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Un beau réveil... sous le signe du plaisir

Publié le par Plaisir d'écrire

     Bérénice aime ce genre de réveil. Elle aime que je m’occupe d’elle. Ma main caresse doucement son fourreau d’amour, mouillé. Ce sont des petits cercles. Je sais que Bérénice raffole de cette caresse. Quant à moi, je m’efforce de faire ce qu’elle veut pour l’exciter. Et pour qu’elle mouille plus, encore plus. Bérénice aime les baisers alors que nous n’en sommes encore qu’aux premières douceurs du matin. Bérénice aime les caresses alors qu’elle vient à peine d’ouvrir ses prunelles chocolat. Bérénice aime ces petites attentions que je lui porte. Je me fais doux. Je titille l’entrée de son vagin. Je titille aussi son clitoris. J’éveille son désir. J’éveille son envie. Je le fais de telle sorte qu’elle me supplie, à un moment ou à un autre, de lui donner encore plus de plaisir. Elle sait que j’aime sentir sa mouille sur le bout de mes doigts, et que j’en raffole. Sa cyprine est ma saveur préférée. Elle me permet de faire en sorte que mes caresses soient agréables, et de la préparer à des caresses plus osées. J’aime et j’ai envie de lui donner du plaisir, encore plus de plaisir, toujours plus de plaisir. J’aime l’idée de la faire jouir, dès les premières douceurs du matin.

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Bonne année, ma chérie

Publié le par Plaisir d'écrire

Accepteriez-vous cette danse, mademoiselle?

Ce sont les mots que j'ai prononcés ce soir-là

Alors que tu étais là, dans mes bras :

Ça allait être la nouvelle année, la veille

 

D'une nouvelle année riche en merveilles

Et en promesses, pour toi comme pour moi, moi et toi

Comme lorsqu'on s'est imaginé sous notre toit

Et qu'on s'y sentirait pousser des ailes...

 

Vous êtes très belle, vous savez ? C'est ce que j'ai dit

Au moment même où la musique a retenti

Et que nous nous sommes collés, bras dessus dessous...

 

On avait répété nos gammes, mais le démon

A finalement eu raison

De notre danse chaste puisqu'on avait envie de nous.

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31 décembre

Publié le par Plaisir d'écrire

Une musique lente, langoureuse, sensuelle :

Une musique pour permettre aux amoureux

De danser et de n'être plus que deux...

Je pense à ça quand je me réveille

 

Et pour toi... je pense que c'est pareil,

Tu verras de nouvelles choses dans tes yeux :

Une autre maison,  de la fête, des gens heureux

Et je te prendrais bien sous mon aile...

 

Tu meurs d'envie de danser avec moi :

Je le sais car tu me l'as dit, parfois,

La musique résonnera, ce sera beau...

 

Tu auras mes bras autour de ton corps,

Je te serrerai contre moi, très fort ;

Aux douze coups, la nouvelle année... ce sera sans mots...

 

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Corrections...

Publié le par Plaisir d'écrire

Ça aurait dû être des corrections au départ:

Des annotations, rectifications, retouches

Mais ça... c'était avant que tu ne te couches

Sur le lit et que tu me détournes du devoir...

 

Quatre mains... deux âmes... deux cœurs... deux corps: nous deux, le soir,

C'était plus fort que moi: il fallait que je te touche,

Que je te caresse parce que j'avais l'eau à la bouche...

Nous étions émoustillés par cette histoire

 

Croustillante qui est née dans ma tête

Et qui semble bien mettre ton cœur en fête

Car... à ce que j'entends... elle te fait de l'effet.

 

J'ai senti qu'on reprendrait à un autre moment

Et qu'il était l'heure pour moi de devenir ton amant;

Je t'aime... Je t'aime... JE T'AIME ! Si tu savais...

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"Introduis tes doigts en moi..."

Publié le par Plaisir d'écrire

     -«Introduis-les en moi… S’il te plaît.»

     Bérénice est donc bel et bien éveillée, et d’une voix proche de la supplique, et ce, même si elle a encore du mal à émerger de son sommeil. Néanmoins, elle a une idée de mes intentions alors que ma main passe furtivement mais délicatement sur son sexe et l’effleure. Ses lèvres se sont ouvertes et je l’ai entendu me demander… me supplier de repasser ma main sur son minou et de glisser mes doigts en elle. Elle est déjà si mouillée. Mes doigts n’auraient pas vraiment de difficultés à la pénétrer, mais… Mais, j’ai envie de savourer les premières douceurs de ce réveil. Je veux accorder toute mon attention à Bérénice. Je veux éveiller son corps, TOUT son corps. Elle, toute entière. Mon seul et unique amour est tout contre moi. Nous sommes allongés, collés-serrés et… nous sommes bien. Il n’y a pas que son sexe qui soit chaud. Son corps, tout entier, l’est aussi. Ma main taquine son abricot et joue avec, comme si elle raffolait de la cyprine chaude et salée que secrète mon «étudiante sérieuse préférée», comme si elle jouissait d’être en contact avec elle. Moi… le «petite chat» de Bérénice (comme elle me surnomme). Moi dont elle dit que je suis beau, doux, tendre… sensuel. Moi dont elle dit que je la fais fondre. C’est de moi dont elle a envie. C’est pour elle qu’elle mouille. C’est pour moi que son petit bouton de rose gonflera…

     …

     J’ai posé une main sur la joue rose pâle de Bérénice, et je ne cesse d’embrasser ma belle parce que je l’aime… Je l’aime, et je la désire. Je suis fou d’elle. Mon désir d’elle est insatiable. L’autre main ? Elle continue de caresser Bérénice. Avec douceur. Avec fougue. Avec… envie et gourmandise. Je place un doigt à l’entrée à l’entrée de son vagin, et je regarde Bérénice, intensément...

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Ma belle endormie

Publié le par Plaisir d'écrire

C'est à toi que je porte mon premier regard

Parce que je viens d'ouvrir les yeux,

Tu n'as pas encore ouvert les tiens... amoureux,

Ça me permet de repenser à hier soir

 

Et de me dire qu'il faut parfois croire au hasard,

Ton esprit semble encore tourné vers les cieux

Délicieux, tes yeux n'ont pas encore ce feu fougueux

Et je me dis que ce n'est que pour plus tard....

 

De quoi rêves-tu en ce moment même?

T'imagines-tu en train de me dire "Je t'aime"?

Je ne sais même pas ce à quoi tu peux penser...

 

Je sais juste que tu es une belle endormie

Et que j'ai encore envie de te voir ainsi;

Ma belle endormie... Ma coccinelle... TU... ME... PLAIS.

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Tes jolis petits yeux du matin

Publié le par Plaisir d'écrire

Nous passons un moment câlin, rien que nous deux

Et tu as décidé de t'allonger sur moi :

C'est alors que je veux poser mes doigts

Sur ta peau et je te regarde... si amoureux

 

De toi, en me disant qu'il s'en est fallu de peu

Pour que notre histoire d'amour ne voit pas

Le jour parce que si, toi ou moi,

Nous n'étions pas sur cette plateforme bénie des dieux...

 

La vie serait complètement différente

Mais, je n'y pense pas, là... et je me concentre

Sur tes petits yeux du matin qui me disent

 

Et qui me crient tout l'amour que tu possèdes :

Ce sont tes jolis yeux du matin qui m'aident

Et qui me permettent de rester sous ton emprise.

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Charmeuse de serpents

Publié le par Plaisir d'écrire

Ta beauté parle pour toi

Et, rien qu'un signe de doigt

 

Les fait venir, un par un,

Tu ne penses pas à demain... ;

 

Charmeuse de serpents que tu es...

Les hommes n'en sont plus qu'attirés,

 

Les hommes doivent alors se battre

Pour une attraction désastre

 

Ni plus, ni moins, sans lendemain:

Ils seront à toi, tout du moins...

 

Pour une nuit, pas pour la vie:

Tu ne demandes pas leur avis,

 

Tu es à prendre... ou à laisser,

Charmeuse de serpents que tu es...

 

Nous sommes les serpents...

Nous sommes TES amants

 

Et nous te tournons autour,

Il n'est pas question d'amour,

 

Juste tout simplement de plaisir,

Ne surtout pas penser au pire:

 

Juste prendre du bon temps, le temps d'une soirée

Et surtout... surtout... ne rien oublier;

 

Les hommes n'ont d'yeux que pour toi,

Les hommes ne sont plus les rois

 

Parce que dès qu'ils te voient arriver,

Tu peux enfin voir leurs têtes tournées:

 

TOUTES tournées vers une seule et unique chose

Mais, c'est toi qui proposes, qui oses.

 

Il n'y a pas un seul regard qui ne soit pas

Ailleurs, car l'assistance n'attend plus que toi:

 

Elle est spécifiquement composée d'hommes

Qui ont mis de côté leurs états d'âme,

 

Leur train-train et leurs tracas quotidiens;

Même si c'est juste leurs yeux dans les tiens,

 

Tu es là pour ça et ils le savent,

Tu peux voir à quel point ils en "bavent"

 

Parce que c'est toi et pas une autre:

N'allons pas leur jeter la faute

 

Et le rouge sur leurs visages...

Ils sont sages comme une image

 

Et ils ne demandent rien de plus que tu les caresses:

Ils sont TES serpents, et toi là, TU es LEUR charmeuse...

 

Tu balayes cette pièce du regard:

Elle est remplie d'hommes, ce soir,

 

D'hommes qui ne sont venus que pour toi...

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Jeu de mains, jeu de...

Publié le par Plaisir d'écrire

     Dès le réveil, ma «pupuce» mouille pour moi. Délicieusement. La cyprine intime de Bérénice est chaude… agréable.. salée. Délicieuse. J’aime la sentir sur mes doigts. Sur le bout de mes doigts. Et j’aime plus particulièrement le sentir sur ma langue. L’avoir en bouche. Oh oui… ! Je passe le bout de mes doigts, tout doucement, sur l’intimité de ma chérie, et, pendant le même temps, je l’embrasse. Je lui donne un petit baiser, un petit baiser comme elle les aime. Il faut dire que Bérénice est une petite gourmande… Elle aime les petits baisers et les caresses légères. Tout en douceur. Tout en tendresse. Tout en sensualité. Et… pendant que mes doigts flânent tout doucement, lentement sur la vulve de Bérénice, il me semble entendre Bérénice respirer mais plus fort. Je la regarde, et je constate qu’elle est détendue. Elle se laisse faire. Elle ME laisse faire. J’aime laisser glisser mes doigts sur son intimité mouillée. J’aimerais… les introduire en elle… Oh… ! J’en ai envie...

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Muse

Publié le par Plaisir d'écrire

De notre royaume du deuxième étage, fenêtre

Ouverte, Chez Jules, le restaurant, sur la gauche,

C'est là que tu me plais et que tu me touches,

Je m'y soucie de toi et de ton bien-être...

 

Il y a quelques choses que tu laisses paraître

Et, alors que tu es partie prendre une douche,

Il y a des poèmes dont j'ai une ébauche

Mais, j'ai envie de te voir réapparaître

 

Pour que je puisse te regarder à ma guise

Parce que tu es une belle amoureuse, ô muse

Et j'aime les moments que l'on passe, rien que nous deux,

 

Je taquine la muse quand tu te fais toute belle

Et tu vas sortir... dans le plus simple appareil,

Je te regarderai alors, les yeux dans les yeux...

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