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"Tu te souviens?" 20

Publié le par Plaisir d'écrire

Arrêtes, Bérénice ! Rien que de t'entendre dire ces choses-là, je continue de bander et ça me fait mal à force . Et si je bande encore et encore, y'a deux solutions, Béré'. C'est aussi simple que ça. Soit je reviens en toi et je te reprends ton petit cul. Soit je te demande de te mettre à genoux et tu me suces jusqu'à ce que tu me sentes jouir dans ta bouche. C'est toi qui vois, jolie coccinelle. Pour reprendre le fil du film de notre première fois… Voilà. Tu as joui une nouvelle fois et c'était un bel orgasme que tu as eu, n'est-ce pas ? Oh… oui, ce devait l'être… Tu es belle quand tu jouis, Béré', tu sais ?

Mon amour… Mais J'AIME quand tu bandes dur pour moi ! Ta belle grosse queue… elle est toute à moi, rien qu'à moi. Elle est la seule que je branle. La seule que je prends dans ma bouche, que je suce, que je pompe. La seule que je masturbe entre mes jolis seins lourds. La seule qui me pénètre… mon vagin… mon anus… Oh… oui, Théo. Tu es le seul homme avec qui je fais l'amour, avec qui je baise… et j'aime ça. Oh… oui. Et quand tu me fais jouir, mon chat… Eh bien… dans ces moments-là… ça me rappelle qu'il n'y a qu'un seul homme dans ma vie et cet homme… c'est toi, mon chat. J'aime que tu me donnes un orgasme, Théo. Tu sais pas à quel point…

Je… crois savoir, jolie coccinelle. Ça fait deux ans maintenant qu'on est ensemble. Je te connais de mieux en mieux et je sais quelles sont tes réactions pendant l'amour. Tu fermes les yeux quand c'est trop bon et que tu laisses le plaisir prendre possession de toi. Tu me regardes, les yeux dans les yeux, et tu me supplies quand tu as envie de quelque chose en particulier ou comme si tu penses que je vais te priver d'un orgasme. Tu portes l'une de tes mains à ton sexe et tu caresses parce que tu veux nous donner plus de plaisir à tous les deux, quand je suis en toi et que je te fais l'amour, ma belle. Tu vois, Bérénice ? Je te connais plus que tu ne l'imagines. Tu es… tout simplement… la femme que j'aime et que je désire. Tu es la femme de ma vie, Bérénice et je veux que tu deviennes mon épouse. Je t'aime, ma jolie coccinelle.

Je suis si bien quand je suis avec toi, mon chat. Ça pourrait être jamais mieux. J'oublie tout quand tu me prends dans tes bras. Tu me fais fondre quand tu me regardes dans les yeux et que tu me dis que je suis belle, que je suis la femme de ta vie. Et quand tu m'embrasses… quand tu me caresses… quand ton sexe est en moi et que tu me fais l'amour… je perds le contrôle, je perds la raison. Il n'y a plus aucune logique. Je me contente de me laisser aller et de savourer l'instant présent, avec toi. C'est aussi simple que ça. Je t'aime, joli oiseau.

Si tu savais à quel point toi aussi, tu me fais fondre, Béré'. Rhoo… Tes yeux… Tes longs cheveux châtains… Ta bouche, ton sourire… Ton corps mince… Tes beaux gros seins… Ton pubis et tes poils… Ton minou… Ton «petit» cul… Tu me rends fou, Bérénice. Si tu savais… Tu es si belle. Je te veux à mes côtés pour le restant de mes jours. J'ai envie d'imaginer comment chaque jour peut être avec toi. Et quand je te dirai «oui» à la mairie et à l'église… quand je te passerai la bague au doigt… je serai tout à toi, rien qu'à toi.

Mon amour… Mon a… mour ! Mon coeur bat très fort quand je t'entends me dire ces mots-là. J'ai des papillons dans le ventre, si tu veux tout savoir, Théo. Et pour être tout à fait franche avec toi, mon joli oiseau, j'en ai les larmes aux yeux. Tu es le premier homme que j'ai dans ma vie et tu me dis tout ça. J'ai pu t'en parler… Y'a eu des gars au collège, au lycée, à qui je savais que je plaisais. Mais moi… les garçons, tu sais, à ce moment-là… ça m'intéressait pas. Ils avaient beau être mignons et me draguer… J'y prêtais pas attention. Et puis… toi, Théo… tu as débarqué dans ma vie et j'ai tout de suite su que tu étais différent. Pour la première fois, j'ai laissé sa chance à un homme et c'est la meilleure décision que j'ai jamais prise.

Dès nos premiers échanges, dès les premiers messages… j'ai craqué pour toi, Bérénice. Je lisais tes textes et je m'imaginais dans la peau de l'homme qui était le héros de tes histoires érotiques. Tu parlais de tes seins blancs, tu parlais de tes fantasmes. Tu t'y mettais à nu, Bérénice et ça, je l'ai rapidement compris. C'est comme ça que tu m'as fait craquer et que je t'ai proposé que l'on se rencontre. Pour moi aussi, ça a été la meilleure décision que j'ai jamais prise. Deux mois plus tard, on se retrouvait dans ta ville bretonne et on y a passé un week-end qui restera gravé dans nos mémoires, à toi comme à moi.

Tu m'as faite jouir, mon chat. Plusieurs fois, même. J'avais le souffle coupé parce que ça avait été tellement fort, ce que j'ai ressenti. Moi aussi, j'avais envie de te faire jouir. Alors, j'ai baissé ma tête et je t'ai englouti dans ma bouche. Je t'ai masturbé d'une main. Je t'ai sucé, je t'ai pompé. Toi, tu as rapidement glissé une main dans mes cheveux, tu m'as guidé. De haut en bas… De bas en haut… Je te regardais. Tes yeux étaient tout pleins d'amour. J'ai lâché prise et j'ai placé ton sexe entre mes seins et je t'ai branlé avec, tendrement, lentement. On se regardait. On se mangeait des yeux. J'étais si heureuse, j'étais fière. Et soudain ta respiration a été plus rapide, plus irrégulière. Tu as gémi plus souvent. Tu as fermé les yeux. Et puis tu as crié… et tu as joui. Ton sperme… J'ai senti plusieurs longs jets de ta semence et j'en avais beau-coup entre mes seins. Tu avais joui, joli oiseau ! Je t'avais fait jouir. L'homme que j'aime venait de jouir entre mes seins et c'était toi qui lui avais donné cet orgasme en cadeau. Je t'aime, Théo. A… mour… A… mour !

 

 

 

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