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Quelle petite coquine!

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce sont des coups de langue, de nouveau, qu'elle me donne. Mais, ceux-là sont différents des léchouilles auxquelles mon pénis avait droit jusqu'à présent. Alors que sa langue me léchait et me cajolait, là, mon pénis «frappe» contre elle. Néanmoins, ça n'en est pas moins agréable. C’était… différent, mais ça me plaisait. Ce contact me pousse, de plus en plus, inexorablement vers le bord du précipice : ce délicieux précipice auquel on veut s’abandonner quand on a franchi le point de non-retour et qu’on appelle… le plaisir, et, plus tard, la jouissance.

-«Hmmm… Hmmm...»

Constance m’étonnera toujours. Elle n’est plus tout à fait la même Constance, mais elle n’est et ne sera jamais une autre. Je n’avais pas idée de ses talents, de ses dons de suceuse. Je… l’aime.

-«Mon chéri… S’il te plaît ! Abandonne-toi ! Laisse le plaisir prendre possession de toi… Oh… TU M’EXCITES ! (Elle gémit.)

Je sais que Constance aime faire des bruits de plaisir, dans l’intimité. Elle le fait parce qu’elle est excitée, pour m’exciter. Cependant, il ne s’agit plus là de tout petits bruits. Là, ça ressemble davantage à des gémissements, comme si… elle prenait son pied alors que je ne lui fais plus rien parce qu’elle a pris les devants et qu’elle me pompe goulûment.

-«Si tu savais comme tu m’excites, Benoit ! Tu me donnes envie ! Tu m’as donné du plaisir toute à l’heure. Et là...» (Elle gémit de nouveau. Encore… Et encore… Et encore…)

Constance hoquette de plaisir.

Et, après le son, elle me montre l’image, si je puis dire : elle interrompt momentanément la pipe qu’elle me faisait, et me laisse un aperçu de ses doigts s’agitant tout doucement sur son minou. Constance m’étonnera toujours.

-«Tu confirmes ce pourquoi je te surnomme «ma petite coquine», Constance. Tu aimes ça, quand je t’appelle ainsi ? Tu aimes ? Avoue !»

Elle glousse, mais n’en pense pas moins. Elle ne perd pas le fil de sa masturbation, et sa main retrouve sa minette.

De son main, elle me reprend. Ma queue est toujours autant en verve, et MA Constance me reprend, d’abord légèrement, puis plus profondément, dans sa calanque vanillée.

Sa tête s’agite sur mon membre, et je plonge ma main dans ses cheveux pour la guider. Je veux qu’elle me prenne profondément, et qu’elle aille plus vite.

Elle me regarde… Elle se doute de ce que je suis en train de faire. Son regard pour moi en dit long : elle a compris que je veux qu’elle me fasse jouir, et que je veux jouir dans sa bouche. Ce n’est plus qu’une question de temps...

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