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le jour se leve encore

Cold

Publié le par Plaisir d'écrire

Il y a six mois,

La belle histoire,

NOTRE belle histoire d'amour

Prenait fin:

Ça en avait fini de toi et moi.

 

Et puis,

Tout espoir,

Le moindre espoir de nous revoir

N'est pas à l'ordre du jour:

Il en est ainsi.

 

Concise,

Froide,

Tu n'es plus la même,

Tu es devenue une autre

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Porcelaine

Publié le par Plaisir d'écrire

Si tu m'avais dit

Que l'on se rencontrerait

Sur Internet,

Sur ce forum où l'on écrit,

Où des histoire sont racontées,

Mon âme n'aurait pas été nette...

 

Jamais, au grand jamais,

Je ne pensais que l'on ne me complimente,

Je ne m'y attendais pas

Et quand ton commentaire a été publié,

J'ai été ému, mais l'attente

N'a pas duré, car tu vois...

 

Tu as attiré mon attention,

Tu as aiguisé ma curiosité,

C'est comme ça,

Et si j'ai pris la décision

De te répondre, tout de suite après,

C'est que je voulais peut-être en savoir plus sur toi...

 

C'était comme le chant des sirènes,

Je ne pensais plus qu'à toi

Et peu importe ce que je fasse,

Tu semblais faire des tiennes

Et je ne pensais plus qu'à ça:

Que les rêves laissent la place

 

À une rencontre;

J'ai alors cherché

À tout savoir, dans les moindres détails:

J'ai cherché à te connaître,

À savoir ce qui te plaisait

Et c'était normal

 

Pour moi de procéder ainsi:

Je voulais faire de toi

Ma priorité,

Que tu fasses partie intégrale de ma vie;

Il n'y avait plus que ça

Qui comptait.

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Arcade

Publié le par Plaisir d'écrire

Tout évolue

Et tout se métamorphose:

La vie continue

Et s'il y a bien une chose

Que je sais:

Tout peut s'arrêter

D'un seul coup.

 

Tout n'est pas si facile,

Tout ne tient qu'à un fil,

Le jour se lève encore

Jusqu'au jour où je serai mort

Et je sais:

Tout peut s'arrêter

D'un seul coup.

 

Une histoire d'amour

Entre deux personnes

Voit le jour

Et le soleil résonne...

Jusqu'au jour

Où l'on se sépare

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Diabolo violette

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce n'est pas compliqué:

Je ne te lâche plus d'une semelle,

Depuis que je t'ai rencontrée,

Ma belle;

J'ai envie de me réveiller,

Chaque matin,

Chaque réveil,

Avec toi.

 

Tu fais de moi

Un autre homme

Et quand je te vois,

Je me raisonne

Et j'entrevois

L'avenir;

Le réveil sonne

Et tu es là.

 

"Diabolo violette"...

L'un de tes petits noms;

Je te mérite,

Je mérite l'amour

Pour de bon.

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Ma bien-aimée

Publié le par Plaisir d'écrire

On s'est rencontré,

Je ne m'y attendais pas,

Je sortais,

Je jouais à ce jeu-là...

 

Toi aussi,

Tu y jouais, d'ailleurs,

C'est la vie,

On s'est rencontré lors d'une partie, dehors...

 

Toi...

Ma bien-aimée...

 

Avant que l'on ne se rencontre,

J'avais été déçu,

Mon ami a fait que mon moral remonte,

Disons qu'il a fait ce qu'il a pu...

 

Et je me suis mis à jouer à ce jeu,

Histoire de me changer les idées,

Ainsi sont revenus les jours heureux:

Des parties à jouer, des gens à rencontrer...

 

Toi...

Ma bien-aimée...

 

Se parler de temps en temps,

Se parler de plus en plus,

J'étais content,

Ma puce...

 

Je ne parlais plus que de toi,

À ma famille, à mes amis,

Ils étaient heureux pour moi;

Quelque chose était en train de se passer dans ma vie.

 

Toi...

Ma bien-aimée...

 

Un beau jour,

J'ai vu les choses en face,

Mon amour...

Je me suis regardé dans la glace

 

Et j'ai vu mon reflet...

Le jour se lève encore

Grâce à toi, ma bien-aimée;

Je t'aime si fort.

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Plus que tout

Publié le par Plaisir d'écrire

Je faisais mes courses

Dans ce supermarché,

Pas loin du tout de chez moi;

C'était une journée comme une autre.

 

Je ne fais que vivre ma vie

Et je me porte plutôt pas mal,

Les jours ont beau se suivre,

Ils ne se ressemblent pas.

 

Me lever,

Petit déjeuner,

Faire ma toilette,

M'habiller.

 

Le travail,

Me concentrer,

Ne plus jamais penser à toi,

Donner le meilleur de moi.

 

Et quand je rentrerai chez moi,

Elle viendra:

Je la retrouverai

Et je serai à elle,

Plus que tout.

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Hôtel Lanjuinais

Publié le par Plaisir d'écrire

Jusqu'à ce que tu montres

Le petit bout de ton nez,

Je n'avais connu que l'ombre

Et puis... tu es arrivée.

 

Tu as fait ton apparition

Dans la vie, sur la pointe des pieds,

Tu faisais déjà sensation

Une fois ton message envoyé.

 

Dès le début, j'ai pris plaisir

À apprendre à te connaître

Et alors, j'ai voulu jouir

De tes oui, de tes non, de tes peut-être.

 

Tu étais jeune, tu es venue à moi,

Tu m'as rendu curieux,

Tu m'as parlé de ci et de ça;

Il y avait quelque chose entre nous deux...

 

Et puis, nous nous sommes rencontrés...

 

Tu me parlais de ce philosophe

Que tu aimes particulièrement,

Tu t'es mise à aimer mes strophes

Et puis ça a été donnant-donnant

 

Car tu t'es mise à ton tour

À te mettre petit à petit à nu,

L'attirance, et puis, l'amour

Sont apparus, et nous sont venus.

 

Après mon travail de cet été-là,

J'ai retrouvé mon appartement,

Là-bas, chez moi,

Pour seulement un tout petit moment

 

Car le jour sacré de notre rencontre

Est arrivé tout de suite après:

Alors, j'ai écouté mon cœur, mon réveil et ma montre

Et puis j'ai pris le train qui allait m'emmener

 

À toi,

À Rennes,

À l'Hôtel Lanjuinais...

 

Tu m'avais donné rendez-vous

Dans le hall de la gare, près de cette boutique,

J'avais le trac, j'étais fou

À l'idée que s'approchait la rencontre fatidique.

 

On s'était écrit,

On s'était parlé,

Mais ici,

C'était pour de vrai.

 

On s'était échangé nos histoires et nos poèmes,

On s'était échangé quelques photos,

Puis, on s'est dit "je t'aime":

On était beau.

 

Et quand j'ai fini mon travail là-bas,

Je ne pensais plus rien à d'autre

Qu'à te retrouver chez toi:

Je ne pensais plus qu'à notre rencontre.

 

La gare...

Le café...

L'Hôtel Lanjuinais...

 

À l'approche de la gare,

J'ai senti l'euphorie prendre possession

De moi, mais, sentiment bizarre,

Il y avait aussi, chez moi, de l'appréhension

 

Mais, tout ça a disparu

Dès lors que tu as posé les yeux sur moi

Et, dès que moi, je t'ai vue,

J'ai tout de suite couru vers toi.

 

Ce jour, ce moment,

C'est comme si on l'avait attendu depuis toujours

Et à présent,

On pouvait laisser s'exprimer notre amour:

 

On s'est embrassé,

On s'est dit des mots doux,

Puis, tu m'as pris la main et tu m'as emmené dans ce café

Où j'ai voulu payer nos thés, un point c'était tout!

 

L'Hôtel Lanjuinais...

L'amour...

Deux jours...

Pour la vie...

Nous deux...

 

 

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Ambiance

Publié le par Plaisir d'écrire

Dans ce club de la ville, les gens passent du bon temps,

Au son et au rythme des dernières musiques dansantes,

Les corps se déchaînent, la musique est entraînante:

Les gens vont pouvoir rencontrer d'autres gens...

 

Musique disco ou dance, le volume est puissant,

L'envie de danser devient tentante,

Un verre à la main, ou bien une femme séduisante

Dans la ligne de mire de ses yeux à cet instant...

 

Les gens s'enivrent et dansent pour oublier leur journée,

Que ce soit au travail ou bien à la maison,

Ils pensent à autre chose, plus que de raison:

La musique et l'ambiance les font se laisser aller.

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Le mal de toi

Publié le par Plaisir d'écrire

Et même si tu n'es plus là aujourd'hui

Et que tu es à quatre cent kilomètres,

Tu feras toujours partie de moi:

Je veux que tu restes dans mon histoire.

 

Et même si nous ne nous reverrons pas

Et que tu fais ta vie comme je fais la mienne,

J'ai du mal à ne pas penser à toi:

Tu es ma première, jamais je ne l'oublierai.

 

J'ai gardé nos photos même si je n'existe plus

Dans ta vie, et que tu ne penses plus du tout

À toi, à moi, à nous, et tout ce qui m'a plu

Chez toi, tu le réduis en poussière

 

Mais! Ça ne m'empêche pas d'avoir le mal de toi:

Tu es la première, et ça, je n'oublierai jamais.

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Les avions se souviennent

Publié le par Plaisir d'écrire

Les avions du monde entier

Se souviennent

De nos voyages.

 

Aujourd'hui,

Seuls les avions se souviennent

De notre histoire d'amour.

 

Du nord au sud,

De l'ouest à l'est,

Notre histoire a voyagé.

 

Aujourd'hui,

Seuls les avions se souviennent

De notre histoire d'amour.

 

À force de rester au sol,

L'amour s'est évanoui.

L'amour s'est enfui.

 

Seuls les avions se souviendront

Et retiendront pour l'Histoire

Notre relation aujourd'hui terminée.

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