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"Tu te souviens?" 15

Publié le par Plaisir d'écrire

– Heu… chéri… T'as pas oublié que c'est pas dans cette position qu'on a fait l'amour ? Ce que tu viens de dire… C'est vrai, je m'en souviens… Tu étais allongé sur moi et j'étais à l'aise parce que je sentais ton corps contre le mien… Ta peau à perte de vue… Ta peau à perte de toucher… Elle était chaude. Elle était en sueur. Elle avait la chair de poule. Tu étais donc comme moi, Théo. Tu étais tout chose. Mon amour… Ça me donnait encore plus envie de toi, tu sais ? Mon petit ami était couché sur moi et il était tout nu. Je l'entendais respirer. Je sentais son érection qui était collée à ma peau et qui me touchait. J'avais… très envie de toi, ché… ri.
– Moi aussi, j'avais… très envie de toi, jolie coccinelle. Et d'ailleurs… tu pouvais que le remarquer parce que je bandais comme ce n'était pas permis. C'était pour toi que je bandais comme un fou, Bérénice. J'étais fou de toi, c'était aussi simple que ça. Tu étais très belle. C'était juste pas possible de ne pas avoir envie de toi. C'était pas possible de résister à l'envie de te faire l'amour, princesse. Et tels qu'on était, on aurait très bien pu rester comme ça. Je serais resté allongé sur toi et on aurait fait l'amour en missionnaire. Mais vu que tu as ce fameux cinquième as, Bérénice… Tu en as décidé autrement. Tu m'as regardé, tu as posé l'une de tes mains sur ma joue et tu m'as dit: «Tu les aimes, mes jolis seins lourds… Et j'aime être sur toi quand on se fait des câlins… Laisse-moi te chevaucher, mon chat...»
– Ah… Bérénice… Bérénice, Bérénice, Bérénice… Qu'est-ce que je n'aurais pas fait pour toi… Tu sais… moi aussi, j'aimais bien… et j'aime toujours autant d'ailleurs… t'avoir au-dessus de moi. Et là… quand tu as dit ça, ça m'a émoustillé. Moi aussi, j'avais envie que tu me chevauches, mon cœur. Tu avais ta main posée sur ma joue et tu me la caressais. Tu étais très douce, toi aussi. C'était une facette de toi que j'aimais, bébé. Que j'aime toujours ! T'as pas changé, mon amour. Je suis toujours aussi amoureux de toi. Et… mmmh… mon envie de toi ne s'est jamais estompée avec le temps. Non… C'est même tout le contraire…
– Tu ne peux pas me résister, joli oiseau et je le sais. Tes regards en disent long sur le désir que tu ressens pour moi. Et quand je parviens à te prendre sur le fait, je sais que tu me manges dans la main, Théo. Et là… c'était comme si tu étais sous hypnose. Tu ne cillais pas. Tu n'as pas une seule fois cligné des yeux. Ton regard était uniquement plongé dans le mien. C'était touchant. Et tu sais quoi, Théo ? Ça me faisait toujours ce je-ne-sais-quoi. J'en étais émue. Ça voulait dire qu'il n'y avait que moi et que moi, je te rendais tout chose. C'était tout pour moi. Je mourais d'envie d'accueillir ton sexe en moi, mon trésor.
– Toi aussi, ton regard, il était braqué dans le mien et tu me quittais pas des yeux. Tu me mangeais des yeux, pupuce. Rappelle-toi… Mon corps était tout contre le tien. On était à fleur de peau. Bébé… tu avais ce beau sourire aux lèvres et tes yeux… Rhoo… c'était comme au petit matin, quand tu te réveilles et que tu les ouvres tout doucement. Tes lèvres… elles étaient à moitié ouvertes, en partie parce que tu haletais. Tes lèvres… elles étaient toutes douces, elles étaient roses. Elles étaient délicieuses parce qu'elles étaient vanille. Et tes yeux… Rhoo… je m'y étais noyé tellement ils étaient chocolat, profonds.
– Ah ! Tu vois, mon a… mour? Tu es toujours autant sous mon charme. Tu peux pas le nier. Et à ce moment-là, au lit, dans cette chambre d'hôtel, non seulement t'étais sous mon charme mais t'avais carrément envie de moi. Ça, tu pouvais plus me mentir là-dessus. Ton érection… je la sentais. Elle était très prononcée. Elle était collée à mon ventre et parfois, je la sentais même coulisser sur mon sexe éclos. Ton érection… tu pouvais ni la réprimer ni l'empêcher de s'épanouir et moi de toute façon, j'en avais pas la moindre envie et tu sais pourquoi, trésor ? Tu me désirais et tu avais envie de moi. C'était tout pour moi, rien que pour moi. Je faisais… je donnais envie à mon chéri ! J'avais envie que tu me pénètres. J'avais envie que de ça.
– «Bérénice… Tu en as envie?» «Oui, mon amour. Je veux faire l'amour avec toi.» «Tu veux vraiment que ce soit sans capote entre nous, comme on en a parlé?» «Théo… je veux te sentir. Toi, tout entier. Pas de capote entre nous.» «J'arrive plus à me retenir, je t'avoue. J'ai envie de toi.» «Ne te retiens plus, mon chat. Moi aussi, j'attends plus que ça. Viens en moi.» C'est comme ça qu'on a interverti nos places et qu'on a changé de position. C'est moi qui me suis allongé sur le dos. C'est toi qui t'es placée à califourchon sur moi. Je n'ai de cesse de te le dire, Béré' mais… j'aime quand tes seins ballottent quand tu fais le moindre mouvement. Et là… je pouvais pas ne pas les voir. C'était juste pas possible.
– Tu les aimes, mes jolis gros seins. Mon 90C… Mes «monts d'amour» comme tu les appelles… Je pouvais comprendre pourquoi tu voulais pas les quitter des yeux, joli oiseau. Oh… oui. Moi ça m'excitait de constater qu'ils te plaisaient à ce point comme ça. Je me sentais couler entre mes jambes. J'en pouvais plus. «Théo… j'en peux plus. J'ai besoin de t'avoir en moi.» «Détends-toi, ma belle. Je ne vais pas te faire de mal. N'aies pas peur.» «Je te fais entièrement confiance, chéri. Je suis prête.» Sur ces mots, je me suis détendue au maximum et j'ai respiré un bon coup. Tu ne me touchais pas car tu avais ton érection en main. Tu t'es introduit doucement en moi et j'ai senti progressivement les premiers centimètres de ton sexe. J'ai poussé un long gémissement bruyant. Je me suis pas du tout retenue. C'était… si bon. J'ai posé mes deux mains sur ton torse. Je me suis cramponnée à toi. Tes mains, tu les as posées sur mes fesses et tu as commencé à aller et à venir dans mon vagin. Eh oui… nous faisions l'amour...

 

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