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Summer Has Gone

Publié le par Plaisir d'écrire

Verse 1

Summer's gone

And we have to say goodbye,

She and I,

It's quite scary

How fast time flies,

It's quite scary

 

Break 1

It was obvious

That it couldn't last forever

But I keep her in my mind

 

Chorus

She looked so fine

That it was just

Love at first sight;

She looked so fine

But it was obvious it couldn't last

Now summer has gone

 

Verse 2

I won't get this summer

Out of my mind,

I don't know if I'm your kind

And I don't even know

How long it's gonna last,

I don't know

 

Break 2

I have no idea

About what she may be doing,

I have no idea at all

 

Chorus

 

Verse 3

I got your voice in my ears,

I got your face in my mind too,

I can't stop thinking of you,

You have no idea

About the way I feel,

You have no idea

 

Break 3

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Break 4

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0

 

Chorus

 

Chorus

 

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Câlin cunni...

Publié le par Plaisir d'écrire

– Écarte les jambes, s'il te plaît, Bérénice…

Elle glousse.

Elle se doute que j'ai envie de la lécher.

Elle, elle aime beaucoup ça.

Elle est très ouverte, sensuellement ET sexuellement parlant.

Elle aime beaucoup que je m'installe entre ses gambettes.

Elle aime que je la regarde avant que je ne ferme les yeux, que je ne soupire et que je dépose un petit bout de langue sur sa vulve.

Elle mouille déjà beaucoup.

Ce n'est que pur plaisir de lui donner du plaisir ainsi.

Elle mouille déjà beaucoup. Ma langue coulisse alors à merveille sur son abricot.

Elle halète.

Elle soupire.

Elle gémit.

– Mon chéri… Mon chéri… Oui… Oui… Oui !

Oh oui, bébé ! Moi aussi, j'aime te faire l'amour.

J'aime te lécher, et je ne m'en lasse pas.

Je t'aime te lécher, et je n'ai pas envie de m'arrêter, en si bon chemin...

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Valentina

Publié le par Plaisir d'écrire

Verse 1

This is a rainy day,

What else can I say?

One more time

And I'm wandering in town;

I don't know what to do

And I don't know where to go too,

The day hasn't been over yet

But it sounds like that;

I don't wanna be back home,

Thinking about her again and again,

I feel good outside

 

Break

It's only when I think about this and that,

This girl comes in my life

 

Chorus

Oh Valentina,

What have you done to me?

I can't think like I used to think

Previously

And now,

You put my life upside down,

Valentina

 

Verse 2

It's been a beautiful day

Whatever they say,

To some extent,

There must have been some misunderstanding

But it won't make her come back

And I got nothing left to work,

I gotta move on;

Whatever they say,

The girls don't come day by day

Ten by ten,

I'm sure of it,

It's the same thing

About sirens call,

It doesn't mean anything

 

Break

 

Chorus

 

Break

 

Chorus (x2)

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Bruges

Publié le par Plaisir d'écrire

Nous venons de nous garer,

Pas très loin d'un parc,

Nous venons d'arriver

Et, déjà,

Nous en prenons déjà plein les yeux...

 

Bruges...

 

La nature,

C'est ce qu'il y a à des kilomètres à la monde,

Quelques heures de voiture

Et, nous voilà,

Une journée sous de bonnes augures...

 

Bruges...

 

Il fait beau

Et, nous aimons déjà,

Il y a de l'eau,

Pas très loin,

Ce n'est que le début...

 

Bruges...

 

Nous nous mettons en marche

Et, Bruges

Nous appelle, mais se cache

Mais, ce n'est rien

Puisque l'on avance...

 

Bruges...

 

Nous avons de la chance

Parce que le temps est de la partie

Et, pendant que l'on avance,

C'est très joli

Tout autour de nous...

 

Bruges...

 

La nature côtoie la ville

Et, nous voyons de l'eau,

Nous voyons une île,

Nous voyons quelques cygnes

Qui se baignent en toute quiétude...

 

Bruges...

 

Les cygnes sur l'eau

Et nous, sur la terre,

Que c'est beau,

C'est une belle journée

Mais, nous sommes loin d'avoir tout vu...

 

Bruges...

 

Il n'y a que des gens autour de nous,

Nous ne sommes donc pas seuls,

C'est fou

Comme cet endroit attire autant de gens,

Oh...

 

Bruges...

 

Les cygnes côtoient les hommes

Et la ville, ou presque,

Les hommes et les femmes

S'émerveillent

De ce beau spectacle...

 

Bruges...

 

Et, quand on avance de plus en plus,

On délaisse un peu la nature

Et on s'amuse

Alors que les pavés

Annoncent la ville à venir...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

La nature est quand même encore là

Malgré tout

Et, elle nous laisse sans voix

Et tant mieux

Parce qu'il fait beau...

 

Bruges...

 

Nous marchons sur des pavés

Et la ville nous montre

Le bout de son nez

Parce qu'on voit des maisons,

Des gens...

 

Bruges...

 

Nos yeux se posent

Dès qu'ils voient

La moindre chose:

Des gens, des animaux,

Des jolies maisons...

 

Bruges...

 

Et, alors que nous avançons

Et qu'on s'approche de la ville,

Les oiseaux chantent leurs chansons,

Nos oreilles écoutent

Et en gardent déjà des souvenirs...

 

Bruges...

 

Quand on regarde à droite

Et puis, à gauche,

On a hâte

D'en découvrir davantage,

À commencer par ce qu'il y a, tout près...

 

Bruges...

 

Des maisons d'un autre temps

Côtoient le contemporain

Et, ce qui est frappant,

C'est l'harmonie et le charme

De tout ça...

 

Bruges...

 

À gauche, un édifice religieux,

Un béguinage,

À droite, le lac des amoureux,

C'est ce que dit une légende

D'un autre temps...

 

Bruges...

 

C'est d'ailleurs dans ce lac

Que les cygnes se baignent,

Quant à nous, sac

Sur le dos,

Nous continuons la balade...

 

Bruges...

 

C'est une longue journée

Que nous avons devant nous

Et elle ne fait que commencer:

Le béguinage et ses jardins à gauche,

Le centre historique, tout droit...

 

Bruges...

 

Des maisons blanches,

Et un jardin autour,

Rien ne dérange

Le charme de ce lieu:

Le béguinage...

 

Bruges...

 

Des gens,

À pied ou à vélo,

On les entend

Mais c'est ce qui fait le charme

De cette ville...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

On avance

Et nos yeux sont partout,

On maintient la cadence

Et on ne rate rien

De ce qui s'offre à nos yeux...

 

Bruges...

 

Des maisons d'une autre époque

Côtoient le présent,

On prend une claque

Quand on découvre quelque chose de nouveau,

Vivement la suite...!

 

Bruges...

 

Nous continuons la balade,

Main dans la main,

On a le cœur qui bat la chamade

Dès que quelque chose s'offre

À nos yeux...

 

Bruges...

 

On pourrait se croire

Au Moyen-Âge

Ou bien à une autre époque de l'Histoire

Parce qu'il y a des églises

Et des immeubles...

 

Bruges...

 

Ce sont des bâtiments

Au style typique d'ici

Et ça fait que c'est charmant

Et que l'on y voyage

Pour une journée ou plus...

 

Bruges...

 

Plus on est en ville,

Plus ça s'anime,

Elle semble tranquille

Et l'on s'imagine alors y vivre,

Qui sait...

 

Bruges...

 

Des senteurs de glaces,

De thés, de cafés, de gaufres

Nous laissent sur place

Et, il n'est pas question de partir

Dès lors...

 

Bruges...

 

C'est comme si

On voyageait dans le temps

Quand on est ici:

Le beffroi... L'hôtel de ville...

La grand'place... Les canaux...

 

Bruges...

 

Du soleil et de la chaleur

Comme s'il en pleuvait,

Du bonheur

Et des souvenirs

Pour la journée, et pour la vie...

 

Bruges...

 

La grand'place

Est entourée de monuments,

De restaurants, de marchands de glaces

Et de lieux où l'on boit le thé,

On y fait beaucoup de choses...

 

Bruges...

 

Tellement de lieux,

Tellement de choses à faire,

Tellement à filmer avec les yeux

Que ça paraît impossible à faire

En un jour...

 

Bruges...

 

Des chocolats,

Des gaufres:

Le sucré, là;

Des moules-frites, un plat typique:

Le salé, ici...

 

Bruges...

 

Le ciel est beau,

Ensoleillé,

C'est un jour nouveau,

Un jour de plus

Dans ce qui semble être un paradis...

 

Bruges...

 

Il n'y a pas de paradus

Sur Terre

Mais, ici,

C'est tout comme,

C'est un jour à part...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

On voit ceci,

On aimerait faire cela,

On se sent bien ici,

Si bien que c'était possible,

On resterait...

 

Bruges...

 

Les lieux de culte

Côtoient

Le tumulte

Des rues et de la vie,

On s'y plaît...

 

Bruges...

 

Visiter une brasserie

Où l'on fabrique la bière,

Une chocolaterie

Où déguster le meilleur

Des chocolats...

 

Bruges...

 

Payer et s'embarquer

Pour une balade sur les canaux

De cette ville que l'on pourrait qualifier

De Venise du nord,

Tellement il y a de l'eau...

 

Bruges...

 

Nous sommes sur l'eau

Et nous voyons les gens

Qui regardent et qui disent que nous sommes beaux,

Elle et moi,

C'est un jour à marquer d'une pierre blanche...

 

Bruges...

 

Nous écoutons le pilote

De l'embarcation

Mais, peu nous importe

À vrai dire:

Nous nous sentons seuls au monde...

 

Bruges...

 

Sur les berges,

Dans la rue, sur les ponts,

Les gens nous voient sur nos sièges:

Ils nous disent bonjour

En nous saluant de la main...

 

Bruges...

 

À notre tour,

Nous agitons nos mains

Pour répondre à leur bonjour,

Nous sommes bien:

C'est une belle journée...

 

Bruges...

 

Le pilote s'improvise

Guide

Et nous parle avec gourmandise

De sa ville,

Nous, au fond, nous n'entendons presque rien...

 

Bruges...

 

Ou, plutôt,

Nous n'écoutons rien du tout,

Nous sommes sots,

Nous sommes jeunes,

Nous sommes amoureux...

 

Bruges...

 

La journée défile,

La vie

Se déroule

Sans que l'on ne puisse

Y faire quoique ce soit...

 

Bruges...

 

Alors, nous en profitons

Du mieux que l'on peut,

Sans se soucier des problèmes à l'horizon

Que la vie impose,

Nous resterions bien ici...

 

Bruges...

 

La journée se passe

Et, on ne voit pas le temps passer,

On mange une glace,

Une à l'italienne pour toi,

Une deux-boules, citron et menthe, pour moi...

 

Bruges...

 

C'est quelque part

En ville-

Un peu avant notre départ-

Que l'on savoure nos glaces:

Nous sommes bien...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

Nous avons pris des photos

Sur nos téléphones

Pour les montrer, et les montrer de nouveau

À nos amis

Quand on leur racontera notre journée...

 

Bruges...

 

Nous en avons pris

Plein les yeux,

Si bien que nous ne voulons pas partir d'ici

Mais, il le faut,

Il le faut...

 

Bruges...

 

C'est à contrecoeur

Que nous constatons

Qu'il est l'heure

De revenir vers le parc

Où nous avions garé notre voiture...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

Bruges...

 

Nous reviendrons.

 

 

 

 

 

 

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Tu m'aimes

Publié le par Plaisir d'écrire

Ensorcelle-moi comme tu le fais si bien,

Par tes sous-vêtements, mais aussi par toi-même,

Tu me montres à chaque fois que tu m'aimes

Et je n'y peux plus rien, absolument plus rien.

 

Je serai dans la gare, mes yeux cherchant les tiens,

Je cueillerai les sourires que tu sèmes

Et pour moi, ce n'est pas un problème

Si tu as envie de laisser ta main

 

Aller, se promener là où tu veux,

Malgré la nuit, malgré le sommeil délicieux;

Tu m'aimes, et tu n'as même pas besoin de parler:

 

Un sourire sur tes lèvres... une main qui se pose

Et j'ai envie même si le sommeil s'impose

Mais je n'ai pas envie de voir ta main s'en aller...

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Freed from desire...

Publié le par Plaisir d'écrire

Je me relève brièvement et je m’allonge sur elle pendant un très court laps de temps.

Je l’embrasse… Je l’embrasse, partout là où ma bouche peut la toucher : ses oreilles… ses lobes… son front… ses tempes… ses paupières… ses joues… son nez… sa mâchoire… son front… ses lèvres…

Je la désire tellement, Bérénice.

On se regarde, les yeux dans les yeux. Il faut dire que la position s’y prête particulièrement bien.

Nous n’avons même pas besoin de prononcer le moindre mot. Nous nous désirons.

Nous avons follement envie l’un de l’autre. C’est tout ce qui nous importe, en ce moment. Le reste…

Je suis allongé sur elle.

Elle, elle me caresse le dos avec ses mains et… j’aime ça. Ça me fait du bien. Ça me détend.

Bérénice sait s’y prendre avec les hommes. Bérénice sait s’y prendre avec SON homme. Moi… l’homme de sa vie.

Je frotte mon corps contre le sien. Je sais qu’elle aimait sentir le poids de mon corps contre elle.

J’en profite pour que mon sexe se frotte langoureusement contre son bas-ventre.

Je la sens… vraiment mouillée maintenant. Elle est à la limite d’être trempée.

Elle ruisselle.

Ça… me donne envie.

Ça… m’excite.

J’aime tellement faire l’amour à Bérénice, de toutes les manières que ce soit.

Et là, ruisselante de cyprine comme elle l’est, j’ai… particulièrement envie d’elle.

J’ai particulièrement envie de la goûter.

J’ai particulièrement envie de la manger.

Je la regarde dans les yeux. A mon avis, mes yeux sont plein de désir et d’amour.

Je remarque que son cou est à découvert. Je l’embrasse. Je suce la peau fine à cet endroit.

Quelques mèches de ses cheveux châtains cachent l’une de ses oreilles. Du bout des doigts, je les écarte. Puis, j’y porte ma bouche pour en embrasser le lobe. J’y porte mes lèvres pour le sucer. J’y porte la langue pour le lécher.

Bérénice gémit bruyamment et ondule plus du bassin qu’à l’accoutumée.

Elle aussi… en a envie autant que moi. De même, elle porte l’une de mes oreilles à sa bouche et y fait subir le même sort.

Je gémis à mon tour.

C’est bon… très bon… trop bon… si bon…

Puis qu’elle me lèche et qu’elle me suce le lobe de l’oreille, je caresse ses seins lourds parce qu’ils sont à portée de mes mains. J’aime ça.

Je suis, par contre, loin d’avoir oublié mon désir : lécher le minou de Bérénice, juteux à souhait.

Je la regarde et je l’embrasse avec ardeur. Puis, je porte mes lèvres tout contre son oreille.

– J’ai très envie de te donner du plaisir… beaucoup de plaisir. Avec ma bouche… Avec ma langue… Je veux ton plaisir. Je veux que tu jouisses...

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Boys Keep Swinging

Publié le par Plaisir d'écrire

Chorus 1

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging

Even though it's raining

Cats and dogs;

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging,

Even in hard times

 

Verse 1

My friend,

Please don't say

It's all over,

She doesn't know anything

As well as you;

Enjoy good times,

She will come back

Or not,

Whatever happens,

Take care of you

 

Chorus 2

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging

Even though girls are out

Cos there is some misunderstanding;

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging

As they get well

 

Verse 2

My friend,

Don't stay tongue tied,

It's not over,

I believe I know you,

I believe you're not the one

To give it away;

Summer's gone

And she has gone too

But it doesn't mean

This is the final stop,

So come on!

 

Chorus 3

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging

As they believe in love again

 

Chorus 4

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging,

Boys,

Keep swinging,

Boys keep swinging,

Boys keep swinging

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Cariño

Publié le par Plaisir d'écrire

Même avec la distance,

Tu es présente

Et, tu vis en moi

Parce qu'il ne se passe pas un jour

Sans que je ne pense à toi...

 

La distance n'est rien

Si l'on s'aime si fort

Et, bien que ce ne soit pas simple

Tous les jours,

Tu es là...

 

Pourquoi parler de distance

Quand on vit de bons moments?

On parle de tout et de rien

Et, bien que parfois,

Je n'y connaisse pas grand chose...

 

Je m'en fiche de la distance

Parce que tu es bien plus importante,

Toi...

Tu comptes plus que tout au monde

Et... Je t'aime.

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Instrument de ton plaisir

Publié le par Plaisir d'écrire

Mon corps, dans toute son intégralité,

Est ton monument préféré, et tu l'aimes,

Tu l'honores avec tes baisers et tes larmes,

Tu y mets de ta sensualité

 

Et, j'aime tout particulièrement quand l'été,

Je me livre à toi, rien qu'à toi, corps et âme,

Tu te sers de mon corps pour atteindre l'orgasme,

Nue, demi-nue, épanouie, dans l'intimité...

 

Je te prodigue les caresses que tu aimes le plus,

Toucher... Mordiller... Titiller... Lécher; ma puce...

Je VEUX que tu me dises ce que tu désires

 

Et, ton corps sera à ma merci, et pliera,

Puis rompra quand ton orgasme arrivera,

Que tu seras belle quand je t'aurai fait jouir...

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Love Juice

Publié le par Plaisir d'écrire

A présent, je suis en train de m’occuper d’elle.

J’ai deux doigts à présent en elle, qui vont et qui viennent.

Mon pouce dessine des cercles, toujours des petits cercles, sur son bouton de rose.

Je me sers de sa cyprine pour que ça reste agréable.

Je l’embrasse, encore et toujours parce que je ne m’en lasse pas.

Ses cuisses enserrent ma main.

Ainsi, Bérénice aime laisser ma main en étroit contact avec son minou.

Elle gémit.

Elle ne boude pas son plaisir.

Je ne boude pas le mien : celui de lui en donner.

Mes doigts sont en elle. J’aimerais… moi-même… l’être.

Je sens son liquide salé sur mes doigts.

J’aimerais bien… le goûter… avec ma langue.

J’aimerais bien… porter ma bouche à l’entrée de sa porte du plaisir.

Oh oui…

J’en ai envie…

Ce liquide salé, doux et chaud, qui lui coule maintenant entre les cuisses…

Il me tarde de le goûter.

J’ai envie de lécher Bérénice…

Je le veux.

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