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"Tu te souviens?" 10

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce premier coup de langue… Ce premier cunni… J'avais tellement attendu ce moment. J'en avais beaucoup rêvé. C'est simple : j'étais tombé amoureuse de ton écriture quand j'ai découvert cette plateforme de textes érotiques. Et c'est tout aussi simple : je m'imaginais que c'était à moi que l'on faisait tout ce que tu écrivais. On a fait connaissance, on s'est apprivoisés. Nos séances de téléphone rose… On se déshabillait. On se mangeait des yeux. On se touchait, on se caressait. On s'embrassait, on se parlait. Je te suçais, tu me léchais. Je me doigtais, tu te branlais. Tu me baisais les seins, je m'occupais de tes testicules. Je mouillais, tu éjaculais. Sur mes seins, dans ma bouche. Thé… o… Oui… Je m'en souviens. Et là, j'avais les jambes bien écartées. J'avais aucune intention de les refermer. Oh… non. Ça, il en était même pas question. Ce premier coup de langue… Ce premier cunni… J'en avais tellement rêvé. Ça faisait partie de mes fantasmes. J'y pensais quand je me caressaus dans ma chambre d'ado alors qu'il y avait personne chez moi. Tes lèvres sur moi… Tu m'avais embrassé mon sexe. Ton baiser était doux. Et tu avais déposé un peu de ta salive. C'était frais, c'était agréable. C'était un mariage exquis avec ma cyprine. Thé… o… Et quand tu m'as regardée dans les yeux et que tu as commencé vraiment à me lécher… il n'y avait plus rien qui avait de l'importance. C'était seulement toi entre mes jambes et tu me le faisais, ce cunni.

Bérénice… Aah… Je soupire mais c'est parce que quand tu parles de notre première fois… j'en ai des frissons en ce moment-même. Si si, je te jure ! Poser enfin ma bouche sur ton sexe… Le voir pour de vrai… Admirer ta jolie toison pubienne abondante… Jolie coccinelle… Tu faisais si jeune et pourtant… tu étais émoustillante. Ta belle «petite» chatte était dans ma ligne de mire, elle était à ma merci. Elle était toute à moi, rien qu'à moi à présent. J'ai de nouveau entrouvert les lèvres et j'ai laissé couler encore un peu de ma salive. Et puis… j'ai délicatement posé le bout de mes doigts sur la peau de ta vulve. Je t'ai caressée distraitement. Et toi… tu as gémi.Tu aimais ce genre de caresses et tu me le faisais savoir par les bruits que tu faisais, chérie. Tu étais donc comme au téléphone. Mais là… C'était pour de vrai. Et j'en étais pas moins émoustillé. Oh… non. Ton sexe était très beau, Bérénice. Il était garni de poils et il faut apprécier. C'est pas dans les goûts de tout le monde. Mais moi, j'aimais beaucoup parce que comme ça, c'était TOI et pas une autre. Bérénice… Tu veux les garder, tes poils pubiens. Et moi aussi, je voudrais bien que tu les gardes parce que je l'aime bien comme ça, ta belle «petite» chatte poilue… et appétissante. Je te masturbais doucement. Lentement. Tu étais très belle, Bérénice. Tu l'es toujours. C'était définitivement avec toi que je voulais faire l'amour. Ce moment-là, toi, cette chambre d'hôtel.

Mon a… mour… Tu avais mis mon sexe à l'air. Je me sentais dévergondée. Je veux dire… J'étais vierge et j'étais presque complètement à poil, au lit avec un homme. Mon petit ami… j'étais presque nue devant lui, je l'avais branlé, je l'avais sucé. Mon petit ami… je l'avais déshabillé, je l'avais masturbé avec mes seins. Et là, c'était à mon tour d'être allongée. Tu étais si doux, Théo. Et si attentionné avec moi. La sensation de ta salive sur mon sexe… C'était exquis. Je me sentais d'autant plus humide. Et toi… tu te mettais à badigeonner ma vulve de ta salive. C'était si… bon. Exquis. Tes gestes étaient doux. Tu prenais soin de moi, ché… ri… Mon premier petit ami, mon premier amant… Je rêvais qu'il soit comme ça avec moi. Et là, mais là… c'était pas, c'était plus un rêve. On était tous les deux au lit. On était bien. J'ÉTAIS bien. Les premiers baisers, les premiers coups de langue m'avaient donné envie, ils m'avaient ouvert l'appétit. Et puis tu t'es vraiment mis à me lécher. J'ai d'un seul coup lâché prise, je me suis abandonnée. Je m'en remettais à toi. Avoir ta tête entre mes jambes… Avoir ta bouche sur mon sexe… Ça m'a fait un je-ne-sais-pas-quoi. J'avais surtout pas envie que tu t'arrêtes. Surtout pas. Mon petit ami me léchait mon sexe. Je comprenais à présent pourquoi on a l'habitude de faire tout un plat de la première fois. J'étais si bien, mon chat. Pour rien au monde j'aurais voulu que ce moment soit interrompu ou pire ! Qu'il s'arrête carrément. C'était même pas en rêve, ça.

Comme je te comprends, pupuce… Moi non plus, je voulais surtout pas qu'on s'arrête en si bon chemin. On était si bien, rien que nous deux, dans cette chambre d'hôtel. J'avais mon visage plongé dans ton sexe et je te le faisais, ce cunni que nous avions tant attendu, dont nous avions beaucoup rêvé, toi comme moi. Je te léchais goulûment. Je te mangeais. Je te bouffais. Je te dévorais. Ma langue était vive. Elle te le lapait, ton minou. À mesure que je te léchais, tu mouillais. Je faisais de toi une boule de plaisir, une fontaine à cyprine au fur et à mesure. Je devais te torturer et ce devait être une torture agréable, délicieuse pour toi, non, Bérénice ? Tu n'arrivais déjà plus à te calmer. Tu ne te tenais plus tranquille. Un coup, tes jambes étaient grandes ouvertes, complètement écartées. Un autre coup, tu les refermais et c'était tout juste si tu ne m'enserrais pas la tête avec. Tu remuais du bassin. C'était tout juste si ma bouche n'était pas aimantée à ton minou. D'ailleurs, ton minou… tu me barbouillais le visage de ta mouille avec, n'est-ce pas, mon cœur ? J'aimais ça. C'était tout nouveau pour moi aussi, dois-je te rappeler ? Mon amour… Ta chatte était si bonne. Elle avait un bon goût de chatte. Ta cyprine était épaisse, elle était chaude. Elle était capiteuse, elle était saline. Ta fleur sexuelle était fleur de sel… et ça me plaisait. Je n'avais alors qu'une seule envie, princesse : te lécher. Encore plus te lécher. Nettoyer ton sexe parce que ta mouille le souillait joliment. Je le voulais. Ça me plaisait.

 


 


 


 


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

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