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"Laisse-toi aller, mon Benoit..."

Publié le par Plaisir d'écrire

C’est pas du tout un rêve….

Laura ne semblait décidément pas y croire. Elle en avait rêvé… Elle en avait fantasmé bien des fois. Et à force d’être présente à bon nombre de nos concerts, elle avait espéré de tout son cœur qu’elle puisse avoir la chance de me parler, ne serait-ce qu’une seule fois. Bien entendu, au plus profond d’elle, elle en voulait plus. Et si les choses prenaient une tournure moins… prude, plus… coquine… elle foncerait et elle ne se poserait pas la moindre question. Non… Ça, c’est sûr. Audacieuse et coquine comme elle était, Laura… C’était juste hors de question qu’elle laisse passer une occasion pareille si ça se présentait tout cuit à elle.

C’est quelque chose qui me tient à cœur, mon mystérieux… Te donner du plaisir… Et là, je vais y aller tout doucement avec ton anus… Tu n’as rien à craindre, mon chéri… Je vais être toute douce… avec toi…

J’ai gémi sous l’effet de ces mots que ma coquine de petite amie venait de prononcer. J’étais un homme perdu, sous son charme et je n’étais plus du tout en mesure de résister. De toute façon, ça faisait depuis belle lurette que je n’en étais plus capable. Toute résistance était caduque. Laura y allait tout en douceur avec moi, et moi, j’étais désormais prêt à ce que nous réalisions notre fantasme commun. J’étais prêt à subir ses assauts coquins, linguaux. Je le voulais, plus que tout.

Everytime de Britney Spears…

Laura était douce, que ce fusse quand elle s’exprimait ou bien quand elle était dans le feu de l’action pendant l’amour. Ce n’était pas prendre le dessus sur moi, dominer pour dominer. Non. J’étais devenu son petit ami, et elle avait brûlé, crevé d’envie de faire l’amour avec moi. Et vu l’idée qu’elle s’était faite de moi… elle s’était dite que ça rendrait les choses plus… intéressantes si elle faisait en sorte que mes fantasmes les plus secrets… ces fantasmes que j’avais refoulé… deviennent réalité.

Mon Benoit… Tu es homme… Et il se peut que tu te sentes quelque peu femme au moment même où je te parle… Ne refoule rien… Ne te pose pas de question… N’en aies pas honte… Accepte ta vraie nature… Ne refoule rien… Pas maintenant… Tu es entre de bonnes mains. J’ai pas l’intention de te faire le moindre mal. Ce sera rien que du plaisir, mon mystérieux… Je te le promets.

La voix de Laura avait l’effet d’une caresse sur moi. Elle était douce comme une plume qu’elle aurait fait glisser sur ma peau. Je ne pouvais que me sentir en sécurité, et ainsi, j’étais en mesure de lâcher prise. C’était tout un contexte, comme un cocon, que Laura avait tissé pour que je sois corps et âme et sexe avec elle. J’étais l’homme que j’avais été jusqu’à notre rencontre mais j’étais également un autre homme. J’étais, petite touche par petite touche, un homme différent. Au contact de la coquine rousse, je révélais lentement mais sûrement l’homme que j’avais enfanté en moi pendant toutes ces années mais à qui je n’avais jamais osé donner naissance. Mais tout ça, c’était fini. Oui. J’étais résolu de libre cours à ma vie, à mes désirs, à mon instinct, aux côtés de Laura.

Ton anus est beau, mon coeur. Il me donne carrément envie, là ! Je sais même pas comment je fais pour ne pas m’y précipiter tout de suite. Peut-être parce que… parce que j’aime ces moments que l’on passe, toi et moi. Ces moments où l’on se parle. Ces moments où l’on se fait des câlins. Et tu vois, Benoit… Jai beau être coquine voire même carrément insatiable… j’aime les câlins. Et là… vu que c’est avec toi… je me sens si bien.

Continue d’être comme ça, Laura… C’est tout ce que j’aime… Au risque de me répéter, j’ai longtemps rêvé d’une femme comme toi. Je veux dire… Belle, douce, coquette, tendre, gentille, audacieuse… cochonne ! Tout ce que j’aime… ce que j’aime trouver chez une femme, quoi. Tu fais tout ça si bien…

Attention, mon mystérieux ! Je suis loin d’être parfaite ! J’en ai pas du tout la prétention, tu sais ! C’est juste que…

- Que… ?

Eh bien… Comme tu le sais, et à présent, tu ne peux que le voir… je suis comme ça. Tout simplement. Je suis moi, ni plus ni moins. Je me force pas à faire semblant. Je veux pas exagérer ce que je dis, ce que je fais. Le naturel dans un couple, dans l’intimité, dans la vie de tous les jours, c’est important.

Spaceman de Babylon Zoo, groupe rock anglais des années 1990…

Tu es si belle, Laura. Moi aussi, j’ai envie de toi. Et tu le vois que je peux plus résister ? Tu le vois, hein ?

En guise de réponse, j’ai senti Laura faire usage de ses douces mains roses pour m’écarter les fesses. Il n’y avait aucune brutalité dans ses gestes. C’était même tout le contraire. Il y avait de la douceur, de la tendresse, de l’amour, de la passion dans ses caresses, qu’elles fussent chastes ou plus… explicites, plus osées. Elle y prêtait une grande attention, Laura.

Une fois mon derrière écarté, j’étais à la merci de la bouche de Laura et j’en avais conscience. Il ne pouvait pas en être autrement, et à vrai dire… je n’attendais que ça. Et soudain… sans perdre de temps, Laura approcha sa tête et je sentis sa langue. C’était tout sauf inattendu, tout sauf désagréable. Je sentais Laura s’occuper de moi, me caresser et je succombais, encore et toujours, au plaisir qu’elle veillait à me donner.

Hmmmm… Mon chéri… Mon beau mystérieux… Tu la sens, ma langue… Elle est douce, elle est humide… Elle est chaude, elle te fait de l’effet… Elle te donne du plaisir, elle te fait perdre la raison… Et moi… c’est ce dont j’ai envie… Que tu perdes les pédales, que tu jouisses… Et pour ça… je vais continuer de te le lécher, ton cul… parce que j’aime ça. Et je vais te la branler en même temps, ta belle grosse queue parce que comme ça… tu vas jouir, toi aussi… Et comme ça… tu me donneras ton sperme… Ton sperme dans ma bouche… sur mes gros seins que t’aimes tant, mon amour… Laisse-toi aller, mon Benoit...


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 

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