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"Tu te souviens ?" 4

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mon amour... Oui... Je m'en souviens. C'était incroyable que tu bandes autant comme ça. Tu bandais pour moi ! Moi! Je te faisais bander! Ça a été une révélation pour moi. J'avais TRÈS envie de toi à partir de là. Et comme si ça suffisait pas, tu étais allongé sur le lit et tu étais dans ma ligne de mire. Je pouvais enfin laisser libre cours à mes fantasmes les plus secrets. Alors je me suis mise à califourchon sur toi. J'en revenais pas... Tu étais tout à moi. Ton corps était beau. J'étais curieuse. J'étais émoustillée. J'étais toute excitée. Et c'était toi qui m'excitais, mon amour. Je t'ai donné des baisers sur ton torse nu, poilu. J'ai pris tes tétons entre mes lèvres et je les ai sucés. J'y ai mis la langue. Et puis je suis descendue. Ma tête contre ta peau... J'ai posé mes lèvres et j'embrassais ton corps. Je t'embrassais... partout. J'en négligeais pas le moindre centimètre carré. J'aimais ça. Tu te souviens de ce moment où j'ai pris les devants, ché... ri ? Tu t'en souviens ?

- Ma puce... Plus ta bouche descendait, plus j'étais excité et plus je sentais que mon sexe ne cessait de grossir. Je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher. Et toi... tu ne pouvais que le voir, que je n'arrêtais pas de bander. Chaque fois que tu avançais et que tu descendais, tu embrassais ma peau, tu y mettais des coups de langue. Je sentais que ma peau était mouillée de ta salive. Je haletais, je retenais mon souffle. J'étais à ta merci.  Je savais que d'un moment à l'autre, tu passerais aux choses sérieuses. Tu as relevé la tête et tu as plongé tes yeux dans les miens. Tu me souriais. À voix basse, tu me disais que j'étais si beau et que tu avais une envie folle de moi. Ta langue est arrivée sur mon nombril. Tu y as mis la langue, tu l'as lapé. Ta bouche a continué son inexorable descente vertigineuse. Toi aussi, tu retenais ton souffle. J'ai le souvenir de ça, tu sais ? Et comme si ça te suffisait pas, tu laissais tes mains me caresser à leur guise, elles aussi. Tu avais décidé de laisser libre cours à ton inspiration sensuelle depuis qu'on était entrés dans la chambre. Et quand tu me regardais alors que tu arrivais lentement mais sûrement à la lisière de mon jean, je savais que ce n'était plus qu'une question de temps avant que tu n'attaques...

- Thé... o... C'était pas de ma faute, quoi! J'avais beau me concentrer sur les caresses que je te portais, il m'était impossible de ne pas voir ton sexe qui n'en finissait plus de bander. Le pauvre... Il était enfermé dans ton jean. C'était comme s'il m'appelait. Il fallait que je fasse quelque chose, tu comprends ? Et puis... maintenant que c'était pour de vrai entre nous... j'avais envie de le toucher... de le caresser, ton sexe. Et plus que tout, je mourais d'envie d'y goûter et de le prendre dans ma bouche. Oh... oui. Tu n'arrangeais vraiment rien à l'affaire, avec ton sexe en érection, ché... ri. Mais moi... j'avais tellement rêvé de ce moment, je l'avais attendu depuis des mois. Non... Je pouvais pas le laisser enfermé, ton pénis. C'était juste pas possible, ça. Et ni une ni deux...

​​​​​- Et ni une ni deux, tes mains ont jeté leur dévolu sur ma ceinture noire en cuir. Tu sais que je me souviens encore bien aujourd'hui de tes gestes sensuels de ce jour-là quand tu me l'as retiré, ma ceinture ? Oh... oui. Bérénice... Et encore aujourd'hui, tu sais rester sensuelle et ça, c'est ce que j'aime chez toi. Ça fait deux ans qu'on est ensemble et tu restes la même au lit... en plus audacieuse... coquine... cochonne. Je t'aime, Bérénice.

- Et ni une ni deux, j'ai eu raison de la résistance de ta ceinture. Je te l'ai enlevé, elle me barrait la route, elle me gênait. Tu sais que moi aussi, je me souviens encore bien aujourd'hui de tes yeux sur moi ce jour-là quand j'ai posé la main sur ton érection qui était encore enfermée dans ton jean? Oh... oui. Je l'ai caressée à travers. Théo... Et encore aujourd'hui, je suis fière d'être là femme pour qui tu bandes et ça, ça fait que j'ai toujours autant envie de toi et que je l'aime, ta queue. Je m'en passe pas. Ça fait deux ans depuis notre rencontre et l'hôtel Lanjuinais... Tu bandes toujours autant dur pour moi et tu continues de m'aimer et de me désirer. Je t'aime, Théo.

​​​​​​- Ta main sur mon érection qui ne cessait de grossir... Ta main qui était curieuse, gourmande... Caressante, audacieuse... Douce, relaxante... Je savais que ça te suffisait pas et que t'allais pas en rester là. Tu en voulais plus, Bérénice. Ça, je le savais parce que moi non plus, je ne te quittais pas des yeux, tu sais, ma chérie ? Toi, tu t'en es rendue compte et tu m'as regardé à ton tour. Tu m'as souri. Tu m'as murmuré un "Je t'aime, Théo..." J'étais attendri.

- Ma main sur ton sexe... Je te regardais, je te mangeais des yeux. Je te lâchais pas d'une semelle, joli oiseau. Que je te donne du plaisir comme ça et que tu n'en perdes pas une miette, ca a été une révélation... une nouvelle révélation pour moi. Ça a accéléré les choses, ça a précipité les évènements. Mon amour... Ton érection était un appel au crime ! Elle était un appel aux plaisirs. Et moi... je voulais y goûter avec toi, à ces plaisirs. Alors... ma main s'est posée sur la fente de ton jean. Elle y a trouvé ta fermeture éclair. Je t'ai regardé dans les yeux, mon chéri, et je l'ai descendue, cette fermeture éclair. Sans perdre de temps, j'ai remonté ma main et elle a pas eu beaucoup de chemin à faire. Non... Ma main... Elle a trouvé le bouton de ton jean. Il faut dire qu'elle est douée en matière de sexe. J'avais pas envie de perdre de temps car j'avais très envie de toi. Ma main ne s'est pas posée de question, elle y est allée un peu fort, je crois. Ton bouton n'a pas résisté, il a sauté. Je me suis reculée pour pouvoir te libérer de ton pantalon. Tu te souviens de mon envie irrépressible de ton sexe, a... mour? Tu t'en souviens ?

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