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"tu te souviens ?"

"Tu te souviens?" 10

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce premier coup de langue… Ce premier cunni… J'avais tellement attendu ce moment. J'en avais beaucoup rêvé. C'est simple : j'étais tombé amoureuse de ton écriture quand j'ai découvert cette plateforme de textes érotiques. Et c'est tout aussi simple : je m'imaginais que c'était à moi que l'on faisait tout ce que tu écrivais. On a fait connaissance, on s'est apprivoisés. Nos séances de téléphone rose… On se déshabillait. On se mangeait des yeux. On se touchait, on se caressait. On s'embrassait, on se parlait. Je te suçais, tu me léchais. Je me doigtais, tu te branlais. Tu me baisais les seins, je m'occupais de tes testicules. Je mouillais, tu éjaculais. Sur mes seins, dans ma bouche. Thé… o… Oui… Je m'en souviens. Et là, j'avais les jambes bien écartées. J'avais aucune intention de les refermer. Oh… non. Ça, il en était même pas question. Ce premier coup de langue… Ce premier cunni… J'en avais tellement rêvé. Ça faisait partie de mes fantasmes. J'y pensais quand je me caressaus dans ma chambre d'ado alors qu'il y avait personne chez moi. Tes lèvres sur moi… Tu m'avais embrassé mon sexe. Ton baiser était doux. Et tu avais déposé un peu de ta salive. C'était frais, c'était agréable. C'était un mariage exquis avec ma cyprine. Thé… o… Et quand tu m'as regardée dans les yeux et que tu as commencé vraiment à me lécher… il n'y avait plus rien qui avait de l'importance. C'était seulement toi entre mes jambes et tu me le faisais, ce cunni.

Bérénice… Aah… Je soupire mais c'est parce que quand tu parles de notre première fois… j'en ai des frissons en ce moment-même. Si si, je te jure ! Poser enfin ma bouche sur ton sexe… Le voir pour de vrai… Admirer ta jolie toison pubienne abondante… Jolie coccinelle… Tu faisais si jeune et pourtant… tu étais émoustillante. Ta belle «petite» chatte était dans ma ligne de mire, elle était à ma merci. Elle était toute à moi, rien qu'à moi à présent. J'ai de nouveau entrouvert les lèvres et j'ai laissé couler encore un peu de ma salive. Et puis… j'ai délicatement posé le bout de mes doigts sur la peau de ta vulve. Je t'ai caressée distraitement. Et toi… tu as gémi.Tu aimais ce genre de caresses et tu me le faisais savoir par les bruits que tu faisais, chérie. Tu étais donc comme au téléphone. Mais là… C'était pour de vrai. Et j'en étais pas moins émoustillé. Oh… non. Ton sexe était très beau, Bérénice. Il était garni de poils et il faut apprécier. C'est pas dans les goûts de tout le monde. Mais moi, j'aimais beaucoup parce que comme ça, c'était TOI et pas une autre. Bérénice… Tu veux les garder, tes poils pubiens. Et moi aussi, je voudrais bien que tu les gardes parce que je l'aime bien comme ça, ta belle «petite» chatte poilue… et appétissante. Je te masturbais doucement. Lentement. Tu étais très belle, Bérénice. Tu l'es toujours. C'était définitivement avec toi que je voulais faire l'amour. Ce moment-là, toi, cette chambre d'hôtel.

Mon a… mour… Tu avais mis mon sexe à l'air. Je me sentais dévergondée. Je veux dire… J'étais vierge et j'étais presque complètement à poil, au lit avec un homme. Mon petit ami… j'étais presque nue devant lui, je l'avais branlé, je l'avais sucé. Mon petit ami… je l'avais déshabillé, je l'avais masturbé avec mes seins. Et là, c'était à mon tour d'être allongée. Tu étais si doux, Théo. Et si attentionné avec moi. La sensation de ta salive sur mon sexe… C'était exquis. Je me sentais d'autant plus humide. Et toi… tu te mettais à badigeonner ma vulve de ta salive. C'était si… bon. Exquis. Tes gestes étaient doux. Tu prenais soin de moi, ché… ri… Mon premier petit ami, mon premier amant… Je rêvais qu'il soit comme ça avec moi. Et là, mais là… c'était pas, c'était plus un rêve. On était tous les deux au lit. On était bien. J'ÉTAIS bien. Les premiers baisers, les premiers coups de langue m'avaient donné envie, ils m'avaient ouvert l'appétit. Et puis tu t'es vraiment mis à me lécher. J'ai d'un seul coup lâché prise, je me suis abandonnée. Je m'en remettais à toi. Avoir ta tête entre mes jambes… Avoir ta bouche sur mon sexe… Ça m'a fait un je-ne-sais-pas-quoi. J'avais surtout pas envie que tu t'arrêtes. Surtout pas. Mon petit ami me léchait mon sexe. Je comprenais à présent pourquoi on a l'habitude de faire tout un plat de la première fois. J'étais si bien, mon chat. Pour rien au monde j'aurais voulu que ce moment soit interrompu ou pire ! Qu'il s'arrête carrément. C'était même pas en rêve, ça.

Comme je te comprends, pupuce… Moi non plus, je voulais surtout pas qu'on s'arrête en si bon chemin. On était si bien, rien que nous deux, dans cette chambre d'hôtel. J'avais mon visage plongé dans ton sexe et je te le faisais, ce cunni que nous avions tant attendu, dont nous avions beaucoup rêvé, toi comme moi. Je te léchais goulûment. Je te mangeais. Je te bouffais. Je te dévorais. Ma langue était vive. Elle te le lapait, ton minou. À mesure que je te léchais, tu mouillais. Je faisais de toi une boule de plaisir, une fontaine à cyprine au fur et à mesure. Je devais te torturer et ce devait être une torture agréable, délicieuse pour toi, non, Bérénice ? Tu n'arrivais déjà plus à te calmer. Tu ne te tenais plus tranquille. Un coup, tes jambes étaient grandes ouvertes, complètement écartées. Un autre coup, tu les refermais et c'était tout juste si tu ne m'enserrais pas la tête avec. Tu remuais du bassin. C'était tout juste si ma bouche n'était pas aimantée à ton minou. D'ailleurs, ton minou… tu me barbouillais le visage de ta mouille avec, n'est-ce pas, mon cœur ? J'aimais ça. C'était tout nouveau pour moi aussi, dois-je te rappeler ? Mon amour… Ta chatte était si bonne. Elle avait un bon goût de chatte. Ta cyprine était épaisse, elle était chaude. Elle était capiteuse, elle était saline. Ta fleur sexuelle était fleur de sel… et ça me plaisait. Je n'avais alors qu'une seule envie, princesse : te lécher. Encore plus te lécher. Nettoyer ton sexe parce que ta mouille le souillait joliment. Je le voulais. Ça me plaisait.

 


 


 


 


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

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"Tu te souviens?" 9

Publié le par Plaisir d'écrire

Thé… o ! Je me souviens de ce qui s'est passé à ce moment-là avec des détails précis. Et quand j'y repense là alors que tu viens de m'enculer et que l'on se fait l'amour, l'un à l'autre… Ça arrête pas de m'exciter. J'étais allongée sur ce beau lit. La chambre était magnifique. J'étais subjuguée, j'en avais le souffle coupé. J'étais presque complètement nue. Il ne me restait plus que mon tanga blanc. Je venais de te sucer pour la toute première fois. Ça m'avait beaucoup excitée. Je venais de donner du plaisir à l'homme que j'aimais… et qui me rendait toute chose à présent. J'en revenais pas. Je voyais à ses yeux que je lui plaisais beaucoup. Il n'avait d'yeux que pour moi. Je l'entendais me dire que j'étais belle, que je lui plaisais, qu'il m'aimait et qu'il avait très envie de moi. Et moi aussi, j'avais très envie de lui. Je sentais sa bouche se poser sur la dentelle de mon tanga… que je sentais de plus en plus souillée de ma cyprine. La dentelle était fine et je sentais les lèvres de mon petit ami toucher, titiller les miennes, intimes. Théo… Ta bouche sur moi… Je n'attendais que ça. J'étais prête à accueillir ta bouche . J'étais mouillée, je le savais. Je sentais que mon sexe se gonflait petit à fait, j'étais excitée. Ché… ri… je voyais tes yeux, je ne te lâchais pas. C'était tout pour moi à ce moment-là. Tu me faisais vibrer, Théo. Si si, je te jure ! Et d'ailleurs, t'as dû le voir… Je haletais. Je me tortillais. J'arrivais plus du tout à me calmer.

– Bérénice… Tu faisais si jeune… mais si coquine. J'avais follement envie de toi, mon amour. Tu étais allongée. Tu avais les jambes écartées. Tu ne portais plus que ton tanga. Mais ton tanga… tellement il était mouillé, c'était plus qu'une question de temps avant qu'il ne te soit plus d'aucune utilité. La preuve ! J'avais la tête entre tes jambes. J'avais le visage contre ton sexe. Amour… Il me tardait de t'enlever ton tanga parce qu'il était en travers de mon chemin. Et pourtant… j'étais fasciné par cette tache translucide qui se formait sur le devant du morceau de dentelle. Ta mouille… Elle trahissait la blancheur de ton sous-vêtement, elle vendait la mèche à ton sexe. Tu pouvais plus me cacher que tu étais excitée, Bérénice. Oh… non. Et tu avais plus aucun moyen de le nier… ou bien… tu mentais. Et là… qu'est-ce que tu as fait, jolie coccinelle ? Tu t'en souviens ? Tu as gémi. Tu as plongé une main dans mes cheveux, tu me les as caressés. De ta voix aigüe, éraillée par le désir, tu m'as supplié : «Théo… Lèche-moi… Notre premier cunni… Ça fait longtemps que je l'attends… J'attendrai pas une minute de plus… LÈCHE-MOI ! S'il te plaît...» J'ai soupiré. J'ai fermé les yeux. Je les ai rouverts. J'ai de nouveau soupiré. J'ai braqué mes yeux dans les tiens. Tout en faisant ça, j'ai posé le bout de mes doigts sur ton tanga et j'ai dénudé un peu ton sexe. En faisant ça, je sentais quelque chose d'épais, de glissant sur mes doigts. C'était ta mouille ! Je t'ai regardée dans les yeux.

– Mon amour… Tu m'as regardée dans les yeux. «Bérénice… Tu mouilles… C'est de moi dont tu as envie ?» Pour toute réponse, j'ai hoché la tête. J'avais le souffle coupé, j'étais subjuguée. J'avais envie de toi, j'avais envie que tu me lèches. J'avais envie de tes lèvres, j'avais envie de ta langue. EN-FIN… tu t'étais décidé à passer à l'action. Tu mettais un peu de piment à nos ébats. Ma peau était libérée, délivrée. Elle était à l'air libre. Tu le voyais EN-FIN en vrai, mon sexe. Chair, cyprine et poils. Mes poils pubiens… Je les aime. Ils me plaisent. Je l'aime bien comme ça, mon sexe. Que personne me dise quoique ce soit. Toi… Mon amour… Je t'observais, tu sais ? Mon sexe… Il t'intriguait. Il te fascinait. Tu m'as embrassée, mon amour. Sur mes aines. Sur mes cuisses. Sur les poils de mon pubis. Je passais ma main dans tes cheveux. Tu as relevé ta tête. Tu m'as regardée. Y'avait de l'amour et de la tendresse dans tes yeux, Théo. Et toi aussi, tu me faisais fondre. Je portais encore mon tanga et je sentais petit à petit que j'avais bien le sexe à l'air. Tu m'as souri, tu m'as fait un clin d'oeil. J'ai soupiré, j'ai porté une main sur ma poitrine. Je sentais que mes seins, eux aussi, gonflaient à mesure que j'étais excitée. J'avais le coeur qui continuait de battre la chamade. Il pulsait à mille à l'heure. Mes doigts se sont posés sur l'arrière de ta tête. C'est ainsi que je t'ai rapproché de moi, joli oiseau. Tu m'as de nouveau regardée dans les yeux. «Bérénice… Oui… C'est à mon tour de te donner du plaisir… Détends-toi...» C'est là que tu m'as embrassée mon sexe.

– Ton sexe était tout doux au toucher. C'était paradoxal parce que compte tenu que ton sexe était poilu. Mais ça n'avait pas d'importance. Il me plaisait tel qu'il était, ton sexe, jolie coccinelle. Et je peux te confirmer qu'il était mouillé. Tes lèvres avaient rougi. Elles avaient gonflé. La mouille faisait qu'elles étaient brillantes. Une fois encore, mes yeux se sont posés sur les tiens. Tu avais carrément lâché prise à ce moment-là. Tu fermais les yeux. Tu te touchais et tu te caressais les seins. Tu étais donc entièrement à ma merci. Du bout des doigts de ma main droite, j'ai écarté ton tanga et je l'empêchais de se refermer sur ton minou. Je t'ai déposé un second baiser sur le sexe. J'en ai également profité pour entrouvrir mes lèvres et laisser couler un peu de salive. Ça a dû être une sensation fraîche que tu as ressenti, ma belle. Tu as grimacé, tu as poussé un soupir. «Théo… Ce que je suis bien… ça me rappelle quand moi, je me masturbe quand je profite qu'il n'y a personne chez moi… Continue…» Tes mots… Bérénice ! Tu venais de mettre de l'huile sur le feu. Tu avais même pas idée. Juste vêtue de ton tanga blanc, tu faisais vierge effarouchée. Et le fait que tu portais plus tes lunettes… Tu faisais si jeune… Et pourtant… tu étais si mignonne, Bérénice. J'étais attendri. J'avais follement envie de toi. Mon cœur battait à cent à l'heure. Je t'ai regardée dans les yeux. Je t'ai donnée un premier coup de langue. Tu as gémi. Tu as fait beaucoup de bruit. Tu t'en souviens ?



 


 


 


 


 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

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"Tu te souviens"? 8

Publié le par Plaisir d'écrire

- Toi et tes yeux de biche... Tu minaudais. Ah Bérénice... Bérénice, Bérénice, Bérénice... Qu'est-ce que j'aurais pu faire pour toi ce jour-là, ce week-end là... Tout ce dont tu avais envie, je te l'aurais donné. Toi, tu me regardais avec tes petits yeux. Ces yeux que j'ai désormais l'habitude de voir s'ouvrir au réveil... Tes petits yeux du matin, de petite amie amoureuse... Bérénice... Qu'est-ce qu'ils me font fondre... C'est fou. Et là, quand tu m'as murmuré ces mots à l'oreille... et que tu étais comme ça, à califourchon sur moi, il s'est passé quelque chose dans ma tête. Ma petite amie était presque entièrement nue. Elle venait de me sucer pour la première fois. Elle avait même osé prendre mon sexe entre ses seins et elle m'avait donné bien du plaisir avec. Et là, elle s'était rapprochée de moi... et elle m'avait murmuré à l'oreille ses envies. Ah Bérénice... Bérénice, Bérénice, Bérénice... Tu as rapproché ton visage du mien et tu m'as déposé un baiser sur les lèvres. Il avait le goût de la vanille, de la cerise, de ta salive et de mon sexe. Tu m'embrassais goulûment. Tu étais folle. Tu avais le diable au corps. Rien ni personne ne pouvait t'en exorciser, ma belle. Et c'est pas moi qui allais t'en exorciser, mon amour. Oh... non. Parce que je t'aimais beaucoup telle que tu étais. On s'embrassait et toi, tu te tenais au-dessus de moi. Cependant... j'avais bien écouté ce que tu m'avais chuchoté, moi! Et j'avais bel et bien l'intention de te rendre la monnaie de ta pièce. Du coup... je t'ai demandée de venir prendre ma place... et de t'y allonger. Tu te souviens du regard que je te portais, Bérénice chérie ? Tu t'en souviens ?

- J'ai de nouveau déposé mes lèvres sur les tiennes, mon chéri. Je t'ai embrassé. J'ai savouré ce baiser autant que toi, tu l'as fait. Tes lèvres... Ton corps... Ton sexe... Tu me rendais si folle. J'avais le cœur qui battait la chamade. J'avais le souffle court. J'avais très envie de toi, mon cœur. J'avais adoré te faire cette pipe et cette branlette avec mes seins. Mais mon appétit était loin d'être rassasié. Et surtout... surtout... j'avais très envie que tu voies de tes propres yeux ma "petite" chatte et ses poils. Ah mon minou et sa toison... Rien ni personne ne me fera les raser et les épiler, mes poils pubiens. J'ai pris ta place sur le lit. Je me suis allongée. Toi, tu as été très délicat et très attentionné. Tu as pris l'un des oreillers et tu l'as calé derrière ma tête. Tu faisais en sorte que je me sente bien. En plus d'être doux et de faire en sorte d'apporter de la sensualité et de la douceur à tes gestes, tu me regardais et tu ne me quittais pas des yeux, trésor. J'y voyais de la tendresse et de l'amour. C'était tout pour moi. Rien que pour moi. Ton corps était au-dessus du mien. Tu prenais le dessus sur moi à présent.  Tu me faisais sourire, tu me faisais me sentir bien. Tu me faisais soupirer et glousser, tu me faisais me sentir belle. " Bérénice... J'ai envie de toi... Tellement envie de toi...": voilà les mots que tu as murmuré après que tes lèvres se soient collées aux miennes. J'ai passé mes bras autour de ton corps tout nu. Je voulais te garder contre moi, je voulais sentir ta peau nue contre la mienne. "Théo... Ça me suffit plus... J'ai envie de toi... Je veux... que tu me lèches... Maintenant." Ton corps était en ébullition et tu avais vraiment envie de sentir ma bouche sur ton sexe, Bérénice.

- Je ne portais plus que mon tanga. J'étais allongée sur les draps et je me sentais bien. Je me détendais. Les draps étaient frais et j'aimais leur douceur, leur senteur... contre ma peau. Ché... ri... J'étais si bien. Mais... te voir tout nu comme ça... te voir bander autant comme ça... tu m'avais ouvert l'appétit. Je sais pas si tu l'as remarqué mais... je n'arrêtais pas de me tortiller sous ton corps. J'aimais beaucoup le contact de ton corps contre le mien. Et le fait que tes lèvres soient sur les miennes et que tu me les picores... j'avais le diable au corps. Ça, tu le voyais et tu en étais conscient, joli oiseau. Alors, tu m'as encore donné un baiser. Et puis... ta tête s'est mise à descendre le long de mon corps. Tu n'en négligeais pas le moindre millimètre carré. Chaque fois que ta bouche se posait sur ma peau, c'était simple : tu l'embrassais, tu la léchais. Tu la goûtais, tu la dégustais. Tu la tatouais à l'encre de ta salive, je sentais par moments ta "petite" barbe me chatouiller doucement. Comment voulais-tu que je me tienne tranquille si tu continuais comme ça, tré... sor? Tu me mettais les sens en ébullition. Et je n'avais plus qu'une envie : que tu me délivres de mon tanga et que tu poses EN-FIN ta bouche sur mon sexe. Je n'attendais plus que ça, Théo et je savais que ça allait se produire d'un instant à l'autre. Tu m'embrassais, tu me léchais. Tu me caressais, tu me regardais. C'est une idée ou bien tu jouais avec ma patience, Théo ? C'était moi ou bien tu me faisais languir jusqu'à temps que je te supplie ? Dis-moi...

- Tu n'attendais plus qu'une chose, jolie coccinelle : que ma tête continue de descendre. Je voyais ton corps qui se mouvait. Ton bassin ondulait. Ta poitrine se soulevait. Tes seins ballottaient à chacune de tes respirations. Tu avais le souffle court. Et même si je continuais d'évoluer et de descendre le long de ton corps, je ne te quittais pas des yeux, ma chérie. "A... mour! Ta bouche... Ta langue... J'ai envie que tu me lèches !" Tes yeux, ils étaient suppliants. Pétillants. Étincelants. Et quand j'ai vu que tu te mordais cette lèvre... j'ai perdu la raison. Tu me faisais fondre, ma belle. Bérénice... En te regardant, en voyant tes "petits" yeux chocolat qui me suppliaient, je me suis rendu compte que je te faisais languir et que tu n'en pouvais plus. Ma tête est alors arrivée au niveau de ton entrejambe. J'ai embrassé ton nombril, j'y ai mis la langue. Tu as gémi, tu as soupiré. Tu as tendu ta main droite vers ma tête, tu l'as plongée dans mes cheveux. "Mon amour... Je n'en peux plus que tu me fasses mariner. Lèche-moi... Je t'en prie !" Je t'ai regardée dans les yeux. Tu as hoché la tête. C'était comme si tu insistais. Tu ne lâchais rien. Tes yeux suppliants ont définitivement fait pencher la balance. J'ai posé ma bouche sur le devant de ton tanga. Mes lèvres se sont posées sur les renflements naissants de ton sexe. L'odeur y était capiteuse. La dentelle de ton sous-vêtement était un peu humide. Je m'en rendais compte. Tu étais bel et bien excitée. Et tu mouillais... J'ai alors dénudé un peu ton minou. Ta vulve était ornée d'une très jolie toison touffue de poils. J'ai embrassé ton sexe. Et je me suis mis à le lécher lentement, sûrement. Tu as gémi de plaisir, Bérénice...

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"Tu te souviens ?" 7

Publié le par Plaisir d'écrire

- Thé... o... Ça faisait depuis le début que tu les lorgnais, mes jolis seins lourds. Tu les aimais. Et là, à présent que j'étais presque entièrement nue, tu les voyais pour de vrai. Mmmh... Je voulais que tu les aimes et que tu me les caresse autant que tu en avais envie, mon chat. C'est simple : ils étaient autant à moi qu'à toi. Une fois que j'ai enlevé mon soutien-gorge et que mes seins étaient nus, tu n'en avais plus que pour eux. Il n'y avait plus qu'eux que tu regardais. Mais je n'en portais pas le moins du monde ombrage parce que j'étais fière qu'ils te plaisent, ces... MES deux gros monts d'amour. Et puis... tu te souviens de nos échanges par SMS ? De nos appels qui pouvaient durer des heures ? De nos séances de téléphone rose ? Tu étais sous leur charme, à mes seins, tu ne peux plus le nier à présent, mon ange. Et je te voyais, tu sais ? Je te quittais pas des yeux. Ils te plaisaient. Et je savais que ça te plairait si je te prenais entre mes seins. Je t'ai rien dit parce que... c'était un beau cadeau que je voulais faire à mon petit ami, joli oiseau. Alors, j'ai pris ce lubrifiant à la cerise que tu avais emmené avec toi et je m'en suis versée dans le creux de la poitrine. Voir mes seins proches l'un de l'autre... ça t'émoustillait. Je t'ai pris délicatement dans ma main droite et je me suis remise à te branler pour te donner plus de longueur et plus de grosseur. Et puis... je t'ai placé entre mes seins et je me suis mise à faire des va-et-vient. Tu as gémi. Tu as fermé les yeux. Ça m'a excitée. Alors, ça m'a encouragée et j'ai continué. Tu te souviens que c'était agréable, Théo ? Tu t'en souviens ?

- C'était une très agréable première masturbation que tu m'offrais, chérie. Tes mains étaient posées sur tes seins. Et tu remuais... Tu bougeais... Tu t'agitais. Tu allais... et tu venais. Tu allais... et tu venais. Tu allais... et tu venais. Toi... Mon amour... mon bel amour... mon unique amour... Toi, tu ne me quittais pas des yeux. Tu ne me lâchais pas d'une semelle. M'entendre gémir... Me voir fermer les yeux... Sentir mon membre tout dur entre tes seins... Tu l'avais pris en bouche et tu en avais apprécié le goût... L'odeur de mon corps sur lequel j'avais déposé quelques vaporisations de mon eau de toilette... Tu étais émoustillée, toi aussi, princesse, n'oublie pas ! Tes yeux étaient braqués dans les miens et tu m'as dit : "Ils sont là, mes seins, et ils te donnent du plaisir..." Tu étais libérée, Bérénice. Tu révélais au grand jour toute ta sensualité. Tu avais les yeux brillants. Ils pétillaient. De temps à autre, je me laissais aller et je donnais des coups de reins légers. Moi aussi, je t'entendais prendre du plaisir, tu sais ? Tu laissais s'échapper quelques soupirs de ta bouche. Tu étais bien. Tu étais heureuse. Sentir mon membre coulisser... aller et venir de haut en bas, de bas en haut, entre tes seins... "Mon chat... je vois que... tu y prends goût... à mes seins... Ferme les yeux... Laisse-toi aller... Laisse-moi te prendre..." Je n'en revenais pas. Est-ce que c'était un rêve ? NON. Tu étais là, à quatre pattes, tu ne portais plus que ton tanga. Tu étais dans cette chambre d'hôtel et tu étais en train de me masturber avec tes seins...

- Tu aimais ça, mon chat... Je le savais. Même deux ans après, les souvenirs de notre première fois sont toujours aussi frais dans ta mémoire. Tu sais pas à quel point ça me fait de l'effet, chéri. Moi aussi, je me souviens de chaque moment, tu sais ? Et ce moment-là, c'était... Mmmh... Ça allait au-delà de mes espérances. Mes seins sont gros et tu les aimais. Tu pouvais pas me rendre plus heureuse. Quant à moi, je voulais te donner autant de plaisir que tu m'offrais de bonheur. Le temps d'un instant, je t'ai repris dans ma bouche et j'ai effectué quelques va-et-vient entre mes lèvres. Je voulais rendre ton sexe plus humide encore, a... mour. Je voulais que ce soit plus agréable pour toi quand je te ferai de nouveau coulisser entre mes seins. Et... d'un autre côté... vu que j'avais lubrifié ma poitrine à la cerise, je voulais goûter ta queue goût cerise. Et elle était délicieuse. Oh... oui. Mon amour... Qu'elle était grosse, ta queue... Ça me touchait de la voir... de l'avoir comme ça. Tu avais envie de moi, Théo. Tu ne pouvais pas le nier. Tu me regardais te sucer... te pomper... et puis l'instant d'après, ta tête basculait en arrière. C'était tellement... bon que tu ne pouvais plus rien faire. Tu n'étais plus qu'une boule de plaisir, mon coquin. Ça m'a encouragé à te reprendre entre mes seins. Mais... avant... j'ai laissé mes lèvres entrouvertes et j'ai déposé un peu de salive sur ton sexe. Ma salive, elle coulait... C'est pourquoi j'en ai mis aussi sur le clivage de mes seins...

- J'en perdais pas une miette, jolie coccinelle. Ça m'émoustillait. Et toi... tu me faisais perdre la tête. Tu avais de la salive qui coulait et qui te dégoulinait sur le menton. Bérénice... Tu me faisais fondre. Tu le voyais. Tu m'as chuchoté : " Mon cœur... Tu me regardes tout le temps... Tu me fais me sentir belle. Je me sens pousser des ailes grâce à toi. Tu me fais me sentir... sexy." Bérénice... J'ai tendu mon bras droit vers toi, vers ta tête, vers tes beaux seins. Ma main droite... je l'ai posée avec amour sur ton visage. Je t'ai caressée les lèvres du bout des doigts. Elles étaient toutes douces, tes putains de lèvres à la vanille. Tu t'es exclamée : "Mon a... mour!" Je me souviens avec précision de CE moment. Et toi, tu t'en souviens, Bérénice ?

- Joli oiseau... Oui... Comment pourrais-je oublier ? Nous nous sommes regardés. Tes yeux... c'étaient les yeux de l'amour. À partir de ce moment-là, je savais qu'ils mentaient pas, tes yeux. Ton amour était sincère, Théo. Mon Théo... Quand on va se marier... quand je te dirai "oui"... c'est à ça que je penserai. Et... quand j'ai vu que tes yeux te piquaient aussi, ça m'a touchée. J'étais Aphrodite, la déesse de l'amour et de la séduction. J'étais Bérénice, ta petite amie, ta déesse du sexe. Tu n'avais d'yeux que pour moi. Alors, j'ai arrêté de te donner du plaisir. Mais j'étais loin d'être satisfaite. J'ai alors adopté une démarche féline et j'ai rampé à califourchon vers toi. J'ai porté mes lèvres aux tiennes et je t'ai embrassé goulûment. Je voulais te faire découvrir ton goût mélangé au mien et à celui de la cerise. Et puis j'ai porté ma bouche à ton oreille et je t'ai murmuré : "Moi aussi, j'ai envie que tu me goûtes et que tu me donnes du plaisir... Lèche-moi, mon amour..."

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"Tu te souviens ?" 6

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mon amour... Théo...  Ché... ri... D'une main, je l'empoignais, ta queue. Et je l'ai prise en bouche. EN-FIN, elle était à moi ! Tu étais allongé sur le dos et tu étais détendu. Tu lâchais prise. Par contre... tu n'arrêtais pas de me regarder. Et moi, j'avais parfaitement conscience que tu me regardais te prendre dans ma bouche. Je m'en souviens... Tu me disais que j'étais belle. Tu me disais que j'étais si jeune. Tu me disais que c'était MOI que tu avais toujours attendue. Mon amour... Je te suçais et tu ne savais pas ce qui se passait dans ma tête à ce moment-là. Tes mots... Si tu savais à quel point je me sentais belle quand tu les as prononcés. Moi! Bérénice ! Mon petit ami me disait que j'étais belle et qu'il m'aimait... Tu pouvais pas me rendre plus heureuse, Théo. J'étais Aphrodite, la déesse de l'amour et de la séduction. J'étais Bérénice, TA déesse du sexe, ta petite amie. Je sais pas ce qui m'a pris alors. Ce que je peux te dire, c'est que je me suis libérée, délivrée. J'avais jusque-là ton gland dans ma bouche et j'allais et je venais. De ma main droite, je te masturbais. Mais j'en oubliais pas de te regarder, hein ! Thé... o... Tu étais beau. Tu étais prisonnier de ma bouche. Tu étais prisonnier de ton propre plaisir. Plus tu lâchais prise, et plus je te prenais. Ce n'était plus ton gland que je suçais. Non... C'était ton sexe tout entier à présent que j'avais en bouche. Mes lèvres coulissaient. Elles allaient et elles venaient. Qu'est-ce que j'aimais ça... Tu te souviens de ta réaction sur le coup ? Tu t'en souviens, mon joli oiseau ?

- Pupuce... Tu m'as pris un peu plus dans ta bouche. Mais tu n'arrêtais pas de garder un œil sur moi. C'était comme si tu voulais t'assurer que j'étais soumis à ta bouche et au plaisir qu'elle me donnait. Tu avais au préalable retiré tes lunettes, Bérénice. Tes cheveux étaient lâchés. Vu que tes lèvres allaient et venaient sur mon sexe, ils étaient sauvages, tes longs cheveux. Ils n'en faisaient qu'à leur tête et ils te tombaient devant les yeux. Même malgré ça, tu continuais de me pomper. Je les trouvais beaux, tes cheveux longs. Doux. Et d'ailleurs... c'est ce que je pense toujours, aujourd'hui. J'ai écarté ces cheveux rebelles. Tu m'as regardé. Sans tes lunettes, tu faisais ingénue, vierge effarouchée. Mais je savais bien que c'était loin d'en être le cas, là. Et tu m'as donné raison, Bérénice. Ta bouche s'est mise à coulisser un peu plus rapidement de haut en bas et de bas en haut. Et tu te souviens de ma réaction immédiate ? J'en ai gémi bruyamment de plaisir. J'ai même grogné. Pu... tain! Je lâchais des jurons. C'était si bon. Ma tête est partie en arrière. Elle s'est reposée sur l'oreiller. Je n'étais plus qu'une boule de plaisir. J'ai fermé les yeux. Je te laissais me prendre inexorablement. "Ché... ri... Regarde-moi.": tu as dit ça, Bérénice. Rappelle-toi. Alors j'ai relevé la tête et j'ai rouvert les yeux. Tu étais si belle, avec mon sexe dans ta belle "petite" bouche, mon amour. Tu as donné quelques coups de langue légers à mon gland. J'ai gémi bruyamment de nouveau. Et là... tu m'as dit: "Théo... Je veux que tu ailles et que tu viennes dans ma bouche..."

- Je sais pas ce qu'il m'a pris, mon chat. Je voulais juste te sentir aller et venir dans ma bouche. En fait... Je voulais savoir ce que ça me ferait. Et en fait... j'ai aimé. J'ai aimé parce que tu as été doux. Tu n'as pas été du tout brusque. C'étaient des petits va-et-vient que tu menais dans ma bouche. Je t'entendais, tu sais, mon cœur ? Tu retenais ton souffle mais en même temps... tu ne pouvais pas le dissimuler, ce plaisir que tu prenais en te branlant entre mes lèvres. Ma bouche à pipe... Ta queue y était bien, mon chat, je le savais. Elle coulissait à merveille. Je t'entendais grogner. Tu étais mâle et tu baisais ma bouche. On se quittait pas des yeux. C'était intense entre nous. Et puis je t'ai demandé de me laisser te sucer de nouveau. Tu t'es alors relâché. Ton corps s'est détendu. Il était appétissant, je dois avouer. Il me donnait tellement faim. Qui plus est... tu étais allongé sur le lit et c'était moi qui reprenais le dessus sur toi. Et là, sur un coup de tête... je t'ai pris un peu plus profondément encore. Ça m'intriguait... Ça me rendait curieuse comme pratique, la gorge profonde. Et vu que je savais à présent que tu étais aussi coquin et cochon que moi, mon amour...  J'ai osé. Alors ma bouche a coulissé plus profondément. Je te sentais... Dur... Gros... Gonflé de désir et de sang. Gorgé de plaisir et de sperme... Je te sentais dans ma gorge. Ça m'a tellement excitée de faire ça, tu sais ? Et là, tu as gémi si fort et tu as poussé des jurons. J'étais fière.

- Quand je te regardais, jolie coccinelle, je n'en revenais pas. Ce n'était ni un fantasme ni un rêve érotique et encore moins un film porno dans lequel on jouait. C'était juste toi et moi et tu osais me faire une gorge profonde pour notre première fois, Bérénice. Quand je te dis que tu es bonne à marier... et bonne à baiser... Là, ce jour-là, dans cette chambre de l'hôtel Lanjuinais, tu m'en as donné un avant-goût et non des moindres. J'ai adoré ce que tu me faisais. Et ça, tu le voyais que j'adorais ton audace, pas vrai ? Me voir prendre du plaisir... M'entendre... Ça t'a fait un je-ne-sais-quoi, ma puce. Et je l'ai vu dans tes yeux. Ils pétillaient. Tu étais heureuse. Tu m'as murmuré un "Je t'aime, Théo." Je t'ai répondu par un "Je t'aime, Bérénice' chuchoté. Tu avais ce beau sourire aux lèvres.  Tes cheveux n'en faisaient qu'à leur tête. Ils te tombaient devant les yeux. Mais tu étais belle. Là, tu as eu un nouveau sursaut d'audace, ma chérie. Tu t'es cambrée. J'ai pu voir tes beaux seins nus. Un appel aux plaisirs... Ils me faisaient de l'oeil.  Ils me faisaient surtout de l'effet car je n'arrêtais pas de bander. Tu savais que j'étais fou d'eux. Ton 90C... Ni trop petits, ni trop gros. Parfaits à mes yeux. Tes larges aréoles qui virent le rouge et le rose... Une fois que tu me les as montrés, tes jolis seins lourds, c'était fini. Je n'arrivais plus à regarder ailleurs. Toi, tu as gloussé. Tu as eu ce petit rire coquin qui t'est propre, Bérénice. Et là, tu m'as dit tout bas : "Tu les aimes, mes seins, mon chat... Tu en as envie... Les voilà..." Tu les as pris dans tes mains et tu les as serrés l'un contre l'autre, tes monts d'amour. Tu as pris mon sexe et tu as recommencé à me branler... Tu me branlais... avec tes gros seins...

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"Tu te souviens ?" 5

Publié le par Plaisir d'écrire

- Si je m'en souviens ? Comment pourrais-je oublier, jolie coccinelle ? Sincèrement... Tu étais à quatre pattes sur le lit et tu avais une démarche féline. C'était comme si j'étais ta proie. J'étais à toi. Tu as descendu ma fermeture éclair, tu as déboutonné mon pantalon. Tu me l'as carrément enlevé sans perdre plus de temps, mon pantalon. Et puis ça a été le tour de mon boxer. Ma queue en est sortie. En pleine érection, toute dure. Gonflée de sang, gonflée du désir que j'avais pour toi, Bérénice. Toi, tu avais les yeux pétillants. Tu y jetais des coups d'œil à intervalles réguliers, à mon sexe. Et puis l'instant d'après, c'était MOI que tu regardais. Tu étais toute excitée, ça se voyait. Tu étais comme un enfant devant une boulangerie et qui salive devant un délicieux gâteau. "Ché... ri...": c'est ce que tu as minaudé de ta voix toute douce et sexy dans l'intimité.  Mon sexe, tu le regardais comme si c'était un bonbon qui te donnait envie. Tu te souviens de ce qui s'est passé juste après, pupuce ? Tu t'en souviens ?

- Mmmh... Théo... Oui... J'ai porté les doigts de ma main droite à ma bouche. Avec ma salive, j'ai rendu la paume de ma main ainsi que le bout de mes doigts humides. Je l'ai fait sous tes yeux, chéri. J'ai voulu que tu voies ça. Une partie de moi voulait te faire perdre la tête. Tu ne m'as pas quittée des yeux. Tu étais sous mon charme, ça se voyait. Et moi... je me sentais belle et même carrément sexy dans ces moments-là. C'était comme si tu me disais que j'étais ta petite amie et que tu avais follement envie de moi. Je ne sais pas ce qui s'est passé, je ne sais pas ce qui m'a pris. Tu me mettais l'eau à la bouche, mon cœur. Et avec ton sexe fièrement dressé, tu n'arrangeais rien à l'affaire. Mais j'étais fière que tu bandes dur pour moi. C'était MOI qui étais responsable de ton excitation, c'était MOI que tu désirais. Ni une ni deux, c'était comme si ton sexe était un aimant magnétique : j'ai posé ma main dessus. Ma main... elle était curieuse, gourmande. Intriguée par ce phallus que j'avais eu l'occasion de voir en photo ou une vidéo quand je voulais que tu me montres comment tu te masturbais. Mais maintenant que tu étais là pour de vrai... Je n'allais pas rester sur ma faim à simplement la regarder. Non... Elle m'hypnotisait, ta queue. Je n'avais d'yeux que pour elle. Elle avait attiré ma main. Ma main y était comme aimantée et elle ne pouvait plus s'en détacher. Je l'ai prise en main, ta queue. Tu te souviens de la branlette que je t'ai fait ? Tu t'en souviens ?

- Ma puce... Ta main, dois-je te rappeler... tu l'avais posée tout doucement sur la tige de mon sexe. Tu t'en étais emparée mais avec beaucoup beaucoup de précautions. Elle t'intriguait, ma queue. Et pourtant, tu avais les yeux pétillants et tu ne la quittais pas des yeux. Elle était toute à toi à présent. C'est ainsi que tu t'en es emparée avec douceur. Je t'ai laissée faire parce que tu voulais enfin me montrer ce que tu savais faire, chérie. ET dès tes premiers petits mouvements de va-et-vient, j'ai été tout sauf déçu. Vu que tu avais lubrifié ta main au préalable, la caresse que tu m'offrais était délicieuse. Il y avait comme un bruit peu audible mais humide quand ta main allait et venait sur mon pénis. C'était dû au fait que tu l'avais lubrifiée, ta main, après que tu m'aies retiré mon boxer. Tu me regardais alors que tu commençais par me branler lentement, tu te léchais les lèvres. Tu étais si belle, Bérénice. Toute douce. Ça te plaisait, n'est-ce pas ? Oui, ça te plaisait. "A... mour...": c'est ce que tu m'as dit, toujours de ta voix douce, quand tu as commencé à prendre confiance en toi. Tes va-et-vient ont commencé à devenir plus amples. Si amples que tu en as décalotté mon gland. Là... Quelle ne fut pas ta surprise... Tu le voyais enfin, ce gland... MON gland. Il était déjà humide. Une toute petite goutte s'écoulait de mon méat. Je la voyais et TU la voyais aussi, cette minuscule goutte de liquide séminal. Elle était évocatrice de mon excitation et du désir que j'avais pour toi, Bérénice. Et elle était annonciatrice du plaisir et de l'éjaculation que j'aurais en ta compagnie. Et qu'est-ce que tu as fait alors, pupuce ? Est-ce que tu t'en souviens ?

- Hmmm, oui! Ché... ri! Je la voyais, ta queue. Elle me donnait beaucoup envie. Et là, tu me l'a présentais. Elle m'était offerte. J'étais entre tes jambes. Je te branlais et mes mouvements trouvaient leur rythme de croisière. Ils étaient de plus en plus fluides. Je prenais confiance en moi et j'aimais beaucoup ça, te branler pour te donner du plaisir, Théo. Cette goutte toute fine... incolore... elle m'obsédait, elle m'hypnotisait. Oui, je connaissais le goût de tes baisers et je savais quelle était l'odeur de ton corps, chéri. Mais... ton sexe, il était là et il m'appelait. C'était irrésistible. Oui, je le branlais, ton membre. Mais... j'avais de plus en plus de mal à résister à l'envie de le goûter et surtout de le prendre dans ma bouche. Alors, j'ai penché et abaissé la tête en direction de ton entrejambe. Tu te souviens que tu retenais ton souffle, mon chat ?  Tu t'en souviens ?

- Tu es la seule et unique petite amie que j'ai jamais eu, Bérénice. Je t'avais parlé de Tiffany... On avait passé plusieurs nuits ensemble dans le même lit mais sans jamais rien faire de sexuel. Toi, tu étais la première fille qui me masturbait. Tu allais être également la première qui me ferait une fellation. Car tu avais très envie de me sucer, je me trompe ? C'était inévitable. Ta tête se rapprochait de ma queue. J'ai plongé ma main droite dans tes cheveux pour les caresser. Toi, tu as plongé tes yeux chocolat dans mes iris noisette. Tes yeux étaient étincelants. Tu étais si heureuse, Bérénice. Je m'en souviendrai toujours. Et ce dont je me souviens aussi, c'est que tu as soupiré de bonheur et que tes lèvres se sont posées sur mes aines et sur mon pubis. De tout petits baisers comme tu savais bien les distiller. Et là, tes lèvres se sont ouvertes et tu m'as pris doucement dans ta bouche...

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"Tu te souviens ?" 4

Publié le par Plaisir d'écrire

- Mon amour... Oui... Je m'en souviens. C'était incroyable que tu bandes autant comme ça. Tu bandais pour moi ! Moi! Je te faisais bander! Ça a été une révélation pour moi. J'avais TRÈS envie de toi à partir de là. Et comme si ça suffisait pas, tu étais allongé sur le lit et tu étais dans ma ligne de mire. Je pouvais enfin laisser libre cours à mes fantasmes les plus secrets. Alors je me suis mise à califourchon sur toi. J'en revenais pas... Tu étais tout à moi. Ton corps était beau. J'étais curieuse. J'étais émoustillée. J'étais toute excitée. Et c'était toi qui m'excitais, mon amour. Je t'ai donné des baisers sur ton torse nu, poilu. J'ai pris tes tétons entre mes lèvres et je les ai sucés. J'y ai mis la langue. Et puis je suis descendue. Ma tête contre ta peau... J'ai posé mes lèvres et j'embrassais ton corps. Je t'embrassais... partout. J'en négligeais pas le moindre centimètre carré. J'aimais ça. Tu te souviens de ce moment où j'ai pris les devants, ché... ri ? Tu t'en souviens ?

- Ma puce... Plus ta bouche descendait, plus j'étais excité et plus je sentais que mon sexe ne cessait de grossir. Je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher. Et toi... tu ne pouvais que le voir, que je n'arrêtais pas de bander. Chaque fois que tu avançais et que tu descendais, tu embrassais ma peau, tu y mettais des coups de langue. Je sentais que ma peau était mouillée de ta salive. Je haletais, je retenais mon souffle. J'étais à ta merci.  Je savais que d'un moment à l'autre, tu passerais aux choses sérieuses. Tu as relevé la tête et tu as plongé tes yeux dans les miens. Tu me souriais. À voix basse, tu me disais que j'étais si beau et que tu avais une envie folle de moi. Ta langue est arrivée sur mon nombril. Tu y as mis la langue, tu l'as lapé. Ta bouche a continué son inexorable descente vertigineuse. Toi aussi, tu retenais ton souffle. J'ai le souvenir de ça, tu sais ? Et comme si ça te suffisait pas, tu laissais tes mains me caresser à leur guise, elles aussi. Tu avais décidé de laisser libre cours à ton inspiration sensuelle depuis qu'on était entrés dans la chambre. Et quand tu me regardais alors que tu arrivais lentement mais sûrement à la lisière de mon jean, je savais que ce n'était plus qu'une question de temps avant que tu n'attaques...

- Thé... o... C'était pas de ma faute, quoi! J'avais beau me concentrer sur les caresses que je te portais, il m'était impossible de ne pas voir ton sexe qui n'en finissait plus de bander. Le pauvre... Il était enfermé dans ton jean. C'était comme s'il m'appelait. Il fallait que je fasse quelque chose, tu comprends ? Et puis... maintenant que c'était pour de vrai entre nous... j'avais envie de le toucher... de le caresser, ton sexe. Et plus que tout, je mourais d'envie d'y goûter et de le prendre dans ma bouche. Oh... oui. Tu n'arrangeais vraiment rien à l'affaire, avec ton sexe en érection, ché... ri. Mais moi... j'avais tellement rêvé de ce moment, je l'avais attendu depuis des mois. Non... Je pouvais pas le laisser enfermé, ton pénis. C'était juste pas possible, ça. Et ni une ni deux...

​​​​​- Et ni une ni deux, tes mains ont jeté leur dévolu sur ma ceinture noire en cuir. Tu sais que je me souviens encore bien aujourd'hui de tes gestes sensuels de ce jour-là quand tu me l'as retiré, ma ceinture ? Oh... oui. Bérénice... Et encore aujourd'hui, tu sais rester sensuelle et ça, c'est ce que j'aime chez toi. Ça fait deux ans qu'on est ensemble et tu restes la même au lit... en plus audacieuse... coquine... cochonne. Je t'aime, Bérénice.

- Et ni une ni deux, j'ai eu raison de la résistance de ta ceinture. Je te l'ai enlevé, elle me barrait la route, elle me gênait. Tu sais que moi aussi, je me souviens encore bien aujourd'hui de tes yeux sur moi ce jour-là quand j'ai posé la main sur ton érection qui était encore enfermée dans ton jean? Oh... oui. Je l'ai caressée à travers. Théo... Et encore aujourd'hui, je suis fière d'être là femme pour qui tu bandes et ça, ça fait que j'ai toujours autant envie de toi et que je l'aime, ta queue. Je m'en passe pas. Ça fait deux ans depuis notre rencontre et l'hôtel Lanjuinais... Tu bandes toujours autant dur pour moi et tu continues de m'aimer et de me désirer. Je t'aime, Théo.

​​​​​​- Ta main sur mon érection qui ne cessait de grossir... Ta main qui était curieuse, gourmande... Caressante, audacieuse... Douce, relaxante... Je savais que ça te suffisait pas et que t'allais pas en rester là. Tu en voulais plus, Bérénice. Ça, je le savais parce que moi non plus, je ne te quittais pas des yeux, tu sais, ma chérie ? Toi, tu t'en es rendue compte et tu m'as regardé à ton tour. Tu m'as souri. Tu m'as murmuré un "Je t'aime, Théo..." J'étais attendri.

- Ma main sur ton sexe... Je te regardais, je te mangeais des yeux. Je te lâchais pas d'une semelle, joli oiseau. Que je te donne du plaisir comme ça et que tu n'en perdes pas une miette, ca a été une révélation... une nouvelle révélation pour moi. Ça a accéléré les choses, ça a précipité les évènements. Mon amour... Ton érection était un appel au crime ! Elle était un appel aux plaisirs. Et moi... je voulais y goûter avec toi, à ces plaisirs. Alors... ma main s'est posée sur la fente de ton jean. Elle y a trouvé ta fermeture éclair. Je t'ai regardé dans les yeux, mon chéri, et je l'ai descendue, cette fermeture éclair. Sans perdre de temps, j'ai remonté ma main et elle a pas eu beaucoup de chemin à faire. Non... Ma main... Elle a trouvé le bouton de ton jean. Il faut dire qu'elle est douée en matière de sexe. J'avais pas envie de perdre de temps car j'avais très envie de toi. Ma main ne s'est pas posée de question, elle y est allée un peu fort, je crois. Ton bouton n'a pas résisté, il a sauté. Je me suis reculée pour pouvoir te libérer de ton pantalon. Tu te souviens de mon envie irrépressible de ton sexe, a... mour? Tu t'en souviens ?

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"Tu te souviens ?" 3

Publié le par Plaisir d'écrire

- Tu es restée la même Bérénice, ma puce. Et j'ai toujours autant envie de toi, tu sais ? Oh... oui. Tu es toujours aussi coquine. Tu n'as pas changé. Ça me plaît... Ça me plaît beaucoup. Surtout quand tu es audacieuse et que tu prends les devants. Et là, quand tu t'es mise à lécher et à sucer mon oreille, je m'y attendais pas. Ça m'a surpris mais c'était si bon. Tu t'y prenais très bien, tout en douceur. Ça se voyait, que tu avais envie de moi, mon cœur. Et moi, j'ai continué de te caresser les seins. Ils me rendaient fou, tes jolis monts d'amour. Et quand tu soupirais... quand tu gémissais... je savais que tu prenais du plaisir. Alors je voulais continuer... Tu te souviens de nos préliminaires, bébé ? Tu t'en souviens ?

- Thé... o... Tu l'es prenais dans ta bouche, mes jolis seins lourds. Tu aimais beaucoup ça. Alors je t'ai laissé me les caresser autant que tu le voulais. Moi? Je voulais te donner le même plaisir que tu m'offrais. Oh... oui. Alors... j'ai continué mes caresses à ma manière. Mes lèvres... Ma langue... Je voulais te faire tout ce dont j'avais envie avec ma bouche, tu comprends ? Ton corps me rendait curieuse. J'avais envie de lui, tout entier. Je brûlais pour toi, Théo. Alors je t'ai serré tout contre moi. Je voulais sentir ton corps contre le mien. Et là, c'était ce qui se passait. J'avais mes cheveux longs qui étaient lâchés. J'avais des étoiles plein les yeux. J'étais avec l'homme que j'aimais et j'étais toute proche de faire l'amour avec lui. Tu te souviens que j'étais la femme la plus heureuse du monde à ce moment-là, mon amour? Tu t'en souviens ?

- Ta voix était toute douce, ma puce. Elle était comme toi, tu es, quand on est au lit. Elle était aiguë. D'ailleurs... c'est encore le cas aujourd'hui. Tu n'as pas changé. Tu étais toute heureuse, ça se voyait. Tu avais passé tes bras autour de mon cou et tu me serrais contre toi. Moi, mon réflexe, ça a été de placer mes mains sur le bas de tes reins. Je sentais ta poitrine ronde contre mon torse. Tes seins sont si tendres et si ronds, Bérénice... On s'est regardés, on s'est souri. Là, mes lèvres se sont attirées les unes aux autres. On s'est embrassés. On y a mis la langue. Moi... j'avais envie de toi. TRÈS... envie de toi, Bérénice. Tu me collais à toi, tu t'en souviens ? Là, tu as gémi car tu as senti mon sexe frotter contre la dentelle de ton tanga. C'est comme ça que tes caresses ont été soudain plus fermes et que tu voulais que je me frotte à toi. Et tu aimais ça, n'est-ce pas ?

- Mon chat... J'aimais ça. Que je sente ton sexe autant comme ça alors que t'étais encore entièrement habillé à ce moment-là, c'était... Ça m'a... Est-ce que tu te souviens que je me mordais la lèvre ? J'étais toute excitée, j'arrivais plus à me calmer. C'est comme ça que je t'ai plaqué contre le mur qui était à côté de cet espèce de dressing. Tu avais enlevé ton beau manteau léger noir il y a bien longtemps. Tu portais encore ta chemise bleue foncée, ton jean slim de la même couleur et tes Converse All Star. Je t'ai embrassé goulûment et pendant ce temps-là, mes mains se sont ruées sur ta chemise et j'ai commencé à la déboutonner. Ça faisait plus aucun doute que j'avais envie de toi, a... mour. Tu te souviens que je t'ai pris au dépourvu, Théo ? Tu t'en souviens ?

Le temps d'un instant, alors que nous sommes toujours (!) en 69, je fais un flashback, je voyage dans le temps. Effectivement... c'est très clair, même deux ans après, ce moment précis. On s'embrassait, Bérénice et moi. On se mangeait des yeux. Je voyais très bien à ses yeux à quel point elle était heureuse de se trouver dans cette chambre d'hôtel en ma compagnie. Ses bras autour de mon cou, en lingerie toute blanche, devant moi, elle était très belle. Ah... Ça y est... Il y a bien une chose dont je me souviens. Ça oui! Elle a posé une main sur ma joue, elle m'a regardé intensément. Ses lèvres se sont posées sur les miennes, doucement, comme une plume. C'était un baiser délicat. Le baiser le plus délicat que l'on m'ait jamais donné jusqu'alors. C'est alors que sa bouche s'est approchée de mon oreille gauche. Elle y a mis un coup de langue. Et puis elle m'a murmuré qu'elle avait TRÈS envie de moi et qu'il était temps pour elle de me déshabiller.

- Je savais que tu étais audacieuse, Bérénice. Combien de fois tu me l'avais montré avant notre rencontre, au téléphone, en photo, par SMS, pendant nos séances de téléphone rose...! Mais là... c'était pour de vrai. Et là, tu avais sorti le grand jeu, n'est-ce pas, pendant que tu déboutonnais ma chemise et que tu braquais tes yeux dans les miens ? Bouton après bouton, tu mettais ma peau à nu et tu me mangeais des yeux. Enfin... Une fois le dernier bouton enlevé, tu m'as retiré ma chemise, elle est tombée par terre, elle a rejoint ta robe. Tu as pris sur le champ mon corps d'assaut. Tu te souviens de ce feu qui brûlait en toi, princesse ? Tu t'en souviens ?

- Mon amour... Ton corps contre le mien... Moi, en lingerie... Toi, à présent torse nu... Tes yeux dans les miens, tes yeux sur mon corps. Je me sentais belle. J'en pouvais plus. Mon désir éclatait au grand jour. C'était trop tard, il n'y avait plus rien que je pouvais faire pour le faire taire, mon désir. C'est comme ça que j'ai posé mes lèvres dans ton cou et que je l'ai embrassé... léché... sucé... ton cou. Et puis... audacieuse comme j'étais... je me disais au plus profond de moi que j'étais Aphrodite, la déesse de l'amour. Je me disais que j'étais Bérénice, la déesse du sexe. Alors, je t'ai fait un suçon. Tu as gémi bruyamment, chéri, je m'en souviens comme si c'était hier. Tu étais chatouilleux, ça aussi je m'en souviens.

Mais quelle coquine tu étais déjà, Bérénice ! Moi aussi, je m'en souviens. Un truc aussi dont je me souviens, c'est que tu m'as pris la main et que nous sommes allés au lit. Là, tu m'as poussé et je me suis retrouvé à m'y allonger. Toi, tu m'y as accompagné. Tu m'as retiré mes Converse, mes chaussettes. Et puis tu t'es mise à califourchon et tu t'es avancée vers moi, un sourire énigmatique... mais coquin aux lèvres. Tu es arrivée à ma hauteur, tu as abaissé ta tête. Je croyais que tu allais m'embrasser, mais non. Tu as déposé tes lèvres sur mon torse, tu m'as sucé et léché mes mamelons. Je me tordais de plaisir, j'arrivais plus à me calmer. Je voulais plus. Toi, tu m'as regardé droit dans les yeux et tu as de nouveau porté ta bouche sur mes tétons. Tu les as mordillés délicatement. Tu me faisais davantage bander.  Et ça, tu t'en es très vite aperçue. Tu te souviens de ta réaction alors, pupuce ? Tu t'en souviens ?

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"Tu te souviens?" 2

Publié le par Plaisir d'écrire

- Tu étais là, en petite tenue, et la, j'étais déjà perdu. J'étais subjugué. Il n'y en avait plus que pour ta parure de lingerie blanche à mes yeux. Ton soutien-gorge push-up avec des motifs de fleur et qui rendait tes seins lourds plus ronds encore... Le tanga assorti à ton soutien-gorge et qui cachait ton intimité... J'en étais tout émoustillé. Et pendant que tu me tenais la main et que nos mains étaient posées sur tes nichons, tu voyais à mes yeux que je l'étais, émoustillé. Tu le voyais, n'est-ce pas ? Tes gros seins me donnaient envie, pupuce, mais je voulais pas les libérer tout de suite. Non... Je voulais les toucher... les palper... les caresser... les prendre dans mes mains... les lécher... les sucer... par-dessus la dentelle. Je me souviens de tout ça, Bérénice. Je m'en souviens.

- J'ai retiré mes lunettes et je te regardais, joli oiseau. Tu n'avais d'yeux que pour mes seins à ce moment-là. J'étais si fière et si heureuse qu'ils te plaisent. Tu l'es avais vus en photo, en visio, mais là, c'était pour de vrai. En photo, en visio, au téléphone rose, toi tout seul quand tu te masturbais, tu leur avais tout fait. Touchés... palpés... embrassés... caressés... léchés... sucés... tétés... baisés... Tu leur avais tout fait. Mais là, on était enfin rien que nous deux, et je voulais que tu l'es aimes autant que tu en avais envie. Avec mes mains, je prenais les tiennes, et ensemble, nous touchions la dentelle de mon soutien-gorge. Tu sentais bien mes seins qui étaient lourds. Je soupirais, j'avais le souffle court. Je gémissais, mon cœur battait la chamade. J'avais chaud, je n'en pouvais déjà plus. J'avais envie de toi, j'en voulais plus. Tu te souviens de tout ça? Tu t'en souviens ?

- Bérénice... Ce n'étaient plus des rêves, ni des fantasmes, et encore moins des rêves érotiques. C'était EN-FIN pour de vrai. Nous étions rien que tous les deux dans cette chambre d'hôtel et les évènements se précipitaient. J'avais les mains posées sur tes seins et je les touchais... je les caressais autant que j'en avais envie. Ils me plaisaient plus que tout, ils me fascinaient. Ma bouche s'est posée sur la peau de ton décolleté et je t'ai tatouée à l'encre de ma salive. Des petits baisers... Des coups de langue fins et sensuels... Tu soupirais, tu gémissais. Je m'en souviens très bien. Je me souviens de tout.

- Ta bouche sur mes seins... Tu mettais mes sens en ébullition. J'avais chaud, j'étais perdue. Comme tu le dis et ça, je m'en souviens bien, moi aussi... Tes yeux étaient constamment sur mes seins et ça, je le voyais, tu sais ? Mais ça me dérangeait pas. Au contraire ! Je n'attendais que ça. Alors... j'ai abaissé les bretelles de mon soutien-gorge et ça, ça t'a beaucoup émoustillé. Ça t'a rendu encore plus fou. Tu me mangeais des yeux, tu me mangeais dans la main, Théo. Les évènements se précipitaient : tes mains se sont dirigées vers mon dos. J'ai senti le bout de tes doigts sur ma peau. Je me suis mise à avoir la chair de poule. Le contact de tes doigts sur moi... J'avais tellement attendu ça. J'étais toute excitée. Je n'attendais que ça, que tu me touches, que tu me caresses. Alors tes doigts se sont posés sur l'agrafe de mon soutien-gorge. Tu te souviens de tout ça, mon amour ? Tu t'en souviens ?

- Tu es ma première petite amie. La seule et l'unique. Je n'avais jamais été aussi intime avec une fille avant de te connaître. Les soutiens-gorge... Les bustiers... Les petites culottes... Les tanga... Les strings... La lingerie... Tout ça, c'étaient des fantasmes pour moi avant que je ne te rencontre. Mais là, j'étais tout émerveillé... et très excité. Tu étais là toute première fille avec qui j'allais faire l'amour. C'était tout nouveau, tout ça, pour moi. J'avais pas du tout l'habitude. Et quand j'ai voulu te retirer ton soutien-gorge, c'était comme si mes doigts devenaient soudain engourdis, moites. J'ai été incapable de te dégrafer ton soutif'. Je m'en souviens comme si c'était hier... Tu as souri et tu m'as pris de nouveau les deux mains. Tu les as reposées doucement sur tes seins. Je te les caressais, tout aussi doucement. Quant à moi, l'agrafe de ton soutif' a sauté et tu l'as finalement enlevé. Tu étais à présent seins nus. J'avais comme les yeux qui me sortaient de la tête. Tu te souviens de ce moment, ma puce? Tu t'en souviens ?

- Mmmh oui..  je m'en souviens, mon chat... Tes mains étaient en coupe et elles empaumaient délicatement ma poitrine. C'était si... bon, si... doux comme contact. J'aimais ça. Mais que j'aimais ça. Tu t'y prenais bien. Et je te regardais, tu sais ? J'en perdais pas une miette. Tu étais heureux. Et moi je voulais te rendre heureux. Tes caresses me rassuraient et en même temps, elles me faisaient du bien. Je prenais du plaisir et je le sentais, ce plaisir. Toi... je me souviens que tu m'as regardée droit dans les yeux. Tu me demandais ma permission. Tu voulais prendre mes seins dans ta bouche, c'est ça?

Bérénice marque une pause pour reprendre son souffle. Elle en a besoin. Le plaisir lui va bien, c'est vrai, mais il l'épuise à force.

Ses seins ballottent à mesure qu'elle inspiré et qu'elle expire. 

Ses yeux se sont brillants, ils sont émus. Ils lui piquent. Ce sont les jolis petits yeux chocolat d'une jeune femme amoureuse.

- Oui... Je comprenais que tu étais comme lors de nos conversations. Tu étais attaché à mon bien-être et tu y veillais. Ça, c'était important pour toi. Et en même temps... tu en avais envie, de mes seins. Et moi, je voulais que tu l'es caresses comme tu en avais envie, Théo. Tu l'avais, ma permission. Ils étaient à toi. J'étais toute à toi.

- Tu as déposé ta main droite tout doucement sur l'arrière de ma tête et tu m'as fait me rapprocher de ton sein gauche. Je me souviens d'avoir fermé les yeux et d'avoir posé une main sous le galbe de ce beau sein. J'ai rapproché mon visage de ton sein et j'y ai posé ma joue. C'était... tout doux... Tout... chaud... Tes seins étaient juste à la taille de mes mains. Je les aimais à tout jamais. J'ai approché mes lèvres de ton téton et je me suis mis à te le sucer et à te le téter, ton sein. Tu as poussé un long soupir. Tu avais toujours ta main posée sur l'arrière de mon crâne. Tu te souviens de nos baisers et de nos caresses, Bérénice ? Tu t'en souviens ?

- Mmmh... Mon amour... Tu étais si doux. Tu me caressais les seins avec précaution. J'aimais ça. À partir de ce moment-là, c'était tout simplement impossible que je me passé de tes caresses, Théo. J'en raffolais. Alors je t'ai encouragé. Coquine dans l'intimité comme je l'étais déjà, j'ai baissé légèrement la tête et je suis arrivée à hauteur de ton oreille droite. Et comme j'étais sûre que t'allais pas t'y attendre, je l'ai prise... entre mes lèvres et j'en ai sucé le lobe. J'y ai porté des petits coups de langue... Tu te souviens de ta Bérénice coquine de ce jour-là, a... mour? Tu te souviens d'elle ?

 

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"Tu te souviens?" 1

Publié le par Plaisir d'écrire

- Tu te souviens de la parure que je portais ? Tu te souviens de ma robe noire ? Tu te souviens de mon corps que j'avais enduit de lait hydratant à la vanille ? Tu te souviens de mes lèvres qui sentaient bon le baume à la vanille ? Tu te souviens de tout ça, a... mour? Tu t'en souviens ?

- Bérénice... Hôtel Lanjuinais. Il y a bientôt deux ans. Bien sûr que je m'en souviens. Tu m'as attendu à la gare. Tu étais si belle avec tes cheveux lâchés et ta robe noire. C'était pour moi que tu l'étais, belle. Dès que je t'ai vue, j'ai su que c'était toi, et j'ai couru. Notre premier baiser... La première fois où je t'ai prise dans mes bras... Je me souviens de tout ça, pupuce. Je m'en souviens.

- J'étais excitée comme une puce parce que l'homme qui m'a séduite était enfin là. Mon cœur battait la chamade. Tu as dû me prendre pour une folle, mais c'était parce que j'avais tellement attendu ce moment. Nos messages... Nos appels... Nos visio... Le téléphone rose... Ça ne me suffisait plus. Tu te souviens de tout ça, Thé... o? Tu t'en souviens

- Tu m'as pris par la main et tu m'as serré contre toi. Tu m'as embrassé à pleine bouche. Tu y as mis la langue, à ce premier baiser. Et puis, comme ça ne suffisait pas, tu avais toujours ma main dans la tienne, tu m'as entraîné à travers ta ville. On s'est arrêtés dans ce café. Un thé pour toi, un thé pour moi. L'addition était pour moi, un point c'était tout. Je me souviens de tout ça, jolie coccinelle. Ouais. Je m'en souviens.

- L'hôtel n'était pas très loin. J'avais des papillons dans le ventre. J'avais chaud. Tu étais enfin là. J'avais tellement envie de toi à présent que tu étais là, corps et âme. Alors, je t'ai pris la main et nous avons marché clopin- clopant, le long de l'avenue, sous le beau soleil qu'il y avait ce jour-là. C'était un jour parfait pour nous deux, pour notre amour. Tu te souviens de tout ça, mon cœur ? Tu t'en souviens?

- Il n'y avait pas un moment où l'on s'arrêtait pas pour nous embrasser. Tes lèvres à la vanille... Elles étaient délicieuses. Elles étaient toutes roses. Elles me donnaient envie de t'embrasser. Tes yeux quand on s'embrassait... Ils étaient brillants, ils étaient émus. Ils te piquaient, ils étaient pleins d'amour. On s'embrassait dans la rue mais peu nous importait. On était amoureux, on se retrouvait. C'était aussi simple que ça. Je me souviens de tout ça, Bérénice. Oh... oui. Je m'en souviens. Comment peut-on oublier?

Bérénice et moi... Elle et moi, sur l'oreiller... On discute. On se remémore notre premier rendez-vous dans la ville où elle habitait il y a encore deux ans. Moi, le voyage en train de ma ville du nord de la France... L'attente... L'excitation... L'appréhension, aussi... L'adrénaline... L'envie de rencontrer EN-FIN Bérénice, de la retrouver... L'amour... Le désir... Le temps et les kilomètres qui passaient et qui me rapprochaient de plus en plus de cette jeune femme qui avait conquis mon cœur en une poignée de mois. Elle était tout en joie, le cœur en fête, dans le hall de la gare, à côté de cette boutique. Septembre 2018... Je m'en souviendrai toujours. Pour toujours. Pour toujours, et à jamais.

- Et puis on est arrivés devant l'hôtel. On est entrés à l'intérieur. Il n'y avait personne à la réception. Nous, on en a profité pour nous échanger de nouveaux baisers. On se regardait, on se mangeait des yeux. Voilà : nous y étions. Tu me tenais la main, tu étais doux. Tes lèvres étaient sur les miennes, je me sentais belle. Tu étais là, toi, Théo, en chair et en os. Tu n'étais plus en photo, tu n'étais plus juste une voix à travers le téléphone. Tu étais là. Et puis... cette homme... le réceptionniste... il est arrivé. Il s'est excusé de son absence momentanée. L nous a demandés notre nom. Il nous a remis la clé de notre chambre, il nous a indiqués où elle se trouvait. Troisième étage... Au bout du couloir, à droite... Attention ! Il y avait des travaux... Ils refaisaient la peinture de l'hôtel. Et effectivement... Ça sentait la peinture. Les murs étaient couverts de peinture fraîche au troisième étage. Très bien. Nous l'avons remercié, et puis, tout en nous tenant la main, nous nous y sommes rendus. Tu te souviens de tout ça ? Tu t'en souviens ?

- Trois étages à monter, mais que ce fut long, presque une éternité. On s'embrassait sans arrêt. Le désir s'était invité à la fête, il éclatait au grand jour. Il était de plus en plus présent en nous. Pressant. Brûlant. Ardent, alors qu'on se rapprochait de notre chambre. Et... EN-FIN... nous y étions : je suis arrivé, en premier, à hauteur de la porte de la chambre. J'ai tiré la clenche. La chambre était magnifique. Juste... une merveille. Je l'aimais déjà. Au plus profond de moi, je savais qu'on y serait bien. Je t'ai prise par la main et je t'ai entraînée à l'intérieur. Tu m'as sauté dessus à peine la porte refermée sur nous, tu m'as embrassé comme si ta vie en dépendait. Tu pensais que j'avais oublié, Bérénice, ne serait-ce qu'un tout petit peu ? Princesse... Même pas en rêve. Je m'en souviens.

- En effet, je t'ai sauté dessus, je ne t'ai pas laissé une seconde de répit. J'avais tellement envie de toi. Mes bras autour de ton cou, tu étais blotti contre moi. Tu étais bien... Tu remuais du bassin, tu te frottais à moi. Je sentais déjà ton sexe dans ton pantalon, je te sentais tout entier. Et puis tu t'es enhardi, tes mains se sont posées sur mon corps, elles ont commencé à m'explorer. J'avais chaud, je tremblais, j'étais émue. On perdait le contrôle, toi et moi, on était bien. Toute folle... Toute fofolle de toi, je me suis emparée de tes mains et je les ai posées sur mes seins. Je sais... On allait bien vite en besogne mais j'avais envie de moi comme tu avais envie de moi. Et puis... Tu voulais enfin les voir en vrai, mes jolis seins lourds, comme tu disais. Tes mains se sont posées sur l'ourlet de ma robe et tu me l'as enlevée. J'étais en sous-vêtements blancs devant toi. J'étais fière, j'avais envie de toi. Je fixais tes yeux, je me trouvais belle... sexy. Ça non plus, tu ne l'as pas oublié, j'espère, Théo ? Tu t'en souviens... Je le sais. Tu te souviens de tout ça...

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