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Carine est une jolie jeune femme aux longs cheveux roux. Je suis fier qu'elle soit ma compagne. Elle est volcanique et dès lors qu'elle braque ses beaux yeux bleus dans les miens, les dégâts sont perpétrés et je ne réponds plus de rien. Je lui appartiens. Je la désire.

Je sors lentement mais sûrement, paisiblement du sommeil délicieux dans lequel j'étais plongé. Je me frotte les yeux et j'écarte les bras pour m'étirer. Je touche l'oreiller où Carine a posé sa tête. C'est tout chaud, tout humide.

- Mon amour...

Carine me dévore des yeux.

Elle a dû s'être levée tôt, vu qu'elle porte sa fameuse jolie robe rouge et noire et la jupe assortie. La robe est décolletée, juste ce qu'il faut. Je n'ai pas d'effort à faire pour remarquer ses jolis seins rebondis. Ils sont refaits mais je m'en fiche. Je les trouve beaux.

Carine est audacieuse et elle me le montre, ce matin. Elle relève la couette qui recouvre mon corps et me voilà tout nu, sous son nez. Ses yeux sont brillants. Elle empoigne mon érection et commence des va-et-vient langoureux. Elle approche son visage et me prend en bouche.

Christelle est tellement jolie, avec ses longs cheveux bruns lâchés et ses lèvres roses pulpeuses. Je suis fier de l'avoir pour compagne. Et par-dessus tout, elle est la reine de la fellation à mes yeux. La preuve... ses lèvres sont douces, elles vont et viennent. Et sa langue...

Avec sa langue, Christelle fait des merveilles. Elle me titille aux endroits où je suis sensible. La couronne... Le méat... Le frein. Mais ce qui est délicieux dans cette pipe qu'elle me taille, ce sont ses caresses diverses et variées. Je suis à deux doigts de jouir...

Trêve de plaisanteries. Moi aussi, je compte bien donner du plaisir à ma Christelle. Je la fais s'allonger sur le dos, sur le canapé. Je lui écarte fermement les jambes et je l'empêche de les refermer. Ma langue butine sur le vagin et sur le clito de ma femme. Elle gémit.

Christelle vient de jouir. Son vagin s'est contracté et elle a explosé dans un boucan à réveiller les morts. Je ne perds pas de temps et je l'installe à quatre pattes sur le canapé. Je m'introduis lentement en elle. Je veux qu'elle sente chaque centimètre de moi. Je la prends.

Caprice pleure. Je lui ai demandé d'arrêter de me sucer. Non pas que je n'ai pas aimé ça. Mais je n'ai pas réussi à me détendre et et à lâcher prise. J'ai mal pour elle. C'était de son initiative et une belle preuve d'amour qu'elle m'a fait. Il faut que je la console.

Je me redresse et je m'avance vers elle. Je colle mon corps contre le sien et je rapproche mon visage du sien. Nos fronts se touchent. Je pose le bout de mes doigts sur son menton et je l'oblige à me regarder. Là, nos yeux se captent.

- Caprice. Pardonne-moi. Je t'aime.

Caprice sanglote. Des larmes coulent sur son visage. Ça me fait mal de la savoir comme ça. Et dire qu'elle s'y était bien prise... Il faut que je fasse quelque chose.

- Benoit... Benoit... J'aurais tellement voulu te faire jouir avec ma bouche. Je... Je...

- Chut, Caprice.

Je demande à ma jolie coccinelle de s'allonger sur le dos, à cette même place que j'occupais il y a encore quelques minutes. Je lui demande d'écarter les jambes. Je m'allonge à plat ventre sur le lit. Je rapproche mon visage de son minou. Je tends la langue et je la lèche.

Ça me fait un... je-ne-sais-quoi, quand je vois Constance me faire face et se comporter telle qu'elle se comporte. Elle exhibe avec fierté et avec bonheur ses nouvelles courbes, ses nouvelles formes dues à sa grossesse. La perspective de la maternité exacerbe sa sensualité.

D'une voix qu'elle veut sensuelle, elle me susurre qu'elle a l'intention de nous faire passer un agréable moment, à tous les deux. Elle déboutonne son chemisier blanc et là, je vois ses seins généreux, enfermés dans le soutien-gorge qu'elle porte. Elle les libère aussitôt.

Constance se dandine. Elle remue son gros cul et elle empoigne ses énormes seins pour les malaxer. Elle s'approche de moi et elle plante son regard dans le mien. Elle remue son corps et ses seins s'agitent, là, juste sous mon nez. Ses mamelons sont bruns et ses tétons, gros.

Elle me prend les deux mains et les guide jusqu'à ses jolis gros melons. Elle, sa main se porte sur la braguette de mon pantalon et elle la dézippe. Elle me libère de mon boxer. Elle se penche légèrement, de telle sorte que ses seins me touchent, me caressent. Me prennent.

Qu'est-ce que Cyrielle m'excite quand elle se met à n'en faire qu'à sa tête... Rhoo... Quand je l'ai retrouvée à la maison, elle était toute pimpante. Elle avait le sourire aux lèvres. Et... À vrai dire... Elle avait le rouge qui lui coloriait les joues. J'ai embrassé Cyrielle.

Ses yeux étaient tout pétillants. Dilatés, je croyais voir, même. Elle... Elle avait des idées derrière la tête... À mon avis... Des idées vilaines, coquines. Des idées toutes sauf innocentes. La suite des événements m'a donné raison sur toute la ligne. Sexy Cyrielle...

Allongé sur le dos, les jambes écartées, en chandelle, je m'en suis remis à elle. Mon érection bien en main, je la faisais coulisser lentement entre mes doigts. Cyrielle, elle, s'en est donnée à cœur joie, avec sa langue, plus bas... Qu'est-ce qu'elle était douée... J'aimais.

Au comble du plaisir, je viens de jouir sur mon ventre. Les coups et les percées de la langue de Cyrielle ont été ravageurs et ils ont eu raison de ma résistance. Elle m'a branlé dans le même temps. J'étais prisonnier de ses caresses. J'ai rendu les armes. J'ai envie d'elle.

Benoit contemple, admire, observe son mec qui dort paisiblement dans leur lit. Ah il n'y a pas à dire: Romain l'excite, l'émoustille. Ni une, ni deux, Benoit relève la couette, tend une main dans le boxer de son copain et approche son visage de sa queue. Il se met à le sucer...

Romain ouvre les yeux et voit la vision délicieuse que lui offre Benoit, allant et venant sur son sexe. Romain a tellement envie de lui, dans ces cas-là. Il veut lui aussi... l'honorer.

- Benoit. Mon amour. Mets-toi... à quatre pattes.

Romain lui écarte les fesses et le lèche.

Après avoir longuement préparé Benoit, après avoir délicatement et lentement lubrifié et dilaté son anus, Romain pare son sexe d'un préservatif et s'introduit dans le cul tout humide de son mec. Il prend ses fesses à pleines mains et raffole de sa bite dans son orifice anal.

Romain encule Benoit, le lime. Benoit est allongé sur le dos et n'en finit plus de gémir. Il halète. Il supplie Romain de continuer de le prendre avec vigueur. Romain est au comble du plaisir. Il retire la capote, se masturbe un peu et dans un râle, finit par jouir sur Benoit.

Stella s'ennuie ferme, sans son compagnon. Elle est comme une cocotte minute qui bout à très haute température, comme une centrale électrique qui tourne à plein régime. La jeune femme n'arrive plus à se calmer. Elle a tellement envie... besoin de sexe. Soudain... L'illumination.

Elle orne ses jolis gros seins aux petites aréoles roses de pinces à tétons et elle pare son corps d'une simple mais jolie nuisette en dentelle. La jeune femme transpire la sensualité. Puis, elle s'oriente vers le tiroir de sa table de nuit et en tire son plug anal...

Elle entrouvre ses lèvres et elle humidifie, lubrifie le plug avec sa salive. Elle le suce comme si elle suçait son mec. Elle aime ça. Elle aime, adore le sexe, Stella. Puis, après s'être délicatement lubrifiée, dilatée, elle introduit le plug dans son cul. Elle soupire...

Stella s'allonge confortablement sur son lit et entrouvre le décolleté de sa nuisette. Elle libère ses gros seins au grand jour. Sa main se porte sur sa belle petite chatte et la jeune femme commence à se masturber. Elle y prend goût. Elle y prend... du plaisir. Elle gémit.

Angèle a réservé une surprise des plus émoustillantes à son copain, Thibault, quand il est rentré de la salle de sport où il s'est dépensé comme ce n'est pas permis. Elle lui a susurré à l'oreille de s'asseoir bien gentiment, tranquillement. Elle lui a bandé les yeux...

Elle lui a lié les mains dans le dos. Puis elle a abaissé les bretelles de sa robe rouge et elle a mis ses jolis gros seins à nu. Elle les a empaumés délicatement dans le creux de ses mains et elle les a pressés l'un contre l'autre. Puis elle s'est assise sur Thibault...

Elle a passé une main derrière sa tête et l'a pressé contre sa poitrine. Le droit et puis le gauche, il les a embrassés. Léchés. Tétés. Puis elle lui a retiré le bandeau des yeux et elle l'a libéré de ses liens. Elle lui a pris la main et elle l'a guidé jusqu'à leur chambre.

Elle a commencé par le prendre timidement dans sa bouche. Elle a pris confiance et elle lui a fait avec amour une fellation dont elle a le secret. Puis après, elle l'a pris entre ses seins et elle l'a branlé comme elle sait le faire. Thibault, à bout de souffle... a joui.

Laurène prend du bon temps, dans sa baignoire. Elle aime, jouit, raffole de l'eau chaude, mousseuse sur son corps. Après sa journée de travail, elle se détend. Ses pensées divaguent quand son amant envahit, occupe et ne quitte plus ses esprits. Elle le voit, tout à l'heure...

Elle tend une main vers le rebord de la baignoire, à proximité du robinet et elle s'empare de son gant éponge. Elle le trempe dans l'écume recouverte de mousse puis elle s'en dépose généreusement sur son corps. Laurène s'attarde en particulier sur ses jolis gros seins...

Laurène glousse. Elle sourit. Elle est émerveillée par la vision de la mousse sur sa belle poitrine généreuse. Puis, elle tend la main vers le pommeau de la baignoire et elle se rince. Elle sort du bain et se sèche. Elle quitte la salle de bain et se vêtit d'un body sexy...

Laurène se rend dans le salon. Son amant est arrivé. Il est assis sur le canapé. Elle sourit. Elle le rejoint. Elle entrouve le décolleté du body et ses seins lourds aux larges aréoles jaillissent. Elle approche ses seins du visage de son amant qui s'y blottit, tendrement.

J'ouvre les yeux. La nuit a été agréable et j'ai dormi comme un bébé. Et quoi de mieux que se réveiller en voyant la femme que l'on aime nous sourire. Anne est belle. Elle me tend le bout de ses lèvres. Nous nous embrassons. Elle me demande si j'ai fait de beaux rêves... coquins.

Je l'entends avoir un petit rictus coquin. Elle me dit qu'elle voit que je bande. Elle me demande de lui montrer à quel point je suis en érection. Quand elle la voit, elle déclare qu'il serait bien dommage qu'elle n'en profite pas, ce matin. 

- Masturbons-nous. Regardons-nous...

On entend des bruits de plaisir dans la chambre. Une odeur de sexe se fait sentir. Anne m'encourage et me donne des instructions pour que je me masturbe. J'encourage Anne et je lui dis ce que je veux qu'elle fasse pour qu'elle se caresse.

C'est émoustillant.

Quel pied, ensemble.