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Bérénice, toute entière...

Publié le par Plaisir d'écrire

– Ah… Ah… Mon chéri ! Mon… chéri…

Je m’occupe de ses seins. Je les caresse. Je les palpe. Je les malaxe. Je les titille.

Je les éveille au plaisir.

Je m’occupe de ses seins. Je les prends dans ma bouche. Je les lèche. Je les suçote. Je les suce. Je les aspire.

Je les éveille au plaisir.

Ils pointent, et ça me fait un je-ne-sais-quoi. Ils pleuraient de désir.

Ils pleurent maintenant de plaisir.

Et, je sais que Bérénice prend beaucoup… beaucoup de plaisir lorsque je lui caresse les seins. Ils sont si sensibles, il faut dire…

Tantôt je les embrasse… je les malaxe…

Tantôt je plonge ma tête, et par conséquent, mon visage, dans le creux de ses deux magnifiques seins et je m’enfouis entre eux. Dès lors, Bérénice m’entoure de ses mains libres.

Putain, j’aime…

Et je sais que Bérénice, elle aussi, elle aime…

Et je sais que ça l’excite… que ça l’excite beau-coup quand je m’occupe de ses seins.

Un jour, au téléphone, au début de notre relation, Bérénice m’a avoué qu’un joli texte érotique suffisait parfois à l’exciter… et à la faire mouiller.

Parfois, elle me disait que c’était le cas quand je lui envoyais un extrait plus ou moins d’un récit érotique que j’écrivais ou bien quand c’était un poème. C’est d’ailleurs comme ça que nous nous sommes connus, Bérénice et moi. Nous publions tous les deux des jolis textes savoureux sur une plateforme d’écriture érotique, à ce moment-là.

Nous nous sommes rencontrés ainsi, et nous nous sommes plu dès cet instant-là. Et depuis… nous sommes ensemble. Et nous avons toujours autant envie l’un de l’autre.

Comme… en ce moment même, alors que j’ai enfoui ma tête entre ses seins lourds et qu’elle maintient tout contre elle.

J’ai, plus que jamais, envie d’elle.

Hmmm…

Je me relève légèrement, et je pose mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse.

Bérénice pose une main sur ma joue, et elle me sourit.

Qu’elle est belle… Je ne lui résiste pas. Je ne le veux pas.

Et je me relève de nouveau, mais cette fois… je retire mes lèvres des siennes. Et ma tête longe son corps, tout entier, de haut en bas.

Et je me retrouve entre ses jambes, de nouveau. Ses jambes que j’écarte…

Elle me regarde, d’un air comme interrogateur. Comme si elle me demandait ce que je pouvais bien être en train de faire.

Moi, si je lui ai écarté les jambes, c’est que j’ai ma petite idée, toujours dans ma tête, dans un petit coin confortable.

Et, si je lui ai écarté les jambes comme je l’ai fait, c’est qu’il y a une raison...

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Jolie coccinelle

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu as beau n'être plus là cette nuit, c'est tout comme

Car tu mets du poivre et du sel dans mes jours

Et tu ensoleilles, de sucre et de miel, nos amours...

Loin, le temps où nous avons croqué dans la pomme

 

De l'amour et du désir, et, en nous résonne

Encore aujourd'hui, tous ces sons, pour toujours:

C'est encore le début d'un voyage au long cours

Et nous venons, à peine, d'entendre que ça sonne...

 

Quand nous nous téléphonons le soir, dans nos lits,

On se dit tout ce qu'on a vécu aujourd'hui:

Les bonnes nouvelles, mais aussi les contrariétés...

 

Jolie coccinelle... Je veux être aux petits soins

Après que tu te sois occupée de ce bambin:

Laisse-moi m'occuper de toi, en toute légéreté...

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Je continue

Publié le par Plaisir d'écrire

Depuis quelques temps déjà, je sens quelque chose

Et ça ne sent pas bon d'après ce que dit mon nez

Et pourtant... De nous deux, j'étais bien le premier

À croire en notre histoire d'amour à l'eau de rose.

 

Peu importe ce que je dis ou propose,

Je ne voulais pas être le seul à essayer,

Nous en sommes là: j'ai eu beau t'encourager,

Tu n'as pas su me dire que c'était plus qu'une pause.

 

Dis tout ce que tu veux: moi, je continue

Et, avant que tu ne me fasses tomber des nues,

Je préfère savoir si ça tient encore, nous deux,

 

Ou bien si tu as déjà tourné la page:

Auquel cas, je la tournerai, ô mirage,

Et me ferai une place au soleil, sous les cieux.

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À la mi-temps

Publié le par Plaisir d'écrire

Un événement d'ampleur toute planétaire

Vient à peine de faire son apparition,

Couvert par beaucoup de télévisions,

Attendu par une grosse partie de la Terre.

 

Et moi... Je suis chez moi, et non pas au stade

Mais, je regarderai les matchs à la télé,

Amis parfois, toujours ma femme à mes côtés,

Surtout depuis qu'elle m'a porté l'estocade...

 

Il faut que je vous raconte tout, dès le début...

 

Samedi seize juin deux mille dix-huit, midi quarante-cinq:

L'arbitre siffle à peine la mi-temps,

Français et australiens aux vestiaires, maintenant,

Match nul et vierge: qui donc va ouvrir la marque?

 

De Lille à Marseille, de Brest à Strasbourg,

De Rouen à Nice, et de Bordeaux à Metz,

De bleu, blanc, rouge se parent français et françaises;

À n'importe quelle action, notre sang ne fait qu'un tour.

 

Je n'en avais plus que pour sa tenue...

 

Dix premières minutes françaises, comme il le fallait,

Il n'y en avait que pour Griezmann

Et autres Pogba pour exalter ces mesdames,

Leur imaginaire va être stimulé

 

Mais, attention! Les australiens étaient bien là,

Eux aussi, et ont mis également le danger,

Un seul but, et nous français, serions dérangés,

Heureusement que l'arbitre a mis les holà...

 

Mi-temps: pause fraîcheur, et douceur pour moi...

 

Tandis qu'à Kazan, les joueurs récupèrent,

Moi, je vais chercher une bière fraîche dans mon frigo

Et, reviens devant la télé, bière au goulot;

J'ai cherché des yeux ma femme, ma belle partenaire.

 

Les dieux du stade ne la laissent pas indifférente

Mais, c'est bel et bien moi, l'homme de sa vie!

De son corps, son cœur et son âme, je suis épris

Et ces beaux jours à nous, elle seule les enchante...

 

Cette belle image d'elle, à jamais, me restera...

 

Alors que les joueurs sont aux vestiaires

Et qu'il n'y a que des publicités

Que l'on diffuse à la télé,

Je me demande ce que fait celle que je préfère

 

Et, alors que je me le demande,

La voilà qui fait son apparition:

Là, entre la télé et moi, dans le salon,

Vêtue d'une belle lingerie, qui fait que je bande...

 

Je sais qu'elle n'est pas très à l'aise avec son corps...

 

Séverine est la femme de ma vie, et je l'aime

Beaucoup, passionnément, à la folie,

On s'est connu pendant ces années où l'on rit

Et où l'on ne pense jamais aux drames.

 

Cheveux châtains, longs, elle porte des lunettes carrées,

Elle n'est plus tout à fait la même, mais pas une autre,

C'est elle qui me pousse clairement à la faute

Quand elle porte cette lingerie, et que je suis excité...

 

L'envie, le plaisir de me séduire sont plus forts...

 

Son buste est entièrement offert à mes yeux,

Sa poitrine généreuse tout juste dissimulée

Par des cercles qui cachent ses tétons pourtant dressés:

Je la regarde avec mes yeux d'amoureux.

 

Séverine ne cesse de m'émoustiller, et elle le sait

Quand elle se fait sensuelle, devant la télévision;

J'avale de travers, je ne fais plus attention

Pendant que les yeux de ma belle semblent briller...

 

Elle est la seule femme que je désire...

 

Ses yeux brillent parce qu'elle se sait belle en face de moi,

Séverine ne s'intéresse pas à ce sport

Mais, elle veut quand même en apprendre les règles d'or

Même si ce n'est plus ce qui compte pour moi, là.

 

Séverine a beau ne pas être la plus belle femme

Du monde, et elle n'est peut-être pas strip-teaseuse

Mais, elle me sourit, elle m'aguiche: elle est heureuse

Et, dans ses yeux se cachent quelques petites larmes...

 

Son corps, plus que le score, je veux découvrir...

 

Son bassin ondule, et c'est juste irréel

Parce que ce n'est pas son genre, à priori

Mais, citez-moi donc seulement UN mari

Qui ne perdrait pas la tête, et tomberait pour elle!

 

Séverine avance vers moi, et nous sommes corps-à-corps,

Elle frotte ses seins contre moi, et je perds la tête,

Ses fesses contre ma queue, et je suis tout en fête,

Ses mouvements augmentent mon plaisir, et je crie fort...

 

Qu'il y ait victoire, nul ou défaite... J'aime Séverine.

 

Elle vient de me faire jouir, et je reviens à moi

Lentement mais sûrement, Séverine sourit,

Et, tout bas, je lui dis

Qu'elle ne doit pas avoir peur de faire ça.

 

Sa bouche recherche la mienne, et nous nous embrassons,

Je la remercie tout bas pour ce beau cadeau,

Elle, toujours sur moi... Moi, mes mains sur son dos

Jusqu'à temps que les joueurs refassent leur apparition.

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Toi... Toute entière...

Publié le par Plaisir d'écrire

– Hmmm… Chéri…

Sa voix est différente de celle qu’elle a d’habitude. J’aime bien cette facette d’elle.

Sa voix est aiguë et quand elle m’a appelé «chéri», c’était comme si elle gémissait parce qu’elle apprécie le plaisir que je lui donne en m’occupant de sa jolie poitrine.

Je suis penché sur elle et je la surplombe.

J’ai une très belle vue, inutile de le préciser !

Bérénice est si jolie. Mais, en plus d’être jolie, elle est très intelligente et bien mature pour l’âge qu’elle a. Nous avons sept ans de différence, mais peu m’importe. Je m’en fiche de cette différence d’âge.

Je suis si heureux avec elle. ELLE, c’est ELLE qui me rend si heureux. Alors… je veux donner le meilleur de moi et lui rendre tout ce bonheur qu’elle me donne en cadeau.

– Tu les aimes, mes seins, mon joli oiseau ?

Je hoche la tête tout en la regardant dans les yeux pour lui répondre.

– Hmmm… Oui… Tu les aimes, mon chat… Hmmm…

Elle vient d’émettre ce petit bruit sexy que j’aime beaucoup. Elle ne se rend peut-être pas compte qu’il lui arrive de faire parfois des bruits sexy, Bérénice, mais moi… je le remarque. Oh… oui.

– Tu les veux, mes seins, chéri ?

Elle me le dit avec un sourire coquin car elle sait déjà, j’en suis sûr, ce que je vais lui répondre.

OUI, je les veux, jolie Bérénice !

JE… TE… VEUX !

TOI… TOUTE… ENTIÈRE… (Et pas que tes seins… mais ça, c’est dans un coin de ma tête, et je ne dévoile pas mes secrets pour le moment)

– Viens ici, chéri…

Elle me montre du doigt la place où elle veut que je sois. Elle a désigné… ses seins.

– Ils sont à toi, mon chat.

Elle le dit en me souriant.

Qu’elle est belle, dans l’intimité de notre chambre.

Je me penche en direction de sa poitrine, ma bouche en première ligne.

Je pose ma bouche dans le clivage de ses monts d’amour, lourds, et je l’embrasse à cet endroit.

– Oh !

Elle a limite crié en émettant ce son.

– Chéri… Chéri… Mes seins… Mes seins… Tes lèvres… Ta langue… Je te veux…

Je ne me fais pas prier, et je me mets sérieusement à caresser ses monts d’amour.

Ses bourgeons pointaient déjà, mais je veux encore les faire pleurer de désir et de plaisir. Je passe ma langue pour leur donner des petits coups, des coups un peu plus rapides, un peu plus vifs. Je passe ma langue pour les lécher.

Je les entoure de mes lèvres pour les sucer, de légères succions, des succions un tout petit peu plus prononcées. Je les entoure de mes lèvres pour les aspirer.

– Aaahhh !

Ça lui plaît…

– Chéri… Chéri… Chéri… Ta… langue… Ta… langue… sur ce téton…

Et elle me caresse les cheveux et y glisse la main alors que je me délecte de ce pic pointu, en érection.

J’espère que ce que je suis en train de lui faire, là, la rend encore plus trempée…

Ce sera plus facile pour moi de lui faire… ce que j’ai envie de lui faire…

Il faut que je l’excite comme il faut...

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Innamoramento

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu écris de jolies histoires, et je te lis:

Je sais qui tu es, et dès que nos yeux se croisent,

Je tombe éperdument amoureux, par surprise:

Moi qui voulais être seul jusqu'à la fin de ma vie...

 

Le destin en a décidé ainsi:

On m'avait parlé de toi comme d'une poétesse,

D'autres t'avaient même dépeinte sous les traits d'une déesse

Dans leurs poèmes, avec leurs mots, par là, par ici.

 

Ce sont tes mots, ton audace et tes attentions

Qui ne m'ont plus rendu maître de mes intentions:

Je savais que je voulais faire le premier pas.

 

Quand je t'ai entendue lire l'une de mes histoires

Dans l'un de ces salons littéraires, un soir,

Je ne savais rien, mais j'étais amoureux, déjà.

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Stromboli

Publié le par Plaisir d'écrire

Je reviens sur mon île dès que j'en ai besoin

Et je ne veux pas avoir à me justifier

Et si, effectivement, je ne t'en ai pas parlé,

C'est parce que je veux cacher cette part de moi, loin.

 

Si tu te souviens, j'ai dit que je prendrai soin

De toi, mais que tu devais me laisser

Seul maître pour que tu puisses t'abandonner

Mais, j'ai aussi besoin de temps pour moi, tout du moins

 

Pour... Non. Je préfère ne pas en dire davantage...

Tu le sais: je ne suis pas du tout un ange

Et, je veux pouvoir agir comme bon me semble.

 

Des femmes, j'en ai connues beaucoup, et tu n'es pas

La seule: il y en a d'autres que toi

Et pourtant... Quand je suis avec toi, je tremble...

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Benoit de toi

Publié le par Plaisir d'écrire

Je te vois,

Tu es là,

Je m'y attendais,

Il n'y a pas de surprise;

A présent...

Je me demande ce qu'il va se passer.

 

Je travaille sur un ordinateur,

Non... Là, je suis menteur,

On va dire que je tue le temps,

Peut-être pour espérer tomber sur toi;

J'écoute mes chansons préférées

En me disant que, peut-être, tu les aimeras autant.

 

Tu es en approche

Lentement, mais sûrement,

Quand nos mains se serrent

Et, se touchent,

Je ne suis plus aussi intelligent...

 

J'écris des poèmes,

Parfois pour parler de mes problèmes,

Mais, pas toujours,

Ne dis jamais que je suis un artiste,

Je suis moi, juste moi:

Un homme de vingt-huit ans, malheureux et malchanceux en amour.

 

Je fais mine d'être sur un dossier brûlant

Alors qu'en réalité, c'est toi que j'attends,

C'est ta main que je veux serrer,

C'est ta voix que je veux entendre;

Pour peu que tu sois une autre que d'habitude,

Ce sont tes joues, ou-mieux!- tes lèvres que je voudrais embrasser.

 

Je me suis forgé une armure

Pour ne plus avoir à souffrir,

Tu n'y es pour rien

Mais, revenir fort et beau a été dur,

Je ne te laisserai pas m'anéantir...

 

Tu me touches le bras,

Ça me rend encore plus Benoit de toi,

Tu me touches l'épaule

Et, je frissonne;

Je ne dis pas que ce n'est pas agréable

Mais, tu mets mon bon sens et ma raison en péril

 

Et pourtant, j'en veux encore

Parce que, malgré mes efforts,

Je ne me sens plus à même de résister,

Je n'ai pas le souvenir qu'elles m'ont procuré cette sensation;

Mais, là encore, te comparer à elles ne sert à rien,

Je voudrais juste enfin m'abandonner.

 

Serre-moi la main

Ou bien, fais-moi la bise,

C'est comme tu veux,

Je suis perdu: tu le sais peut-être bien,

Je voudrais juste enfin pouvoir lâcher prise...

 

Est-ce qu'au moins

Tu as remarqué

Ou réalisé

Que je suis de moins en moins loin?

Je vais au distributeur

Me payer un thé,

Non...Plutôt un café,

Je suis de très bonne humeur;

Qu'est-ce que je vais faire

Si ce n'est pas à moi que tu veux avoir affaire?

 

Quelle est la distance

Qui nous sépare?

Ce n'est pas ça qui attire mon regard,

Je trépigne plutôt d'impatience:

Dois-je te laisser venir

Ou bien, est-ce à moi de te rendre hommage?

Ce matin, j'ai lu leurs présages

Mais, parfois, il leur arrive de mentir;

Tu me vois venir de loin,

L'effet de surprise est réduit à un rien...

 

Tu ne m'avais rien demandé jusque-là,

Tu t'étais contentée de rester toi-même:

Celle, en fait, que j'aime

Et, dont je suis Benoit;

S'il te plaît,

Ne change surtout rien,

Ça me plaît bien

Quand tu me touches en le faisant d'exprès;

S'il n'y a rien en ce moment,

Alors, je dirais que tu mens...

 

Là où je vais,

Je te cherche des yeux,

Moi, amoureux?

Si seulement c'était vrai...

J'aimerais le croire,

Les frissons que j'ai ressenti,

Ils changent ma vie

Aujourd'hui encore;

Tu m'avais demandé de te composer un poème

Et, de te le dédier,

Même si ce n'est pas celui auquel tu t'attends en vérité,

Il me donne l'opportunité de te dire... Je t'aime.

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"Je suis toute à toi..."

Publié le par Plaisir d'écrire

Je suis toujours couché sur elle, et je me penche de telle sorte que mon visage puisse s’enfouir dans sa poitrine.

Bérénice me demande de m’occuper un peu de ses seins ? Elle n’aura pas besoin de me le dire deux fois ! J’a-dore ses seins, et j’a-dore m’occuper de ces bourgeons d’amour. Oh… oui.

Je ne vais pas me faire prier plus longtemps.

J’enfouis mon visage entre les deux beaux seins de Bérénice.

Je dépose de tout petits baisers dans ce creux. Des baisers délicats… Des baisers mouillés.

Bérénice passe ses bras autour de mon cou. C’est comme si elle me disait que ça lui plaît. C’est comme si elle voulait que je continue.

Après les tout petits baisers, les baisers délicats et les baisers mouillés, ce sont à présent des coups de langue que je donne au creux de ses seins. De tout petits coups de langue. De fins coups de langue… Des coups de langue plus rapides… Des coups de langue plus prononcés.

Tout contre moi, je sens Bérénice qui bouge. Je sens son bassin onduler sous moi et se frotter à moi.

Nous sommes si proches, tous les deux. Ça en est vraiment bouleversant. C’est émouvant. Vraiment.

Je suis si amoureux de Bérénice.

Tous les jours, je pense si fort à elle. Matin, au réveil. Matin, quand elle est à la fac et qu’elle s’est vêtue de sa panoplie de l’étudiante sérieuse et que moi, je suis peut-être en charge d’un groupe de touristes pour une visite guidée. Le midi, il nous arrive de nous retrouver. L’après-midi, quand elle est encore à la fac et que moi, j’ai troqué ma tendue d’amoureux contre celle de guide touristique. Le soir, nous nous retrouvons et nous faisons souvent l’amour.

Nous sommes si amoureux.

Oh… oui.

– Attends, chéri…

? Elle m’a demandé de m’occuper de ses seins, et maintenant, elle dit ça. Mais, pourquoi ?

– Ce n’est pas ce que tu crois, mon amour. Tu les aimes, mes jolis seins lourds, ça, je le sais. Et moi, ça me fait toujours quelque chose de voir que tu les adores. Rassure-toi, mon amour… Je veux que tu t’occupes d’eux et que tu les aimes autant que tu en as envie.

Pendant un court laps de temps, je ne suis plus enfoui entre ses seins. Mais, je suis toujours au-dessus d’elle, et elle est magnifique. Vraiment.

Ce que je vois aussi, l’est, magnifique. Un délicieux spectacle pour les yeux : elle a pris ses seins dans ses mains, et elle les a pressés, l’un contre l’autre.

Je suis émoustillé.

– Tu vois, mon amour ? Ils sont tout à toi… Je suis toute à toi... 

Bérénice vient de dire qu’elle est toute à moi ? C’est ce qu’elle a dit ? Qu’elle ne me le redise pas une seconde fois. J’ai saisi ses mots.

Elle est toute à moi !

Et moi, je suis confirmé dans mon idée de lui faire ce quelque chose auquel elle ne s’attend pas...

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Sfumato

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu es en face de moi, et tu poses avec grâce,

J'avais publié une annonce, tu as répondu,

J'avais fixé le jour et l'heure, tu es venue

Et c'est ainsi qu'en face de moi, tu as pris place...

 

Tu es jeune... Bien plus jeune que moi de naissance

Mais je m'en fiche, et quand je te vois, dévêtue,

Ce n'est pas comme si tu me privais de la vue

Mais, bientôt, je n'opposerai plus de résistance...

 

Je t'ai indiquée comment tu devais poser,

La coiffure et les vêtements à porter,

Tu n'étais pas la seule, mais tu m'as séduit...

 

Afin d'atténuer les charmes et enchantements

Dont est responsable ta beauté sur les vivants,

Je peins une atmosphère grise, sombre, proche de la nuit.

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