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"Tu te souviens?" 18

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon… dieu ! Béré… nice ! Quand tu en parles, je me remémore ce que nous avons pu vivre et ça me laisse pas indifférent. Ça reste clair comme de l'eau dans mon souvenir. Ça reste gravé dans ma mémoire. Tu étais émoustillante, jolie coccinelle. Tu étais si belle. Là, c'était sûr ! Je pouvais plus du tout le nier. Je te mangeais dans la main. Et là, ni une ni deux, tu t'étais mise à prendre le contrôle. C'était toi qui me faisais l'amour à présent. En effet, je te laissais avec plaisir me prendre… et me chevaucher à ta guise, Béré'. C'était si bon quand tu faisais ça. Je voulais que tu continues. J'aimais ça.

Mon a… mour ! J'étais sur toi et j'aimais ça. Ça pouvait être mieux ? Je sais pas. En y réfléchissant… Hmm… Je ne pense pas. Tout ce qui se passait entre nous deux, c''était ce dont j'avais rêvé. Ni plus, ni moins. Tu y mettais de la douceur, tu y mettais de la tendresse. Tu y mettais ton amour, tu y mettais ton désir pour moi. Oui, Théo… C'était tout pour moi, rien que pour moi. Mais là… c'était moi qui prenais les rênes. Je prenais le dessus sur toi, mon chat. Ça aussi, j'en avais rêvé. J'en avais fantasmé. Et là, ni une ni deux, j'avais mis à exécution ce fantasme. C'était moi qui te faisais l'amour car c'était moi qui bougeais et qui te faisais aller et venir en moi, a… mour.

Oh… oui, pupuce. C'était toi qui prenais le dessus. Soudain, c'était toi qui me faisais l'amour. C'était toi qui me baisais, j'aimerais même dire. Et c'était trop… bon. Ta chatte était toute douce. Elle était chaude à l'intérieur. C'était agréable. C'était parfait. J'aimais tout de ce moment que l'on vivait, que l'on partageait. C'était unique. C'était parfait. La femme que j'aimais était sur moi et je voyais son corps s'agiter là, juste sous mes yeux. Elle était belle. J'avais particulièrement envie d'elle. Il ne pouvait pas en être autrement. Bérénice… c'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu étais si belle, mon cœur. Moi non plus, je n'en revenais pas, tu sais ? J'étais là, dans cette chambre d'hôtel et je faisais l'amour avec cette jeune femme que j'avais rencontré quelques mois plus tôt.

Mon amour… Je me pâmais de tes yeux sur moi. Ça, c'est un truc qui restera dans ma mémoire. Tu me quittais pas un seul instant des yeux. C'était tout pour toi, rien que pour toi. Tu avais beau ne pas parler… tes yeux parlaient pour toi, Théo. Et ils me parlaient. Ils me disaient que tu n'en revenais effectivement pas. Ils me disaient que j'étais belle. Ils me demandaient de continuer et de remuer comme ça sur toi. Je ne ménageais pas mes efforts. Il n'était pas question que je m'arrête. Le plaisir, je le sentais en moi. Tu sais que je sentais mon sexe vibrer parce que tu me pénétrais ?

C'était si bon de te sentir tout autour de moi, ma puce. Et je dois dire que… ça m'excitait beaucoup de te regarder bouger, onduler comme tu le faisais. Et plus tu maintenais ce rythme, plus je me sentais pris. Non seulement tu maintenais ce rythme, mais j'avais comme l'impression que tu augmentais la cadence de tes mouvements. Ai-je raison ? Ai-je tort ? Bérénice… Tu allais et tu venais plus fréquemment. Plus vite, plus fort sur mon sexe. Et… aussi… c'était moi ou ton sexe était de plus en plus serré et qu'il retenait prisonnier mon membre ? C'était toi qui me faisais l'amour, Béré'. Tu étais si belle. Et plus tu bougeais comme ça… plus je sentais mon plaisir monter en intensité.

Thé… o… Toi aussi, tu me faisais l'amour ! Ne l'oublies pas, voy… ons ! C'était ton sexe qui était en moi. Il était beau. Il était gros et il allait et venait à merveille dans mon vagin tout mouillé. J'avais beau être à califourchon sur toi, mon cœur… c'était bel et bien ton sexe que je sentais. Et dieu sait que je la sentais à merveille, ta belle queue. Oh… oui. Je m'en lassais pas le moins du monde, de ta queue. Tes yeux sur moi… Je me laissais aller. Tu me faisais me sentir belle. Je vais même aller plus loin, joli oiseau. Je me sentais carrément sexy. J'étais la femme à qui tu faisais l'amour et tu n'avais d'yeux que pour moi.

Princesse… Tes cheveux étaient longs et ils étaient lâchés. Ils volaient au vent et ils semblaient n'en faire qu'à leur tête. Ça et le fait que tu étais en Andromaque sur moi… Ça te donnait un côté sauvage, ma belle… et ça me plaisait. Et quant à tes seins… Rhoo… Ils me faisaient de l'oeil. Ces deux beaux monts d'amour… ils étaient gros et ils s'adonnaient à une danse qui leur était propre et ce, au moindre de tes mouvements, Bérénice. Je les aimais… Je les aime toujours tellement et tu le sais. De les voir s'agiter comme ça, juste sous mon nez… Je sais pas ce qui m'a pris alors, pupuce.

Ah ? Tu sais pas, mon chat ? Eh bien, moi… je vais te dire ce qu'il t'est passé par la tête. C'était clair comme de l'eau. C'était aussi simple que ça, Théo. Tu étais émoustillé parce que j'étais nue et c'était moi qui bougeais, qui te baisais. Si tu savais à quel point je me suis sentie désirée, bébé… T'as pas idée… Mon petit ami me laissait bouger juste au-dessus de lui et c'est moi qui laissais son sexe aller et venir à l'intérieur de moi. De voir tout ça… car tu le voyais… ça t'a fait un… je-ne-sais-quoi. Et je le comprends, ça. Tes mains ont atterri de nouveau sur mes fesses et tu les prenais fermement. Tu me les malaxais, tu me les pétrissais, mes fesses… et t'aimais ça, hein ? C'était clair comme de l'eau. C'était toi qui me baisais. Et je te sentais plus spontané, plus hardi, plus vigoureux. Tu me baisais à présent, Théo...

 

 

 

 

 

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