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Un moment de répit...

Publié le par Plaisir d'écrire

Je ne peux pas résister à Bérénice, quand elle est comme ça. Pas possible.

 

Nous continuons d’être dans ce moment de répit.

 

Je le veux.

 

Je veux jouir, en compagnie de Bérénice, de ce moment unique où nous renforçons notre amour et notre désir.

 

Je veux que Bérénice se sente bien et qu’elle reprenne un peu des forces.

 

Le plaisir lui va si bien quand elle s’en habille, mais il est vrai aussi qu’il lui prend beaucoup d’énergie quand je lui fais l’amour parce que je m’efforce, inexorablement, à lui en donner le plus possible. Je ne fais que lui donner au centuple tout l’amour, tout le désir, tout le plaisir… et toute la jouissance qu’elle m’offre en cadeau.

 

Je veux qu’elle reprenne un peu des forces parce que je m’apprête de manière imminente à m’occuper de son anus…

 

Et pour qu’elle puisse être à l’aise, prendre le plus de plaisir possible… et le savourer, Bérénice doit reprendre des forces.

 

Ce que j’ai en tête pour elle ?

 

Un cocktail délicieux et savoureux fait à base de caresses, avec mes lèvres… ma langue… mes mains… mes doigts. À base de mots, tantôt doux et amoureux, tantôt salaces et osés. À base d’amour et de désir. À base de sensualité et de sexe.

 

Jusqu’à présent, je n’ai donné qu’un avant-goût de ce cocktail de plaisir et de jouissance à Bérénice. Mais… et comme je l’ai dit et comme je l’ai fait plus tôt, moi aussi… j’ai un cinquième as… Et il faut dire que… moi aussi… je cache bien mon jeu… J’AI L’INTENTION DE FAIRE JOUIR BÉRÉNICE et je me donnerai les moyens pour y parvenir.

 

Son beau petit cul d’amour…

 

Je l’aime bien.

 

Je l’aime.

 

Je l’adore.

 

J’en suis raide dingue. J’en suis tombé fou.

 

Mes lèvres… Ma langue… Bérénice les a déjà senties sur elle… en elle, quand je m’occupais de son minou. Elles m’ont aussi servi quand je lui faisais cette feuille de rose…

 

Mes doigts… Bérénice les a déjà sentis sur elle, en elle, au tout début de notre câlin, quand j’ai commencé à m’occuper d’elle et à la caresser… Ils m’ont aussi servi quand je l’ai doigtée…

 

Cette fois, ils vont me servir pour que je puisse lui pénétrer son mignon petit anus...

 

 

 

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2

Publié le par Plaisir d'écrire

Viens...

 

C'est

Ce que

Tu me

Dis

 

Alors que

Je

Suis

En train

D'admirer

Tes

Seins

 

Parce que

Je les

Adore :

 

Ce sont

Les

Plus beaux

Seins

Que j'ai vu

Jusqu'à présent ;

 

Alors,

Je viens

A toi

 

Et je

T'embrasse

Une nouvelle

Fois...

 

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1

Publié le par Plaisir d'écrire

Tes

Seins

Sont

Beaux...

 

Ni trop

Petits,

Ni trop

Gros...

 

Je les

Aime...

 

Je t'ai

Enlevé

Ton

Soutien-gorge

 

Et j'ai

Encore

Plus

Envie de

Toi.

 

J'ai

Même

Plus

Qu'envie

De

Te faire

L'amour.

 

Ma chérie...

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Manon

Publié le par Plaisir d'écrire

Manon... Tu me fais revivre: moi qui avais cessé

De rêver du beau sexe, et, en plus de croire

Qu'il était possible de vivre une nouvelle histoire,

C'était ce que j'avais pensé...

 

Manon... C'était jusqu'à temps que je te vois passer,

Rien que le fait de te parler et de te voir,

Cela me redonne l'espoir

De rêver et d'envisager...

 

Manon... Tu as les cheveux bruns, longs, et tu as

Le sourire; tu as vingt-cinq ans: plus jeune que moi

Mais tu vois... ces détails... ça n'a pas d'importance...

 

Ô Manon... Je tire des plans sur la comète

Et tu n'es pas la seule femme de la planète

Mais... Tu es la seule pour qui j'ai de l'attirance.

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Bacchanale, seul

Publié le par Plaisir d'écrire

Orgie à la romaine, sauf que je suis seul,

Un verre de vin à portée, sur le table de chevet,

Je me mets à réfléchir, je me mets à penser,

Je me mets à nu, et puis, du coin de l'oeil,

 

Je ne fais appel qu'à mon orgueil,

Toute raison s'est maintenant évaporée

Et, puisque tu es partie, je ne vais pas pleurer

Alors que je vais de l'avant, et suis au seuil

 

D'une nouvelle période, d'une nouvelle ère: tout à refaire

Car, quand le seul être qui compte n'est plus sur Terre

Ou, plutôt...quand il a dit qu'il voulait partir...

 

La réalité frappe soudain, d'un seul coup

Et quand l'amour commence à ne plus avoir le même goût,

C'est un verre de vin qui me donne du plaisir.

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La plus jolie des femmes

Publié le par Plaisir d'écrire

Les fesses de Bérénice sont si douces.

 

J’aime les embrasser.

 

J’aime les lécher.

 

J’aime les mordiller.

 

J’aime les prendre à pleines mains.

 

Bérénice sait que je les aime, ses fesses.

 

Et, quand elle est comme ça, à quatre pattes, que je suis collé à elle, torse contre dos, et que mon pénis se colle à son derrière et qu’il coulisse contre lui, à mes yeux, il n’y a rien de plus beau, de plus émouvant, de plus jouissif.

 

Parce que ce que nous vivons là, rien que nous deux, ce n’est que du bonheur. Ce n’est que de l’amour. Ce n’est que du désir. Nous sommes si bien dans notre nid d’amour.

 

Nous donnons libre cours à notre imagination, et nous nous faisons tout ce qui nous semble être bon, l’un et l’autre. C’est tout ce qui compte.

 

Nous nous faisons du bien, l’un et l’autre. L’un à l’autre.

 

Nous sommes si bien, dans notre lit. Ce premier lit qui est véritablement le nôtre.

 

Et des matins comme celle-ci, j’en veux, mais tous les jours !

 

Je me souviendrai pour le restant de mes jours de ce matin. Je me remémorerai chaque chose que j’ai faite à Bérénice. Chaque geste… Chaque baiser… Chaque caresse… Chaque morsure… Chaque léchouille… Son goût… Sa cyprine… Son anus… Sa poitrine lourde, juste comme il faut…

 

Et quand je me masturbe entre ses fesses et qu’elle me laisse faire, quand mes yeux sont dans ses yeux et qu’elle me regarde avec les yeux d’une amoureuse, je me sens l’homme le plus heureux du monde. Parce que Bérénice me donne toute sa confiance et qu’elle est à l’unisson avec moi.

 

Bérénice est, pour moi, la plus jolie femme du monde. Elle est celle que j'aime plus que tout. Celle qui a le beau sourire. Celle qui a les plus jolies lèvres. Celle qui a la plus jolie des poitrines. Celle qui a le plus beau corps. Celle qui a le plus joli minou du monde… ce minou que j'aime lécher et manger, à la folie. Celle qui a le plus beau cul. Celle qui me donne envie de lui lécher le petit trou.

 

Bérénice est sexy.

 

Si, si ! Je vous jure !

 

Vous ne la connaissez probablement pas, mais moi, je peux vous dire que dans l'intimité, elle n'est pas la Bérénice que l'on croise, quand elle est vétûe de sa tenue d'étudiante sérieuse… Dans l'intimité de notre chambre, c'est une toute autre Bérénice à laquelle j'ai affaire…

 

Elle est sensuelle. Elle est craquante. Elle est irrésistible. Elle est… coquine… Cochonne, même, à certains égards.

 

Elle me donne envie d'elle, plus que tout.

 

J'ai toujours autant envie d'elle, plus que tout...

 

 

 

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C'est si bon...

Publié le par Plaisir d'écrire

J’ai comme l’impression que Bérénice lâche du lest et qu’elle ne pense plus à rien.

 

Elle ne pense plus qu’à nous deux. Elle est corps et âme et sexe, à moi.

 

Elle est si belle. Le plaisir lui va si bien.

 

Sa peau a rougi du fait qu’elle a pris beaucoup de plaisir depuis tout à l’heure et que je me suis occupé d’elle, toute entière.

 

Ses yeux sont mi-clos, et elle a un beau sourire aux lèvres.

 

Oh… oui… Le plaisir lui va si bien.

 

Elle reprend son souffle. Elle en a besoin.

 

Elle va en avoir besoin parce que je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin : j’ai encore envie de lui faire l’amour et de lui donner plus, bien plus, encore plus, toujours plus de plaisir. Je n’en ai pas fini avec son petit cul…

 

Bérénice est encore et toujours à quatre pattes. Moi ? Mon torse épouse toujours autant son dos. Nous sommes collés l’un à l’autre. Nous sommes à fleur de peau, au sens physique du terme. Nous aimons beaucoup ça, que nos corps se caressent et se touchent. Se rencontrent.

 

Nos lèvres se rencontrent. Se touchent. Se goûtent. Se caressent.

 

Bérénice et moi, nous aimons beaucoup ça, nous embrasser. Nous y prenons… beaucoup de plaisir.

 

Nous jouissons de ce moment de répit pour renforcer l’amour et le désir que nous avons l’un pour l’autre.

 

Bérénice a les cheveux lâchés, et je sens leur contact pendant que je l’embrasse et que je continue d’être allongé sur elle, ma poitrine contre son dos.

 

Ma poitrine contre son dos, je sens son corps qui est un peu en sueur. Ce contact est agréable…

 

Je suis si bien avec elle. Et… je sais qu’elle se sent à l’aise quand elle est dans mes bras ou bien quand son corps est contre le mien.

 

Telle une jeune chatte avide et en recherche de caresses, Bérénice fait en sorte que nos deux corps se touchent beaucoup. Elle raffole de ça, la petite coquine !

 

Je suis en érection. Et alors que je continue d’embrasser et de caresser Bérénice, je m’arrange pour que mon sexe se frotte à ses fesses.

 

Et Bérénice le sent contre son beau petit cul, mon pénis… Même si je la domine puisque je suis allongé sur elle, elle joue un peu de ses fesses pour faire en sorte que mon membre coulisse. C’est si bon…

 

Bérénice adore que je m’occupe d’elle, toute entière, et que je lui donne du plaisir. Beaucoup de plaisir… Mais, et elle me l’a déjà dit, la tête sur l’oreiller, après que nous ayons fait l’amour : elle se sent belle, désirée et séductrice quand elle m’en donne. C’est son souci à chaque fois : que je prenne du plaisir et que je jouisse. Elle a besoin de savoir ça, Bérénice. Parfois, elle n’a pas besoin de me parler. Il ne suffit que d’un regard de sa part pour qu’elle me demande. En réponse, je caresse ses cheveux. Je hoche la tête. Je lui souris. Je pose une main douce sur sa joue. Je prends son visage entre mes mains. Je l’embrasse tendrement. Je lui dis que je l’aime. C’est aussi simple que ça. Je prends déjà beaucoup de plaisir quand elle m’embrasse et qu’elle me dit qu’elle est toujours aussi folle de moi. Le fait qu’elle s’occupe de moi et qu’elle me fasse jouir, c’est du bonus à l’état pur.

 

Je sens que mon sexe est si dur. Ça en est presque douloureux. Pourtant, le fait que Bérénice fasse coulisser son joli petit postérieur contre ma queue, c’est si bon...

 

J’en profite alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient contre ses fesses. Je m’y masturbe un tout petit peu. C’est si bon…

 

Ma petite amie, elle, elle sent bien que je me masturbe. À entendre les petits bruits de plaisir qu’elle se remet à émettre, ça lui plaît. Ça lui plaît… beaucoup.

 

Tous les deux, nous avons beaucoup de plaisir...

 

 

 

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Fantasmes, fantasmes...

Publié le par Plaisir d'écrire

Laura m’avait demandé, plus tôt dans la soirée, de verser quelques gouttes d’huile de massage sur ses seins. Puis, tenant ses seins dans le creux de ses mains, elle m’avait demandé de les lui masser. J’y avais pris beaucoup de soin… et beaucoup de plaisir. Mais… ce n’était rien comparé au plaisir qu’elle avait tiré de ces attouchements, de ces caresses, de ce massage.

Je l’avais caressée…

Je l’avais léchée…

Je lui avais donné du plaisir…

Nous nous étions déshabillés. Nous étions entièrement nus, tous les deux, dans cette chambre. Sur ce lit que l’on avait bordé de milliers de pétales de rose. Laura avait profité et joui de ma nudité. Elle en avait rêvé depuis si longtemps. Ça faisait partie de ses fantasmes, quand elle pensait à moi intensément, inexorablement. C’était alors impossible pour elle de se calmer et de penser à autre chose.

Penser à moi… M’imaginer, dans le plus simple appareil… S’imaginer la taille, la grosseur, l’aspect et le goût de mon membre… Dès lors qu’elle y pensait, c’était fini. Plus rien d’ autre ne comptait aux yeux de la jeune femme.

C’était la première fois qu’elle me voyait tout nu…

Elle n’en avait pas perdu une seule miette…

Elle n’arrivait pas à y croire…

J’étais bel et bien à elle. Corps et âme et sexe.

The Other Side du groupe américain Toto…

Ses fantasmes, ils étaient bel et bien là, dans un coin tout proche, tout chaud de son esprit. Ses fantasmes, ils ne la quittaient plus, surtout à ce moment-là où elle était à quatre pattes et qu’elle me faisait face. Elle était dans la plus dénudée des tenues, et je l’étais moi aussi. Nous étions Adam et Ève. Telle une Ève mais des temps modernes, Laura m’était donné la pomme de la tentation. Elle m’avait donné le fruit défendu et moi, j’y avais succombé. J’y avais plus que facilement goûté. Il n’y avait plus rien à faire, à présent. Les dès étaient jetés, et j’étais à Laura. Corps et âme et sexe.

Laura me faisait face. Et pourtant… C’était moi qui étais dans sa ligne de mire. Après tout, c’était MOI, sa chasse gardée. C’était MOI, l’homme sur lequel elle fantasmait depuis un bon moment maintenant, l’homme qu’elle désirait et avec qui elle avait inexorablement envie de coucher.

Et là, ses magnifiques seins coulissaient en rythme, autour de mon sexe. Et quand ils y passaient, ce n’était que pur délice. Oh… oui…

Send It to Me de Gladys Knight…

J’avais beau être dans la ligne de mire de la jeune femme, moi aussi… je la voyais bien. Je l’observais. Ses nichons alléchants coulissaient et enserraient mon pénis, avec un rythme régulier, par intermittence. Tels des cloches qui sonnent et résonnent dans une église ou bien une cathédrale, ils tressautaient, ballottaient. Ils se balançaient, au rythme des mouvements de Laura. C’était une très belle vision pour moi que de les voir s’agiter de cette manière. Ils formaient une jolie sortie de tunnel qui entourait plus qui se retirait de ma queue.

Et, quand elle faisait ça et qu’elle le refaisait, Laura ne pouvait s’empêcher de me regarder dans les yeux. Rappelons-nous que j’étais sa chasse gardée ! La priorité et le souci de Laura étaient de m’offrir le plus de plaisir possible. Elle veillait… Elle s’assurait que je me sente toujours aussi bien. Elle s’assurait que je prenne toujours autant de plaisir. À ce moment-là de nos ébats, plus rien d’autre n’avait d’importance pour elle. Le plus important pour elle, c’était moi.

Tainted Love de Gloria Jones…

Que Laura était belle, telle qu’elle était, dans cette position. Une position digne qui ressemblait à l’allure d’une tigresse. À quatre pattes. Une position… lascive. Une position somme toute… sensuelle. Laura s’amusait avec ses seins. Elle aimait bien les passer et les repasser autour de mon sexe. Elle jouait de sa poitrine bénie des dieux : ses seins, telles des cloches, se balançaient. J’aimais beaucoup quand je pouvais voir ça.

– Tu aimes ça, Benoit ? Tu aimes quand mes seins bougent sans arrêt ?

Je n’ai pas répondu. Je n’ai fait que gémir. C’était si bon… il faut dire. Le plaisir était si délicieux à prendre et à ressentir. Il avait définitivement pris possession de moi… Et quand elle passait et repassait ses putains de seins magnifiques autour de mon membre tout dur, gorgé de désir, de plaisir… et de sperme… Laura faisait durer ce supplice.

Elle en avait tellement rêvé, Laura ! Rappelons-nous qu’avant de me rencontrer, j’avais tapé dans l’œil de Laura. Elle avait été séduite le personnage que j’étais sur scène. Depuis ce moment précis, j’étais devenu le seul objet de ses pensées… plus ou moins innocentes. Et quand elle pensait à moi, ça l’excitait instantanément. Beaucoup. Elle n’arrivait plus à se calmer. Elle avait des papillons dans son ventre. Elle avait chaud. Sans même qu’elle ait fait quoique ce soit, elle se savait et elle se sentait mouillée. Elle ne pensait plus à rien d’autre que de se toucher, se caresser, se doigter… et enfin de se pénétrer avec son vibromasseur en faux cristal ou bien avec le gode qu’elle préférait et qui lui donnait le plus de plaisir, à ses yeux.

Prendre ma virilité entre ses seins et me branler avec, ça avait fait partie de ses fantasmes, aussi. Et quand elle y pensait, elle se disait que moi aussi, je pourrais aimer ce traitement qu’elle offrirait à ma baguette magique et sexuelle. Elle avait rêvé et fantasmé, de temps à autre, qu’elle me prenait entre ses doux et généreux monts d’amour. Ses seins auraient été lubrifiés avec de l’huile de massage, du lubrifiant ou bien tout simplement avec de la salive. Puis, elle aurait fait coulisser ma queue dans le clivage de sa poitrine merveilleuse. La belle rousse s’était imaginée, alors, qu’elle userait et abuserait d’un rythme varié pour me donner du plaisir… et pour me faire jouir. Tantôt un rythme lent, langoureux, moelleux. Et tantôt un rythme plus vif, plus marqué, plus intense.

Depuis que nous nous sommes rencontrés à la fin de la soirée, juste après notre concert, là-bas, au café des Amours mortes, Laura m’avait conquis. J’avais succombé. J’étais plus que jamais à elle. Corps et âme et sexe. C’était ainsi que, de fil en aiguille, elle avait déjà pu réaliser une partie de ses fantasmes. SES FANTASMES… Et, non seulement elle pensait à ses fantasmes et à ses séances de plaisir en solitaire par le passé, elle pensait aux fantasmes que je pouvais avoir, moi aussi, et aux désirs que j’avais refoulé jusque-là. Ça aussi, ça comptait beaucoup pour elle. Et elle n’avait pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin, Laura… Oh… non…

C’est ainsi qu’elle changea de posture, de position, et que ses seins cessèrent de me frôler, me taquiner, me toucher, me caresser, de me masturber.

Elle était encore à quatre pattes, mais cette fois, c’était davantage à califourchon qu’elle était. J’étais allongé, et elle, elle était au-dessus de moi. De sa position, Laura semblait me dominer. C’était tout comme. À califourchon, elle était telle une Amazone au-dessus de moi. Majestueuse. Elle me chevauchait. Sa poitrine gironde était mise en avant, et vraiment, elle était magnifique. Je ne pouvais pas détacher mes yeux d’eux deux. Laura était magnifique. Je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Impossible. Telle une Amazone, elle me chevauchait, et elle était irrésistible, ses longs cheveux roux lâchés.

Celebration de Madonna…

De là où j’étais, idéalement placé et confortablement installé, j’avais une vue parfaite sur Laura, et, je l’avoue : je ne perdais pas une miette d’elle. Je me rinçais l’œil.

Ses seins ronds étaient particulièrement beaux. Irrésistibles. Pleins. Putain de parfaits… Oh… oui… Ses tétons, eux, étaient durs. De véritables diamants de chair. Allongés. Ils pointaient. Ils pleuraient de désir et de plaisir.

De là où j’étais, je voyais bien que ma coquine de partenaire était en sueur. Sa peau brillait et luisait de sueur, et, sur elle, c’était joli. Une belle image…

De là où j’étais, je voyais bien les yeux de Laura qui brillaient. Ils étaient mi-clos. Laura était submergée, ravagée par le désir. Ses pupilles étaient dilatées. Elle ne me quittait pas des yeux une seule nanoseconde. Elle savait pertinemment, au plus profond d’elle, qu’elle était imploser. Qu’elle allait finalement finir par exploser. Elle ne pouvait plus résister au désir. Elle ne voulait plus résister. C’était aussi simple que ça.

Ce n’était plus qu’une question de temps… C’était imminent…

Quand soudain… L’explosion eut lieu…

The Sweetest Perfection de Depeche Mode…

Laura se pencha vers moi, sur moi. Elle se pencha pour m’embrasser. Elle moula ses lèvres sur les miennes. Elle les caressa. Elle les picora. Dans le même temps, je pus sentir ses gros seins se poser contre ma peau et la caresser.

Hmmmm…

Laura continuait de m’embrasser, inexorablement.

Puis, elle s’arrêta net, braqua ses yeux dans les miens, de manière particulièrement intense et elle me dit :

– Benoit… Benoit… Benoit ! Baise-moi ! Je t’en supplie… !

Sur ce, elle reprit sa position d’Amazone. En Andromaque. Je sentis son sexe frotter contre le mien. Je pus sentir le sexe tout mouillé de la jolie Laura.

Putaaaaiiiinnn…

Qu’elle était douce…

Qu’elle était chaude…

Qu’elle était… trempée…

Que c’était bon… !

Ce jeu dura quelques minutes.

Et puis, à un moment, Laura mit un terme à ce jeu. Elle fit un mouvement qui libéra ma queue.

Laura finit par s’empaler sur mon sexe. Mon sexe, tel un pieu, était en elle, enfoncé dans son antre toute mouillée.

Mon réflexe, quand je sentis que je pénétrais Laura, fut de fermer les yeux et de savourer les sensations diverses et variées que je ressentais alors que mon sexe était dans celui de Laura.

J’entendis Laura gémir puis crier...

 

 

 

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Capécure

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu verras

Un quartier

En plein changement:

 

Il va connaître

Une nouvelle vie

Dans le futur.

 

C'est en train d'être

Reconstruit

Pour être beau.

 

Là,

Tu sens l'odeur

Du poisson:

 

Premier port

De pêche

De France.

 

Ça ne te donne peut-être pas envie

Et pourtant...

Boulogne sur Mer.

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Lucile

Publié le par Plaisir d'écrire

J'ai une dizaine d'années, je suis en centre aéré,

Je ne pense à rien du tout, rien ne peut m'arriver;

Les journées se suivent et se ressemblent

Et moi, je ne me pose pas la moindre question...

 

Début des années deux mille: je vis le temps,

J'apprécie tous ces moments, et je suis content;

J'ai perdu des personnes chères, mais ça reste en moi,

Personne n'en saura jamais rien, et c'est bien comme ça...

 

Elle, je la vois... Et je la regarde dès que je peux,

Elle, je n'en suis pas insensible, et, juste nous deux,

Je vois, et elle me plaît: je n'ai d'yeux que pour elle...

 

Elle a mon cœur depuis la seconde où je l'ai vue,

Timide, discrète, mignonne: je vois ses lèvres qui remuent:

C'est ainsi qu'elle m'apprend qu'elle s'appelle Lucile.

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