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erotica

Manon, nouvelle mariée (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

La bouche de Christophe se perd sur le corps de la femme qu'il aime. Manon est particulièrement belle. En ce jour à marquer d'une pierre blanche, elle lui a dit oui. Elle lui a juré fidélité. Ça a été particulièrement émouvant, quand ils se sont tenus devant l'autel de l'église, les yeux dans les yeux, et qu'ils se sont échangés leurs vœux de mariage. Submergée par l'émotion du moment, Manon a eu la voix on-ne-peut-plus tremblante. Ça restera à jamais gravé dans sa mémoire. Tel un plongeur qui explore les fonds marins, Christophe parcourt la peau de son aimée. En ce qui la concerne, la jeune femme a des frissons qui lui parcourent le corps. C'est étrange comme sensation et pourtant... C'est si agréable. C'est une sorte de fièvre qui la prend au corps et qui ne l'a quitte plus.

La tête plongée dans le cou de Manon, Christophe donne des baisers à sa femme. Le corps de la mariée sent bon. Le marié se laisse envoûter par cette senteur délicate mais agréable. Il aime ces moments-là, avec Manon. Son épouse est belle et elle met ses esprits sans dessus dessous. Manon possède ce don naturel qui est de faire craquer son homme... et de le faire tomber à ses pieds. Là, la tête dans le cou de Manon, Christophe ne peut pas être mieux.
 
 
 
Manon sent bon. Son mari se laisse enivrer par ce parfum qu'elle a déposé avec parcimonie sur sa peau. Le bel homme laisse cette senteur délicate mais agréable pénétrer ses narines. Ça le rend fou. Voilà. C'est fait. Les dégâts son perpétrés. Christophe est prêt à se plier en quatre pour sa belle et jeune épouse. Ce qu'elle demandera, il le fera. C'est comme ça. Christophe ne peut pas résister à la femme qui lui a dit oui, un peu plus tôt dans la journée. Il n'a pas la moindre intention de lui résister, ce soir. Ce jour est beau. C'est un jour mémorable. Il est à marquer d'une pierre blanche. Ça restera à jamais gravé dans leur mémoire. Après avoir partagé avec leurs invités le bonheur et la fierté de s'être unis pour la vie, les voilà rien que tous les deux, dans leur chambre d'hôtel. Seuls au monde. C'est leur nuit de noces et ça ne regarde qu'eux.
Les jeunes mariés ne parlent pas. Ce sont leurs yeux, leurs corps, leurs cœurs, leurs âmes qui échangent ensemble. Ce sont leurs émotions et leurs sens qui les guident. C'est un moment privilégié où leur amour s'exprime. Les baisers s'enchaînent, se succèdent. Les jeunes mariés ne les comptent pas. Leur nombre n'a pas d'importance. Ce qui compte, c'est qu'ils aiment ça, s'embrasser. Leurs lèvres se touchent. Leurs langues se caressent. Leurs salives se mélangent.
 
 
 
La tendance se confirme : il n'y a pas un mot prononcé par les jeunes mariés. Les sons émis sont suggestifs et se suffisent à eux-mêmes. On n'entend que des lèvres qui se touchent, deux êtres qui respirent. Les mains qui caressent les corps et les bouches qui s'unissent procurent aux tourtereaux des sensations agréables. Les vagues de plaisir qui se diffusent dans leurs corps fluent et refluent, un peu comme si c'étaient des marées. Sauf que là, la mer de volupté ne recule pas. Manon et Christophe aiment ça. S'embrasser, c'est tellement... bon. Ça fait du bien. Ça procure du plaisir. La nuit de noces ne fait que commencer... Les minutes s'égrènent. Le temps n'a pas d'importance. C'est comme s'il a stoppé sa course. Les amoureux sont seuls au monde. Un peu comme des partenaires de danse, les jeunes mariés dansent une ballet de baisers. Les bisous sont les pas de danse. Les sons constituent la musique sur laquelle leurs bouches dansent ensemble. C'est une chorégraphie bien huilée, rythmée qui s'est mise en place depuis que Manon et Christophe sont entrés dans leur chambre nuptiale. Unis par leurs baisers et leurs caresses, ils ne font plus qu'un. Les mains sont de plus en plus baladeuses. Les attouchements sont de plus en plus osés. Grisés par la passion, guidés par le désir, les amoureux deviennent amants.
Grisés par la passion, guidés par le désir, les amoureux sont sensuels. C'est l'amour qui les inspire.
 
 
 
Grisée par les caresses, les égards et les baisers de son mari, Manon fond comme neige au soleil sur place et se laisse aller. Grisé par le fait que son épouse soit aussi réceptive à la délicatesse de ses attentions, Christophe continue et se laisse aller à son tour. Les amoureux se métamorphosent en amants, dans l'intimité de la suite nuptiale. Il n'y a pas que Christophe qui ait les mains curieuses, gourmandes... et donc baladeuses. Non. Manon n'est pas en reste. Ses mains parcourent le corps de l'homme qu'elle aime et à qui elle a dit oui aujourd'hui.
Les amoureux devenus amants, leurs mains poursuivent leur voyage tactile. Avec les cinq sens pour compagnons de voyage, les amoureux devenus amants se laissent guider, inspirés.
 
 
 
La sensualité naissante du moment apporte une touche supplémentaire de magie alors que la lune de miel des jeunes mariés ne fait que commencer. Il n'y a pas à réfléchir. Il n'y a qu'à écouter son cœur, ses sentiments et ses émotions. Il n'y a qu'à se laisser guider par les réactions de son corps. Quand le cœur bat la chamade, quand le corps s'affole, c'est... normal de perdre les pédales et de ne plus rien contrôler. Le tout, c'est d'y prendre du plaisir et de vivre le moment présent.
C'est mettre des petits détails insignifiants de côté, et ainsi tirer la quintessence des baisers et des caresses que l'on se donne. On est deux êtres et le monde autour de soi s'évapore. On se laisse porter par l'emballement du corps, du cœur et de l'esprit. On perd le contrôle de son corps. Que c'est agréable, lorsque l'on vit un tel moment privilégié avec l'être aimé... On oublie tout et on n'appartient qu'à cette personne. C'est tous les jours que l'on s'aime. Et c'est tous les jours qu'on se le témoigne.
 
 
 
Les jeunes mariés s'échangent des baisers et des caresses. Il n'y a personne pour les observer. C'est parfait. Ils peuvent se laisser aller comme bon leur semble. C'est leur intimité et ça n'appartient qu'à eux. Plus la passion brûle en eux et les embrase, moins leurs baisers et leurs caresses sont timides. Plus le temps passe, plus leurs baisers et leurs caresses se teintent de fantaisie, d'imagination, et plus ils sont sensuels.
Les amoureux devenus amants ne résistent plus ni à l'idée ni à l'envie de redécouvrir les contours de leurs corps. Une folie charnelle s'est emparée d'eux. De conjoints, d'amoureux, de meilleurs amis, les voilà amant et maîtresse. Christophe se fait ainsi une piqûre de rappel des formes et des courbes de sa belle. Manon, quant à elle, est curieuse et aime toucher son beau.
La magie du mariage se prolonge, petite touche par petite touche. Il règne une senteur mêlée d'amour et de passion dans la chambre nuptiale. Les amoureux se sentent bien, dans cette suite. Ils sont dans leur bulle. Le reste n'a pas d'importance. Ils ont pris congé de leurs invités, un peu plus tôt dans la soirée. Ils ne pensent plus qu'à eux, à présent. Ils consomment leur mariage.
Ça fait des us et coutumes du mariage. Manon et Christophe ne sont plus des oies blanches depuis belle lurette. Ce ne sont pas des anges. Ils ne sont pas lisses. Ils ne sont pas innocents. Plus ils s'embrassent, plus ils se touchent et plus il fait chaud dans la chambre de leur nuit de noces. Leurs vêtements de cérémonie deviennent superflus, au fur et à mesure. Curieux, gourmand, ne sachant pas quoi faire de la sensualité qui l'habite et qui le possède, Christophe cède à la tentation. Il ne résiste pas et délicatement, il abaisse le tissu fragile de la belle robe de mariée blanche de son épouse. La peau nue de Manon se révèle au grand jour...

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Mon rêve avec Lady Annia 2

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon rêve avec Lady Annia 2
Mon rêve avec Lady Annia 2
 
Lady Annia est juste... somptueuse. Comment ne pas avoir envie d'elle ? C'est impossible. Moi en tout cas, elle me donne envie. Mon sexe est retenu prisonnier dans la cage de tissu qu'est mon boxer. Il ne demande qu'à en sortir, tel un petit diable qui jaillit de sa boîte. Pour le moment, cette perspective n'est pas à l'ordre du jour. Mes mains sont posées sur le corps de la jeune femme. Plus de deux ans se sont écoulés depuis notre rencontre à Boulogne sur Mer. Pour moi, c'est comme si ça a eu lieu hier. Quand je touche Lady Annia, je me fais une piqûre de rappel de la douceur de sa peau. C'est un délice de m'approprier de nouveau aussi bien ses formes généreuses que ses courbes alléchantes. À mes yeux, elle est l'incarnation de la féminité. Elle prend soin d'elle et elle est belle. Lorsqu'elle remue les lèvres, mes oreilles sont bien grandes ouvertes et je suis aussi bien conquis par son accent sud-américain que par la sensualité de son grain de voix. Tout ça combiné, ça fait que je ne pouvais pas passer à côté de l'invitation que Lady Annia m'a fait à la rejoindre dans la Suite Jacuzzi de cet hôtel, elle... et son compagnon Monsieur Mystère.
 
 
Deux hommes pour elle, au service de son plaisir... Tel est l'un des fantasmes de Lady Annia. Aujourd'hui, le voilà qui se réalise. Elle, son compagnon Monsieur Mystère, moi... L'heure est au plaisir. Le reste n'a pas d'importance. Lady Annia est là, en compagnie de deux hommes auxquels elle fait confiance. Son petit ami, Monsieur Mystère. Son ami, moi, Andrecito. Je sais qu'ils sont amoureux comme ce n'est pas permis, ces deux-là. Et je sais que Lady Annia aime les belles choses, la volupté, la sensualité. Nous trois, dans cette Suite Jacuzzi, elle ne peut pas être mieux. Elle est aux anges. Elle peut l'être. C'est un beau fantasme qui devient réalité. Monsieur Mystère et moi, nous faisons en sorte que ça le soit 
Je laisse à Monsieur Mystère le privilège de l'initiative. Il est particulièrement doux avec celle qu'il aime. C'est beau. Je suis fasciné par ce que je vois. C'est attendrissant. Et c'est d'autant plus sensuel. J'adore. Monsieur Mystère donne le la, la mesure et imprime le tempo. Je m'inspire de ses baisers et de ces caresses. Je veux être son pendant.
Je l'ai lue, Lady Annia. Et elle m'a fait l'honneur de venir jusqu'à Boulogne sur Mer pour me rencontrer. Je sais qu'elle aime les baisers et les caresses.
 
 
Les sensations créent un maelstrom d'émotions dans mon esprit en ébullition. Ça me donne la chair de poule. Une vague de chaleur s'empare de moi, se diffuse dans mon corps et me réchauffe. J'ai le souffle court. Cette jeune femme me donne envie d'elle. Deux ans après notre rencontre à Boulogne, elle me plaît toujours autant. C'est clair, net et précis pour moi: les choses n'ont pas varié d'un iota.
 
 
Je suis attentif à tout ce qu'il se passe. Mes yeux et mes oreilles n'en perdent pas la moindre miette. Je sais qu'elle aime ça, les ambiances sensuelles et les sensations voluptueuses, Lady Annia. Elle apprécie la douceur. Le plaisir, c'est son péché mignon. Elle ne se prive pas de le faire savoir.
Deux hommes qui la caressent et qui sont au service de son plaisir... Lady Annia ne peut pas rêver mieux. La jeune femme a toute confiance en nous. Elle peut donc se détendre et s'en remettre à nous, les yeux fermés. Elles sont agréables, ces quatre mains qui sont posées sur son corps. Elle n'est pas passive pour autant. Ce n'est pas elle, ça. Elle se frotte contre nous, ses deux amants. Elle compte bien nous exciter et nous éveiller au plaisir, nous aussi. Ça lui tient à cœur. Lorsqu'elle est bien avec un partenaire, elle est prête à se donner tout entière. Elle est comme ça, Lady Annia. Elle sent nos mains sur sa peau. Elles la sculptent, la couvrent d'arabesques. La senorita joue de ses formes et de ses courbes pour nous maintenir bien en érection pour elle. Comment ne pas perdre la tête quand on a affaire à une femme aussi sexy, par-dessus le marché ? Comment lui résister ? Je trouve Lady Annia toujours aussi sensuelle. C'est quelque chose que j'apprécie chez la personne qu'elle est. Certes, ça ne fait pas tout. Mais ça me donne envie de m'adonner à des coquineries. En cette belle journée de printemps, j'ai envie de m'adonner au plaisir. AuX plaisirS. Sur fond de décor cosy et de champagne, cette Suite Jacuzzi est le lieu idéal pour laisser libre cours à ses envies et à ses désirs. Lady Annia se détache de l'alcôve de câlins dans laquelle elle est réfugiée jusqu'à présent. Nous la regardons, étonnés. Interloqués.
 
 
Une moue faussement boudeuse se dessine sur le visage de la jolie sud-américaine. Ne nous méprenons pas. Ah ça non! Il s'agit là en fait d'une moue coquine. Quand on connaît Lady Annia, ça veut tout dire. La belle est joueuse. La belle aime séduire. La belle aime détourner ses amants du droit chemin. Elle aime les faire mariner, jouer avec leurs envies et leurs désirs. Les yeux particulièrement brillants, sans dire un mot, la jeune femme agite son index pour nous inviter à la suivre. Elle s'approche de la table de la pièce principale de la Suite et se saisit de la bouteille de champagne qui est maintenue au frais dans un seau rempli de glaçons. Elle se sert une coupe de la boisson alcoolisée et porte la flûte à ses lèvres. C'est fou à quel point elle reste élégante, la flûte à champagne à la main. Bon d'accord. Il ne faut pas que ça m'étonne. 
Quelle grâce elle a, lorsqu'elle avale le champagne... Quel charme elle a, lorsqu'elle vous regarde... Quand on a affaire à une femme comme elle, on ne demande qu'à lui manger dans la main. 
 
 
Ce signe de l'index, c'est une invitation on-ne-peut-plus claire. Sans dire un mot, la belle sait être persuasive. Elle sait surtout ce qu'elle veut. Ces baisers et ces caresses, ce sont des amuse-bouche et des hors d'oeuvres pour nous donner l'appétit. En parlant d'appétit... Je commence à l'avoir. Bon d'accord. Pas que de nourriture, compte tenu de la lingerie émoustillante et sexy que Lady Annia porte. Pourtant, à côté du seau à champagne se trouve un plateau où sont disposés des chocolats. Il y en a pour tous les goûts. Ça donne envie. Qui plus est, c'est important de prendre des forces si l'on se dépense après. C'est Lady Annia qui ouvre les festivités. Toujours aussi gracieuse, elle tend le bout des doigts vers le plateau de chocolats et en prend un. Monsieur Mystère et moi-même, nous la regardons faire. Nos yeux sont braqués sur elle et ne la quittent pas. Il y a de quoi. C'est ELLE, l'attraction de la pièce. C'est ELLE qui capte notre attention. Son charme nous magnétise et nous pétrifie sur place. Nous nous joignons à elle. Monsieur Mystère prend à son tour un chocolat. Quant à moi, c'est de champagne dont je me délecte. Lady Annia, elle, reprend un chocolat mais cette fois, elle le maintient dans sa bouche pour que Monsieur Mystère en mange la moitié.
 
 
Nous jouons ensemble. Nous coquinons. Les choses sont claires, nettes et précises entre nous, aujourd'hui. Lady Annia et moi, nous n'avons pas de sentiments l'un pour l'autre. Juste de l'amitié. En l'occurrence, ce serait ce qu'on appelle de l'amitié améliorée. En m'intégrant à ce trio coquin, c'est une preuve d'amour que Monsieur Mystère envoie à la femme qu'il aime. Et il n'y a que lui qu'elle porte dans son cœur.
 
 
Même si la belle a fêté son anniversaire au début de l'année, c'est un beau cadeau que Monsieur Mystère lui fait aujourd'hui. Je me mets en retrait et je les observe. Je capte en un rien de temps l'émotion qui s'empare d'elle et qui l'étreint aussi bien que l'amour passionné qu'il ressent pour elle. Je la vois, cette émotion, dans les yeux de Lady Annia. Elle prend la jeune femme au corps et elle ne la quitte plus. Ça s'appelle l'amour. Et c'est beau. De voir ça, ça m'attendrit.
 
Je ne peux pas me détacher de cette vision que Lady Annia offre. Elle capte immédiatement qu'il se passe quelque chose. Elle n'est pas dupe et il ne faut pas la lui faire. Elle sait qu'elle me plaît et que je suis sous son charme. Je suis tout cuit, tout rôti. Ça aussi, elle le sait. Elle en joue. 
 
 
C'est le moment que Lady Annia choisit pour poser ses deux mains sur le body noir en dentelle qu'elle a choisi de porter. Elle ne les pose pas n'importe où. Et elle ne le fait pas n'importe comment. Ce sont sur ses seins que ses mains sont. Elle ne sait que trop bien que nous les aimons particulièrement, Monsieur Mystère et moi. Elle empaume ses seins. Ah les beaux gros seins de Lady Annia... Elle qui rêve que deux hommes les lui lèchent... Tout en sensualité et en nous regardant intensément, elle libère sa jolie poitrine généreuse de leur prison de tissu. Ils sont... beaux! Elle agite de nous nouveau son index. Nous revenons à la rencontre de Lady Annia.
Elle nous sourit et nous prend chacun par la main.
Main dans la main, nous nous dirigeons vers le lit superbement fait.
Je vous laisse imaginer la suite...
 
 
 
 
 

 

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Émilie ou le fantasme de Gaëtan (2ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

J'entends le bruit des lèvres qui se touchent lorsque les deux amoureux s'embrassent. C'est beau, comme spectacle. J'imagine la sensation de la bouche d'Émilie sur la mienne. Je vois déjà plus loin et je divague. Je me plais à m'interroger sur le regard que Gaëtan portera sur nous deux, une fois que sa femme me rejoindra. De par nos échanges coquins en virtuel, il sera excité. Je le sais. Là, c'est moi qui suis dans tous mes états. Je tâte mon érection.

 
Je cajole la bosse qui est retenue prisonnière dans mon boxer. J'adore les préliminaires. Qu'il s'agisse d'en être à la fois acteur et receveur, que j'en sois juste spectateur, ça m'émoustille. Lui comme elle, ils n'en pensent pas moins. Ils continuent de s'embrasser. Leurs jeux sont toujours aussi tactiles. Leurs mains sont curieuses, et par conséquent, gourmandes. De temps en temps, Émilie tourne la tête vers moi et me sourit. Puis, son attention se reporte sur son conjoint.
 
Je les entends rire. Ça les rend complices, ce moment où ils s'exhibent. Je vois leurs yeux. Ils se dévorent du regard, comme au premier jour. Ils sont amoureux. Cette soirée, ça met du piment à leur intimité. À l'inverse d'Émilie, Gaëtan savait qu'il aimait ça, être libertin, exhibitionniste. Bien que sa belle n'ait jamais caché qu'elle pouvait être coquine, le libertinage était quelque chose qui n'entrait pas dans sa conception de la sexualité, jusqu'alors. Son homme avait eu envie de faire apparaître au grand jour cette facette qui lui était inconnue.
 
Émilie se découvre. Gaëtan la métamorphose. Elle y prend goût et elle a l'air d'aimer ça. Au départ réservée, voilà qu'elle est audacieuse. Ses baisers et ses caresses sont plus spontanés, plus fougueux. C'est, petite touche par petite touche, une autre femme qui s'offre à son homme ainsi qu'à mes yeux. Ça la rend même plus... désirable. Moi aussi, je veux sentir ses lèvres sur les miennes, ses mains sur mon corps...
 
 
Je vis les baisers et les caresses du couple par procuration. Le moment opportun, je cesserai d'être juste un spectateur de cette soirée. Néanmoins, je ne boude pas mon plaisir de les regarder s'aimer. Ils expriment leur amour comme bon leur chante. Ils ont raison. Il n'y a rien de plus beau que deux personnes qui s'embrassent et qui se disent "je t'aime". Je les trouve tout simplement beaux, Émilie et Gaëtan.
 
J'ingurgite une nouvelle gorgée de vin. L'alcool continue de produire son effet sur moi. Je ne pense à rien. Je suis détendu. Je savoure l'instant. Je passe un bon moment. Pour rien au monde je n'ai envie de me lever de mon fauteuil et de prendre congé de mes deux hôtes. Désormais, il en est hors de question. Quand je les vois se bouffer des yeux, crs amoureux... Ça me donne juste envie de rester assis et de les regarder.
 
Quand je les vois se dévorer des lèvres, ces tourtereaux... Je me laisse volontiers m'imaginer que je suis à la place de Gaëtan. Minute! Ça va en être le cas à un moment donné de la soirée. Patience, patience... Ce n'est pas pour tout de suite. Et puis... L'appétit vient en mangeant, comme on dit. Je me rince l'œil pour le moment... et j'aime ça. Moi qui suis un homme voyeur, me voilà servi. Je me délecte de ce qui s'offre à mes yeux.
 
Gaëtan plonge son visage dans le cou de sa moitié et l'embrasse. La vision est belle. Ah... C'est beau, l'amour. Gaëtan déborde de passion et de désir pour Émilie. Ça se voit. Que ce couple me donne envie... Ça lui plaît bien, à Émilie, ces baisers et ces caresses. Elle ne se prive pas d'exprimer le plaisir qu'ils lui procurent. Elle glousse. Son souffle se fait entendre. Elle oriente son beau avec des mots et des bruits pour le guider.
 
 
Ce couple est beau, décidément. Je suis heureux d'être ici, ce soir. Voir un homme et une femme s'aimer, c'est typiquement le genre de chose qui m'émoustille. J'entends le bruit de leurs lèvres qui se touchent. Je m'imagine leurs salives qui se mélangent. Comment je fais pour rester stoïque et placide en apparence alors que je n'ai qu'une seule envie : celle de me joindre à eux et de coquiner ? Patience, patience... Je dois attendre.
 
Ça me plaît d'être aux premières loges. Ça me plaît de regarder ces amoureux qui s'embrassent et qui se touchent. Ils se parlent tout bas. Ils mettent plus d'ardeur à se faire des caresses. Limite, ils se libèrent et c'est comme si je n'étais pas là. C'est peut-être mieux comme ça. En ce qui concerne Gaëtan, je sais que ça l'excite d'exhiber Émilie. C'était le fantasme qui figurait tout en haut de sa liste. Mais jusqu'à aujourd'hui, c'était son jardin secret, sa boîte de Pandore.
 
À compter d'aujourd'hui, cette boîte de Pandore désormais ouverte, il n'est pas question de la refermer et de la laisser prendre la poussière au fin fond d'un tiroir de leur vie privée. Le couple fait abstraction de moi. Ça leur permet de se sentir libres de faire tout ce qu'il leur passe par la tête. Ça doit se faire naturellement, tout en douceur. Ce doit être spontané, sans se poser de question. Le tout est que ça plaise.
 
Avec Gaëtan comme pygmalion, Émilie découvre cette facette d'elle qui lui était totalement inconnue jusqu'alors. Elle prend de plus en plus goût à s'exposer au regard de l'inconnu que je suis pour elle. Elle fait confiance à l'homme qu'elle aime et par conséquent, elle lui laisse carte blanche ce soir. Émilie prend de plus en plus confiance en elle.
 
 
Être voyeur dans ce genre de situation, c'est quelque chose qui me plaît. Je suis aux premières loges et je suis spectateur privilégié de ce qu'il se passe sous mes yeux. J'ai chaud. Est-ce le vin que je déguste qui me fait cet effet ? Est-ce dû à la température ambiante de la maison du couple ? Sont-ils tous les deux responsables de cette chaleur qui me prend au corps et qui diffuse à l'intérieur de moi ? Mon hypothèse, c'est que c'est un mélange de tout ça.
 
Petite touche par petite touche, le couple fait abstraction de tout et se libère. Les amour se dévoilent et se dévergondent. Soudain, Gaëtan relève la tête et oriente son regard sur moi. Il me sourit puis hoche la tête. L'instant d'après, le voilà qui dépose ses lèvres sur l'oreille d'Émilie, comme pour lui murmurer quelque chose. C'est intime. C'est pour permettre à Émilie d'avoir davantage confiance afin qu'elle déploie ses ailes pour de bon.
 
Une fois encore, c'est intime, ce que Gaëtan dit à sa chère et tendre. Mon petit doigt me dit que c'est pour permettre à la femme qu'il aime de se dévergonder. Je pense que je vois juste car l'instant d'après, je vois Émilie remuer dans les bras de son chéri et tendre. C'est pour changer un peu la posture de son corps. Les mots que Gaëtan a prononcé ont un effet de cause à effet, c'est certain. C'est comme s'ils réveillaient quelque chose d'effronté chez Émilie.
Émilie se libère et se délivre. J'ai la conviction que c'est à Gaëtan qu'elle doit ça. J'ai donc vu juste : Gaëtan est un pygmalion. Il façonne la femme qu'il aime de telle sorte qu'elle déploie ses ailes et qu'elle révèle au grand jour étendue de sa sensualité. Le langage corporel d'Émilie répond pour elle. Le jeune femme est libérée, délivrée. Chenille, elle se métamorphose petite touche par petite touche en chrysalide sous l'effet des caresses, égards et baisers de son homme.

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Roxane, Mère Noël... coquine (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Cette soirée du réveillon de Noël se passe on-ne-peut-mieux. Je suis chez nous et la femme que j'aime me taille une pipe des plus délicieuses. Elle n'en fait qu'à sa tête et elle s'est métamorphosée en Mère Noël. Elle est on-ne-peut-plus coquine et je la soupçonne de tout faire pour que je n'oublie pas ce réveillon de sitôt. Roxane est émoustillante. Elle est belle. Elle est sexy. Lorsqu'elle se comporte comme ça, je ne réponds plus de rien. C'est elle, la femme que j'aime. Et c'est elle, la femme dont j'ai envie. Je débranche tout et je lâche du lest. Je m'abandonne.

On pourrait croire que je me prends pour un pacha... Nous ne sommes pas loin de la réalité, je dois avouer. Ce n'est pas pour me déplaire. En mon âme et conscience, c'est avec plaisir que je plaide coupable. Presque avachi sur le canapé de notre salon, confortablement installé, je laisse Roxane me sucer. Pour sûr, je vais me souvenir longtemps de CE réveillon de Noël. Ces moments-là sont uniques. Il faut les apprécier à leur juste valeur, en profiter pleinement. Pour ma part, c'est ce que je fais. Et le moins que je puisse dire, c'est que je prends mon pied. Roxane fait tout pour, je reconnais. C'est un réveillon de Noël pas comme les autres. C'est un réveillon de Noël unique, atypique. La magie s'est créée entre nous deux. Nous devons la prolonger. Battre le fer tant qu'il est chaud. Entretenir les braises de la passion et du désir pour qu'elles ne s'éteignent pas. Pour l'heure, c'est à des années-lumière d'en être le cas. Je me délecte de cette mise en bouche qui nous ouvre l'appétit, aussi bien à Roxane qu'à moi. Je regarde ma chère et tendre me prendre entre ses lèvres. C'est une sensation exquise. Sa bouche est humide et la caresse est divine. Quel pied je prends à me faire sucer... Roxane est on-ne-peut-plus concentrée. Je le vois, ça, alors que sa bouche coulisse le long de mon membre. La soirée s'annonce sous des auspices voluptueux. C'est avec les yeux de l'amour que j'observe la femme que j'aime.
Je regarde Roxane. Je veux qu'elle me voit dans mes yeux que je l'aime. Je veux que mes yeux traduisent avec véracité à quel point je prends mon pied pendant qu'elle me taille cette pipe. À mes yeux, Roxane est la plus belle femme du monde. Ça m'excite particulièrement d'observer Roxane faire. Je veux entendre chaque son qui sort de sa bouche. Je veux qu'elle sache que je prends mon pied lorsqu'elle me donne du plaisir. Roxane est sensuelle lorsqu'elle prend des initiatives coquines. Vous comprenez donc que c'est un tout qui me rend fou d'elle.
 
 
Je parle à Roxane. Je veux qu'elle ne perde pas une miette de la manière à laquelle je réagis à ses caresses. C'est un réveillon de Noël pas comme les autres. C'est un réveillon de Noël placé sous le signe de la luxure. Tout ce que Roxane fait, j'aime. Elle y met du cœur. Je me brûle de lui rendre la pareille. Quand l'heure viendra, elle jouira comme jamais...
La magie de Noël a pris une tournure... coquine. C'est voluptueux. Un déguisement sexy, une fellation délicieuse... Il n'y a pas mieux pour rendre ce réveillon mémorable. Je caresse les cheveux de Roxane. Les mots que je prononce sont destinés à la guider. Nous sommes complices dans le plaisir.
 
 
Le Père Noël a envoyé une belle jeune femme pour qu'elle m'offre mon cadeau. Cette belle jeune femme, c'est ma compagne. Roxane s'est mise dans la peau de la Mère Noël. Habillée sexy de rouge et de blanc, elle est particulièrement coquine. C'est un beau cadeau qu'elle me fait, ce soir. C'est un cadeau que j'apprécie à sa juste valeur et dont je ne perds pas une miette. Certes, c'est tous les jours qu'on dit qu'on s'aime. Ces événements-là, ce réveillon de Noël, la Saint Valentin... Ça rend l'amour encore plus magique. Mais il n'y a pas de jour en particulier pour exprimer et témoigner son amour pour quelqu'un. Oui. C'est tous les jours. 365 jours par an. J'aime préparer de bons petits plats et dresser une belle table. J'aime offrir un joli bouquet de fleurs, écrire des lettres d'amour enflammées. Ce sont des attentions qui, mises bout à bout, font que j'exprime et témoigne mon amour pour Roxane. Être aux petits soins pour elle, la surprendre au moment où elle s'y attend le moins... Ce sont des choses simples mais qui touchent et qui apportent le sourire. Ces choses simples réchauffent le cœur. Telle est ma conception d'une relation avec une personne. Cette histoire d'amour, c'est avec Roxane que je la vis. Elle se vit et se partage au quotidien.
Roxane me réduit à l'état de boule de plaisir. J'entends ma voix. Avec le plaisir, elle devient rauque. J'exprime ce que je ressens sur le coup, tout ce qu'il me passe par la tête. Je ne me laisse aucune censure. Je demande à Roxane de continuer de me sucer. Je lui dis que c'est... bon. Elle, elle est à genoux. Ses lèvres vont et viennent sur ma queue. Elle a ses deux mains posées sur mes jambes afin de se maintenir stable. Quand elle ne me prend pas dans sa bouche, elle plante ses yeux dans les miens. Elle me sourit. Elle fait la belle. Elle m'aguiche. Elle s'accorde des pauses afin de reprendre son souffle. Elle a raison et elle fait bien. À vrai dire, ça me permet de calmer mes ardeurs et de laisser momentanément retomber mon excitation. Ainsi, je suis en mesure de ne pas jouir de manière précoce. Ce que je veux, c'est que ce moment dure. C'est un beau moment. Un moment hors du temps où nous nous coupons du reste du monde.
 
 
Je me laisserais bien tenter pet me laisser éjaculer dans la bouche de Roxane, tant j'aime qu'elle me suce. Ce serait une possibilité. Mais il n'y a pas que moi. Nous sommes deux. Je veux qu'elle aussi, elle ressente le même plaisir quand on en donne à quelqu'un.
Je demande à Roxane de s'arrêter. Je lui fais remarquer que si elle continue de me sucer comme elle le fait, je ne répondrai de rien lorsque je m'abandonnerai dans sa bouche. Roxane me répond du tac au tac et rétorque que ça ne lui déplairerait pas. Coquine et cochonne comme elle sait l'être, mon petit doigt me dit qu'elle n'attend que ça. Moi, avec le cinquième as que je cache dans ma manche, je ne l'entends pas de cette oreille car j'ai d'autres projets. Des projets certes différents... mais non moins voluptueux. Je ne manque pas d'embrasser ma chère et tendre. C'est ma façon à moi de lui dire merci pour cette petite gâterie qu'elle vient de me faire. À présent, les rôles vont être inversés. En effet, il n'y a pas que moi qui dois prendre son pied ce soir. J'ai envie d'entendre mon amour quand elle a du plaisir. J'ai envie de voir ses yeux se fermer, de la regarder se toucher. J'ai envie de sentir le goût et l'odeur de son sexe.
 
 
Je me laisserais bien tenter pet me laisser éjaculer dans la bouche de Roxane, tant j'aime qu'elle me suce. Ce serait une possibilité. Mais il n'y a pas que moi. Nous sommes deux. Je veux qu'elle aussi, elle ressente le même plaisir quand on en donne à quelqu'un.
Je demande à Roxane de s'arrêter. Je lui fais remarquer que si elle continue de me sucer comme elle le fait, je ne répondrai de rien lorsque je m'abandonnerai dans sa bouche. Roxane me répond du tac au tac et rétorque que ça ne lui déplairerait pas. Coquine et cochonne comme elle sait l'être, mon petit doigt me dit qu'elle n'attend que ça. Moi, avec le cinquième as que je cache dans ma manche, je ne l'entends pas de cette oreille car j'ai d'autres projets. Des projets certes différents... mais non moins voluptueux. Je ne manque pas d'embrasser ma chère et tendre. C'est ma façon à moi de lui dire merci pour cette petite gâterie qu'elle vient de me faire. À présent, les rôles vont être inversés. En effet, il n'y a pas que moi qui dois prendre son pied ce soir. J'ai envie d'entendre mon amour quand elle a du plaisir. J'ai envie de voir ses yeux se fermer, de la regarder se toucher. J'ai envie de sentir le goût et l'odeur de son sexe.
 
 
Même si ça lui dit bien que je m'occupe d'elle, même si ça lui dit bien que je lui rende la pareille, Roxane ne peut pas s'empêcher de faire la moue. Il s'agit là d'une moue coquine. Ma belle n'en pense pas moins. Ça lui plaisait de me prendre dans sa bouche. Ça lui plaisait de me réduire à l'état de boule de plaisir. Limite, ça la frustre de ne pas avoir pu me faire jouir ainsi.
Il faut qu'elle me comprenne, Roxane. Moi aussi, j'ai envie de m'occuper d'elle. J'ai envie de lui faire plaisir. J'ai envie de lui en donner, du plaisir. J'ai envie qu'elle me fasse partager son plaisir. Je suis persuadé que son sexe est déjà bien humide et que du miel féminin perle à l'orée de sa porte du plaisir. Ça me dit bien, de m'y rendre. Je compte y butiner comme bon me semble. Que Roxane ne me prenne pas pour un idiot. Je ne suis pas dupe. Je suis tout sauf ça. J'étais debout, bien sur mes appuis et je n'ai pas perdu une miette de ce qu'il s'est passé sous mes yeux. Boule de plaisir, géant aux pieds d'argile, je me suis délecté des coquineries diverses et variées de Roxane.
 
 
Comment résister à Roxane ? Comment ne serait-ce que possible d'envisager cette hypothèse ? Ce n'est pas possible. Voilà ma réponse. Elle est claire, nette et précise. Roxane est belle, et je l'aime. C'est aussi simple que ça. Roxane est particulièrement sexy ce soir, et j'ai envie d'elle. J'imagine qu'elle est tout aussi excitée que moi. Je me demande jusqu'à quel point elle l'est. La seule façon pour moi de le savoir est claire comme de l'eau et elle coule de source. Et j'ai bien l'intention de découvrir ce que Roxane cache, derrière le sous-vêtement blanc qu'elle porte. Inversons les rôles, à présent. Je demande à Roxane de se mettre debout. C'est ce qu'elle fait dans la seconde. Et dans la seconde où elle me fait face, la première chose que je fais, c'est poser mes mains sur son corps. J'ai besoin de me faire une piqûre de rappel de ses courbes voluptueuses. Roxane est un appel au plaisir. Et quand elle porte cette tenue de Mère Noël, elle est un appel au péché capital de la luxure. Je lui parle avec douceur. Je savoure chaque moment passé. Je prends mon temps. Rien ne presse. Et rien d'autre n'a d'importance.
La peau de Roxane est douce. Je me plais à me perdre dessus. Je sais à quel point ma belle aime prendre soin d'elle.
 
 
 
Je parle à Roxane. Je lui dis qu'elle a la plus belle peau du monde. Je souris à Roxane. Je lui fais comprendre qu'elle me plaît. Elle me fait craquer. Je ne lui résiste pas. C'est ELLE, à mes yeux, la plus belle femme du monde. C'est ELLE que je désire, dont j'ai envie. Je lui donne un baiser. Roxane y répond. Son baiser est fougueux. Ça veut tout dire. Son désir va de pair avec le mien. Roxane est irrésistible. J'ai le cœur qui bat la chamade. Nous nous donnons des baisers. Ça me laisse le souffle court. Mais ça me plaît bien, ces baisers. Ça nous ouvre l'appétit. Nous nous témoignons notre amour, ainsi. J'ai des frissons qui me parcourent le corps. C'est une sensation étrange mais agréable.
Qu'est-ce que je suis bien, avec Roxane... Elle me met les esprits sans dessus dessous. Elle est à croquer. Elle a le don de me faire craquer. Je suis à présent allongé sur elle et le contact de nos corps me met un peu plus encore les esprits sans dessus dessous. C'est un je-ne-sais-quoi qui prend possession de tout mon être et qui m'habite. Ça anime mes fantasmes, mes désirs et mes envies. Nous nous faisons du bien. C'est agréable. Cette communion à la fois sensuelle et charnelle nous permet de nous retrouver en tant que partenaires.
 
 
Je ne pense qu'à Roxane. Elle est à croquer, en ce soir du réveillon de Noël. Elle s'est faite toute belle. C'est pour me plaire. Elle ne peut pas me faire de meilleur cadeau. En plus d'être beau, c'est un cadeau qui est sexy. Je me souviendrai de cette soirée du réveillon de Noël pour le restant de mes jours. D'ordinaire, Roxane est une belle femme et elle aime prendre soin d'elle. Ce soir, non seulement elle est jolie, mais elle est particulièrement émoustillante. J'en prends plein les yeux. Quelle atmosphère propice au rapprochement des corps, des cœurs et des âmes... Si Roxane est émoustillante, moi je suis émoustillé. C'est tout sauf pour me déplaire. C'est le genre de chose qui me plaît, me charme et me séduit. Au plus haut point.
 
 
Quand mes lèvres se posent sur celles de Roxane, j'oublie tout et je me concentre sur nous. Il n'y a plus que nous qui comptent pour moi. Embrasser Roxane, c'est une manière pour moi de lui dire que je l'aime. Évidemment, c'est loin d'être la seule.
En amour, surprendre la personne qu'on aime, ça apporte du goût à la relation. Surprendre sa moitié en lui écrivant un poème ou bien une lettre... Surprendre sa moitié en lui préparant son petit-déjeuner ou bien de bons petits plats...
Je suis un homme qui est encore plus heureux, depuis que j'ai fait la rencontre de Roxane, il y a de ça deux ans. Elle fait de moi un homme serein. Et je suis raide dingue d'elle. Du coup, ça me plaît particulièrement de porter des petites attentions, comme bon me semble et quand ça me chante, à la femme que j'aime. C'est tout pour elle, rien que pour elle. Dans ces moments-là, l'idéal est qu'elle oublie tout ou, tout du moins, laisse de côté les moindres petites choses qui pourraient la contrarier et qui, du coup, pourraient l'empêcher de n'être rien qu'à moi. Lorsque Roxane est corps et âme à moi, son charme n'en est que plus beau encore. Son langage corporel dans ces moments intimes, c'est le fil d'Ariane qui me guide.
Roxane sourit. Ses yeux n'en sont que plus beaux encore car ils brillent. Roxane rougit. Mes petites attentions la touchent car elles lui font plaisir. Ça me va droit au cœur, dès lors. Moi aussi, je suis aux petits soins pour elle. Ça me fait plaisir. Son corps, son cœur et son âme sont les trois monuments du monde que je préfère. A chaque visite, j'ai été je garde le même plaisir à m'y rendre. Roxane est belle, et je l'aime. Je suis particulièrement bien en sa compagnie, ce soir.
 
 
Mon cœur bat la chamade. C'est pour Roxane qu'il bat comme ça, avec autant d'intensité et de fréquence. Mon cerveau est une centrale qui tourne à plein régime. Mes esprits sont sans dessus dessous. En revanche, je sais parfaitement à quelle sainte me vouer. Cette sainte qui est toute sauf innocente car sexy, c'est Roxane.
Un élan d'audace se diffuse dans mon corps et dans ma tête. C'est Roxane qui me donne envie d'oser. Ici. Maintenant. 
Un accès de passion s'empare de moi. J'ai le diable au corps. C'est le diable du désir.
Je bande comme ce n'est pas permis. Presque allongé sur Roxane, mon érection est collée à son ventre. Je me frotte contre ma compagne. Je veux qu'elle sente et qu'elle sache ainsi que j'ai on-ne-peut-plus envie d'elle. C'est à elle de prendre bien du plaisir, à présent.
Lentement, ma tête descend le long de son corps...

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Angèle, serveuse... libidineuse (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Je fais remarquer à Thomas que j'ai chaud, que j'ai la chair de poule. Je lui avoue que l'un de mes fantasmes inavouables est en train de se réaliser. Plus nous nous approvoisons, plus la température grimpe dans la salle. C'est intense, ce qu'il se passe. Je ne fais qu'un avec cet homme que je ne connais pas. Il a tout compris. Ses gestes m'émoustillent et sa manière d'être avec moi me plaît. C'est ce qu'il faut qu'il fasse. Qu'il continue... Moi? Je me laisse aller. J'ai totalement confiance en lui. Je m'en remets à lui, les yeux fermés. D'ailleurs... Je les ai, les yeux fermés, à l'instant-t. C'est tellement... bon. J'adore sentir des mains qui touchent mon corps. Lorsqu'elles sont douces, je m'abandonne aux sensations qu'elles me procurent. J'aime sentir des mains qui me caressent. Lorsque la personne sait ce qu'il me plaît, plus rien n'a d'importance à mes yeux et je me concentre sur le bien-être que je ressens. Et là, je me sens bien. De toutes les parties qui composent mon corps, on comprend facilement que ma poitrine est celle que je préfère, celle dont je suis on-ne-peut-plus fière. Et j'aime qu'elle ne passe pas inaperçue.

 
 
Je fais remarquer à Thomas que c'est plutôt intense, comme moment. Je veux qu'il sache que ses attouchements me rendent toute chose et que je suis loin d'y être insensible. L'incongruité de la situation rend les choses piquantes. Si mon boss débarquait et nous surprenait... Comment me verrait-il, après ça ? Je préfère ne pas y penser. Ça casserait tout à l'instant-t et ça romprait le charme de cette rencontre. Le plaisir que je ressens est la seule chose qui m'importe, là. Les caresses de Thomas me font fondre. Elles me donnent chaud. C'est tellement... bon. Je perds tout contact avec la réalité.
Mes seins sont une zone érogène majeure chez moi, qui plus est lorsqu'on me les caresse, je ne suis pas indifférente à cela. À mes yeux, on me caresse la poitrine parce qu'elle est belle, généreuse et qu'elle est par conséquent alléchante. Je comprends qu'ils attirent la curiosité des gens, mes seins. Je comprends d'autant mieux que mes amants veulent s'en occuper. C'est naturel d'avoir ces envies. Lorsque c'est doux et délicat comme contact, j'en veux encore plus. Avec ses caresses, Thomas a injecté dans mon corps et dans ma tête le venin du désir. Et là, j'ai clairement envie de lui...
 
 
Je suis dans tous mes états. Ma parole ! Si c'est comme ça, là, qu'est-ce que ce sera lorsque nous irons plus loin, Thomas et moi? Parce que de mon point de vue, il y a de fortes chances que nous n'en restions pas là. Pour dire les choses noir sur blanc, j'en ai envie. Cet homme est attentionné et il tient compte de la manière à laquelle je réagis à ses caresses.
 
 
Il s'y prend comme il faut avec moi, Thomas. Ses caresses me font du bien et elles me mettent de plus en plus en confiance. Que c'est agréable de sentir mon corps tout entier se détendre... J'adore cette sensation de lâcher-prise qui me prend au corps et qui ne me lâche plus. Thomas m'éveille au plaisir. J'ai envie de faire l'amour...
 
 
Mes yeux se ferment. Mes yeux se révulsent. C'est le plaisir qui fait que je réagis comme ça. Thomas est le genre même de partenaire que j'apprécie. Il est doux et attentionné. Il prend son temps et il est à l'écoute de ce que je ressens. Note à moi-même : il faudra que je demande à Thomas son numéro de téléphone. Pourquoi pas rester en contact avec lui et en faire un plan cul? Je garde ça dans un coin de ma tête. Là, c'est nous deux qui importent. Si c'est sans lendemain, je veux conserver des souvenirs qui resteront à jamais gravés dans ma mémoire. Thomas me semble être le partenaire idéal pour ça.
Je ne vois pas le temps passer. Je m'en fous. Je me sens bien, avec Thomas. Je veux apprécier chaque instant que nous passons ensemble. À tout moment, un client peut débarquer dans le bar. Ou même pire... Mon patron ! Ça le ferait mal si ça arrivait. Il ne verrait pas ça d'un bon œil, et c'est un euphémisme. Je ne sais pas comment je pourrais le regarder en face. Je serais gênée. Pitié ! Faites que ça n'arrive pas. L'instant d'après, l'adrénaline fait que cette crainte s'évapore aussi vite qu'elle est apparue.
 
 
Rien de tel que le plaisir pour vous faire tout oublier. Même si nous ne sommes pour l'un et l'autre que des inconnus, Thomas a le don de faire en sorte que les choses soient agréables. Ici, avec lui, le temps passe mais je m'en fous. Ici, avec lui, on pourrait me surprendre mais je m'en fous. Thomas met du piment dans ma vie... et j'aime ça. Si on me voyait... Moi, la barmaid sérieuse... Mon boss serait outré. Je pourrais perdre mon boulot. Il n'est absolument pas envisageable que ça arrive.
Rien de tel que le plaisir pour vous faire tout oublier. Et je sais de quoi je parle. J'en suis friande. Le plaisir ? Ça n'a pas de secret pour moi. Demandez-moi ce que j'aime : je vous réponds du tac au tac. Mon rythme cardiaque s'accélère. C'est sûr que je ne réponds plus de rien, le cas échéant. Thomas a cerné ce que j'aime. Il a touché le point sensible et il s'y attarde. Bien. Qu'il continue. Dos à lui, je sens son souffle tiède dans mon cou. Ses mains sont viriles et elles me massent les seins. Le chair pourtant ferme de ma peau me fait l'effet d'être de la pâte à modeler au contact des doigts habiles de Thomas.
 
 
Je suis dans tous mes états. C'est Thomas qui est responsable de ça. Ses caresses me font le plus grand bien. Ajoutez à cela les baisers qu'il me donne dans le cou... Je suis une petite chose perdue. C'est tout sauf pour me déplaire. Si mon boss savait... S'il me voyait, là... Je serais dans de beaux draps. Mais... D'un autre côté... Thomas a injecté en moi le poison du plaisir et c'est un venin qui ne cesse de se diffuser dans mon corps. C'est trop tard. Mon compte est bon. Les dégâts sont perpétrés. Je n'ai pas l'intention de m'échapper pour autant...
 
 
 
Mon plaisir... Ah mon plaisir... Mes pensées ne tournent plus qu'autour de ça. Je ne pense plus qu'à ça, au plaisir. Je suis le centre d'attention de ce bel homme. Ça me plaît bien. C'est comme si l'on se connaissait depuis longtemps. Inconnu, il a très vite compris à qui il avait affaire, avec moi. Je ne tiens plus en place. Mes yeux n'en font qu'à leur tête et sont de nouveau révulsés. Si Thomas continue comme ça, je ne répondrai de rien lorsque ce sera moi qui le toucherai et qui le caresserai. L'eau me vient à la bouche. J'ai de plus en plus de mal à calmer mes ardeurs...
 
 
Tant pis. Mon désir éclate au grand jour. Je ne peux plus réprimer mon intense envie de rendre la pareille à Thomas. Le plaisir qu'il me donne... À mon tour de lui rendre la monnaie de sa pièce. Moi aussi, j'ai mes fantasmes, mes désirs et mes envies. J'avoue que ce n'est pas pour me déplaire, de faire les quatre-cent coups. Je suis célibataire, je suis libre comme l'air. Je suis tantôt sérieuse, tantôt... libidineuse. C'est comme ça. Je m'abaisse et me voilà à genoux. Je pose ma main sur la bosse qui déforme le pantalon de Thomas...

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Belle, collègue... émoustillante (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Les dossiers, au même titre que les collègues, n'ont pas d'importance. Je sais que le dicton dit qu'il ne faut pas mélanger le travail et le plaisir. Soit. Là, ça ne se commande pas. Nous sommes bien, Belle et moi. Nous prenons du plaisir, elle comme moi. C'est le plus important. Le reste ? Eh bien, le reste, ça n'a pas d'importance. Qui sait de quoi demain sera fait ? Ce qu'il se passe dans cette salle de travail, en ce moment même, entre mon émoustillante collègue et moi, ça n'a pas eu lieu hier et ça ne se produira pas demain. C'est dans cette salle de travail et c'est aujourd'hui. C'est tout ce qui compte. Je me laisse aller. Je ne pense à rien. Je ne bouge pas. J'ai les yeux fermés. Je me concentre sur la sensation de la bouche de Belle qui va et qui vient sur mon sexe.

On n'entend presque rien, dans la salle de travail. On pourrait croire aisément que l'atmosphère y est studieuse, à l'intérieur. Si les gens savaient... À l'intérieur de cette pièce, deux collègues lèvent le pied et s'accordent du bon temps. Belle m'a corrompu et, comme l'adage le dit si bien : l'homme est faible. Si l'on suit le raisonnement, si l'on considère dans quoi Belle m'a entraîné, alors oui: je suis un homme faible. Attention ! Ce n'est pas pour me déplaire, ce qu'il se passe jusqu'à présent. Je suis célibataire. Je suis libre comme l'air. Je trouve Belle tout à fait à mon goût. Jusqu'à aujourd'hui, à mes yeux, elle était une collègue de boulot avec qui j'aimais bien travailler. Ni plus, ni moins. Jusqu'à aujourd'hui, il y avait une bonne entente entre nous. Désormais, les choses prennent une toute autre tournure. Mais là encore, ce n'est pas pour me déplaire. Belle est belle et je suis en train de passer du bon temps avec elle. Belle sait y faire, avec un homme. Et elle a le don de m'exciter. Au plus haut point. Dorénavant, lorsque je serai au bureau, lorsque je plancherai sur des dossiers, ce sera un peu plus compliqué d'être concentré, d'avoir l'esprit à cent pour cent sur mon travail et ma productivité. Il le faudra bien, pourtant. Et ce, même si Belle se trouve dans la même pièce.
Est-ce un aparté ? Est-ce que quelque chose naît entre nous ?
 
 
Pourquoi se poser des questions sur ce qui va se passer dans le futur alors que le présent est là et se vit? L'heure est au plaisir. Il s'agit de se faire du bien. Belle et moi, nous reprendrons le train du travail en marche. Consciencieux, sérieux et professionnels comme nous le sommes, nous rattraperons le temps perdu. Je ne me fais pas de soucis pour ça. Ça m'a traversé l'esprit le temps d'un instant et l'instant d'après, Belle me ramène sur Terre par le biais de la fellation qu'elle me fait. Ses caresses buccales sont divines. Ma partenaire de bureau me réduit à l'état de boule de plaisir tant c'est... bon, le plaisir qu'elle me donne. C'est voluptueux et ça met mon esprit sans dessus dessous. Je ne peux m'empêcher de porter mon regard sur cette belle Belle. Je veux voir comment elle est concentrée. Je veux admirer l'éclat de ses yeux. Je veux contempler le mouvement de sa tête lorsque sa bouche va et vient sur mon sexe. La vue en contre-plongée me permet de ne pas louper une miette du corps à demi-nu de mon émoustillante collègue. Les seins de Belle ont beau ne pas être très gros... Ils sont à mon goût et ils me plaisent beaucoup. C'est le plus important.
 
 
Délicatement, sans mouvements brusques, je pose mes deux mains sur le tête de ma collègue de travail coquine. Ainsi, je prends l'initiative de la guider. Ce qu'elle me fait depuis qu'elle a commencé de me sucer, j'apprécie. Ses lèvres sont mouillées, juste ce qu'il faut. J'aime la sensation quand elles coulissent sur ma queue. La vue en contre-plongée que j'ai m'excite et décuple l'envie de Belle que j'ai l'instant-t. Belle est consciencieuse aussi dans le sexe que dans le travail. Désormais, lorsqu'on travaillera ensemble au bureau, au plus profond de moi, je sourirai. Lorsqu'elle sera concentrée, la part coquine de moi pensera aux lèvres de la suceuse que Belle peut être. Ça, c'est sûr : je ne suis pas près d'oublier cet instant cochon, dans cet espace de travail. Oublié le boulot, oubliés les dossiers. Je m'abandonne pour de bon au plaisir et à la volupté. Belle est belle, et elle me plaît. À compter de ce jour, il y a une donnée de plus, un argument de plus pour que je prenne plaisir à me rendre au bureau. Et s'il y avait d'autres moments défendus entre nous, à l'avenir...?
 
 
​​​​​​Le plaisir m'apporte des sensations voluptueuses. Plus Belle me prend en bouche, plus c'est délicieux. Plus mon plaisir grimpe en flèche, plus il devient intense. Je pourrais jouir d'un moment à l'autre à l'allure où ma charmante collègue me suce. Plus le temps passe, moins je veux que cette bulle éclate. Je goûte aux charmes ainsi qu'aux talents de Belle. C'en est désormais fait de moi. C'est sûr : je me souviendrai de cet aparté pour le restant de mes jours. La belle Belle est donc une cochonne qui aime le plaisir et le sexe lorsqu'elle oublie le travail ? Mmmh... Intéressant. Alors, nous sommes deux. Parce que j'aime le plaisir et le sexe tout autant. Nous sommes donc faits pour nous entendre.
Je prends particulièrement du plaisir à me faire sucer par Belle. Je pourrais y passer des heures, si j'avais le don et le pouvoir de rendre permanente mon érection. Ah quel pièce de serait... Je n'ose imaginer ce que ça donnerait, dans la réalité. Ça se saurait si l'on bandait constamment. Mes pensées se dispersent. Je divague. Il faut que je me concentre davantage sur Belle. Je dois me focaliser sur la fellation qu'elle me fait. Je me laisserais bien jouir, lorsque je ne serai plus capable de retenir mon plaisir...
 
 
Je suis attendri par le charme de ma belle collègue. Ça me plaît bien, cette facette plus... coquine, chez elle. Et je suis d'autant plus heureux de jouer à de tels jeux interdits en sa compagnie. Ce n'est pas une mauvaise chose de mélanger le travail et le plaisir, surtout lorsque vous avez une collègue de bureau mignonne comme ce n'est pas permis. Qui plus est, elle sait ce qui plaît à un homme.
 
 
Le regard de Belle sur moi en dit long sur le comportement qu'elle adopte ainsi que sur l'état d'esprit dans lequel elle est. Sous ses airs de première de la classe, Belle cache en réalité bien son jeu lorsque le chat n'est pas là et que les souris dansent. Dès lors, elle n'a pas pu résister un jour de plus et à présent, elle s'en donne à cœur joie. C'est comme ça. Ce que je ne sais pas, c'est que je lui plais... particulièrement.
 
 
Si seulement j'avais repéré le petit jeu de ma collègue... Si seulement j'avais porté plus d'attention à ces signes avant-coureurs... J'aurais alors su que Belle a un faible pour moi. Quand elle jouait avec une mèche rebelle de ses cheveux... Quand elle s'amusait à replacer correctement sa paire de lunettes sur des yeux... Quand elle se mordillait exprès la lèvre... Quand elle se tortillait sur sa chaise... C'était on-ne-peut-plus clair. Seulement... J'étais obnubilé par mon travail et je n'avais d'yeux que pour les dossiers sont je m'occupais. Je réalise à présent à quel point j'ai perdu du temps, à quel point j'ai laissé passer ma chance. Il n'est jamais trop tard pour bien faire. Et j'ai bel et bien l'intention de rendre au centuple le plaisir que la belle Belle me donne. Cette seule pensée dope, décuple mon excitation.
Je fais Belle se relever. Je la prends dans mes bras et je la serre fort contre moi. Je veux l'imprégner de la chaleur ainsi que de l'odeur de mon corps. Ça me tient à cœur. Certes, elle me connaît déjà un peu puisqu'elle vient de me sucer. Mais là, je tiens à ce que l'on voit vraiment proches. Je rapproche mon visage du sien. Je dépose les lèvres sur les siennes. Là. J'embrasse Belle pour la première fois. Un nouveau Rubicon vient d'être franchi. J'aime ce moment. C'est irréel. C'est magique. Je me sens bien. Avec délicatesse, je place mes mains sur le bas des reins de Belle. D'instinct, réflexe immédiat et naturel : les siennes m'entourent le cou. D'instinct, réflexe tout aussi immédiat et naturel : je presse mon corps contre le sien pour que ma collaboratrice en ressentez le poids. D'autre part, désormais, Belle n'a pas d'échappatoire. Ça me convient. J'en suis fort aise. Mes desseins vont être plus simples à réaliser, ainsi...
Oui. C'est au tour de Belle de connaître ce que c'est, le plaisir. Pour cela, elle doit se laisser faire. Elle doit ME laisser faire. J'ai envie de savoir ce que ça lui fait, que l'on coquine comme ça au bureau. J'en bande à ce que ça en soit limite douloureuse. Je me délecte des courbes de son corps. Nos baisers me font complètement oublier ce pourquoi on travaille ensemble. Le travail, les dossiers ? Qu'est-ce que c'est ? Je ne pense plus qu'à ma jolie collègue. À mon tour de goûter à sa saveur intime... À mon tour de lui donner du plaisir...
 
 
 
Belle... est belle. Je brûle d'envie de poser mes lèvres de nouveau sur elle. Ça titille ma curiosité. Le dos plaqué contre le plan de travail de la kitchenette de la pièce, ma charmante collègue ne peut pas m'échapper. Elle est offerte. Elle est à point, mûre. Prête à être... dégustée.
Belle se mord la lèvre. Elle ne peut pas s'en empêcher. Je la vois faire. Qu'à cela ne tienne... Quand elle fait ça, moi aussi, j'ai envie de la mordiller, cette lèvre. Puisque ma collègue est à croquer par-dessus le marché, pourquoi m'en priver ? Une occasion opportune comme ça... Je ne laisserai pas passer pour rien au monde.
Le langage corporel de Belle en dit long sur le fait qu'elle est sur la même longueur d'onde que moi. Le dos plaqué contre le plan de travail, les mains vers l'arrière et cramponnées sur le bois, Belle a les cuisses écartées. La jupe qu'elle porte s'est relevée. Elle porte un string assorti à son soutien-gorge.
C'est émoustillant, décidément, tout ça... L'eau me vient un peu plus encore à la bouche. Je plaque Belle contre moi. Corps à corps, plus rien n'a d'importance. C'est inattendu, comme moment. Mais justement ! Ça apporte plus de saveur... et plus de plaisir à notre passion naissante. Si les gens savaient... S'ils nous voyaient...

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Maîtresse Cindy (1ère partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Maîtresse Cindy (1ère partie)

Il règne une ambiance particulière chez Cindy, ce soir. Une bonne ambiance. De là où je me trouve, j'entends les invités parler avec animation, s'échanger plaisanteries et galanteries, trinquer, badiner et flirter. Coquiner, même. C'est fête libertine, ce soir, chez Cindy. Ou plutôt... Maîtresse Cindy, comme elle est connue dans le monde libertin. C'est elle, la Maîtresse des lieux. C'est elle, la Reine de cette soirée. De la musique sensuelle résonne dans le salon. Je reconnais 'I Feel Love' de Donna Summer. Les lumières sont tamisées. De l'encens brûle et se diffuse dans la demeure. L'heure est à la volupté, à la libération des corps et des âmes. Ce soir, tout est permis.

 
 
Je me présente. "Mysteriotic", 33 ans, célibataire, bisexuel. Dans le milieu libertin, je m'adonne à la soumission. Lorsque je troque mon costume de réceptionniste en hôtellerie pour celui de soumis, je ne suis plus le même homme. Je lâche du lest et je laisse mon instinct me guider. Un mètre soixante-dix, soixante kilos, les cheveux châtains coiffés en dégradé américain, les yeux marrons, des lunettes aux verres ronds. Je suis l'un des participants à la fête organisée par Maîtresse Cindy, ce soir.
 
J'en suis même l'attraction principale. À genoux, les yeux baissés car le regard rivé au sol, ma nudité est intégrale. Le corps rasé et épilé, je porte une cage de chasteté. Elle m'empêche d'être en érection. J'ai les sens exacerbés, titillés, malgré tout. Mon cerveau est en ébullition.
Mes tétons sont dressés. L'air frais de la demeure me les fait pointer.
Je me demande à quelle sauce je vais être mangé, ce soir. Peu importent les désirs des convives de Maîtresse Cindy, je suis prêt à les satisfaire. Je suis ici pour ça, après tout.
Maîtresse Cindy me fait l'honneur d'être un plat de premier choix destiné à ses invités, qu'elles soient féminines... ou qu'ils soient masculins. J'en suis fier. À moi d'être à la hauteur de l'événement. Je dois rendre fière Maîtresse Cindy.
 
Maîtresse Cindy m'offre aux yeux concupiscents de ses invités. Telle une bête de foire, je suis exhibé. Ce n'est pas pour me déplaire. Ça m'excite. J'ai le cœur qui bat la chamade. J'ai le souffle court. J'ai mes deux tétons ornés de piercings qui pointent. Toute cette agitation autour de moi ne me permet pas de me calmer.
Je suis sur le qui-vive. Je suis aux aguets. Moi qui suis sensible à ce qu'il se passe autour de moi, je suis servi. Maîtresse Cindy m'a choisi pour que je sois l'attraction de l'orgie qu'elle organise chez elle, ce soir. C'est un honneur qu'elle me fait. Il ne faut donc pas, surtout pas que je la déçoive. Ça souiller ait ma réputation de soumis. Et ça, c'est tout ce que je veux éviter.
Lorsque j'ai fait sa rencontre, sur un célèbre réseau social, j'ai tout de suite accroché sur elle. Une belle à la sensualité débridée affirmée et revendiquée... Comment être insensible ? Comment lui être indifférent ? Plus encore, mieux ! Comment lui résister ? C'est en butinant sur son compte que je me suis imprégné d'elle et de son univers sulfureux. Ça m'a plu. J'ai alors décidé de lui écrire.
Je me suis ouvert à elle, me mettant à nu, ne lui cachant rien. Que je sois réceptionniste dans un hôtel... Que j'écrive des histoires érotiques... Que je sois bisexuel... Que je sois soumis dans ma vie privée... Je voulais lui donner envie de me découvrir pour qu'elle veuille apprendre à me connaître. Qui savait ce qu'il se passerait si échange il y avait... 
Nous avons commencé à discuter. Il n'y avait aucun tabou entre nous. J'ai vite compris que je pouvais lui faire confiance. À son contact, mon moi intime s'est affranchi de toute censure. J'étais excité par la perspective de devenir pour elle un soumis mignon, raffiné, coquin, ouvert à tous les plaisirs...
 
 
La tête baissée, le corps entièrement nu, le cou orné d'un collier relié à une laisse, je m'offre à l'assistance. Bien que certaines et certains me connaissent de réputation, c'est une manière pour ma Maîtresse d'exhiber la propriété que je suis pour elle. Peu importe ce qu'elle exige de moi, je réalise ses désirs.
Elle sait que je suis prêt à tout moment à faire ce qu'elle demande afin que je daigne la rendre fière. Il ne lui suffit que de mots prononcés d'un voix autoritaire, d'un claquement de doigts, d'un regard sévère pour qu'elle me fasse une piqûre de rappel de ce qu'elle attend de moi. Elle n'a pas besoin de se faire comprendre davantage pour ça.
Je lui suis dévoué. Je suis tout cuit, tout rôti.
Peu importe ce qu'elle va exiger de moi au cours de cette soirée, je suis prêt à réaliser ses désirs. Qu'il s'agisse des siens, qu'il s'agisse de ceux de ses invités, je veux et vais les satisfaire pour le seul plaisir de ma Maîtresse.
Jusqu'à temps qu'elle m'en donne l'ordre, je dois garder les yeux baissés. Nu, sans aucun vêtement pour cacher ma nudité, je suis exhibé, livré aux regards que j'imagine concupiscents de tous ces gens qui ont répondu à l'invitation de ma propriétaire.
Je ne suis en revanche pas privé de l'ouïe. Je sais que ce n'est pas bien d'écouter aux portes mais le cas échéant, je n'y peux rien. Je suis curieux de nature.
Je suis comme ça. Et... N'oublions pique c'est moi, l'attraction de la fête.
Je souris. L'assistance semble passer une agréable soirée d'après les sons divers et variés qui me parviennent. J'entends des pas qui se rapprochent et puis qui s'éloignent. Je sens les regards braqués sur moi.
Je ne suis pas dupe. Si je suis exposé comme ça, à la vue de tous, c'est pour le plaisir de Maîtresse Cindy. Je l'imagine avoir un sourire mêlé de plaisir et de malice aux lèvres.
 
Je l'imagine ne pas, ne plus savoir où donner de la tête tant elle est sollicitée. C'est ELLE, la Reine de la soirée. Une flûte de champagne à la main, Maîtresse Cindy est l'élégance et la classe incarnées. Aux yeux de l'homme que je suis, elle représente la féminité et la sensualité. Maîtresse Cindy, c'est le charme et le raffinement à la française. Quand elle est quelque part, il faut que les gens la remarquent. Lors de soirées libertines, exhiber le soumis que je suis et qu'elle possède, ça aussi, il faut que l'assistance le remarque. Rester à ma place et obéir : tel est ce que ma Maîtresse exige. Offrir mon corps et laisser ma liberté au vestiaire : telle est ma condition.
Mon collier montre mon appartenance à ma Maîtresse. La laisse qui y est reliée veut tout dire : toute femme ou... tout homme qui voudra jouir de moi devra en demander la permission à Maîtresse Cindy. Lorsqu'elle acquiescera, je serai maintenu en laisse et je devrai ramper à quatre pattes. Ma dominatrice sera t-elle là lorsque l'on m'utilisera ? Bonne question...
Je sais qu'elle aime me voir à l'œuvre. Ça l'excite. M'avoir préparé en amont de la soirée l'a excitée tout autant.
Je me perds dans mes pensées. L'atmosphère à la fois voluptueuse et sulfureuse de la fête y est pour beaucoup. Je ne sais pas où donner de la tête. Même les yeux rivés sur le sol, j'ai conscience que ma Maîtresse garde un œil sur moi et qu'elle est attentive à mon comportement. Elle n'a pas de soucis à se faire. Elle m'a éduqué de telle sorte que je sois le soumis que je suis aujourd'hui. Je suis à ma place et j'y reste. Je me tiens prêt à ce que l'on se serve de moi. Soudain, je sors de ma transe lorsque j'entends des pas qui se rapprochent de moi. Je distingue clairement ce que c'est. Ce sont des bruits de talons.
 
Une main se pose sur mon visage et me le caresse. Cette main se pose ensuite sur mon menton. Elle devient plus ferme.
 
- Lève les yeux, mon beau. Regarde-moi.
 
Je reconnais cette voix entre mille. C'est celle de ma belle Maîtresse. Je suis subjugué par son look de ce soir. Elle est tout simplement... majestueuse. C'est ELLE, LA Reine de la soirée, la plus belle femme du monde. J'obéis. Je la regarde bien dans les yeux.
 

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Alicia, petite amie... comblée (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Alicia ne prononce pas un mot ni n'émet aucun son. Elle regarde son amoureux avec intensité. Son cœur bat tellement fort, tellement vite. L'ambiance est sensuelle chez elle, ce matin. Jason a eu une initiative excellente, en allant à la boulangerie pour acheter les tartelettes au citron. Voilà où ils en sont, à présent...

Alicia regarde son chéri Jason avec les yeux de l'amour. Elle se sent on-ne-peut-mieux. En plus d'avoir le ventre rempli, ça a été un moment amusant, tendre et amoureux qu'elle a partagé avec son beau. Ça leur a mis l'eau à la bouche. Ça leur a ouvert l'appétit. À présent, le petit jeu coquin et émoustillant auquel les deux tourtereaux se sont livrés avec les tartelettes au citron meringuées, ornées de crème chantilly, est en train de virer au câlin et au sexe. Alicia se laisse aller. Elle peut. Ce que Jason s'apprête à faire, ça ne la laissera pas indifférente. Le jeune homme a une idée bien précise de ce qu'il a l'intention de faire. Le plaisir à venir de sa bien-aimée est ce qu'il recherche. Et il veut qu'elle se sente le mieux possible. Voilà pourquoi, avec des gestes lents et prudents, il la fait s'allonger sur leur lit. C'est comme si le corps d'Alicia n'était pas fait de chair et d'os mais de porcelaine. De plus, Jason ne sait que trop bien qu'Alicia apprécie la douceur et la tendresse dans l'intimité. La sensualité, ça stimule et ça décuple le plaisir qu'elle peut avoir lorsqu'ils font l'amour. Ça fait partie de leur sensualité de couple. C'est un dimanche matin comme ils les aiment. Rien ne presse. Ils prennent leur temps. Ils savourent chaque instant passé ensemble. Rien d'autre n'a d'importance. Que la journée défile ainsi. C'est ça, le plus important. Alicia ne peut qu'être bien. Ces moments tendres et complices, c'est ce qu'elle aime. La jeune femme se laisse guider par son compagnon en toute quiétude. Il vient de la faire s'allonger sur le lit. Les draps ont beau être froissés... Ce n'est qu'un infime détail. Alicia s'y sent bien. La moiteur nocturne des corps dont les draps sont imprégnés lui est familière. La belle s'étend de tout son corps sur le matelas. C'est confortable. Il y a de quoi se sentir léger. C'est parfait pour se détendre et pour se prélasser. D'elle-même, d'un geste qui lui est tout à fait naturel, elle écarte les jambes. C'est on-ne-peut-plus clair. Connaissant son petit ami, il ne déclinera pas l'invitation implicite pour rien au monde. Alicia sait que sa belle "petite" chatte glabre plaît à Jason. Et il s'agit là d'une invitation qu'il ne peut pas refuser.
 
 
Alicia est un plat de premier choix. Jason en a parfaitement conscience. Lorsque sa douce est entièrement nue, ça lui donne envie de la manger toute crue. Ah... La belle "petite" chatte d'Alicia...
Lorsqu'ils sont intimes comme ce matin, quand le minou d'Alicia est à nu, Jason ressent l'envie irrésistible, irrépressible d'y goûter. Le temps de quelques instants, Jason délaisse les beaux yeux de son aimée pour pouvoir ainsi focaliser son attention sur l'origine du monde humide, ruisselante de miel féminin. Cette vision, elle veut tout dire. Ça l'excite, tout ça, Alicia: ce dimanche matin, ce réveil, ce petit-déjeuner, ces tartelettes au citron et cette chantilly. Ces coquineries...
 
 
Alicia sent son cœur pulser dans sa poitrine. Elle est fière de rendre son mec dingue d'elle. Elle retient son souffle. C'est comme si le temps a stoppé sa course. Oui. Le temps s'arrête, en ce dimanche matin. Elle a hâte de sentir les lèvres de Jason de nouveau sur elle. Mais là, ce sera plus... intime. La jeune femme se sent bien. Elle ne peut pas être mieux. C'est une bulle d'amour et de sérénité dans laquelle elle se trouve.
 
 
C'est un cocon de bien-être, un havre de paix. Un nid douillet d'amour où il fait bon d'être. Alicia s'y sent bien. Elle ne fait qu'un avec la couette du lit. Elle aime sentir la caresse du tissu sur sa peau. Là. Ses muscles se relâchent.
Alicia se détend. Les sensations qu'elle ressent se mélangent. Elle commence à ne plus savoir où donner de la tête ni à quel saint se vouer. C'est un maelstrom d'émotions qui l'envahit. C'est agréable. Rien ne peut rendre ce moment plus beau encore. La perfection, ça n'existe pas. Ça se saurait, sinon. Non, là, c'est juste bien, ce qu'il se passe. Un petit-déjeuner qui remplit le ventre... Un câlin qui donne du plaisir... Ce sont des petits plaisirs simples. Des petits plaisirs de la vie.
 
 
Alicia pose une main sur l'un de ses seins. Elle la serre sur le mont mammaire. Elle le masse. Elle l'empoigne. La jeune femme est un feu follet. Elle est excitée. Ce feu qui enflamme son corps et qui fait pulser son cœur, Alicia l'entretient. Elle y tient. Ça lui plaît d'être excitée comme elle l'est. Elle retient son souffle. Elle attend le moment fatidique.
Recevoir la bouche de Jason sur son sexe... C'est ce qu'elle aime, Alicia. C'est même ce qu'elle préfère lorsqu'elle fait l'amour. C'est intime quand elle écarte les jambes pour offrir son minou à l'homme qu'elle aime.
Alicia a les yeux qui brillent d'un éclat particulier. Ce sont les yeux de l'amour. Elle exprime à son amoureux son admiration pour lui. Elle veut le remercier pour tout ce qu'il entreprend en ce dimanche matin. Elle est touchée par ces petites attentions qu'il lui porte. Alicia est la femme la plus comblée du monde. Si seulement elle savait tout ce que Jason lui réserve encore, ce matin...
 
 
Alicia a les cuisses bien écartées. L'invitation est on-ne-peut-plus claire. Son sexe est déjà luisant de mouille. Il est épilé en toutes circonstances. La jeune brune l'aime bien comme ça, sa belle "petite" chatte. Elle sait que son Jason l'aime tout autant. Ce sont des moments de plaisir et de communion charnelle. Des moments de partage où ils se font du bien, l'un et l'autre. Qu'est-ce qu'elle est bien, ce matin... Alicia ne peut pas rêver mieux. Elle sait déjà qu'elle aura encore plus de plaisir, lorsque son bel homme lui fera l'amour. Voilà des promesses alléchantes en perspective...
Les jambes grandes ouvertes, Alicia est on-ne-peut-plus détendue. Le cœur qui bat la chamade, le souffle court, la brunette retient sa respiration. Déjà pantelante, elle attend que Jason vienne s'abreuver à la source. Comme pour l'inciter à y mettre la bouche, Alicia dessine de lents mouvements en cercle sur sa porte du plaisir. Au plus profond d'elle, elle espère que ça aura l'effet escompté. Alicia n'est pas la dernière pour provoquer le désir de son chéri. Au fur et à mesure de sa vie, elle apprend à jouer de son corps et de ses charmes pour que l'on ne soit pas en mesure de lui résister.
 
 
Avec ses yeux de biche, Alicia sait jouer des diverses nuances de son regard. Là, elle se la joue effrontée. Ses yeux sont suppliants. La demoiselle n'est pas farouche et elle sait très bien ce qu'elle veut. Son dos repose confortablement sur le matelas, sa tête pareil sur un oreiller. Sûr, désormais, qu'elle est parée et prête, Jason lape le sexe d'Alicia une première fois...
 
 

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Chère lectrice rousse aux petits seins: le cadeau de Candice (1ère partie )

Publié le par Plaisir d'écrire

14 février 2024. Je suis seul à la maison, ce soir. Candice n'est pas là. Elle dort à l'hôtel. Elle s'absente pour le travail. Je suis perdu dans mes pensées. Je pense à Candice. Ma chère lectrice rousse aux petits seins me manque particulièrement. Elle a ce don d'éblouir mes jours comme de réchauffer mes nuits. Elle met du sucre et du chocolat comme du sel et du poivre dans ma vie. En ce 14 février, jour de la Saint Valentin, Candice est MA Valentine. Elle est l'élue de mon cœur. Lorsqu'elle reviendra, nous rattraperons le temps perdu. Ne dit-on pas qu'il n'y a pas de jour spécial pour se dire "je t'aime" ? C'est tous les jours qu'on se le dit, "je t'aime".

 

Je pense à Candice. Des images de notre histoire d'amour refont surface. Je souris. Le vie est belle, aux côtés de ma tendre et chère lectrice rousse aux petits seins. C'est une fierté et un honneur de la partager avec elle, cette vie, depuis le jour où nous nous sommes rencontrés.
J'espère que tout se passe bien pour Candice. Je me demande ce qu'elle peut bien faire en ce moment même. Est-elle bien installée dans sa chambre d'hôtel ? Est-ce qu'elle travaille ? Est-ce qu'elle est avec d'autres personnes ? Est-ce qu'elle s'accorde du bon temps ? Toutes les hypothèses défilent dans ma tête. Voilà, ça y est : j'ai le cerveau en ébullition. Ça me plaît de m'interroger sur ce que Candice fait, en mon absence. Le plus important pour moi, c'est qu'elle soit heureuse et qu'elle fasse attention à elle. Je l'imagine en train de se détendre dans sa chambre, allongée sur le lit. Je l'imagine travailler sur son ordinateur portable, griffonner des notes sur une feuille de papier. Je l'imagine être au téléphone avec quelqu'un, rire sur des choses puériles, échanger de manière animée. A t-elle emporté avec elle un ou plusieurs sextoys pour s'amuser ? Ça ne m'étonnerait pas. Candice est une femme qui aime le plaisir. Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Ma chère lectrice rousse aux petits seins n'en fait qu'à sa tête. Elle m'a déjà raconté ça, agrémenté de détails croustillants...et particulièrement coquins. Je m'en souviens, de ces confidences. C'était après avoir fait l'amour, un jour, la tête sur l'oreiller. On se faisait des câlins.
Candice m'avait avoué que c'était impossible pour elle de résister à l'envie de se donner du plaisir quand je n'étais pas là et lorsqu'elle pensait intensément à moi. J'avais compris ce qu'elle m'avait exprimé. Je ressens la même chose quand elle, elle n'est pas là. Je suis sur la même longueur d'onde qu'elle. Nos vies sont liées. Nous sommes amoureux comme jamais. Elle est belle, notre histoire d'amour. Je souris quand je pense à ça. Je n'ai jamais été amoureux comme je le suis de Candice. C'est simple : cette femme a un je-ne-sais-quoi. Elle met du sucre et du chocolat, du sel et du poivre dans ma vie. Elle ensoleille ma vie, elle la rend plus bleue. Plus belle. C'est un bonheur de la partager avec Candice, ma vie. Quand Candice n'est pas là, elle me manque. J'ose à peine imaginer nos retrouvailles lorsqu'elle rentrera. J'ai hâte... J'attends avec impatience son retour. Je ferai le beau. Et je serai tout beau pour elle.

 

En attendant, je vaque à mes occupations. Je ne cache pas que mon cerveau est en ébullition. Que c'est agréable d'être dans cet état d'esprit. Ce serait idéal si Candice était à mes côtés, là...

On ne peut pas tout avoir, à savoir le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière. Ce serait trop beau. Mais justement : j'imagine à quel point ce serait idyllique. Moi et la femme que j'aime... On se boufferait des yeux. On se dirait des mots d'amour, des paroles enflammées. Le reste n'aurait plus la moindre importance. 

 

Alors que je divague et que mes pensées partent dans tous les sens, mon téléphone se met à vibrer. Surpris, j'ai un mouvement de sursaut. Qu'est-ce que cela peut être ? De qui s'agit-il ?
Je déverrouille l'écran de mon portable. C'est une notification de SMS. Puis, de nouvelles vibrations se font entendre. Je regarde. Ça vient de Candice, ma chère lectrice rousse aux petits seins. Mon cœur palpite encore plus fort, soudain, dans ma poitrine. Quand il s'agit de la femme que j'aime, je ne réponds plus de rien. C'est ELLE, pas une autre femme dont je suis fou mais ELLE. J'ouvre le message. La lecture me donne encore plus le sourire aux lèvres. C'est typiquement Candice, ce qui est écrit.
 
"Mon Benoit...
Voilà ce qui t'attend lorsque je serai de retour à la maison.
Ouvre les deux fichiers..."
 
En regardant attentivement, le SMS est effectivement accompagné de deux fichiers MMS. Je les ouvre. Le premier est un cliché pris par ma chérie. Elle est confortablement allongée sur le lit de sa chambre d'hôtel, le sourire aux lèvres, ses longs cheveux roux lâchés et les seins nus.
Quant au second fichier...

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Émilie ou le fantasme de Gaëtan (1ère partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

L'heure est à la détente dans la maison. Il y règne une ambiance sensuelle et voluptueuse. Je suis confortablement installé dans un fauteuil, en face de ce couple qui m'a invité et que je rencontre. Un verre de délicieux vin rouge à la maison, je m'en délecte en observant les deux amoureux qui s'embrassent allègrement. Ils sont beaux et je suis fasciné, voyeur, par le spectacle qu'ils exhibent à l'inconnu que je suis. Oui. J'aime ça.

 
Gaëtan ne m'a pas menti. Sa "belle", comme il l'appelle, Émilie, est une beauté et c'est impossible pour moi de détacher mes yeux d'elle. Je comprends mieux pourquoi il l'appelle sa "belle". La quarantaine fraîchement passée, elle est jolie et un charme se dégage d'elle. On en mangerait... De longs cheveux blonds, les yeux verts, la poitrine menue, relativement grande, Émilie est l'archétype de la femme lambda que l'on croise tous les jours dans la rue. 
 
Dans le cadre intimiste de cette maison pavillonnaire, Émilie révèle et dévoile un joyau sensuel. Demandeuse de baisers et d'attouchements, le fait d'être observée par un autre titille sa curiosité et décuple son ardeur. Au départ, c'est pourtant le fantasme de Gaëtan d'offrir sa "belle" à un ou une autre personne. À force de longues discussions à tête reposée, à force de temps et de recherches afin de rencontrer la bonne personne, Émilie s'est laissée convaincre.
 
 
 
J'ai chaud. Je bande. Je sens mon érection qui est retenue prisonnière dans mon boxer. Voir ce joli couple qui se roule des pelles et qui se touche, ça m'émoustille. Je me brûle d'aller les rejoindre. Ce n'est pas l'envie qui me manque. Mais quelque chose me dit que le moment que j'attends n'est pas encore venu. Alors, je prends mon mal en patience. Je me contente de me rincer l'œil. Je me remets à siroter mon verre de vin rouge en toute sérénité.
 
Ce qu'il se déroule sous mes yeux, ça ressemble aux préliminaires d'une scène de film porno. Sauf que là, c'est la réalité et ce dont ce couple que je rencontre qu'il s'agit. Les baisers s'enchaînent. Les mains sont curieuses. J'ai les oreilles grandes ouvertes, je suis tout ouïe. J'ai les yeux grands ouverts, je ne perds pas une miette. Je suis aux premières loges, confortablement installé, spectateur privilégié.
 
J'ai le souffle court. Je retiens mon souffle. Je suis voyeur. L'intimité que ce couple exhibe me plaît. Je trouve ça à mon goût, comment ils s'embrassent, comment ils se pelotent. Ça me donne envie de me joindre à eux. Le code, c'est d'attendre des paroles et des signes de leur part pour m'inviter à prendre part à leur jeu. Sont-ils en train de chercher à m'exciter. Sont-ils en train de me faire mariner ? Sont-ils en train de jouer avec mes fantasmes et mes envies ? Libre à moi d'en juger.
 
Plus le couple se bécote, plus Émilie se dévergonde. Gaëtan donne le "la", Émilie répond du tac au tac. J'observe minutieusement le comportement ainsi que le langage corporel de la femme. Au moment même où ils s'exhibent, le désir bouillonne à l'intérieur de moi. Sans trop planifier ce qu'il pourrait se passer, moi, je me demande comment et à quelle sauce je vais manger Émilie.
 
 
 
Gaëtan doit être aux anges, je pense. Au fil de nos échanges, au fur et à mesure où il a appris à me faire confiance, il m'a avoué qu'Émilie est au cœur de tous les fantasmes qu'il a. Partager la femme qu'il aime avec un autre homme, l'offrir à cet autre homme ? Ce soir, il y a de fortes chances pour que ce fantasme se réalise. qu'Émilie fasse l'amour avec une femme, qu'elle découvre les plaisirs lesbiens ? Peut-être que ça arrivera un jour. Qui sait...
 
Le fantasme osé, inavouable de Gaëtan ? qu'Émilie s'habille particulièrement sexy, qu'elle s'exhibe, que des gens qui la connaissent dans la vie de tous les jours la découvrent sous un autre jour. Lorsqu'il y pense, Gaëtan a les esprits sans dessus dessous. Il se met à bander. Brassens chantait que "la bandaison, ça ne se commande pas." C'est tout à fait le cas en ce qui concerne Gaëtan. C'est Émilie qui le fait bander.
 
Dans cette maison pavillonnaire, c'est également moi qu'Émilie fait bander. Je cajole mon érection à travers le pantalon que je porte. Elle est prometteuse, cette érection. Elle est belle, Émilie. Elle est excitante. J'avoue que je trouve cette femme à mon goût. C'est d'elle dont je ferais bien mon dîner. Car à l'instant-t, je constate que je n'ai pas vraiment faim de nourriture. Est-ce l'alcool qui m'échauffe les esprits ? Est-ce que l'effet que ça me fait, c'est de me dévergonder ? Bonne question...
 
Émilie est aphrodisiaque. En virtuel, Gaëtan m'a vanté maintes et maintes fois la beauté ainsi que le charme de sa compagne. Je ne peux qu'être d'accord avec lui alors que je mets enfin un visage sur le prénom d'Émilie. Vous connaissez l'actrice Laure Marsac ? Vous voyez à quoi elle ressemble ? Eh bien, Émilie lui ressemble beaucoup. Émilie est belle. Émilie me plaît...
 
 
 

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