Plaisir d'écrire

Verse 1

How could I have slept quietly

If I hadn't talked to you?

My love...

Take a look at me now

So I can take a look at you too,

Tell me I can make you feel happy

Chorus

How could I have gone on that way?

It's been an uncomfortable timr

And I have no right to be bad

Cos simply there was less time together

Those days

Verse 2

How can I know I'm happy

When the things that matter to us are twisted,

My love...

Take a look at me now

So I can take a look at you too,

Tell me I didn't hurt you

Chorus

Chorus

Break

"Get well soon!"

Is what you said

When we talked ;

You sent me the photograph

And then

I managed to smile,

So I thank you

From the bottom of my heart

Chorus

Verse 3

Will you tell me

If I say,

If I say

Just one bad sentence?

Please tell me

Vous qui vous croyez heureux parce qu'elle vous sourit

Et qu'elle est pendue à votre bras : faites attention...

Une seconde d'inattention, et c'est la sanction

Parce qu'elle va vous reprocher ça et ci.

Vous aurez beau vous expliquer sans aucun répit,

Ça ne pourra plus être la même compréhension

Et même si vous voulez maintenir la discussion,

Les jeux sont bien loin d'être faits, rien ne vous le dit.

Alors, vous vous disputerez avec perte et fracas :

Les choses de la vie sont compliquées, c'est comme ça

Mais, vous voudrez vous battre parce que vous tenez à elle

Et c'est plus fort que vous malgré ce qui se passe

Et, tant que votre amour ne boit pas la tasse :

Continuez de lui dire qu'elle est belle.

C'est l’Éden quand je te parle, le soir,

C'est encore mieux quand je t'imagine,

Dans l'intimité de ta chambre, maligne,

Je rêve de plus en plus, la nuit, de te voir...

C'est l’Éden quand tu te caresses, devant ton miroir,

Ce serait encore mieux si nous étions intimes...

Tu peux penser que je me fais des films

Mais... J'aimerais faire renaître ce bonheur, dans ton regard.

Je m'habitue de plus en plus à toi, mon Éden

Et je n'ai ni honte, ni gène

À nous envisager dans une vie de tous les jours

Car cette idée m'effleure au fur et à mesure

Que l'on se connaît et que l'on se rassure,

Je sens naître, dans mon corps, mon cœur et ma tête, l'amour...

J’insère un second doigt en elle.

Mes doigts vont et viennent en rythme. Un troisième doigt, en l’occurrence mon pouce, trace encore et toujours des cercles, de petits cercles, sur son clitoris.

Mes lèvres, elles, continuent de se poser sur ses seins. Ils continuent de sucer les tétons dressés de Bérénice. Et ça, c’est en alternance avec ma langue qui, elle, les lèche et qui s’occupe également des aréoles rouges/roses plutôt larges de ma «pupuce».

Bérénice et moi sommes l’un contre l’autre. Nous sommes bien.

Quelle belle… et intense intimité entre nous… J’aime…

Nous sommes bien.

(…)

Je délaisse un peu les seins de ma Bérénice. J’ai envie de l’embrasser. Oh… oui…

Je porte sa bouche à la mienne.

Ses lèvres ont un bon goût de vanille. Elles sont roses. Je… les… adore. J’aime les porter à ma bouche. Nos baisers sont toujours aussi bons. Hmmm…

Trois doigts d’une main s’occupent de l’abricot de Bérénice.

Mon autre main, elle, je la porte… dans le cou de ma chérie, alors que je l’embrasse et que je la doigte.

Je continue d’embrasser Bérénice pendant ce temps-là.

J’aime… la vanille de ses lèvres.

J’aime… la douceur de sa peau.

J’aime… ses seins blancs aux aréoles rouges et roses.

J’aime… les poils de son mont de Vénus.

J’aime… mes doigts en elle.

J’aime… qu’elle soit autant mouillée parce que je continue de lui faire l’amour ainsi.

J’aime Bérénice, et nous sommes bien en ce moment, à faire l’amour, aux premières douceurs du matin...

Elle habite ici, elle m'est revenue:

Elle est toujours aussi belle, vêtue de bleu,

Elle me fait me sentir bien, je souris, amoureux,

Je ne cache même plus que je suis ému.

Si heureux depuis qu'elle m'a prévenu

Que nous allions nous revoir un jour, d'ici peu:

Dès lors, je me suis remis à briller de mille feux

Et ce, dès que je l'ai seulement aperçue.

Elle porte du noir et du rouge, presque rose,

En dessous, et elle fait que je suis en transe

Quand elle passe et repasse, tout ça pour m'inspirer:

Elle sait l'effet qu'elle me fait et qu'elle a sur moi;

Les gens disent, mais c'est moi qui la suis ici, là,

Et c'est moi qui suis à ses pieds, dans l'intimité.

Verse 1

The most beautiful memories we've had

Both of us,

Maybe they are behind our back now,

I don't know if I'm sorry

But I have to say,

I have to say

Break 1

Dark unfamiliar thoughts,

That's what comes up in my mind

Because less and less time together,

One way or another,

The lovers are losing themselves

I should have known

From the first time I had a doubt

Verse 2

We say we don't want to be just friends,

We say we want to stay the same lovers,

You say we spend time together,

I don't know we can turn back the time we've lost

And I have to say,

I have to say

Break 2

A cold voice on the other side of the phone,

A voice that you're not used to,

All of your life first,

From this moment on,

It hasn't been the same

I should have known,

That's just the way it is in love...

Break 3

Heaven to hell,

Pleasure to pain,

Lovers to friends,

Sun to rain,

It shocks people how quick things can change,

That's just the way it is

Verse 4

The most beautiful memories we've had,

You and I,

Maybe they are behind our back now,

I can't say I'm not sad

But I can say,

I can say

I should have known,

That's just the way it is in love...

But it's been simply too late

When you finally make up your mind

Hélène est partie, et c'est aussi bien comme ça :

Ça devait arriver, un moment ou un autre,

En aucun cas, ce n'était de sa faute :

Hélène est partie, et aujourd'hui me voilà.

Hélène est partie, vous savez, j'en perds ma voix

Si je la vois passer sous ma fenêtre

Et qu'aujourd'hui, elle semble me paraître

Heureuse : Hélène est partie, sans penser à moi.

Hélène est partie, et je vis différemment,

Voir mes amis, répondre au téléphone à présent :

Les belles heures sont finies, mais je continue ma vie.

Telle ou telle chose, untel ou untelle, sourire,

Se rappeler des choses, mais reprendre du plaisir :

Je veux vivre ma vie même si Hélène est partie.

Tu peux être dans ta chambre, à faire je-ne-sais-quoi

Ou bien allongée, à ne penser juste qu’à nous deux,

Tu me rends, jour après jour, de plus en plus amoureux

Et je sais que c’est toi, et pas une autre que toi.

Laisse-toi aller, laisse-toi te coller contre moi,

Chacune de nos conversations nous rend heureux

Et chacun de nos soirs est juste savoureux,

J’aimerais m’endormir avec toi, comme à chaque fois.

Et quand tu t’occupes de moi, tout entier,

Je ne peux que me rendre et capituler

Parce que tu es toute en beauté, ma puce.

Et quand je veux m’occuper de toi, ma chérie,

Ta voix est douce, tu halètes, soupires et gémis

Et nous nous retrouvons pour une autre nuit douce.

Je m’occupe à la fois de sa poitrine ET de son minou.

Et, pour tout vous dire, j’aime ça.

Ses seins sont fermes. Leurs tétons dardent. Ils pointent joliment. C’est beau, et j’aime voir ça. C’est comme s’ils étaient le cœur d’une cible dont les aréoles rouge/rose seraient la cible elle-même. Les tétons en sont le mille. C’est là qu’il faut stimuler Bérénice. Mais pas que…

Mon doigt est toujours en elle. Il continue d’aller et venir.

La combinaison de mon doigt à l’intérieur du vagin de Bérénice et de ma langue sur les tétons de Bérénice font que ça lui procure encore et encore du plaisir.

D’humide, elle était mouillée.

Et maintenant, de mouillée, elle est vraiment trempée.

Même avec précaution, mon doigt se faufile de plus en plus facilement en elle.

Elle accompagne mes caresses en faisant onduler son bassin.

Elle gémit.

Elle halète.

Je titille ses mamelons tout en restant enfoncé en elle.

Ma langue virevolte sur eux.

Je suis fou de ses bourgeons d’amour.

Nous sommes si proches… C’est si intime entre nous, ce matin. Ce sont les premières douceurs du matin, et nous avons envie l’un de l’autre. C’est tout ce qui compte.

Même si elle serre les cuisses et enserre ma main, elle les écarte quand même un petit peu pour que je puisse la pénétrer et ainsi aller et venir en elle.

J’aime ça…

Mon doigt glisse en elle si facilement. J'aurais bien aimé de la lécher...

Je suis à la limite d’insérer un deuxième doigt… tout en continuant mes petits cercles, toujours des petits cercles sur son clitoris.

Ses gémissements sont de plus en plus bruyants.

Ça me plaît… Ça me plaît beaucoup.

Chorus

Oh oh oh oh oh,

He's so much better than anyone else,

Oh oh oh oh oh,

He's so much better than me,

Oh oh oh oh oh,

There's no one

But him in your mind

Verse 1

Oh girl,

You don't have enough with him

And twenty-four hours,

More or less,

It's too short;

That's why you keep talking,

Keep talking to me about him

Break 1

I listen to

And I listen to

And I listen to

But...

Chorus

Verse 2

Oh girl,

There's so much pleasure

And twenty-four hours,

More or less,

You can't turn back time;

That's why you tell everything,

Tell me about everything you made

Break 2

I seem to be,

I seem to be,

I seem to be,

But...

Chorus

Break 3

The more we try to get things better,

The more things are upside down

Oh girl,

Could you tell me why?

Why it's like that now

Verse 3

You're miles away

And distance grows,

Forty-eight hours,

More or less,

It doesn't seem to be in your mind;

He's so much better than me,

He's so much better than anyone else,

That's just what I think about you and I

Now