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JE JOUIS! (1/2: La femme la plus sexy de la Terre)

Publié le par Plaisir d'écrire

Constance m’a repris dans sa main. Elle tient fermement, maintenant, ma queue autour de sa poigne. Elle me branle plutôt énergiquement à présent.

-«Tu aimes quand je te branle comme ça, Benoit ? Tu as envie de jouir ? Tu en meurs d’envie, de jouir ?»

Constance sait parfaitement qu’il s’en faut, maintenant, de très peu, pour que je jouisse. Elle seule sait y faire pour me faire jouir.

-«Tu aimes que je me touche et que je me caresse les seins pendant que je te tiens fermement dans ma main et que je m’apprête à te faire jouir ?»

Sur ces mots, je lâche prise. Je ne pense (plus) à rien d’autre. Constance m’excite tellement. Énormément. Je ne demande que ça… ! JOUIR… POUR… ELLE.

-«Ça t’excite que je me donne du plaisir alors que je te masturbe et que je ne demande que ton sperme sur moi ? Petit coquin… Petit voyeur, Benoit ! JOUIS ! Oh… S’il te plaît… ! Tu… m’excites, mon chéri !»

Si tu savais à quel point tu m’excites aussi, Constance… Je ne demande que ça, tu sais ! Jouir sur ton corps… en guise de remerciement… de cadeau.

-«Tu les aimes, mes petits seins ?»

Elle continue de se caresser le sein qu’elle avait pris dans sa main, toute à l’heure, au moment où elle avait arrêté de me sucer et qu’elle avait recommencé à me branler. Elle en pince doucement le téton. Toujours et encore…

-«Mes petits seins tout mignons… Tu aimes les caresser ? Les toucher ? Les embrasser ? Les téter ? Les lécher ? Moi… je le sais...»

Tout en me branlant énergiquement mais tendrement, tout en se caressant les seins de son autre main, elle me regarde droit dans les yeux et elle se lèche les lèvres. Elle tire la langue à d’autres moments aussi. Elle y tapote mon gland. Que… c’est… bon… Putaaaaaaiiiiiiin… Elle me signifie que ça l’excite, elle aussi, et qu’elle me désire… JE SUIS TOUT ÉMU ! Cette émotion me fait rapprocher, encore plus, non seulement du précipice, mais aussi et surtout, de MA Constance.

Je suis un homme à la mer. Un homme perdu.

Il ne me reste plus qu’à céder… et à me laisser jouir.

«Je les aime, mes seins, vois-tu… Mais… C’est quand même dommage, à certains égards… Si j’avais eu des gros seins… Je veux dire… Des seins un peu plus gros… Tu aurais pu… y glisser ta belle queue entre eux deux et qu’elle y soit bien au chaud… Tu t’y serais… masturbé… Tu… aurais coulissé entre eux, et ça aurait été agréable. J’aurais… humidifié le clivage de mes gros seins avec ma salive et… ça aurait été… jouissif, non seulement pour toi mais aussi… pour moi… Je t’aurais aidé à jouir, ça, tu le sais. Tu peux me croire ! Et, tu… aurais éjaculé sur mes seins. Hmmm…»

Constance fait un bruit de plaisir. Un bruit sexy.

Constance m’excite encore plus, surtout après qu’elle ait dit ça. Même si l’imaginer avec des seins plus généreux m’excite, j’aime et je désire Constance telle qu’elle est.

-«Constance chérie… Amour… Tes seins sont beaux comme ils sont, tu sais ! Je t’assure ! Et bien qu’ils soient petits, je te l’accorde… Je les adore et ils me plaisent ainsi. Ils m’excitent. Oh… oui ! Si ça ne tenait qu’à moi, j’y déposerais volontiers… ma semence d’amour… avec amour.»

-«Mon Benoit...»

«Tes seins sont beaux comme ils sont, Constance. Petits mais très mignons. Tu es belle comme tu es, Constance Moreau ! Quand vas-tu le réaliser ? Quand tu n’es pas là, je pense à toi et… je pense à ces deux petits seins. Cachés sous ta tenue soi-disant sage de professeur-documentaliste, là-bas, au collège où tu bosses. Je t’aime, Constance Moreau. Je suis encore si fou de toi, même avec les années.»

Constance braque ses yeux dans les miens. Elle me fixe. Ses yeux sont brillants. Ils semblent lui «piquer», comme elle dit, quand elle est émue. Et là… l’émotion prend possession d’elle. Elle est toute émue ! Constance Moreau est émue ! Eh bien… ! Je… l’aime.

-«J’ai bien aimé ce que tu viens de me dire là. Moi aussi, je t’aime, Benoit Surée. Amour… Je me sens belle à travers tes yeux. Je me sens belle, adulte et sexy, dans mon corps et dans ma tête.»

Elle se caresse son autre sein, sous mes yeux. Constance s’exhibe devant moi, et je l’aime. Elle sait qu’elle m’excite, la petite coquine, et elle en joue ! Elle s’en amuse… Elle en attrape le téton de ses doigts. Elle le pince. Mon dieu… cette femme est juste… sexy. Vraiment. Vous pouvez dire ce que vous voulez. Constance Moreau est la femme la plus sexy de la Terre. Du moins… elle l’est à mes yeux.

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