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Possession

Publié le par Plaisir d'écrire

-«Je l’aime, ta queue, tu sais? Oh oui, je l’aime… Peu importe ce que je dise ou ce que je fasse, tu bandes dur pour moi.»

Tu es la femme de ma vie, Constance. Je ne désire que toi. C’est pour toi que je bande.

-«Continue, bébé. S’il te plaît...»

Je gémis pendant que sa main continue de flatter mon sexe avec le même entrain.

-«Bien sûr que je vais continuer!»

Sa main se fait moins timide, plus curieuse… plus gourmande. Constance intensifie doucement la caresse.

-«J’en rêvais quand on était étudiant. Je m’en donnais à cœur joie dans mon lit. Si tu savais le nombre incalculable où je me suis masturbé en pensant à toi, Constance… Je rêvais que tu sois avec moi. J’essayais de m’imaginer ce que ce serait. Et je dois reconnaître que… que la réalité est bien plus délicieuse.»

Je ferme les yeux, et je me concentre sur les sensations que la main de Constance me procure, et qui prennent possession de moi.

Elle braque ses yeux dans les miens.

-«Tu te souviens de ces poèmes érotiques que j’avais écrit en pensant à toi, pour toi?»

-«Oui, bien sûr, Benoit. C’est peut-être à ce moment-là que je me suis doutée de quelque chose. J’étais bouleversée que tu me désires, en secret.»

-«J’essayais d’imaginer un monde où tu serais à moi et où je serais à toi. Un monde où tu serais mienne et dans lequel je ne me lasserais jamais de te désirer. Et aujourd’hui… C’est juste… savoureux. Meilleur.»

Tout en maintenant ses caresses sur mon pénis, encore «protégé» par le boxer qui le cache, elle dépose des baisers mouillés sur mon abdomen et sur mon pubis.

-«C’est toi et moi, sur l’oreiller...»

Tiens ! Voilà que Constance D. se la joue Joyce Jonathan! (cf. chanson ‘Le bonheur’)

-«Hmmm...»

-«Tu n’es pas d’accord, Benoit?»

-«Hmmm...»

Ce n’est pas que je n’ai pas envie de répondre. Ce n’est pas ça du tout. Je savoure l’instant présent en fait. Comprenez-moi! A mes yeux, la plus belle femme du monde est à quatre pattes, en petite tenue sexy. Elle est audacieuse, et elle tente d’incorporer de la sensualité dans tout ce qu’elle entreprend pour que je me lève et pour que l’on soit prêt et à l’heure chez ses parents.

-«Tu es déesse de notre lit, MA Constance. Rien que toi.»

J’ignore ce qui prend possession d’elle à cet instant précis, mais il a dû se passer quelque chose : elle braque de nouveau ses yeux dans les miens. Elle semble vouloir (me) dire quelque chose du genre ‘Je me suis faite toute belle pour toi. Je ne veux pas que tu me résistes. Je veux que ce réveil reste gravé dans ta mémoire et dans la mienne, pour toujours.’

-«Je ne suis pas celle que tu crois...»

Et, au moment où elle prononce ces mots, ses mains agrippent mon boxer et le font descendre jusqu’à ce qu’elle me retire, et le fasse voler je-ne-sais où. Mon pénis est ainsi révélé au grand jour… Ses yeux se délectent de ma belle érection matinale.

Elle se lèche les lèvres, et sourit. Elle ME sourit. Sa tête vient à hauteur de la mienne. Constance moule ses lèvres sur les miennes, pour un baiser passionné. Sa bouche recherche la mienne, comme affamée. Comme si sa vie et notre amour en dépendaient. Puis, elle délaisse sa bouche. Et ce jeu dure… je ne sais pas combien de temps tant elle maintient ce jeu et le suspense qui en découle.

-«Hmmm… Tu es une vilaine jeune femme quand tu le veux, dis-moi!»

Elle glousse, puis ses doigts me décalottent. Ses doigts entourent mon gland et effectuent de tout petits va-et-vient pour commencer. Elle a pris possession de moi...

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