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Carine, rousse adultère (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Ils étaient enfin nus, pile en face de moi, les seins de Carine. J'avais la bouche entrouverte. J'étais époustouflé. J'étais sur le cul. Tout de suite, je les ai trouvés beaux. Je les ai aimes dès l'instant où elle a fait tomber son soutien-gorge sur le lit. Si Carine est passée sur la table d'opération pour que sa poitrine soit plus généreuse, ça a été pour une raison qui n'appartient qu'à elle. Je ne peux que respecter le choix qu'elle a fait. Son corps n'appartient qu'à elle. Si ses seins lui plaisent tels qu'ils sont aujourd'hui, c'est le plus important. Son corps doit lui plaire tel qu'elle le façonne. Je n'avais d'yeux que pour les seins de Carine. Je suppose avec le recul que ça a dû la faire sourire parce que je l'ai entendu prononcer mon prénom. Je l'ai entendu me demander de la regarder de nouveau dans les yeux. La nanoseconde d'après, c'était chose faite. Là. Je me suis noyé de nouveau dans ses yeux bleus. Son regard me faisait toujours autant de l'effet. Et la perspective de faire l'amour avec elle était toujours présente en moi. J'en avais l'eau à la bouche, je m'en léchais les babines. Comment ne pas avoir envie de Carine ? Cette belle femme, on en mangerait... Toute inhibition avait disparu, désormais. Carine était dans cette chambre d'hôtel, avec moi, et elle oubliait le temps d'un autre homme ce mari qu'elle aimait mais qui avait perdu tout plaisir de la toucher. Un autre homme avait toqué à la porte de sa sexualité et elle n'avait pas l'intention de laisser passer le train du plaisir sans qu'il ne s'arrête à sa vie.

 
Je louchais sur ses gros seins que je trouvais beaux. Carine avait beau être passée sur le billard pour qu'ils soient ainsi... Ils étaient à mon goût. Moi dont la poitrine féminine est un péché mignon, j'étais servi. J'en prenais plein les yeux.
Carine a remué les lèvres. Une nouvelle fois, ça a été de son envie d'être regardée avec appétit par un homme ainsi que de son désir d'être touchée jusqu'à plus soif dont elle a parlé. J'ai grand ouvert mes oreilles. J'ai été réceptif à ces paroles du mieux que j'ai pu. Je ne pouvais être insensible aux mots de cette femme privée, sevrée de sensualité, de sexe... et donc de plaisir.
 
 
Plus on passait du temps ensemble, plus j'apprivoisais Carine. Plus on passait du temps ensemble, plus je sentais que Carine lâchait du lest. Plus on passait du temps ensemble, plus la magie se prolongeait.
On prenait plaisir à nous connaître, intimement parlant. Plus j'apprivoisais Carine, plus la femme exaltait la sensualité qui coulait dans ses veines. Mieux ! C'était comme s'il s'agissait d'une résurrection charnelle, pour elle. Elle était belle à croquer. La femme en quête d'être désirée, en recherche perpétuelle d'être désirable, avait ôté son soutien-gorge, un peu comme si c'était une armure qui constituait une dernière frontière avant de se mettre totalement à nu et de se donner. Je le voyais, ça, qu'elle prenait du plaisir quand je posais mes yeux sur elle et que je ne les détournais pas. C'était une prison dorée dans lequel nous nous détenions. C'était fait de volupté et de sexe. Moi qui aime les femmes émoustillantes, j'étais servi. Car Carine l'était, émoustillante. De mon point de vue, c'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle. Je cherchais son regard. Je cherchais son toucher. Mais plus que tout encore, j'étais en quête de son plaisir.
Quand une femme vous regarde droit dans les yeux, quand elle ne vous quitte pas des yeux, vous avez le cœur qui s'emballe. Votre corps se couvre de chair de poule. Votre corps réagit simultanément, automatiquement. Ça ne se commande pas. C'est comme ça. C'est que cette femme vous plaît, tout simplement. Carine faisait partie de ces femmes à ce moment-là, le cas échéant. Elle était en train de s'exhiber à un autre homme que le sien. Je savourais chaque instant allègrement. Une chaleur particulière se diffusait dans la chambre. C'était en partie dû au radiateur qui était en marche. C'est tout sauf négligeable en ce frais mois de février. Mais ça ne faisait pas tout. Non. Plus on s'apprivoisait, plus on prenait du plaisir à être ensemble. Et en plus, on avait chaud.
 
 
 
 
Carine... On en mangerait... À mon contact, elle était libérée, délivrée. À mon contact, le reste n'avait plus d'importance à ses yeux. Elle se donnait à moi en son âme et conscience. Et elle était particulièrement belle, qui plus est. J'avais envie d'elle.
Ce n'est pas tous les jours qu'on couche avec une femme mariée. Pour ma part, ça avait quelque chose de piquant. Fidèle jusqu'à aujourd'hui à son mari, Carine a cédé à la tentation et elle a brisé le serment de fidélité qu'elle a fait à l'église et à la mairie, lors de son mariage. Un instant passé à peser le pour et le contre, le cul entre deux chaises, Carine a vendu son âme au diable. Elle a cédé aux sirènes de la luxure... et du plaisir.
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