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Micro Nouvelle 20

Publié le par Plaisir d'écrire

Dimanche matin, entre Boulogne sur Mer et Saint-Martin Boulogne, boucle piétonne de la Liane. 

 

Il y a du brouillard, aujourd'hui. 

 

Je longe le fleuve côtier mais vers l'intérieur des terres.
Sur ma droite, je vois et j'entends le canards et le cygnes qui font mumuse sur l'eau. 

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L'Extase de la bienheureuse Ludovica

Publié le par Plaisir d'écrire

L'Extase de la bienheureuse Ludovica

Elle apprend le mille-et-unes façons de jouir,

Ça me plaît de la voir mourir de plaisir,

J'ai fini par découvrir tout ce qu'elle cache ;

C'est beau de la voir être sensuelle sans relâche.

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MNDQ 110

Publié le par Plaisir d'écrire

Clara est tellement insatiable. Ça tombe bien : je le suis tout autant. Je suis tellement fier, honoré qu'elle soit mon épouse. Je ne cesse jamais d'avoir envie d'elle. Remarquez, elle fait tout pour : sourire, faire la moue, minauder, susurrer, porter de la lingerie...

 

Je n'étais pas bien réveillé. Néanmoins, j'entendais Clara chantonner. Que j'aime quand elle respire, transpire la joie de vivre. Je l'ai entendu glousser.

 

- Mon amour... J'ai tellement envie de toi. J'ai tellement envie... que tu t'occupes de moi.

 

C'en était fait de moi...

 

Clara écarte un peu sa petite culotte en coton et elle pose son minou sur mon visage. Là. Les choses ne peuvent pas être plus claires. Elle veut que je la lèche. Elle veut baiser mon visage. Très bien. Je tends la langue et je commence un cunni comme elle les aime...

 

- C'est trop... bon...

 

Clara ne peut pas mieux me guider dans sa quête du plaisir, celui qui fait tout oublier... ou presque, à une femme. Je prends les fesses de Clara à pleines mains et je les empoigne. Je les écarte. Je titille son cul avec la pulpe de l'un de mes doigts.

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Le fil d'Ariane

Publié le par Plaisir d'écrire

Le fil d'Ariane

Tu es là, tu me souris. Que tu es belle.

Tu étais là, je n'avais pas la banane.

Tu es ma lumière parce que tu m'ensorcèles ;

Qu'est-ce que je t'aime, mon joli fil d'Ariane.

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Un rêve devenu réalité : Bruxelles, salon du livre (2ème et dernière partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

 

Le salon du livre de Bruxelles passe au second plan. Les livres que tu as fait dédicacer, tu ne les liras que lorsque tu seras confortablement installée chez toi. Ici, maintenant, dans cette salle où il nous est normalement interdit d'être, aujourd'hui, nous sommes enfin ensemble et nous faisons l'amour. Les minutes sont torrides et l'interdit met un peu plus de piment à la situation. Ça m'excite. Je me doute bien que ça t'excite, toi aussi. Nos yeux se captent et ne se quittent plus. Mon sexe est dans le tien mais je ne bouge pas. Nos bouches sont entrouvertes mais il n'y a ni mot ni son qui en émanent. Mon sexe dans le tien, les yeux dans les yeux, l'image est belle. Pour un peu, je l'immortaliserais sous la forme d'une photo. C'est doux, à l'intérieur de toi. C'est humide et c'est agréable. Je m'y sens bien. Si je ne bouge pas encore, c'est qu'il y a une raison.

Je veux profiter le plus longtemps possible de cette sensation unique.
Oui. Il s'agit là d'une sensation incomparable qui est celle de mon pénis enfoncé dans ton vagin. Tu me regardes. Tes yeux pétillent. C'est limite si tu es au bord des larmes. Mais je ne dois pas me méprendre. Non. Ce ne seraient pas des larmes de tristesse. Il s'agirait là de larmes d'émotion et de bonheur. L'émotion que notre rencontre a comme effet sur toi. Le bonheur que ton vagin accueille mon pénis. La table sur laquelle tu es allongée n'ayant pas le confort d'un lit, je prends mon temps et je veille à ce que ce soit agréable pour toi. Cette opportunité de faire l'amour ensemble ne se représentera probablement pas. Je ne suis pas crédule et j'ai conscience de ça. Je veux que ce soit mémorable, pour toi comme pour moi.  Les yeux dans les yeux, je commence enfin à bouger. Petit à petit, mon sexe coulisse à l'intérieur du tien.
Même si nos ébats ont une part d'interdit, j'ai envie que l'on prenne notre temps, toi et moi. Qu'on profite et qu'on savoure. Je n'ai de cesse de te regarder. Tu es jolie. Je n'ai de cesse de t'écouter. Tu exprimes ton plaisir d'accueillir ma verge dans ta vulve. Plus un mot n'est prononcé. Seuls les soupirs de bien-être et autres râles de plaisir s'échappent de nos bouches.
Si tu n'avais pas de plaisir, je te dirais que tu mens. Ton langage corporel te trahit. Je sais que c'est... bon, aussi bien pour toi que pour moi. Ton corps se couvre de rouge et de chair de poule. Tu te sens bien.

 
Tu fermes les yeux. Des gémissements ainsi que des soupirs s'échappent de ta bouche. L'image que j'ai de toi m'émeut. Elle m'attendrit. Tu es une belle femme. Tu l'es, lorsque tu fais l'amour. Et j'aime ça, faire l'amour avec toi. Tes jambes trouvent une assise en se posant sur mes épaules. La pénétration est agréable. Ton humidité est capitale car elle rend les sensations délicieuses. Ton corps te donne du plaisir et il m'en donne tout autant.
C'est ça. Laisse-toi aller. Ne fais qu'un avec moi. Fais abstraction de ces hommes et de ces femmes qui sont là, à deux pas. Fais abstraction de ta vie de tous les jours. C'est avec moi que tu es. Depuis le temps que tu attendais que ce moment puisse se produire... Le rêve est devenu réalité. De toutes les femmes sur Terre, tu es celle dont j'ai envie. C'est avec toi que je fais l'amour. Depuis le temps que j'attendais que ce moment puisse se produire, moi aussi... L'image que tu me renvois me fascine. Je suis comme hypnotisé. Allongée sur le dos, les yeux fermés, tes jambes sur mes épaules, tu es bien. Dis oui au plaisir. Tu veux ? Ton plaisir est ce que je recherche.
 
 
 
J'ai lu ce que tu écris. Ce n'est pas un secret que j'aime ton écriture. La variété des situations, comment tu les rends coquines etc. Ça me parle. Et ça me plaît. Là, ce n'est pas sur papier que l'amour se fait.
La réalité, ça a bien plus de saveur. On a beau faire preuve d'imagination quand on lit, le rendu n'est pas le même. La réalité, c'est incomparable. S'entendre dire que l'on plaît à quelqu'un, c'est gratifiant. Ressentir la chaleur d'un corps contre le sien, c'est unique. Écouter le pouls d'un être après avoir fait l'amour, c'est une expérience sensuelle. Avoir le goût d'une personne après l'avoir embrassée, c'est avoir un échantillon infime de ce qu'elle est ET de qui elle est. C'est beau, la magie du moment. Prolongeons-la. Tu veux ? C'est toi. Pas une autre dont j'ai envie mais toi. Nous sommes nus. Ça vaut aussi bien pour nos corps que pour nos âmes. Je veux que tu aies du plaisir. Et si tu jouis, tu liras dans mes yeux que tu m'en verras ravi. Je ne me pose pas de question et je me déconnecte de ce qu'il n'a pas lieu d'être, ici, maintenant. J'écoute mon cœur. J'écoute mon instinct. Il n'y a pas à réfléchir. Je te vois et je t'entends. Tu n'as pas idée de l'effet que tu me fais. Je vais et je viens un peu plus vite, un peu plus fort, entre tes reins. Je pose tout doucement le bout de mes doigts sur ton clitoris. Là. Je le caresse. C'est le moment que tu choisis pour rouvrir les yeux.
 
Le bleu de tes yeux ressort particulièrement dans ce regard que tu m'adresses. La pureté de ce regard me touche et m'émeut. Je me souviendrai à jamais de ce jour, de ce moment. C'est sûr. Je me souviendrai pour toujours de ce salon du livre de Bruxelles, de cette réserve interdite au public. C'est certain. Tes gémissements m'excitent. Ils me font comprendre que tu as du plaisir. Tu aimes ça. Allongée sur cette table, te voilà donc dans la peau des héroïnes des romans que tu lis. À la différence majeure, justement, que ce n'est pas un roman qui s'écrit. C'est l'amour, ce que nous faisons. Et je suis là, en chair et en os, à Bruxelles. Je te souris. Nos yeux ne se quittent pas, depuis que tu les as rouverts. À ton tour de sourire. Tu es belle quand tu fais l'amour, tu sais ? Tu es irrésistible quand tu as le sourire aux lèvres. On te l'a déjà dit ? Peu importe. C'est moi qui te le dis et c'est ce qui compte. Si nous étions ailleurs, dans un lieu plus intime, je pourrais te prendre pendant des heures...
L'interdit du lieu et de la situation met du piquant à notre partie de jambes en l'air. Je pourrais te faire l'amour pendant des heures, dans cette réserve, sur cette table. Nos deux sexes sont unis. Ils sont enfin réunis et n'en font qu'un. Ton vagin est douillet. Je m'y sens bien. Mes va-et-vient comme mes coups de rein ne te laissent pas insensible. Comment je le sais ? Ton corps parle pour toi. Tu accompagnes mes mouvements. Tu te mords la lèvre. Tes yeux ont cette expression particulière de bonheur, cette nuance magnifique de brillance. Tu prends ton pied.
 
 
Moi aussi, je le prends, mon pied. Ce n'est donc pas par hasard si je vais et si je viens encore un peu plus vite, encore un peu plus fort. C'est confortable, dans ton vagin. Je m'y épanouis. Mon sexe y a trouvé refuge et ne semble plus décidé à s'en déloger. Ton vagin est un Éden. Le plaisir que j'en tire m'entrouvre les portes du paradis. Le sexe est... bon, avec toi. Je le note pour moi, ça. Pour que je m'en souvienne pour toujours et à jamais. Plus je te prends, plus je t'entends. C'est un tout, chez toi, qui m'excite. À travers la tendresse dont je fais preuve, à travers les yeux que je braque sur toi, je veux te montrer à quel point je peux me mettre à nu. Je veux que tu lises en moi comme dans un livre ouvert. À mon tour de laisser s'exprimer mon plaisir. Le plaisir monte en intensité. Il est de plus en plus délicieux. Si nous continuons ainsi pendant un temps indéfini, je ne serai pas en mesure de me retenir tant les sensations sont voluptueuses. De plus, si nous continuons ainsi pendant encore un moment, nous prenons le risque d'être pris en flagrant délit parce que nous faisons l'amour dans un lieu public. Disons les choses telles qu'elles sont. Le plaisir est de plus en plus intense pour toi aussi. Ton corps rougit. Tu as le souffle court. Ta peau est luisante de sueur. Des mèches de ta longue chevelure blonde se collent sur ton visage. Du fait que tu es nue, tu te mets à trembler. Est-ce parce que tu commences à prendre froid ? Est-ce plutôt parce que le plaisir est particulièrement fort ? Toujours est-il que ça attire mon attention et que ça titille ma curiosité. Je prête par conséquent encore un peu plus d'attention aux bruits que tu fais. Je me focalise sur le langage de ton corps. Mes yeux se posent plus précisément sur ta poitrine généreuse qui s'agite. Cette vision me fascine.
 
 
 
Tu prononces mon prénom. Tu me demandes de maintenir ce rythme. Tu es dis que c'est... bon. Ce ne sont pas des gémissements que j'entends. Voilà que tu cries, à présent...Ça tombe bien. Je ne veux pas que tu sois silencieuse. Quand tu soupires, quand tu halètes, tu exprimes le plaisir que tu ressens. Quand tu gémis, quand tu hoquettes de plaisir, tu me fais comprendre qu'elle est délicieuse, cette sensation voluptueuse qui se diffuse dans l'intégralité de ton corps.
Tu me regardes. Ton regard ne me lâche plus depuis que tu as rouverts les yeux. Les bruits que tu fais, c'est le moyen de communication que tu utilises pour me parler. Il ne faut pas négliger le langage corporel. Je me concentre dessus et je m'y attarde. Tu ne le sais pas mais j'enregistre tout ce que nous vivons. Ne t'inquiètes pas. C'est et ça restera uniquement dans ma mémoire. On ne sait pas si une occasion pareille se reproduira. Ce que je sais, c'est que tu captes mon attention. Tu t'y prends bien. Tu te mords la lèvre, tu me souris. Tes seins s'agitent, ton corps est en sueur. Tu exprimes ton plaisir, tu n'as de cesse de mouiller. Oui. J'aime faire l'amour avec toi.
Tu remues les lèvres. Tu me dis que tu es bien. Tu pousses un soupir. Tu me préviens que tu es proche. Toute proche. Si proche...
Ce que tu dis, ça rentre par une oreille mais ça ne ressort pas par l'autre. Moi aussi, je suis proche. Tout proche. Si proche... Je m'allonge alors presque sur toi et je colle mes lèvres sur les tiennes. Je veux être au plus près de toi.
Je veux être tout contre toi. Je veux mourir dans tes bras.
 
 
 
Au tour de mon corps de se couvrir de chair de poule. Tes mains y sont pour quelque chose. Je les sens sur moi. Elles sont douces. Elles me caressent. Si quelqu'un nous voyait, est-ce que cette personne partirait parce que notre étreinte la gênerait ? Resterait-elle, plutôt, parce que notre étreinte est belle ?
Je suis en pilotage automatique. Ton vagin est un fourreau humide à souhait et je veux m'y abandonner. Si tu continues de me toucher comme tu le fais, si nous continuons de nous embrasser, je vais m'abandonner en toi. Tes bruits me ramènent à la raison. Tes muscles se contractent soudain, brusquement...
 
 
Tu ne te retiens pas du tout. Tu n'y vas pas de main morte, toi, quand tu as un orgasme. Ton cri réveillerait les morts. Tu halètes. Ton corps tremble. Je continue de te pénétrer. En revanche, je suis en perte de vitesse. Je suis en manque de force, à force. Mes lèvres se détachent des tiennes. À la place, je pose un doigt dessus et je les caresse. Elles sont douces. Elles sont pulpeuses. 
 
 
Collé à toi, fatigué, en sueur, sous ton charme, je laisse volontiers la petite mort m'emporter. Je m'abandonne dans ton corps.

 

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Carine, rousse adultère (3ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Ils étaient enfin nus, pile en face de moi, les seins de Carine. J'avais la bouche entrouverte. J'étais époustouflé. J'étais sur le cul. Tout de suite, je les ai trouvés beaux. Je les ai aimes dès l'instant où elle a fait tomber son soutien-gorge sur le lit. Si Carine est passée sur la table d'opération pour que sa poitrine soit plus généreuse, ça a été pour une raison qui n'appartient qu'à elle. Je ne peux que respecter le choix qu'elle a fait. Son corps n'appartient qu'à elle. Si ses seins lui plaisent tels qu'ils sont aujourd'hui, c'est le plus important. Son corps doit lui plaire tel qu'elle le façonne. Je n'avais d'yeux que pour les seins de Carine. Je suppose avec le recul que ça a dû la faire sourire parce que je l'ai entendu prononcer mon prénom. Je l'ai entendu me demander de la regarder de nouveau dans les yeux. La nanoseconde d'après, c'était chose faite. Là. Je me suis noyé de nouveau dans ses yeux bleus. Son regard me faisait toujours autant de l'effet. Et la perspective de faire l'amour avec elle était toujours présente en moi. J'en avais l'eau à la bouche, je m'en léchais les babines. Comment ne pas avoir envie de Carine ? Cette belle femme, on en mangerait... Toute inhibition avait disparu, désormais. Carine était dans cette chambre d'hôtel, avec moi, et elle oubliait le temps d'un autre homme ce mari qu'elle aimait mais qui avait perdu tout plaisir de la toucher. Un autre homme avait toqué à la porte de sa sexualité et elle n'avait pas l'intention de laisser passer le train du plaisir sans qu'il ne s'arrête à sa vie.

 
Je louchais sur ses gros seins que je trouvais beaux. Carine avait beau être passée sur le billard pour qu'ils soient ainsi... Ils étaient à mon goût. Moi dont la poitrine féminine est un péché mignon, j'étais servi. J'en prenais plein les yeux.
Carine a remué les lèvres. Une nouvelle fois, ça a été de son envie d'être regardée avec appétit par un homme ainsi que de son désir d'être touchée jusqu'à plus soif dont elle a parlé. J'ai grand ouvert mes oreilles. J'ai été réceptif à ces paroles du mieux que j'ai pu. Je ne pouvais être insensible aux mots de cette femme privée, sevrée de sensualité, de sexe... et donc de plaisir.
 
 
Plus on passait du temps ensemble, plus j'apprivoisais Carine. Plus on passait du temps ensemble, plus je sentais que Carine lâchait du lest. Plus on passait du temps ensemble, plus la magie se prolongeait.
On prenait plaisir à nous connaître, intimement parlant. Plus j'apprivoisais Carine, plus la femme exaltait la sensualité qui coulait dans ses veines. Mieux ! C'était comme s'il s'agissait d'une résurrection charnelle, pour elle. Elle était belle à croquer. La femme en quête d'être désirée, en recherche perpétuelle d'être désirable, avait ôté son soutien-gorge, un peu comme si c'était une armure qui constituait une dernière frontière avant de se mettre totalement à nu et de se donner. Je le voyais, ça, qu'elle prenait du plaisir quand je posais mes yeux sur elle et que je ne les détournais pas. C'était une prison dorée dans lequel nous nous détenions. C'était fait de volupté et de sexe. Moi qui aime les femmes émoustillantes, j'étais servi. Car Carine l'était, émoustillante. De mon point de vue, c'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle. Je cherchais son regard. Je cherchais son toucher. Mais plus que tout encore, j'étais en quête de son plaisir.
Quand une femme vous regarde droit dans les yeux, quand elle ne vous quitte pas des yeux, vous avez le cœur qui s'emballe. Votre corps se couvre de chair de poule. Votre corps réagit simultanément, automatiquement. Ça ne se commande pas. C'est comme ça. C'est que cette femme vous plaît, tout simplement. Carine faisait partie de ces femmes à ce moment-là, le cas échéant. Elle était en train de s'exhiber à un autre homme que le sien. Je savourais chaque instant allègrement. Une chaleur particulière se diffusait dans la chambre. C'était en partie dû au radiateur qui était en marche. C'est tout sauf négligeable en ce frais mois de février. Mais ça ne faisait pas tout. Non. Plus on s'apprivoisait, plus on prenait du plaisir à être ensemble. Et en plus, on avait chaud.
 
 
 
 
Carine... On en mangerait... À mon contact, elle était libérée, délivrée. À mon contact, le reste n'avait plus d'importance à ses yeux. Elle se donnait à moi en son âme et conscience. Et elle était particulièrement belle, qui plus est. J'avais envie d'elle.
Ce n'est pas tous les jours qu'on couche avec une femme mariée. Pour ma part, ça avait quelque chose de piquant. Fidèle jusqu'à aujourd'hui à son mari, Carine a cédé à la tentation et elle a brisé le serment de fidélité qu'elle a fait à l'église et à la mairie, lors de son mariage. Un instant passé à peser le pour et le contre, le cul entre deux chaises, Carine a vendu son âme au diable. Elle a cédé aux sirènes de la luxure... et du plaisir.

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Chère lectrice rousse aux petits seins : POV Candice (4ème partie)

Publié le par Plaisir d'écrire

Je m'abandonne. Ça s'appelle l'amour. C'est la passion qui m'habite. Je ne me pose aucune question. Je compte rattraper le temps perdu lorsque Benoit me manque. C'est aussi simple que ça et je ne calcule rien. Être avec l'homme dont je suis amoureuse, ça me rend heureuse. Me comporter comme je le fais, ça va de soi. Oui. Je suis Candice et je suis fière de l'être.

 

Je ne me suis jamais allée sentie aussi sensuelle. C'est normal après tout. J'aime être la femme que je suis au contact de Benoit. Sourire, me dorloter. Surenchérir, minauder. Quand l'hymne de notre amour résonne, 'Dopamine' de Purple Disco Machine, je ne réponds plus de rien. Mon cœur bat la chamade. Je réponds à l'appel. Je prends la pose, je suis une femme heureuse. J'ai le sourire aux lèvres, je suis amoureuse. Je dis oui au plaisir, je dis oui à la vie. Ce matin, je n'ai pas envie de croissants. Ce matin, ce sont des caresses, des égards et des baisers dont j'ai envie. Ah... Les coups de langue de Benoit, ses coups de queue... Oui. Je ne réponds plus de rien. Je suis insatiable. Quand Benoit me parle, plus rien n'a d'importance. Quand Benoit me touche, je ne suis plus du tout la même Candice.

Dans le feu de l'action, on est capable de faire n'importe quoi. N'est-ce pas ce qu'on dit ? Dans mon cas, c'est l'amour qui m'inspire. Et c'est la passion qui m'habite. Là. C'est dit. J'ai envie de faire l'amour avec Benoit. Tout simplement. Je veux sentir son sexe pénétrer le mien. Je veux le sentir coulisser à l'intérieur. J'ai envie de regarder Benoit dans les yeux. J'ai envie de lui parler. Ah ce que l'on fait quand on aime quelqu'un... Ça s'appelle l'amour. C'est aussi simple que ça. J'ai le cœur qui fait boum boum boum dans ma poitrine. Je l'écoute, mon cœur. Je suis fofolle, ce matin. Je suis un feu follet, je suis heureuse. La perspective de faire l'amour avec l'homme que j'aime me comble de joie. La perspective de prendre du plaisir avec cet homme qui est allongé sur le dos m'excite. Je me retiens. Je me demande encore comment je fais.

Je vais rester à califourchon sur Benoit. C'est comme ça que j'ai envie de faire l'amour. Ne m'a t-il pas demandée si j'aimais prendre le dessus sur un homme, pendant l'amour ? Ne m'a t-il pas avouée qu'il aime être allongé sur le dos afin de pouvoir admirer une femme sous toutes ses coutures, lorsqu'elle est sur lui ? Ça me plaît de prendre les rênes. Et j'adore que Benoit me regarde. Je veux être belle aux yeux de Benoit. Qu'il me dise qu'il a envie de moi. Je me sens sexy. Que Benoit me fasse l'amour...

 

Sans même me toucher, je sais que je suis on-ne-peut-plus mouillée. Si je suis dans cet état, je le dois à Benoit. Quand il me parle du désir qu'il ressent pour moi, je ne réponds plus de rien. Quand nous sommes les yeux dans les yeux et quand il me sourit, les dégâts sont perpétrés. C'est alors que j'ai envie de lui. Je sais que c'est proportionnel à son envie de moi. Ce matin, j'ai particulièrement faim. Mais non, je ne veux ni café ni viennoiseries. J'ai envie de sexe. Je ressens le besoin d'avoir Benoit en moi. Ma belle 'petite' chatte toute humide, mon mystérieux n'aura aucune difficulté pour la pénétrer. Mieux ! Je sais déjà que mon vagin accueillera son pénis de la plus délicieuse des manières. Je sais déjà que Benoit sera on-ne-peut-mieux à l'intérieur de moi. Je brûle d'envie de prendre l'homme que j'aime entre quatre yeux au moment où je m'empalerai sur sa queue. Je meurs d'envie de sentir à quel point c'est bon de faire l'amour.

À califourchon sur Benoit, je ne peux pas être mieux. Je ne peux pas me sentir plus sexy qu'à l'instant-t. J'aime que mon chéri me dévore du regard. C'est moi, alors, la plus belle femme au monde, la femme la plus désirée sur Terre. Je n'ai pas envie qu'il me résiste, Benoit. J'use et j'abuse de mes charmes. Je souris, je minaude. Je gigote, je me trémousse. J'ai chaud, je suis chaude. Je me cambre de telle sorte que mes petits seins soient mis en valeur. Je tiens à ce qu'ils soient dans la ligne de mire de Benoit. Je sais qu'il les aime. Je pose mes deux mains sur son torse. Là. Je lui montre qu'ainsi, il m'appartient.

 

Poser mes deux mains sur les pectoraux de Benoit, me cambrer de telle sorte que ma petite poitrine soit pile dans l'axe du regard de mon chéri... Me dandiner pour continuer de donner à Benoit l'envie de me faire l'amour, faire en sorte que mon sexe se frotte au sien... Mon... dieu ! Que j'aime sentir que nos deux sexes coulisse ensemble.

C'est moi qui mène la danse, ce matin. Benoit me laisse faire. Quelque chose me dit que ce n'est pas pour lui déplaire. Quelque chose me dit d'autant plus qu'il ne boude pas son plaisir à me voir me comporter comme je le fais. Benoit est allongé sur le dos et il ne peut que me laisser prendre le dessus sur lui. Je me fais le serment de rendre son réveil... et ce matin inoubliables. Exalter ma sensualité comme je le fais, c'est quelque chose de naturel. Faire la belle pour que mon homme continue de n'avoir d'yeux que pour moi, c'est quelque chose qui me plaît. J'aime être et rester la chère lectrice rousse aux petits seins de Benoit.

 

 

C'est moi ou il fait chaud dans la chambre ? En ce qui me concerne, j'ai chaud. Et... Je me sens chaude. C'est tout sauf pour le déplaire, ce contexte.

 

 

Les premiers rayons du soleil dardent, percent à travers les stores des fenêtres de notre chambre. À mes yeux, il n'y a pas mieux pour bien commencer la journée. Bon d'accord : la perfection n'existe pas. Mais c'est fort, ce que nous sommes en train de partager, comme moment. C'est riche en émotions. J'aime Benoit. Et ce genre de moment passé à deux lorsque nous sommes ensemble, ça me rend feu follet. Rien ne peut souiller la beauté ainsi que la volupté de ces instants privilégiés, intimes. C'est une bulle familière de bien-être et de sérénité dès lors que nos âmes se lient et se retrouvent. Voir Benoit me bouffer des yeux comme ça dès le matin, c'est un plaisir incomparable. Ça n'a pas de prix. Ses yeux... J'y lis l'amour qu'il a pour moi. J'y devine qu'il me désire. Ils ne peuvent pas mentir, ses yeux. Dès lors, moi aussi, je m'adonne volontiers à ce jeu et je dévore Benoit du regard. Je le fais allègrement. C'est lui, l'homme que j'aime et que je désire. Aaah... Qu'est-ce que j'aime ça. Je n'en fais qu'à ma tête. Dans le même temps, c'est une envie de twirker sur Benoit qui me prend. Je veux qu'il m'observe faire.

Benoit repose ses mains sur moi. J'aime ça. Mais qu'est-ce que j'aime ça. Ça fait de moi la femme que Benoit aime, respecte. Je suis la femme qu'il vénère et qu'il désire. Quand c'est comme ça, ça me donne l'envie de m'offrir tout entière à lui. Je l'aime. C'est aussi simple que ça. C'est une ambiance voluptueuse qui règne dans la chambre. Il fait chaud. Et plus nous nous câlinons, plus nos corps sont en sueur. Nous prenons notre temps et nous nous prélassons au lit. Rien ne presse car rien n'a d'importance. La seule chose qui compte, c'est le plaisir à passer ces moments ensemble. Je brûle d'envie de faire l'amour avec Benoit, ce matin.

 

Mon sexe est humide. Je le fais coulisser sur le sexe en érection de Benoit. J'aime jouer à ce jeu-là qui est d'entretenir cette belle érection de telle sorte qu'elle reste comme telle. De la même manière, en prenant Benoit entre quatre yeux, je joue avec son désir. Ce n'est pas pour me déplaire et ainsi, je peux déterminer s'il est tout cuit, tout rôti. Au moment propice, son sexe pénétrera le mien. Mais comme je sais qu'il adore les préliminaires et qu'il en raffole autant que moi...

 

Je suis moite de la tête aux pieds. Le sport en chambre, ça fait transpirer. Et quand votre binôme de plaisir vous rend toute chose, cette personne vous fait mouiller. Je sais que la mignonne rousse luisante de sueur que je suis plaît à Benoit. Combien de fois m'a t-il dit que ça me donne un côté sauvage m'allait bien et qu'il trouve que chez moi, c'est joli ? Chez moi, ça rentre par une oreille mais ça ne sort surtout pas par l'autre, ces paroles.

 

Ce matin, malgré la nuit d'amour qu'on a passé, Benoit et moi, je ne suis pas rassasiée. Et lorsque Benoit me bouffe des yeux comme il le fait là, ça n'arrange rien à l'affaire. Je ne peux pas me défaire de cette envie irrépressible de faire l'amour. C'est plus fort que moi. Ne dit-on pas que ça fait partie des petits plaisirs de la vie ? J'aime les plaisirs. J'aime le plaisir. Benoit est sur la même longueur d'onde...

 

 

Je me sens feu follette. Je suis en train de m'en donner à coeur joie. J'ai le temps cœur qui bat la chamade. J'ai le vent en poupe. Ce sont des sensations que j'aime ressentir. J'aime la sensualité et l'érotisme. Je raffole des préliminaires. Ça m'ouvre l'appétit. C'est l'entrée qui exacerbe les sens et qui titille les papilles. Le plat de résistance ? C'est lorsque Benoit me pénètre et qu'il me fait l'amour. Je ne contrôle plus les mouvements de mon corps. Des vagues de plaisir se succèdent en moi alors que mon sexe mouillé coulisse sur celui en érection de Benoit. Benoit n'aura aucune difficulté lorsqu'il sera en moi. Mon souffle est court. Mon cœur palpite si vite. Je prends du plaisir.

C'est toute une atmosphère qui se crée, ce matin. Je me sens si bien. Je ne pense pas à mon travail, aux tâches quotidiennes ou aux factures. C'est un moment privilégié que je vis avec Benoit, un peu comme si le temps s'est arrêté. Seuls notre amour et notre intimité comptent. Benoit me témoigne qu'il m'aime lorsqu'il me regarde et qu'il me touche. Benoit a envie de moi quand il est en érection, quand son sexe va et vient à l'intérieur du mien. Notre amour, c'est un mélange de lui et de moi. Notre plaisir, c'est un cocktail de nos fluides sécrétés. C'est si... bon de sentir que mon vagin a éclos pour qu'il accueille le pénis de Benoit. Ce n'est plus un secret pour lui que j'aime le sexe. J'apprécie ça tout particulièrement lorsque c'est sensuel et langoureux. Je chevauche Benoit. Je le fais comme je l'entends. C'est comme ça. Cependant... Je ne tiens plus en place. J'ai envie...

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Moment câlin 3

Publié le par Plaisir d'écrire

Oui. Je le suis, inspiré. Ce sont l'amour et la passion qui sont en train de s'exprimer, là. C'est Laura, tout entière, qui m'inspire. Dans un coin de ma tête, j'ai des bribes de paroles qui me viennent. Quand l'inspiration est là, il ne faut pas la museler. Surtout pas. Dans un coin de ma tête, c'est ce que je fais. Dans un coin de ma tête, je me laisse inspirer par ma muse.

Voir Laura me dévorer du regard, entendre Laura me dire tout ce qu'il lui passe par la tête... C'est décidément un beau spectacle qu'elle m'offre.
 
Sur un coup de tête, moi aussi, je porte une main sur Laura. En confiance, inspiré, ma deuxième main se joint à la fête. Laura m'a dit que mes mains et ma bouche lui manquaient ? Qu'elle se rassure. Plus pour très longtemps. La preuve ! Mes mains sont là, sur elle. J'entends Laura soupirer. Ce son m'inspire car il m'émoustille. Je veux pousser le bouchon un peu plus loin encore. Ma bouche se pose sur la sienne. Là. Je goûte de nouveau à ses lèvres. Elles ont beau avoir de moins en moins ce goût de cerise... J'ai et je garde le même plaisir lorsque je l'embrasse, Laura. Qu'en est-il, d'elle ?
 
Il ne faut pas que je cherche midi à quatorze heures. La seule façon pour moi de savoir si ça plaît toujours autant à Laura, c'est de le lui demander. La plus belle des réponses qu'elle me formulerait, ce serait qu'elle me dise que je la désire et que je m'y prends bien. En fait, ce serait la réponse de tout à l'heure, lorsqu'elle m'a avoué que son fantasme était que je sois à quatre pattes pour qu'elle me fasse un anulingus. Là. C'est à présent que je dois savoir. Je la regarde, Laura. Je lui adresse un sourire. Sa réponse ? Elle répond à mon sourire.
 
 
- Benoit... Qu'est-ce que t'es beau. Continue de sourire. De ME sourire. C'est comme ça aussi que tu me plais.
 
 
Ce qu'elle vient de dire, ça me va droit au cœur. Ça me donne chaud. Que ce soit ELLE, ma toute première petite amie qui prononce ses mots, ça revêt pour moi une valeur toute particulière.
 
 
- Laura... Quand tu me parles, je réponds de rien. Continue de me mettre en confiance. Continue de l'aiguiser, ma confiance. Tu t'y prends si bien.
 
- Benoit...
 
 
Ah la voix douce et caressante de Laura... J'ai beau m'y habituer... Ça me fait encore tout bizarre d'entendre une femme me parler, de l'écouter me dire des mots d'amour. C'est en ce moment même que je réalise pourquoi on a l'habitude d'en faire tout un plat, de l'amour. Je comprends mieux, alors. Parce que c'est à mon tour d'être tombé amoureux, aujourd'hui. C'est un sentiment agréable lorsqu'on s'imprègne de l'amour qu'un être nous porte. C'est un je-ne-sais-quoi d'incomparable pour moi aujourd'hui car c'est tout simplement tout nouveau dans ma vie. Je veux profiter de ces moments particuliers à leur juste valeur car ils sont uniques. Laura est belle, et je suis bien avec elle. Laura me rend heureux, et c'est d'elle dont je suis amoureux. Oui. Les moments câlins sont uniques et ils sont à croquer à pleines dents. C'est ce que j'ai l'intention de faire, avec Laura. Et je sais que je peux compter sur cette jolie rousse, coquine comme ce n'est pas permis.
 
 
Oui. Je sais que je peux compter sur Laura pour qu'elle me rende la pareille. La connaissant un petit plus à présent, depuis notre rencontre dans la loge du Café des Amours mortes, ce serait étonnant qu'elle ne soit pas joueuse. 
 
- Mon Benoit...
 
Les yeux de Laura brillent. C'est une vue qui me bouleverse. C'est décidément un beau moment, ce que nous sommes en train de vivre. Je découvre la beauté et la chaleur des câlins. C'est un délice de sentir le corps de la personne contre le sien. Là, étant donné que la peau de Laura est à nu, j'en apprécie le toucher et la température. Je croque dans la pomme à pleines dents. Je vis le moment présent.
Le corps de Laura m'attire. Le corps de Laura m'appelle. Il est beau. C'est le seul corps au monde qui me plaît. Le corps de Laura est un appel à la volupté et aux plaisirs. Son corps lui en donne, du plaisir, à Laura. Lorsqu'elle est en galante compagnie, son corps en procure tout autant, à cette compagnie. Laura aime le sexe. Laura raffole des plaisirs. Ce n'est plus un secret pour moi. Et c'est un privilège pour moi, d'y goûter à ces plaisirs, en aussi charmante compagnie. Ni une, ni deux, je laisse mes mains posées sur Laura. Je les déplace subtilement. Là. Je me remets à caresser Laura. C'est quelque chose auquel je commence à prendre goût.
J'y prends du plaisir. Mais je pense tout autant au plaisir que ma petite amie a quand je la touche. Mes attouchements ont pour but qu'elle se sente bien. Autant elle aime le sexe, autant les moments câlins la mettent en émoi. Autant le sexe lui apporte des sensations voluptueuses et des orgasmes, autant les moments câlins font battre son cœur fort. Elle se sent particulièrement bien, alors.
 
 

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Micro Nouvelle 19

Publié le par Plaisir d'écrire

Je continue ma balade dans le petit bois qui est à côté de moi. Après avoir trouvé sur mon chemin de belles pierres que je garde désormais dans mon sac à dos, je m'enfonce dans une clairière. Un champignon focalise mon attention. Il brille, translucide. On dirait une méduse...

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Le coup de foudre

Publié le par Plaisir d'écrire

Le coup de foudre

J'ai le don de pouvoir lire en les personnes

Comme dans un livre ouvert. Cette fille est peut-être lambda

Être timide : prison dorée qui l'emprisonne

J'ai un coup de foudre car j'aime bien son aura.

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