Passant par-là, comme chaque jour, Olivier, le jardinier français du cottage, jette un coup d'oeil. Juste pour s'assurer que tout se passe bien. Soudain, en regardant par la fenêtre du salon, il se raidit, comme pétrifié. Il rêve? Quatre femmes, dont la Lady, jouent entre elles.

Il rêve? Si non, doit-il en parler à Sir Clifford? Si non, que doit -il faire? C'est vrai qu'elle est jolie, Lady Chatterley...

Un claquement de doigts ramène l'homme à la raison. Il lui faut quelques secondes pour recouvrir la raison.

- Olivier. Occupez-vous de la roseraie.

Bruxelles, salon de la littérature érotique, dans une salle à l'écart. Elle est nue. Elle m'a entraîné vers cette table et m'a attiré contre elle. Je l'embrasse dans le cou et j'empaume ses seins. Nos sexes se frottent. Elle me déshabille. Mes mains descendent et la caressent...

Je suis en elle et c'est tout doux, tout chaud. Nous commettons l'irréparable. Elle trompe son compagnon. Je la prends sur cette table. Je lui caresse son clitoris. Je regarde ses seins ballotter. Les yeux fermés, elle halète. Cette table sera témoin de notre premier orgasme...

Elle est dans une chambre et elle se la joue coquine. Elle me fait une pipe et elle s'y prend bien. Elle est la reine de la fellation, à mes yeux. Elle sent que je vais jouir... Elle arrête, m'enjambe pour poser sa 'petite' chatte sur ma bouche. 

C'est... bon.

Le réveil résonne.

La bande de copines est enfin réunie. Elles se jettent dans les bras et se font la bise. Elles s'embrassent sur la bouche. Toutes sont bisexuelles. Brunes, blondes, rousses. Ce week-end, elles sont rien qu'entre filles. Le vin et le champagne sont prêts. Tout comme les sextoys...

Il ne faut pas beaucoup de temps pour que la bande de copines entre dans le vif de sujet. Elles se déshabillent les uns les autres. Les baisers et les caresses chastes leur ouvrent l'appétit. Les mains et les bouches sur les seins comme sur les minous. L'orgie peut commencer...

On n'entend plus que les gémissements, les soupirs et les cris des jeunes femmes. Les copines forment un large cercle, et font le petit train. Elles se lèchent les unes les autres. Les minous sont trempés, et les corps se couvrent de sueur. Les orgasmes seront le bouquet final.

Je l'aime bien, cette sud-américaine. Je lui apprends le français, une fois par semaine. Elle progresse bien, elle progresse vite. Et je dois avouer que... elle est mignonne. Elle me plaît. C'est avec plaisir que j'accepte de lui apprendre des mots coquins, en français...

Son accent rend sexy les mots français qu'elle prononce. La bouche... La langue... Le cou... Les seins... Les tétons... Les fesses... Les jambes... Les pieds... La chatte...

Avec ses lunettes, c'est l'étudiante modèle. Elle me dit qu'elle n'a jamais essayé le French kiss...

Avec ses couettes, ses lunettes, son chemisier et sa jupe plissée écossaise, elle a tout de l'étudiante sérieuse. Mais elle est coquine, en fait. Elle me lèche bien. C'est... bon d'être léchée par une nana. Je sens que les leçons de français seront... différentes, à l'avenir.

Léa est tout émoustillée. C'est donc... vrai. Elle et son prof particulier de gym sont collés serrés et ils s'embrassent comme si leurs vies en dépendaient. Il est beau mec, décidément, cet homme noir. Et il embrasse bien, dites donc! Elle fond sous les caresses de l'homme.

Ça faisait des mois qu'elle fantasmait sur son prof. Depuis qu'elle s'était inscrite au club local de gym, en fait, pour des cours à domicile. Elle rêvait qu'ils s'embrassaient, qu'ils se pelotaient. Qu'il la déshabillait, qu'il portait sa bouche sur ses jolis seins lourds.

Ah... Les beaux gros seins en forme de poires de Léa... Le beau professeur black n'y a pas résisté. Il a relevé la brassière de sport de la jeune femme et a immédiatement après porté ses lèvres sur le sein gauche de son élève. Léa a aussitôt capitulé. Elle s'est donnée...

Léa est une jouisseuse, une sauvageonne. Et elle est une suceuse de première. Une serial suceuse, comme elle aime dire. Son prof canon ne lui a pas résisté. Le prof et l'élève ont fait l'amour, baisé. Léa a apprécié cette discipline sportive. Elle n'oubliera jamais.

Carla et Angélique sont tranquilles, dans le studio où elles sont colocataires. Carla boit une limonade à la paille. Sa coloc' la regarde et ne la quitte pas des yeux. 

-Tu en veux?

Angélique acquiesce.

Carla lui tend le verre. Elle est belle, sa coloc'. Et si?

Elle l'embrasse...

Carla a les hormones en ébullition et ne tient pas en place. Elle abaisse le top bustier blanc de sa coloc' pour libérer ses seins. Ils sont petits. Ils sont beaux. De beaux petits mamelons roses. La jeune femme y met les lèvres. Angélique fond et se laisse faire. 

Du plaisir...

Carla halète. Les va-et-vient du gode-ceinture d'Angélique sont voluptueux et elle y répond avec des mouvements de bassin. Prise par-derrière, mouillée à souhait, elle s'en remet à sa colocataire pour qu'elle la fasse jouir. Merci au cunni, au doigtage et au 69. Carla jouit.