mndq

Je regarde Caprice et je me délecte de la vision qu'elle m'offre. Ma jolie coccinelle a les mains attachées aux barreaux de notre lit et elle a les yeux bandés. Elle est entièrement nue. Je la laisse quelques instants pour aller chercher de la crème glacée dans notre frigo.

Je me penche sur Caprice et je pose mes lèvres sur les siennes. 

- Je t'aime, Caprice.

Ma jolie coccinelle essaie de se débattre.

- C'est pas juste, mon chat! Détache-moi!

- Chuuuut, Caprice. Chuuuut...

Je l'embrasse. Je me décale légèrement. Je contemple sa nudité.

- Tu as faim?

Caprice gigote sur le lit et elle ne retient plus les mouvements de son corps. Ce doit être une torture... délicieuse pour elle d'être embrassée et léchée. La vanille lui va bien. Je sais que c'est son arôme et sa senteur préférés. Du coup, je m'en donne à cœur joie. J'aime.
 

Jeanne est une belle femme. Elle a la trentaine. Elle a de longs cheveux bruns et les yeux marrons. Elle est particulièrement fière de ses beaux gros seins, ronds, aux larges aréoles roses. Son métier? Elle est professeure de dessin et elle donne des cours. Son péché mignon ?

Les jeunes. Et là, elle est en train de se faire baiser par Samuel, un jeune homme mignon et qui a à peine la vingtaine. C'est... bon, le plaisir qui lui donne alors qu'il va et vient en elle, comme un fou, en levrette. Elle ne boude pas son plaisir : elle l'exprime.

Il la prend avec vigueur et ça fait que les gros seins de Jeanne ballottent. Insatiable de sexe, elle fait comprendre à Samuel, en le saisissant par le bas de son t-shirt, qu'elle désire qu'il continue de la prendre... et de la baiser comme ça. Puis, ils changent de position.

Jeanne se couche sur le côté. Samuel colle son torse au dos de sa prof. Et il réintroduit sa queue dans le vagin tout mouillé de la MILF. Jeanne est tellement insatiable, excitée qu'elle lèche, suce l'un de ses tétons. Samuel la voit faire. Il tend la bouche et tète sa prof.

Lola est assise à l'une des tables de ce café. Elle révise dans l'optique des examens qui vont commencer dans deux examens. Elle est sérieuse et elle ne néglige aucun détail, aucun programme. Quitte à négliger sa vie sociale. Un homme, lui, l'a repérée, Lola. Elle est belle...

L'homme est beau gosse. Il prend son courage à deux mains et se lève pour se diriger vers la table de la jeune étudiante. Elle est jolie. Elle a de longs cheveux bruns, coiffés en queue de cheval. Elle a de beaux yeux bruns et elle porte des lunettes. Et... de beaux gros seins.

Il arrive à sa hauteur et lui bonjour. Il lui demande comment elle va. Elle lève les yeux et voit ce mec. Beau gosse, musclé, avec des tatouages sur les bras. Mais... Elle est concentrée sur ses révisions. L'homme le voit, ça.

- Y'a pas que les révisions dans la vie, mam'zelle !

Ça a été ainsi que l'homme l'a convaincue de quitter le café et ses révisions. Il embrasse Lola et la pelote. Il relève son t-shirt et voit ses jolis gros seins ronds. Il y porte ses mains, ses lèvres, sa langue. Lola fond sous les caresses de son partenaire. Que c'est... bon.

Line et Michelle sont colocataires. Elles ont pratiquement le même âge et c'est un plaisir pour les deux jeunes femmes de cohabiter. Aujourd'hui, c'est dimanche et elles se reposent avant de reprendre les cours demain. Se reposer? Pas exactement... Elles s'amusent, plutôt.

Oh... oui. Elles s'adonnent à une bataille de coussins. Elles rient, elles gloussent. Quand soudain... Les deux étudiantes se rapprochent. Elles se regardent. L'atmosphère devient d'un coup électrique. Leurs visages se rapprochent. Leurs bouches se touchent. Premier baiser.

Line et Michelle sont deux belles brunes. Michelle a toujours été fascinée... en secret... par la poitrine généreuse de sa colocataire. Et là, force est de constater que le tee-shirt que Line porte suggère la rondeur et la plénitude de ses seins. Elle veut les voir. Et plus...

Michelle n'en peut plus, elle n'arrive plus du tout à calmer ses désirs, ses ardeurs. Elle relève le vêtement rose de Line et dévoile ses beaux gros seins. Elle les prend à pleines mains. Elle les empaume. Sa bouche se pose sur le sein gauche. Elle lèche, tète Line. Elle aime.

Sybille et Cléa sont deux amies qui ont toujours été très proches. Elles se connaissent depuis qu'elles sont gamines. Si on leur avait dit qu'un jour, à l'issue d'une bataille d'eau, en tout bien tout honneur, elles découvriraient qu'elles seraient plus... intimes...

Ça a dégénéré et voilà que c'était comme si elles postulaient pour le titre de 'Miss Tee-shirt mouillé'. L'eau détrempait leur tee-shirt et ça faisait que ça moulait leurs deux jolies petites poitrines aux tétons pointant de manière arrogante lorsqu'elles étaient excitées.

C'était une belle journée de printemps et le soleil tapait mais raisonnablement. De plus, une légère brise adoucissait l'atmosphère. Les deux jeunes femmes riaient, gloussaient tout en se contemplant. Il y avait de l'électricité dans l'air entre elles. Crescendo...

Ça a été ainsi que Sybille et Cléa se sont rapprochées, petite touche par petite touche et que leurs lèvres se sont moulées, touchées. Elles se touchaient, s'apprivoisaient.

- Sybille... Tu es belle.

- Toi aussi, tu es belle, Cléa.

- J'ai envie de toi.

- J'ai envie de toi.

Il ne peut pas y avoir de meilleur réveil, sur Terre. Ce n'est juste pas possible, ça. J'ai une vision des plus délicieuses là, juste sous mes yeux. Lucie est réveillée et elle arbore déjà son sourire d'un jour optimal. Je quitte petit à petit les bras de Morphée en la voyant.

- Ce que tu vois te plaît, mon amour?

Tu... parles, Lucie. Si tu me réveilles tous les matins comme ça... Je voudrais te faire l'amour à chaque fois... Tu tournes sur toi-même et je ne peux que trop bien la belle robe d'été légère que tu portes.

- Et... Elle te plaît, ma robe?

Tu es si belle, dans ta robe, mon cœur. Je n'ai d'yeux que pour toi. Mais c'est quand tu la retires que je perds la raison, pour de bon. Tu es nue en dessous. Je les vois, tes beaux gros seins, en forme de pommes. Ils sont lourds et je les aime comme ils sont. Tu le vois, ça...

Ta belle poitrine s'adonne à une danse où elle s'agite, où elle ballotte et tressaute. Je vois tes larges aréoles roses et tes tétons inversés. Tu me regardes. Tes yeux ont une couleur sombre et tu fais semblant de faire la moue.

- Et mes seins, ils te plaisent aussi?

Oui...

Et plus tu te rapproches, plus tu me mets dans tous mes états, Lucie. Et... Tu ne peux que le voir, que je bande. Je bande pour toi. Tu retires la couette qui couvre mon corps et tu me prends dans ta main. Tout doucement, tu me branles. Tu me regardes dans les yeux. Je soupire.

Plus tu me masturbes, plus je remarque que tu rapproches ma queue de ta poitrine lourde, émoustillante. Et la suite me donne raison. Tu places mon sexe entre tes seins et tu vas, tu viens... Tu vas et tu viens... Tu vas, tu viens... Je gémis. Je vais jouir, si ça continue...

Mon compagnon et moi, nous tournons autour de cette jeune femme brune aux jolis gros seins harmonieux et nous l'observons sous toutes les coutures. Nous n'en perdons pas une miette, d'elle. Elle est nue, elle a les yeux bandés et ses mains sont liés par des menottes.

Elle n'est peut-être pas parfaite... Elle me plaît aussi bien que mon compagnon n'est pas insensible à ses charmes. Elle a de beaux longs cheveux bruns et son corps est mince. Sous le galbe de son émoustillante poitrine aux larges aréoles roses pâles, un lion tatoué...

Un lion en forme en mandala. Quand je dis qu'elle est nue... En réalité, ce n'est pas tout à fait vrai. Elle porte un shorty en dentelle ainsi qu'une porte-jarretelles. Elle a plusieurs tatouages sur son corps et elle arbore un tout petit piercing sur sa narine droite.

Mon compagnon et moi, nous ne tenons plus en place. Elle est tellement émoustillante. Vulnérable avec ses mains liées et le bandeau qui cache ses yeux. De quelle couleur sont-ils? Ce qu'il nous importe, ce sont ses beaux seins. Mon compagnon et moi, on se regarde. Un sein chacun...

Qu'est-ce que les rousses sont volcaniques... Elles sont belles et elles ont ce je-ne-sais-quoi qui fait que je fantasme sur elles. Qu'elles aient des petits seins ou une poitrine plus... généreuse... Elles m'émoustillent. Ma partenaire et moi, nous reprenons notre souffle.

J'ai rencontré Daniela au cours de la soirée que j'ai passé avec mon amie Sabine, dans ce pub où nous avons nos habitudes. Nous nous étions assis en terrasse et Pauline, la patronne, nous a accueillis comme d'ordinaire, en nous faisant la bise. Elle a pris nos commandes.

Nous passions un bon moment, Sabine et moi. Nous riions, nous déconnions, nous refaisions le monde autour d'une bonne bière blonde belge de fabrication artisanale. À un moment donné, autour d'un regard, mes yeux se sont braqués dans les siens. Daniela... Premiers sourires.

Sabine a bien vu. Elle s'est éclipsée, prétextant qu'il fallait qu'elle rentre pour sortir son chien. Je me suis retrouvé seul. Peut-être était-ce le signal que Daniela attendait... Je ne sais pas... Toujours est-il que la jeune femme s'est levée et s'est dirigée vers moi.

Nous n'avons pas vu le temps passer pendant la soirée, Daniela et moi. Nous discutions comme si nous nous connaissons depuis toujours. Elle m'a proposé qu'on joue les prolongations, autour d'un verre, chez elle. Je l'ai laissée m'entraîner... Prolongations émoustillantes...

Une fois chez elle, elle n'a pas perdu de temps. Elle m'a guidé jusqu'à sa chambre. Ni une, ni deux, elle a baissé mon pantalon et mon caleçon et elle s'est mise à me tailler une pipe des plus délicieuses. Je me suis perdu dans ses beaux yeux bleus. Dans ses beaux gros seins.

Je n'arrivais plus à dormir. Les yeux ouverts, autant se lever. L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, ne dit-on pas? Par contre... J'ai bien fait attention de ne pas la réveiller, elle. Son sommeil est profond, paisible. Qu'est-ce qu'elle est belle, quand elle dort...

Je me suis fait un café et j'ai consulté les nouvelles du monde sur mon smartphone. Ma chérie me manquait déjà. J'avais besoin d'être auprès d'elle. C'était aussi simple que ça. Et quand je suis revenu dans notre chambre, elle avait les yeux ouverts. Elle m'a regardé...

Je me suis penché sur elle et nous nous sommes échangés le premier baiser de la journée. Nous nous sommes regardés, les yeux dans les yeux. Elle a légèrement remué sur le lit. Son débardeur est un petit peu remonté et sa poitrine s'est dévoilée sous mes yeux. Elle m'a souri.

Ses seins sont de taille moyenne. Ses deux tétons sont percés. Un barre horizontale en titane, légèrement inclinée, pour créer un effet de symétrie, pour chacun. Elle m'a pris la main et l'a posée sur son sein droit. Nous nous sommes regardés. Ah... Ses beaux yeux bleus...

J'ai besoin de me changer les idées. C'était censé être une belle journée parce qu'elle était ensoleillée dès ce matin. Avec Aurélie, il y avait de l'eau dans le gaz. J'en avais conscience. J'avais espéré que le week-end sur la côte normande aurait arrangé les choses. J'avais tort.

Ça n'a été qu'un désastre et de jour en jour, malgré mes efforts désespérés, je savais que je perdais Aurélie. Le rideau est tombé cet après-midi. Aurélie m'a dit à demi-mot que c'était fini. Ce soir, j'ai besoin de me changer les idées. Mais j'avais envie d'être seul...

Ça a été sans compter sur cette jeune femme qui m'a livré mon repas. J'avais commandé une pizza Stromboli ainsi qu'une canette de Desperado. J'avais l'intention de regarder un bon match de foot. Mes plans ont changé quand je l'ai vue: brune, souriante, bellotte. Sexy...

Voyant que je n'avais pas le moral, elle a cherché à me le remonter. Pour ce faire, elle s'est très légèrement dévêtue. Elle n'a gardé que son débardeur et son pantalon. Elle a posé la main sur mon sexe puis a ouvert mon jean et baissé mon boxer. Elle m'a pris...

Certains diront que j'ai été bien vite pour me remettre de ma rupture si vite d'avec Aurélie... Certains diront qu'il n'y a pas de mal à prendre du plaisir... En ce qui me concernait, je m'abandonnais dans la bouche de la jeune livreuse. Qu'est-ce qu'elle s'y prenait bien...

Elle avait les lèvres pulpeuses et c'était un véritable plaisir de les sentir autour de ma queue. Elle avait de beaux seins, aussi. Je ne les quittais pas des yeux.

- Ils te plaisent, mes seins?

Sourire aux lèvres, elle a enlevé son débardeur. Ses seins étaient nus, ronds.

Oui... Ils me plaisaient, ses beaux gros seins. J'ai posé l'une de mes mains sur un sein et je l'ai caressé. La jeune femme a redoublé d'effort et d'intensité dans la pipe qu'elle me faisait. Une serial suceuse... Je n'ai pas résisté à ce traitement. J'ai joui dans sa bouche.

J'avais beau être redevenu célibataire depuis quelques heures... Cette jolie jeune livreuse brune m'a permis de retrouver le sourire. Je l'ai regardée, les yeux à la fois brûlants ET remplis de gratitude et de respect.

- Merci. Merci!

- Merci à toi, beau gosse. Bonne soirée!