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"Tu te souviens ?" 7

Publié le par Plaisir d'écrire

- Thé... o... Ça faisait depuis le début que tu les lorgnais, mes jolis seins lourds. Tu les aimais. Et là, à présent que j'étais presque entièrement nue, tu les voyais pour de vrai. Mmmh... Je voulais que tu les aimes et que tu me les caresse autant que tu en avais envie, mon chat. C'est simple : ils étaient autant à moi qu'à toi. Une fois que j'ai enlevé mon soutien-gorge et que mes seins étaient nus, tu n'en avais plus que pour eux. Il n'y avait plus qu'eux que tu regardais. Mais je n'en portais pas le moins du monde ombrage parce que j'étais fière qu'ils te plaisent, ces... MES deux gros monts d'amour. Et puis... tu te souviens de nos échanges par SMS ? De nos appels qui pouvaient durer des heures ? De nos séances de téléphone rose ? Tu étais sous leur charme, à mes seins, tu ne peux plus le nier à présent, mon ange. Et je te voyais, tu sais ? Je te quittais pas des yeux. Ils te plaisaient. Et je savais que ça te plairait si je te prenais entre mes seins. Je t'ai rien dit parce que... c'était un beau cadeau que je voulais faire à mon petit ami, joli oiseau. Alors, j'ai pris ce lubrifiant à la cerise que tu avais emmené avec toi et je m'en suis versée dans le creux de la poitrine. Voir mes seins proches l'un de l'autre... ça t'émoustillait. Je t'ai pris délicatement dans ma main droite et je me suis remise à te branler pour te donner plus de longueur et plus de grosseur. Et puis... je t'ai placé entre mes seins et je me suis mise à faire des va-et-vient. Tu as gémi. Tu as fermé les yeux. Ça m'a excitée. Alors, ça m'a encouragée et j'ai continué. Tu te souviens que c'était agréable, Théo ? Tu t'en souviens ?

- C'était une très agréable première masturbation que tu m'offrais, chérie. Tes mains étaient posées sur tes seins. Et tu remuais... Tu bougeais... Tu t'agitais. Tu allais... et tu venais. Tu allais... et tu venais. Tu allais... et tu venais. Toi... Mon amour... mon bel amour... mon unique amour... Toi, tu ne me quittais pas des yeux. Tu ne me lâchais pas d'une semelle. M'entendre gémir... Me voir fermer les yeux... Sentir mon membre tout dur entre tes seins... Tu l'avais pris en bouche et tu en avais apprécié le goût... L'odeur de mon corps sur lequel j'avais déposé quelques vaporisations de mon eau de toilette... Tu étais émoustillée, toi aussi, princesse, n'oublie pas ! Tes yeux étaient braqués dans les miens et tu m'as dit : "Ils sont là, mes seins, et ils te donnent du plaisir..." Tu étais libérée, Bérénice. Tu révélais au grand jour toute ta sensualité. Tu avais les yeux brillants. Ils pétillaient. De temps à autre, je me laissais aller et je donnais des coups de reins légers. Moi aussi, je t'entendais prendre du plaisir, tu sais ? Tu laissais s'échapper quelques soupirs de ta bouche. Tu étais bien. Tu étais heureuse. Sentir mon membre coulisser... aller et venir de haut en bas, de bas en haut, entre tes seins... "Mon chat... je vois que... tu y prends goût... à mes seins... Ferme les yeux... Laisse-toi aller... Laisse-moi te prendre..." Je n'en revenais pas. Est-ce que c'était un rêve ? NON. Tu étais là, à quatre pattes, tu ne portais plus que ton tanga. Tu étais dans cette chambre d'hôtel et tu étais en train de me masturber avec tes seins...

- Tu aimais ça, mon chat... Je le savais. Même deux ans après, les souvenirs de notre première fois sont toujours aussi frais dans ta mémoire. Tu sais pas à quel point ça me fait de l'effet, chéri. Moi aussi, je me souviens de chaque moment, tu sais ? Et ce moment-là, c'était... Mmmh... Ça allait au-delà de mes espérances. Mes seins sont gros et tu les aimais. Tu pouvais pas me rendre plus heureuse. Quant à moi, je voulais te donner autant de plaisir que tu m'offrais de bonheur. Le temps d'un instant, je t'ai repris dans ma bouche et j'ai effectué quelques va-et-vient entre mes lèvres. Je voulais rendre ton sexe plus humide encore, a... mour. Je voulais que ce soit plus agréable pour toi quand je te ferai de nouveau coulisser entre mes seins. Et... d'un autre côté... vu que j'avais lubrifié ma poitrine à la cerise, je voulais goûter ta queue goût cerise. Et elle était délicieuse. Oh... oui. Mon amour... Qu'elle était grosse, ta queue... Ça me touchait de la voir... de l'avoir comme ça. Tu avais envie de moi, Théo. Tu ne pouvais pas le nier. Tu me regardais te sucer... te pomper... et puis l'instant d'après, ta tête basculait en arrière. C'était tellement... bon que tu ne pouvais plus rien faire. Tu n'étais plus qu'une boule de plaisir, mon coquin. Ça m'a encouragé à te reprendre entre mes seins. Mais... avant... j'ai laissé mes lèvres entrouvertes et j'ai déposé un peu de salive sur ton sexe. Ma salive, elle coulait... C'est pourquoi j'en ai mis aussi sur le clivage de mes seins...

- J'en perdais pas une miette, jolie coccinelle. Ça m'émoustillait. Et toi... tu me faisais perdre la tête. Tu avais de la salive qui coulait et qui te dégoulinait sur le menton. Bérénice... Tu me faisais fondre. Tu le voyais. Tu m'as chuchoté : " Mon cœur... Tu me regardes tout le temps... Tu me fais me sentir belle. Je me sens pousser des ailes grâce à toi. Tu me fais me sentir... sexy." Bérénice... J'ai tendu mon bras droit vers toi, vers ta tête, vers tes beaux seins. Ma main droite... je l'ai posée avec amour sur ton visage. Je t'ai caressée les lèvres du bout des doigts. Elles étaient toutes douces, tes putains de lèvres à la vanille. Tu t'es exclamée : "Mon a... mour!" Je me souviens avec précision de CE moment. Et toi, tu t'en souviens, Bérénice ?

- Joli oiseau... Oui... Comment pourrais-je oublier ? Nous nous sommes regardés. Tes yeux... c'étaient les yeux de l'amour. À partir de ce moment-là, je savais qu'ils mentaient pas, tes yeux. Ton amour était sincère, Théo. Mon Théo... Quand on va se marier... quand je te dirai "oui"... c'est à ça que je penserai. Et... quand j'ai vu que tes yeux te piquaient aussi, ça m'a touchée. J'étais Aphrodite, la déesse de l'amour et de la séduction. J'étais Bérénice, ta petite amie, ta déesse du sexe. Tu n'avais d'yeux que pour moi. Alors, j'ai arrêté de te donner du plaisir. Mais j'étais loin d'être satisfaite. J'ai alors adopté une démarche féline et j'ai rampé à califourchon vers toi. J'ai porté mes lèvres aux tiennes et je t'ai embrassé goulûment. Je voulais te faire découvrir ton goût mélangé au mien et à celui de la cerise. Et puis j'ai porté ma bouche à ton oreille et je t'ai murmuré : "Moi aussi, j'ai envie que tu me goûtes et que tu me donnes du plaisir... Lèche-moi, mon amour..."

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