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"Tu te souviens ?" 5

Publié le par Plaisir d'écrire

- Si je m'en souviens ? Comment pourrais-je oublier, jolie coccinelle ? Sincèrement... Tu étais à quatre pattes sur le lit et tu avais une démarche féline. C'était comme si j'étais ta proie. J'étais à toi. Tu as descendu ma fermeture éclair, tu as déboutonné mon pantalon. Tu me l'as carrément enlevé sans perdre plus de temps, mon pantalon. Et puis ça a été le tour de mon boxer. Ma queue en est sortie. En pleine érection, toute dure. Gonflée de sang, gonflée du désir que j'avais pour toi, Bérénice. Toi, tu avais les yeux pétillants. Tu y jetais des coups d'œil à intervalles réguliers, à mon sexe. Et puis l'instant d'après, c'était MOI que tu regardais. Tu étais toute excitée, ça se voyait. Tu étais comme un enfant devant une boulangerie et qui salive devant un délicieux gâteau. "Ché... ri...": c'est ce que tu as minaudé de ta voix toute douce et sexy dans l'intimité.  Mon sexe, tu le regardais comme si c'était un bonbon qui te donnait envie. Tu te souviens de ce qui s'est passé juste après, pupuce ? Tu t'en souviens ?

- Mmmh... Théo... Oui... J'ai porté les doigts de ma main droite à ma bouche. Avec ma salive, j'ai rendu la paume de ma main ainsi que le bout de mes doigts humides. Je l'ai fait sous tes yeux, chéri. J'ai voulu que tu voies ça. Une partie de moi voulait te faire perdre la tête. Tu ne m'as pas quittée des yeux. Tu étais sous mon charme, ça se voyait. Et moi... je me sentais belle et même carrément sexy dans ces moments-là. C'était comme si tu me disais que j'étais ta petite amie et que tu avais follement envie de moi. Je ne sais pas ce qui s'est passé, je ne sais pas ce qui m'a pris. Tu me mettais l'eau à la bouche, mon cœur. Et avec ton sexe fièrement dressé, tu n'arrangeais rien à l'affaire. Mais j'étais fière que tu bandes dur pour moi. C'était MOI qui étais responsable de ton excitation, c'était MOI que tu désirais. Ni une ni deux, c'était comme si ton sexe était un aimant magnétique : j'ai posé ma main dessus. Ma main... elle était curieuse, gourmande. Intriguée par ce phallus que j'avais eu l'occasion de voir en photo ou une vidéo quand je voulais que tu me montres comment tu te masturbais. Mais maintenant que tu étais là pour de vrai... Je n'allais pas rester sur ma faim à simplement la regarder. Non... Elle m'hypnotisait, ta queue. Je n'avais d'yeux que pour elle. Elle avait attiré ma main. Ma main y était comme aimantée et elle ne pouvait plus s'en détacher. Je l'ai prise en main, ta queue. Tu te souviens de la branlette que je t'ai fait ? Tu t'en souviens ?

- Ma puce... Ta main, dois-je te rappeler... tu l'avais posée tout doucement sur la tige de mon sexe. Tu t'en étais emparée mais avec beaucoup beaucoup de précautions. Elle t'intriguait, ma queue. Et pourtant, tu avais les yeux pétillants et tu ne la quittais pas des yeux. Elle était toute à toi à présent. C'est ainsi que tu t'en es emparée avec douceur. Je t'ai laissée faire parce que tu voulais enfin me montrer ce que tu savais faire, chérie. ET dès tes premiers petits mouvements de va-et-vient, j'ai été tout sauf déçu. Vu que tu avais lubrifié ta main au préalable, la caresse que tu m'offrais était délicieuse. Il y avait comme un bruit peu audible mais humide quand ta main allait et venait sur mon pénis. C'était dû au fait que tu l'avais lubrifiée, ta main, après que tu m'aies retiré mon boxer. Tu me regardais alors que tu commençais par me branler lentement, tu te léchais les lèvres. Tu étais si belle, Bérénice. Toute douce. Ça te plaisait, n'est-ce pas ? Oui, ça te plaisait. "A... mour...": c'est ce que tu m'as dit, toujours de ta voix douce, quand tu as commencé à prendre confiance en toi. Tes va-et-vient ont commencé à devenir plus amples. Si amples que tu en as décalotté mon gland. Là... Quelle ne fut pas ta surprise... Tu le voyais enfin, ce gland... MON gland. Il était déjà humide. Une toute petite goutte s'écoulait de mon méat. Je la voyais et TU la voyais aussi, cette minuscule goutte de liquide séminal. Elle était évocatrice de mon excitation et du désir que j'avais pour toi, Bérénice. Et elle était annonciatrice du plaisir et de l'éjaculation que j'aurais en ta compagnie. Et qu'est-ce que tu as fait alors, pupuce ? Est-ce que tu t'en souviens ?

- Hmmm, oui! Ché... ri! Je la voyais, ta queue. Elle me donnait beaucoup envie. Et là, tu me l'a présentais. Elle m'était offerte. J'étais entre tes jambes. Je te branlais et mes mouvements trouvaient leur rythme de croisière. Ils étaient de plus en plus fluides. Je prenais confiance en moi et j'aimais beaucoup ça, te branler pour te donner du plaisir, Théo. Cette goutte toute fine... incolore... elle m'obsédait, elle m'hypnotisait. Oui, je connaissais le goût de tes baisers et je savais quelle était l'odeur de ton corps, chéri. Mais... ton sexe, il était là et il m'appelait. C'était irrésistible. Oui, je le branlais, ton membre. Mais... j'avais de plus en plus de mal à résister à l'envie de le goûter et surtout de le prendre dans ma bouche. Alors, j'ai penché et abaissé la tête en direction de ton entrejambe. Tu te souviens que tu retenais ton souffle, mon chat ?  Tu t'en souviens ?

- Tu es la seule et unique petite amie que j'ai jamais eu, Bérénice. Je t'avais parlé de Tiffany... On avait passé plusieurs nuits ensemble dans le même lit mais sans jamais rien faire de sexuel. Toi, tu étais la première fille qui me masturbait. Tu allais être également la première qui me ferait une fellation. Car tu avais très envie de me sucer, je me trompe ? C'était inévitable. Ta tête se rapprochait de ma queue. J'ai plongé ma main droite dans tes cheveux pour les caresser. Toi, tu as plongé tes yeux chocolat dans mes iris noisette. Tes yeux étaient étincelants. Tu étais si heureuse, Bérénice. Je m'en souviendrai toujours. Et ce dont je me souviens aussi, c'est que tu as soupiré de bonheur et que tes lèvres se sont posées sur mes aines et sur mon pubis. De tout petits baisers comme tu savais bien les distiller. Et là, tes lèvres se sont ouvertes et tu m'as pris doucement dans ta bouche...

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