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un beau reveil

Désolés du retard...! (2/2)

Publié le par Plaisir d'écrire

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Nous avons pris notre petit-déjeuner en amoureux, l’un en face de l’autre. Pour Constance ? Un mug fumant de thé au jasmin et à la rose, deux tranches de brioche tressée qu’elle a tartinées de confiture d’abricot, et un verre d’eau. Pour moi ? Un mug fumant de café soluble instantané avec deux sucres, deux tranches de brioche tressée mais cette fois tartinées ou plutôt… barbouillées de Nutella, et un verre de jus d’orange.

Une fois le petit-déj’ terminé, j’ai dû faire des pieds et des mains pour que cette «petite» malicieuse de Constance me laisse faire le peu de vaisselle qu’il y avait dans l’évier. Il faut dire qu’elle a beau parfois, souvent, user et abuser de son cinquième as, elle en est jamais à court… Constance est une œuvre d’art, à mes yeux, qui ne demande qu’à être embellie à force de douches à base de gel douche à la vanille et de parfum aux senteurs délicates de poire. Cette fois… elle n’allait pas user de son cinquième as… J’ALLAIS faire la vaisselle pendant qu’elle se dorloterait, que ça lui plaise ou non. Point final, et pas de discussion.

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Il n’y avait eu trois fois rien à laver, et sachant que Constance était toujours dans la salle de bains, je m’étais même payé le luxe d’essuyer le peu de vaisselle. Puis, Constance étant toujours en train de prendre soin d’elle, je me suis décidé à me rallonger dans le lit. Je m’y suis détendu, confortablement, en attendant ma belle. Pendant qu’elle se faisait jolie dans la salle de bains, je feuilletais un livre consacré à l’un des plus grands guitaristes qui ait jamais existé, Eric Clapton, que j’avais emprunté à la bibliothèque municipale de la ville. Et je dis bien FEUILLETER car je lisais bien plus «en diagonale» qu’autre chose à vrai dire. Mes yeux étaient davantage braqués sur la porte de la salle de bains, et je m’attendais à ce que Constance en sorte, d’un moment à l’autre…

Constance est sortie de la salle de bains, les cheveux humides. Elle était nue. Elle était belle comme une Vénus, et ça, je m’en souviendrai pour le restant de mes jours. Mes yeux étaient braqués sur elle. De voir mon regard, comme ça, sur elle, elle en a souri. Je me suis levé du lit, et je suis allé embrasser ma chérie. Je n’ai pas pu résister. J’en ai profité pour… laisser une main glisser sur son corps. Son corps était mouillé, et avec un peu d’attention, je pouvais voir des gouttes d’eau glisser et descendre sur cette œuvre d’art. Elle sentait bon le lait-douche hydratant à la vanille. On enchaînait les baisers. Elle m’a pressé contre elle, et j’ai voulu, tant bien que mal, poser une main sur l’un de ses petits seins. J’ai pu juste laisser ma main glisser sur sa poitrine. De ce contact léger, je n’ai pu que sentir ses tétons qui pointaient toujours, durs.

Puis, sans aucun avertissement, elle s’est détachée de notre étreinte, et avec un sourire plein de malice, elle me glissa à l’oreille qu’elle devait, peut-être, s’essuyer et s’habiller, qu’il en serait peut-être temps, pour qu’on soit à l’heure chez ses parents.

J’avais du mal à émerger. Et, avant d’aller à mon tour dans la salle de bains, j’avais eu juste le temps de la voir s’orner d’un soutien-gorge en dentelle, rouge, avec des motifs floraux. Elle avait revêtu un shorty assorti à son soutif’. Hmmm, sexy girl… Je n’ai pas l’intention de te résister… Plus jamais. Sur ces pensées, je suis allé prendre ma douche…

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J’ai beaucoup pensé à la lingerie de Constance pendant que j’étais dans la salle de bains. Dire que c’en était une obsession est un euphémisme… Il n’y aurait même pas, à mon avis, de qualificatif pour décrire l’effet que ça me faisait. J’y ai pensé quand je me suis passé un peu de gel douche à la menthe glaciale partout sur le corps, puis quand je me suis rincé.

Un peu de parfum sur le corps… Je me suis brossé les dents… Je me suis lavé les oreilles…

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Constance étant dans la cuisine à faire je-ne-savais-quoi, j’en ai profité pour me rendre discrètement dans notre chambre, et je me suis habillé à mon tour. Un boxer bleu… Une chemise d’un blanc immaculé… Un jean taille skinny bleu… une paire de chaussettes noire… un pull-over bleu… Je me faisais tout beau parce que je voulais toujours être et rester le gendre idéal aux yeux des parents de Constance.

Pendant que je m’habillais, je pensais et repensais, sans arrêt, à la lingerie de Constance. Dieu seul savait ce que je voulais, quand on rentrerait à la maison…

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Constance rentra dans la chambre. Wouah ! Elle était ravissante. Elle portait un robe noire. Elle avait mis du rouge à lèvres, rouge intense… Hmmm, femme fatale…

Elle vint à ma hauteur, et m’embrassa. Nos baisers furent intenses, et nous y avons même mis la langue…

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C’était l’heure d’y aller… N’oubliant pas la bouteille de vin, un bon «petit» Minervois délicieux pour le palais, et ce même si Constance ne boit jamais… ou bien très très rarement, de l’alcool, et en vérifiant que nous n’avons rien oublié dans l’appartement, nous nous en allâmes.

Il nous fallait une demi-heure, trois quarts d’heure pour nous rendre chez les parents de Constance. Ils habitaient à proximité de Saint-Omer, en plein cœur du marais audomarois.

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Nous arrivâmes… légèrement en retard. Mais… seulement une petite dizaine de minutes… Pas de surprise, il fallait s’y attendre. Ah la la la, que vais-je faire de toi, Constance… ? Je plaide, cependant, volontiers, coupable, madame la juge ! Bien sûr que Mademoiselle Constance Moreau me plaît. Je vous jure !

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-«Eh bien, les jeunes, c’est pas trop tôt ! Mais qu’est-ce que vous avez bien pu faire pour être ne serait-ce que dix petites minutes en retard ?»

Autant les parents de Constance sont des gens qui sont à cheval sur les horaires, autant ce sont des gens que j’apprécie beaucoup. Ils sont un sens de l’humour… D’ailleurs, quand Olivier me l’ai dit en me serrant la main puis en faisant la bise à sa fille chérie, j’ai senti que c’était sur le ton de la plaisanterie. Luna, la petite sœur de Constance, elle aussi, était là. Elle me fit la bise, et prit sa sœur dans ses bras. Ah la la la, les sœurs Moreau. Fusionnelles... Inséparables...

-«Enfin bon… vous êtes là. C’est l’essentiel. Benoit, tu as de la chance, j’aurais sorti la pelle si vous étiez beaucoup plus en retard ou bien si vous nous aviez mis un lapin, tu sais...»

Toujours sur le ton de la taquinerie.

Si seulement il savait les raisons pour lesquels nous sommes arrivés un tout petit peu en retard…

Je regardais Constance, et ai pressé légèrement sa main tout en la caressant avec la pulpe d’un doigt.

Ah la la la, ce beau réveil… Constance a su rendre ce réveil… agréable… délicieux… meilleur… Je n’oublierai pas ce beau réveil de sitôt.

Quand je pense à la lingerie de Constance… j’avais déjà hâte d’être de retour à la maison.

Constance, tu es belle… et je t’aime.

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Désolés du retard...! (1/2)

Publié le par Plaisir d'écrire

Le temps s'est comme arrêté…

Je suis accroupi,sur les genoux, tel un fidèle en train de faire une prière. Le temps s'est comme arrêté. Je viens de jouir. Je crois que j'ai fermé les yeux au moment où j’ai laissé le plaisir intense et suprême prendre possession de moi. Je ne sais s’il y a eu un rictus de plaisir ou une quelconque grimace du genre sur mon visage. Peut-être que Constance me le dira… ou peut-être pas ! Tout ce que je sais, c’est j’ai TOUT aimé de ce moment que nous venons de vivre parce que c’est Constance qui m’a fait jouir. J’ai pas boudé mon plaisir. Je l’ai exprimé, et d’ailleurs… les murs vont s’en souvenir, je crois… Peut-être que nos voisins nous ont entendus aussi… Mais, je m’en fiche. Constance et moi, nous venons de vivre un beau moment, rien qu’à nous, un beau réveil, et ça, c’est important. Le reste…

Au moment où j’ai senti que j’allais jouir, j’ai quitté la position allongée, confortable, que j’avais depuis le début de ce beau réveil, et je me suis accroupi. D’instinct, Constance, elle aussi, savait que j’étais sur le point de jouir. Elle seule sait me faire jouir, et… j’aime, il faut dire, jouir pour elle, sur elle ou… en elle. C’est elle qui s’est alors allongée sur le dos et qui m’a présenté ses deux petits seins menus. Ses tétons pointaient encore et toujours. Pour les avoir touchés, caressés, léchés, sucés, titillés, un peu plus tôt, je savais qu’ils étaient durs. Ses deux petits seins tout mignons, j’en… suis… fou.

Constance s’était confortablement allongée, sur le dos. Elle adore être dans notre lit, pour dormir ou… pour faire l’amour. Nue, belle comme une Vénus, elle était d’une sensualité. Dans ces moments-là, c’est ELLE et pas une autre, encore plus. Nue, belle comme une Vénus, je voulais la remercier à ma façon, dans ce contexte. Dans ces moments-là, j’aime jouir en étant tout contre elle et en la regardant. Ce sont des moments qui sont précieux, on le sait bien, elle comme moi. Ne pas penser à ce qu’on n’a pas fait hier. Ne pas penser à ce qui pourrait se passer demain. Il n’y a que ce moment qui compte, là, maintenant, rien que tous les deux, au lit, en toute intimité.

Et en ce moment même, je suis en train de savourer la jouissance que ma petite coquine de compagne m’a offerte. J’essaie, tant bien que mal, de reprendre mon second souffle. Il faut dire que plus Constance me branlait vite, dans sa main, mon cœur, lui aussi, battait à une fréquence… Je suis encore accroupi, et l’espace d’un instant, je réalise que je dois peut-être avoir un sourire béat aux lèvres : Constance était dans la même position, toute à l’heure, quand elle a enlevé sa nuisette et qu’elle était à demi-nue. Elle m’avait demandé de jouir d’elle, toute entière… Ça, tout ça, ce sont des souvenirs sans numérique ni pellicule. A tout jamais.

Ces moments-là permettent à deux personnes, folles amoureuses l’une de l’autre, de renforcer, à la fois, leur amour et leur désir. Moi, en tout cas, c’est ce que je pense. Et plus particulièrement en ce moment même : j’aime et je désire Constance, plus que tout.

Elle a su que j’allais jouir car j’ai changé de position. Un peu plus tôt, elle m’avait dit, comme ça, dans le feu de l’action, qu’elle avait envie que je lui jouisse sur les seins… J’aurais très bien pu rester dans la même position et que Constance, au final, me pompe jusqu’à avoir mon sperme en bouche. Ou bien… Je serais resté allongé et Constance m’aurait masturbé… Le sperme aurait giclé comme la lave rouge et chaude d’un volcan. Mon pubis… le bout de mon sexe… les draps… la main de Constance s’en seraient souvenus… Mais non. Constance a continué de me branler d’une main. Elle tenait ma queue d’une poigne de fer, et mon membre en était tout simplement dur, raide. La pénétration n’avait pas du tout été à l’ordre du jour. Mais je pense que si j’avais pénétré Constance et que si elle s’était ensuite empalée sur mon membre, au-dessus de moi, comme elle aime le faire, je pense et j’espère qu’elle y aurait pris bien du plaisir. Tandis que là… sa main coulissait frénétiquement mais parfaitement sur mon pénis alors que le gland était comme braqué sur sa poitrine menue. A mes yeux, le message était clair car j’avais connaissance à présent du désir de Constance.

Mes bruits de plaisir augmentaient, non seulement en fréquence, mais aussi en niveau sonore et en intensité. Je reste convaincu que nos voisins du dessus m’ont entendu exprimer pleinement mon plaisir parce que l’isolation phonique de notre appartement, situé au deuxième étage du 42 place Dalton, Boulogne sur Mer, dans le Pas de Calais n’est pas terrible et laisse à désirer. Pourtant, et pour être honnête, nous nous en fichons. C’est bien notre premier nid d’amour à nous, et nous l’aimons tel qu’il est. Il n’y a que ces moments qui comptent. Le reste…

Quand j’ai senti que j’allais jouir et que mon sperme allait gicler d’une seconde à l’autre, j’ai lâché prise. Tous les petits tracas de la vie quotidienne n’avaient alors plus aucune importance. Il n’était plus question que de Constance et de moi. Ni plus… ni moins.

Constance avait orienté le bout de mon sexe en direction de son 85B, et le sperme a jailli de mon méat. Quelques jets, plutôt incolores, en sont sorti. Ils y ont trouvé la volupté des deux petits seins tout mignons de ma belle «petite» coquine. Constance était belle, ornée de ma semence. Elle en avait sur les seins surtout, mais aussi un tout petit peu sur le cou et sur le menton.

Elle en récolta un infime échantillon sur le bout d’un doigt et le goûta avec amour et délectation. Et pendant qu’elle se délectait goulûment du peu de sperme qu’elle avait pu récolter et qu’elle léchait et suçait son doigt, elle avait un beau sourire aux lèvres et elle me souriait. Ça, c’était un beau moment de complicité. Constance aime que je jouisse régulièrement sur elle. Ça, c’est Constance, et ça n’appartient qu’à elle et moi.

C’était digne d’un beau réveil… NON ! C’ÉTAIT un beau réveil ! Deux amoureux qui ne font rien de mal et qui ne font que renforcer leur amour et leur désir. C’est tout ce qui compte. Le reste…

Constance s’est massée les seins avec le sperme qu’elle avait sur eux, et c’était tel un lait hydratant pour embellir son corps. Elle me souriait pendant qu’elle se massait les seins, qu’elle les pétrissait et qu’elle les empaumait. Je lui ai souri en retour. C’était elle et moi, sur l’oreiller.

Constance est magnifique, et je l’aime.

Je me suis redressé et je me suis rapproché de ma chérie afin de pouvoir être au-dessus d’elle. Je voulais la regarder, les yeux dans les yeux, l’embrasser, pour lui montrer et lui dire combien je l’aime et combien je la remercie de ce beau réveil qu’elle m’a offert, riche en tendresse, en amour… et en sensualité. De plus, à travers ce beau réveil, je réalise maintenant à quel point Constance est devenue un femme différente depuis la licence pro et surtout depuis que notre relation est née. Si on m’avait dit, en licence pro, un jour, que Constance serait l’amour de ma vie et qu’elle serait une «petite» coquine dans l’intimité, eh bien… j’aurais ri au nez de la personne qui m’aurait dit ça. Froide et un poil hautaine au premier abord à cette époque-là, Constance cachait beaucoup de choses en profondeur, mais le secret était qu’il fallait la prendre comme elle était et surtout être patient avant qu’elle vous accorde son écoute, son respect et son attention. C’était aussi simple que ça. C’était la clé qui permettait d’ouvrir sa boîte de Pandore…

Je me suis placé au-dessus d’elle, et je l’ai embrassée tout en la surplombant. Même avec les années qui passent, c’est toujours aussi bon de goûter à ses putains de lèvres roses… et vanillées. Même en dépit du temps qui défile, j’aime toujours autant que l’on fasse l’amour. On s’efforce, tant bien que mal, de varier les possibilités : elle sur moi… moi sur elle… moi derrière elle… en cuillères… en 69 ; dans notre lit… sous la douche… sur le canapé… dans la cuisine ; aux premières douceurs du matin… par téléphone… par SMS… le soir… en pleine nuit. Même si ce n’est pas tout le temps facile, on s’efforce, du mieux qu’on peut, à repousser la routine et les limites. Le sexe avec Constance est toujours aussi bon… délicieux… jouissif, même avec les années. C’est comme le vin : ça se bonifie avec le temps. Et avec le temps, ma belle Constance me rend toujours aussi fou. Je vous jure !

Je l’ai regardée droit dans les yeux, et je lui ai souri. Je voulais lui faire comprendre que j’étais bien, là, tout contre elle. Je veillais tout de même à ne pas lui faire mal puisque j’étais presque allongé sur elle. Constance a pour habitude de me dire que je ne lui fais pas de mal, et je la crois alors. Mais, j’ai toujours peur. Ça reste ma hantise. C’est normal, non ? Comme je lui dis souvent, son bonheur et son bien-être restent ma priorité.

Nous nous sommes souri. Puis, se rappelant que ses parents nous attendaient pour déjeuner et que c’était «malheureusement» inévitable, elle chercha à se redresser. D’instinct, je lui ai fait de la place pour qu’elle se redresse.

-«Heu… mon chéri… Moi aussi, je suis comme toi, tu sais ? J’aimerais bien rester au lit toute la journée, et qu’on fasse l’amour n’importe quand, quand bon nous semble. Mais… mes parents… ils...»

J’ai embrassé Constance et je l’ai empêchée de terminer sa phrase. Je sais : c’est pas cool. Mais que voulez-vous… Je savais que nous étions invités chez ses parents mais j’avais envie de profiter de ma mignonne «petite» coquine, encore un petit peu, avant que l’on prenne notre petit-déjeuner et qu’on fasse tout le reste après… Combien de temps s’était-il écoulé ? Je m’en fiche. Je n’avais juste pas envie de regretter, plus tard, de ne pas avoir su profiter de Constance alors qu’elle était là.

Constance bailla un petit peu puis s’est levée. J’en ai fait de même.

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JE JOUIS! (2/2: Orgasme)

Publié le par Plaisir d'écrire

Constance est, du moins à mes yeux, la femme la plus sexy de la Terre.

Je halète. Beaucoup. Je n’ai plus envie de me retenir. Elle m’a donné beaucoup de plaisir. Beaucoup, beaucoup. Le plaisir ne me suffit plus désormais, je le sens. C’est la jouissance que je veux ressentir. L’exprimer… Lui exprimer à elle, à travers mes yeux qui se ferment, une grimace de plaisir intense sur mon visage. A travers mes gémissements, mes soupirs, mes petits cris. A travers mon corps qui se contracte. Oui… je n’ai plus envie de me retenir. Plus maintenant…

Constance, avec sa main, va et vient. Elle halète, elle aussi. Un coup, ses yeux sont sur mon membre dont elle se délecte et qu’elle branle de plus en plus vite, et c’est toujours aussi agréable. Qu’est-ce que c’est… bon… Putaaaaiiiiin… J’ai décidé d’arrêter de lutter. J’ai renoncé, et je me sens prêt à jouir en paix, à présent. Je me tiens prêt à jouir. Un autre coup, Constance fixe mon visage et cherche à y capter la moindre expression de plaisir qu’elle peut lire.

-«Mon chéri… Oui… ! Oui… ! OUI ! Je continue car j’ai envie que tu jouisses. MAINTENANT ! J’ai envie que tu me jouisses sur les seins. Et je vais, et je viens… Je vais… Je viens… Je vais… et je viens...»

C’est comme si c’était une mantra. Ses mots m’excitent autant que sa main. D’égal à égal. Autant que sa bouche. Autant que son corps magnifique dont elle doit absolument être fière.

Je me sens prêt à exploser… Je SUIS prêt à exploser. Je le veux. Il n'y a que Constance pour me donner du plaisir.

Seule Constance sait autant bien me faire jouir. C'est tout simple : Constance est ma première petite amie. Et, j'espère bien… la dernière. Elle est la seule, l'unique. Je n'ai aucun point de comparaison, et c'est tout aussi bien ainsi. Je lui donne en cadeau ce que j'ai de plus intime.

D'une main, Constance me masturbe. Ça ne fait plus l'ombre d'un doute : Constance, dans l'intimité, est une jouisseuse, une hédoniste dans l'âme. Le plaisir est ce qu'elle veut atteindre, non seulement pour elle-même mais aussi, et surtout, pour l'homme qu'elle aime, qui l'excite et qu'elle désire. Autrement dit… moi !

Dans l'intimité, son grain de voix est différent de celui de la vie de tous les jours. Il est plus… coquin, plus… sexy. J'aime beaucoup cette facette de Constance quand nous sommes dans l'intimité de notre chambre. C'est la même chose quand c'est rare que nous soyons loin, l'un de l'autre. Fort… heureusement… le téléphone rose est notre meilleur allié car c'est le meilleur ami des amants qui ont envie l'un de l'autre, même en dépit de la distance qui essaie de les séparer. Les opportunités sont diverses et variées. Le peu de fois où nous usons et abusons du téléphone rose, Constance et moi, nous avons des boulevards tracés à perte de vue, faits de possibilités bien différentes. Et… c'est toujours aussi intéressant, même sur la durée, même en dépit des années qui passent. Oh… oui…

De ses yeux, elle me fixe. Elle est et reste à l'affût du moindre signe qui lui confirme qu'elle sait décidément me baiser, comme elle seule sait me baiser.

Elle a arrêté de se caresser. Ma coquine de petite amie se focalise maintenant sur MON plaisir. J'en suis tout ému. Je la regarde avec les yeux de l'amour. Je lui en suis reconnaissant. A l'occasion, d'un prochain «beau réveil», il se pourrait que… ce soit à elle de se laisser faire… Oh… ! J'ai déjà tout en tête… Quand mes doigts et ma bouche seront sur elle… en elle… J'ai déjà la conviction que je serai capable de donner du plaisir à Constance, comme jamais… La finalité n'est pas de la faire jouir à tout prix, mais… ce serait mentir si je disais que ce n'est pas ce dont j'ai envie.

Son visage… Ses lèvres… Sa langue… Ses oreilles… Son cou… Sa nuque… Son dos… La tendre vallée de sa poitrine… Ses deux jolis petits seins tout mignons… Son ventre… Son nombril… Son mont de Vénus, son joli duvet de poils… Son clitoris… Sa jolie petite chatte toute appétissante… Son anus… La veine poplitée de ses genoux… Ses hanches… Ses cuisses… Ses petits pieds tout mignons… Oh… Les possibilités sont bel et bien diverses et variées… Oh… oui !

La boule de feu du plaisir, partie de ma nuque, lentement mais sûrement, a fait son petit bonhomme de chemin. JE LA SENS ! Elle… m'atteint… ICI… MAINTENANT.

Je gémis… Je gémis… Je gémis…

Je ferme à moitié les yeux…

Je halète…

Je soupire…

Je sens le sang qui irrigue les veines de mon membre et qui le rendent si dur…

Je sens le sperme quitter le fleuve de mon plaisir et parvenir, ENFIN, à son estuaire. Mon méat est la mer de ma jouissance. Ce méat que Constance a su caresser… titiller… et éveiller aux plaisirs de la chair…

Je suis parti pour… Je suis parti pour… Oh !

C'est si bon… Si… bon… Oh !

Je pense et repense à Constance, toute entière…

Je la désire…

J'ai envie d'elle… Encore et encore… Encore et toujours…

Et là, je me mets à genoux. Je m'accroupis. D'instinct, Constance, elle, s'allonge…

Oh… Oh… OH !

Ooooooooooohhhhhhhhhhhh… Je crie mon plaisir. Je ne le boude pas. Je ne le boude plus. JE… JOUIS… JE JOUIS !

Je crie. Peu m'importe si je fais un vacarme du diable. Constance me fait jouir !

Je jouis longuement sur les petits seins de Constance. Je les arrose de ma jouissance.

Ce sont des petits jets de sperme que je répands, en témoignage et au nom de mon amour et de mon désir pour elle.

Constance est belle, et je l'aime. Pour toujours, et à jamais. Putain de beau réveil… !

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JE JOUIS! (1/2: La femme la plus sexy de la Terre)

Publié le par Plaisir d'écrire

Constance m’a repris dans sa main. Elle tient fermement, maintenant, ma queue autour de sa poigne. Elle me branle plutôt énergiquement à présent.

-«Tu aimes quand je te branle comme ça, Benoit ? Tu as envie de jouir ? Tu en meurs d’envie, de jouir ?»

Constance sait parfaitement qu’il s’en faut, maintenant, de très peu, pour que je jouisse. Elle seule sait y faire pour me faire jouir.

-«Tu aimes que je me touche et que je me caresse les seins pendant que je te tiens fermement dans ma main et que je m’apprête à te faire jouir ?»

Sur ces mots, je lâche prise. Je ne pense (plus) à rien d’autre. Constance m’excite tellement. Énormément. Je ne demande que ça… ! JOUIR… POUR… ELLE.

-«Ça t’excite que je me donne du plaisir alors que je te masturbe et que je ne demande que ton sperme sur moi ? Petit coquin… Petit voyeur, Benoit ! JOUIS ! Oh… S’il te plaît… ! Tu… m’excites, mon chéri !»

Si tu savais à quel point tu m’excites aussi, Constance… Je ne demande que ça, tu sais ! Jouir sur ton corps… en guise de remerciement… de cadeau.

-«Tu les aimes, mes petits seins ?»

Elle continue de se caresser le sein qu’elle avait pris dans sa main, toute à l’heure, au moment où elle avait arrêté de me sucer et qu’elle avait recommencé à me branler. Elle en pince doucement le téton. Toujours et encore…

-«Mes petits seins tout mignons… Tu aimes les caresser ? Les toucher ? Les embrasser ? Les téter ? Les lécher ? Moi… je le sais...»

Tout en me branlant énergiquement mais tendrement, tout en se caressant les seins de son autre main, elle me regarde droit dans les yeux et elle se lèche les lèvres. Elle tire la langue à d’autres moments aussi. Elle y tapote mon gland. Que… c’est… bon… Putaaaaaaiiiiiiin… Elle me signifie que ça l’excite, elle aussi, et qu’elle me désire… JE SUIS TOUT ÉMU ! Cette émotion me fait rapprocher, encore plus, non seulement du précipice, mais aussi et surtout, de MA Constance.

Je suis un homme à la mer. Un homme perdu.

Il ne me reste plus qu’à céder… et à me laisser jouir.

«Je les aime, mes seins, vois-tu… Mais… C’est quand même dommage, à certains égards… Si j’avais eu des gros seins… Je veux dire… Des seins un peu plus gros… Tu aurais pu… y glisser ta belle queue entre eux deux et qu’elle y soit bien au chaud… Tu t’y serais… masturbé… Tu… aurais coulissé entre eux, et ça aurait été agréable. J’aurais… humidifié le clivage de mes gros seins avec ma salive et… ça aurait été… jouissif, non seulement pour toi mais aussi… pour moi… Je t’aurais aidé à jouir, ça, tu le sais. Tu peux me croire ! Et, tu… aurais éjaculé sur mes seins. Hmmm…»

Constance fait un bruit de plaisir. Un bruit sexy.

Constance m’excite encore plus, surtout après qu’elle ait dit ça. Même si l’imaginer avec des seins plus généreux m’excite, j’aime et je désire Constance telle qu’elle est.

-«Constance chérie… Amour… Tes seins sont beaux comme ils sont, tu sais ! Je t’assure ! Et bien qu’ils soient petits, je te l’accorde… Je les adore et ils me plaisent ainsi. Ils m’excitent. Oh… oui ! Si ça ne tenait qu’à moi, j’y déposerais volontiers… ma semence d’amour… avec amour.»

-«Mon Benoit...»

«Tes seins sont beaux comme ils sont, Constance. Petits mais très mignons. Tu es belle comme tu es, Constance Moreau ! Quand vas-tu le réaliser ? Quand tu n’es pas là, je pense à toi et… je pense à ces deux petits seins. Cachés sous ta tenue soi-disant sage de professeur-documentaliste, là-bas, au collège où tu bosses. Je t’aime, Constance Moreau. Je suis encore si fou de toi, même avec les années.»

Constance braque ses yeux dans les miens. Elle me fixe. Ses yeux sont brillants. Ils semblent lui «piquer», comme elle dit, quand elle est émue. Et là… l’émotion prend possession d’elle. Elle est toute émue ! Constance Moreau est émue ! Eh bien… ! Je… l’aime.

-«J’ai bien aimé ce que tu viens de me dire là. Moi aussi, je t’aime, Benoit Surée. Amour… Je me sens belle à travers tes yeux. Je me sens belle, adulte et sexy, dans mon corps et dans ma tête.»

Elle se caresse son autre sein, sous mes yeux. Constance s’exhibe devant moi, et je l’aime. Elle sait qu’elle m’excite, la petite coquine, et elle en joue ! Elle s’en amuse… Elle en attrape le téton de ses doigts. Elle le pince. Mon dieu… cette femme est juste… sexy. Vraiment. Vous pouvez dire ce que vous voulez. Constance Moreau est la femme la plus sexy de la Terre. Du moins… elle l’est à mes yeux.

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Presque...

Publié le par Plaisir d'écrire

Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que l’idée de me faire jouir, de me sentir et de me voir éjaculer sur elle est de plus en plus une réalité et qu’elle l’excite. Elle respire rapidement, beaucoup plus rapidement. Elle halète.

-«Oh… Oh… OH ! Je t’ai dans ma main… et dans ma bouche, et je vais… je viens. Je vais… je viens. Oh mon chéri...»

Et moi… Je continue de sentir descendre cette boule délicieuse de plaisir le long de ma colonne vertébrale. C’est très agréable de la sentir en moi, cette boule de feu du plaisir. Constance agite sa tête pour me prendre encore et encore, profondément… toujours plus profondément dans sa bouche.

-«Mon chéri… (Elle halète alors que moi aussi je halète. Je gémis. C’est tout simplement… exquis. Constance est une déesse du sexe.) Tu la sens ma bouche sur toi, en toi ? Tu l’aimes ? Et tu aimes ma main qui caresse tes bourses?»

Ses mains caressent idéalement mes bourses dans leur paume, et c’est un délice de sentir à la fois leur chaleur et leur confort sur la peau de mes testicules, et sa bouche qui va et qui vient sur mon membre. Elle me prend, et je ne peux rien y faire. Je n’ai juste qu’à savourer et à me laisser aller…

-«J’ai tant envie… de te faire jouir. J’aime te faire jouir. J’aime… sentir ton sperme… chaud… sur ma main… dans ma bouche… descendre dans ma gorge… sur mes seins… sur mon ventre… en moi, quand tu me fais l’amour. Oh oui… J’aimerais bien que tu jouisses sur moi. S’il te plaît...» (Sa voix a baissé d’une octave. A la limite du murmure. C’est intime. Elle me supplie de jouir pour elle, sur elle. J’en ai envie. Je le veux, moi aussi.)

Un coup, elle est préoccupée à continuer de me prendre dans sa bouche, encore et toujours, et de me donner du plaisir, encore et toujours. Un coup, elle aime regarder dans ma direction, et y trouver mes yeux. Elle est fascinée par les expressions de mon visage alors que je prends du plaisir, encore et toujours. Ça la fascine, et, à mon avis, ça la transcende. Constance a besoin de mettre en scène le plaisir qu'elle ressent. Par des sons. Par des mots. Par des regards.

Ça lui tient à cœur de me donner du plaisir. Je le sais parce que ça revient souvent dans nos discussions sur l’oreiller, post-sexe. Elle est beaucoup attachée à me donner du plaisir. La perspective de me faire jouir revêt une importance toute particulière à ses yeux. Elle me regarde, ses yeux braqués sur les miens. Elle me regarde, sans dire un mot, attendrie. La petite coquine a fait place à ma petite amie : une jeune femme follement amoureuse dont mon plaisir est la priorité.

La boule de feu du plaisir continue de descendre.

Le plaisir a pris possession de moi.

Le plaisir est en moi.

Le plaisir fait partie intégrante de moi.

Je ne vais plus pouvoir me retenir.

Je gémis.

Je ne boude pas mon plaisir.

Je crie mon plaisir.

Ca pousse Constance à ne plus me prendre dans sa bouche. Elle sait que je suis sur le point de jouir. Elle a un sixième sens, un cinquième as. Elle me connaît bien.

(…)

D’une main, elle me masturbe. De l’autre, elle se caresse un sein. Elle se lèche les lèvres. Elle a envie que je jouisse...

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JOUIR...

Publié le par Plaisir d'écrire

-«Oh mon chéri… C’est si beau de te regarder prendre du plaisir parce que c’est moi qui te le donnes. C’est si beau de te regarder rendre les armes. Ma langue sur ton gland… (Constance lui donne un petit coup de langue.) Mes lèvres autour de ton gland… (Elle l’enrobe de sa bouche.) Tu es si beau, mon Benoit. (Elle pousse un soupir.) Laisse-toi aller… au rythme du plaisir que je te donne, mon chéri… Laisse-toi aller… au rythme de ma bouche qui te lèche et qui te suce... (Elle a mon membre en bouche, et sa bouche coulisse, va et vient sur mon membre.) Laisse-toi aller… au rythme de ma main qui te caresse les bourses… (Elle a pris mes bourses dans la paume chaude de sa main. Elle les caresse, délicatement. Elle les masse.)

Je geins. Je gémis. Des petits cris. Je...lâche...prise.

-«C’est ça, mon amour… C’est ça ! Prends du plaisir. Lâche prise. Pour moi… Jouis… Je veux que tu jouisses ! Je veux te faire jouir. Je veux que tu jouisses dans ma bouche. Je veux sentir ton sperme chaud dans ma bouche, sur ma langue. S’il te plaît… ! Pour t’aider, je pose… une main sur tes bourses, et je les réchauffe. Et je te prends dans ma bouche… profondément. Je te veux… jusqu’à ma gorge. Et je vais, je viens… Je vais, je viens… Je vais et je viens…

Son désir pour moi… J’ai envie de lâcher prise. De jouir pour elle. D’ailleurs… je n’en suis plus très loin du tout, hmmm… il me semble.

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Constance est belle... et je l'aime

Publié le par Plaisir d'écrire

Ma queue est définitivement la sucette préférée de Constance. Notre «beau réveil» m’en donne la preuve irréfutable par a+b. Je sais que je n’oublierai jamais ce «beau réveil» pour le restant de mes jours. JAMAIS.

«Laisse-toi aller, mon Benoit...» (Me dit Constance, entre deux séquences de caresses buccales où elle enrobe mon gland de sa belle «petite» langue rose.)

Constance est une suceuse de première, et je n’imaginais pas une seconde, auparavant, que la fellation lui plairait… l’exciterait à ce point. Là, le fait qu’elle en soit à l’initiative, qui plus est, y confère une importance, une valeur toute particulière.

-«Laisse-toi aller...»

-«Je vais, je viens… Je vais, je viens… Je...vais, et je… viens. Oh !»

Je ne sais pas combien de temps, ni combien de fois cette séquence se répète, mais j’y prends goût, j’aime et… je sens que je suis de plus en plus en train de perdre pied. Constance est belle quand elle se fait jouisseuse et qu’elle est à deux doigts de me mener au septième ciel. Constance est belle quand elle se laisse aussi aller aux caresses qu’elle se prodigue parce que me donner du plaisir l’excite beaucoup et l’incite à se masturber. Me faire jouir et pouvoir goûter à ma jouissance la transcende. Constance est belle, et je l’aime.

Elle retire ma verge de sa bouche, et me regarde, songeuse.

-«Mon Benoit… ? Tu ne peux pas t’empêcher de penser à nous deux ? C’est ça, ce à quoi tu penses ?»

Je la regarde intensément, et acquiesce d’un hochement de tête : Constance est comme le vin. Elle se bonifie avec les années. Elle s’embellit au fur et à mesure que les années passent. Je me souviens de la Constance «froide» et taciturne de la licence pro. Je me souviens de la Constance qui n’aimait pas son corps et dont la seule et simple vue de celui-ci lui faisait honte. Je me souviens de la Constance que j’ai initiée, avec patience. Je me souviens de la Constance qui s’est épanouie, petit à petit. La chrysalide est devenue chenille. La chenille… papillon. En occurrence, un très joli papillon sexy aux cheveux blonds coupés courts, aux yeux chocolat, à la poitrine menue mais irrésistible.

-«Jouis, Benoit… Je veux que tu te laisses aller, et que tu te laisses jouir...»

Pourtant, son amour pour moi ne s’est jamais tari. Son appétit sexuel est devenu insatiable. Elle a désormais une sensualité épanouie.

Je la regarde, intensément, de mes yeux d’homme amoureux, et je me dis que Constance est tout ce dont j’avais toujours eu envie, tout ce dont j’avais toujours rêvé, et depuis qu’elle est dans ma vie, dans mes bras…

Je me dis que ce «beau réveil» est, au final, une belle idée, venant d’elle. Et, au moment où je le pense, je sens comme un courant descendre progressivement ma colonne vertébrale. Une sensation étrange mais agréable… Une sensation à laquelle on ne peut pas résister. On ne veut pas. Oh… ! Je vais…

Je le sens...

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Quelle petite coquine!

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce sont des coups de langue, de nouveau, qu'elle me donne. Mais, ceux-là sont différents des léchouilles auxquelles mon pénis avait droit jusqu'à présent. Alors que sa langue me léchait et me cajolait, là, mon pénis «frappe» contre elle. Néanmoins, ça n'en est pas moins agréable. C’était… différent, mais ça me plaisait. Ce contact me pousse, de plus en plus, inexorablement vers le bord du précipice : ce délicieux précipice auquel on veut s’abandonner quand on a franchi le point de non-retour et qu’on appelle… le plaisir, et, plus tard, la jouissance.

-«Hmmm… Hmmm...»

Constance m’étonnera toujours. Elle n’est plus tout à fait la même Constance, mais elle n’est et ne sera jamais une autre. Je n’avais pas idée de ses talents, de ses dons de suceuse. Je… l’aime.

-«Mon chéri… S’il te plaît ! Abandonne-toi ! Laisse le plaisir prendre possession de toi… Oh… TU M’EXCITES ! (Elle gémit.)

Je sais que Constance aime faire des bruits de plaisir, dans l’intimité. Elle le fait parce qu’elle est excitée, pour m’exciter. Cependant, il ne s’agit plus là de tout petits bruits. Là, ça ressemble davantage à des gémissements, comme si… elle prenait son pied alors que je ne lui fais plus rien parce qu’elle a pris les devants et qu’elle me pompe goulûment.

-«Si tu savais comme tu m’excites, Benoit ! Tu me donnes envie ! Tu m’as donné du plaisir toute à l’heure. Et là...» (Elle gémit de nouveau. Encore… Et encore… Et encore…)

Constance hoquette de plaisir.

Et, après le son, elle me montre l’image, si je puis dire : elle interrompt momentanément la pipe qu’elle me faisait, et me laisse un aperçu de ses doigts s’agitant tout doucement sur son minou. Constance m’étonnera toujours.

-«Tu confirmes ce pourquoi je te surnomme «ma petite coquine», Constance. Tu aimes ça, quand je t’appelle ainsi ? Tu aimes ? Avoue !»

Elle glousse, mais n’en pense pas moins. Elle ne perd pas le fil de sa masturbation, et sa main retrouve sa minette.

De son main, elle me reprend. Ma queue est toujours autant en verve, et MA Constance me reprend, d’abord légèrement, puis plus profondément, dans sa calanque vanillée.

Sa tête s’agite sur mon membre, et je plonge ma main dans ses cheveux pour la guider. Je veux qu’elle me prenne profondément, et qu’elle aille plus vite.

Elle me regarde… Elle se doute de ce que je suis en train de faire. Son regard pour moi en dit long : elle a compris que je veux qu’elle me fasse jouir, et que je veux jouir dans sa bouche. Ce n’est plus qu’une question de temps...

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Tu vas et tu viens...

Publié le par Plaisir d'écrire

Constance me regarde, mi-émue mi-coquine.

«J’aime t’entendre exprimer ton plaisir, mon Benoit. Continue ! S’il te plaît… Laisse-toi aller… Hmmm…»

Elle reprend ma queue dans sa bouche. Elle continue de me faire cette fellation, de bon matin. C’est à dire… si bien. C’est si bon. Si jouissif. Par moments, je pénètre légèrement sa bouche. Et à d’autres moments, je sens que Constance tient ET insiste à me prendre vraiment plus profondément, jusqu’à sa gorge. Au départ, je pensais qu’elle le faisait juste pour me faire plaisir. Et puis non, en fait. Elle prend du plaisir à me sucer. Ça se voit à ses yeux fermés. Ça s’entend aux petits sons qu’elle émet. Elle en avait aussi, ma «petite» suceuse.

-«Je vais et je viens… Je vais et je viens… (Je gémis) Oh… ! Mon Benoit ? Ça te plaît ?»

Tu parles que ça me plaît ! Tu es une «serial suceuse», ma belle. Si tu me réveilles comme ça chaque matin, en petite tenue sexy et en me faisant des pipes, je serai sur le pied de guerre pour rendre visite à tes parents. Ou, en avance, bien en avance, quelques heures avant une énième visite guidée de je-ne-sais-quel monument historique pour un groupe de touristes. Constance, elle, est professeur-documentaliste dans un collège, pas loin du tout de notre havre de paix, d’amour, de sensualité… et de sexe. Elle a été mon «étudiante sérieuse préférée». Aujourd’hui, elle est toujours ma «pupuce», mais aussi ma «petite coquine». En ce moment ? Ma «petite suceuse». Elle sait comment et où me toucher pour me donner du plaisir. Elle me suce avec passion, inexorablement. Quand je lui disais qu’elle est devenue une déesse du sexe… Elle seule…

Et au moment où je le pense, elle me retire de sa bouche, et tapote mon gland contre sa langue. Ce qu’elle fait, là, m’excite, encore plus. Il s’en faut de peu, désormais, pour que je «meure»...

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Ceci est une pipe... 2

Publié le par Plaisir d'écrire

En plus d’être une amoureuse pour qui les hommes tueraient ou bien aimeraient bien être à ma place, Constance sait très bien où et comment me donner du plaisir. Elle le sait bien, cette petite coquine, et elle en joue ! Elle savait très bien qu’elle devait faire monter mon désir en puissance pour que mon plaisir s’intensifie crescendo.

Elle donne des petits coups de langue… Elle a passé sa main au niveau de mes bourses, et les prend généreusement dans la paume de sa main. Ça permet de les réchauffer. Et… pendant qu’elle s’est emparée, avec douceur, de mes couilles… la voilà qui reprend mon gland dans sa bouche. Elle a bien mouillé ma queue de sa salive, et c’est un délice de sentir sa «petite» bouche coulisser de haut en bas, de bas en haut, le long de mon membre. En haut, en bas… En bas, en haut… Sa langue qui me donne des petits coups, sur le gland, tout doucement, tendrement. Sa langue qui est toute chaude. Si Constance continue de me pomper comme elle le fait, je ne répondrai de rien au moment où je jouirai, dans sa gorge…

-«En haut, en bas… En bas, en haut… Je vais, je viens… Je vais, et je viens...»

Ses mots m’excitent. Au plus haut point. C’est alors que je sens qu’elle prend ma queue un peu plus profondément. Je regarde Constance, dans les yeux, et je vois que ses yeux sont mi-clos. Elle se rend compte que je le regarde. Elle me regarde à son tour. Elle prend mon gland dans sa main, et les porte près de sa bouche. Elle me donne un léger coup de langue, avant de me reprendre dans sa bouche… Profondément. Constance me rend fou, et ce ne serait pas étonnant que je vienne...

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