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Foudre et glace

Publié le par Plaisir d'écrire

Ça avait été le coup de foudre, dès les premiers

Échanges, et tu avais mis en ébullition

Ma curiosité, et j'étais en perdition

Juste après le sort que tu m'as jeté

 

Et qui m'a, à ce moment précis, fait perdre pied:

Je me suis laissé prendre au jeu de la séduction,

Sans ne jamais prendre la moindre précaution

Et j'ai perdu contact avec la réalité

 

Ainsi; quand ça a été le temps des montagnes

Russes, quand tu étais encore ma belle compagne,

J'ai senti que tout passe, tout lasse, tout casse.

 

J'avais encore, malgré tout, envie d'y croire

Mais, moins j'y croyais car plus j'y pensais le soir;

Je ne sais pas si je dois te faire confiance...

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Quatre jours

Publié le par Plaisir d'écrire

Bord de mer ou plein centre-ville: peu t'importe,

Château-musée ou ville côtière: des souvenirs

Sans numérique ni pellicule: juste chérir

Tout ce que l'on a vécu, dès notre porte

 

D'entrée; peu importe que le diable nous emporte...

Nous avons juste voulu écouter notre désir:

Toucher... caresser... embrasser, et... découvrir,

Nous découvrir parce que notre fièvre était forte

 

Et nous avions envie de goûter, encore plus,

Aux sensations... au plaisir... à la jouissance:

Ni numérique ni pellicule: TOUT, top secret...

 

Tu es sexy en joueuse de foot ou encore

En toi-même, dans l'intimité: JE T'ADORE;

Tu m'as donné tant de plaisir... si tu savais...

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Elle et moi sur l'oreiller...

Publié le par Plaisir d'écrire

Mais, avant… J’ai quand même envie de continuer encore un petit peu de la lécher avec passion, désir et amour, Bérénice…

Même avec les années, j’aime toujours autant lui manger le minou.

Il faut dire que son abricot est l’abricot le plus délicieux auquel je n’ai jamais goûté. Un délicieux petit arôme de femme en chaleur…

Et, quand elle vient d’écarter généreusement ses jambes afin que je puisse goûter à son fruit intime et que je puisse me délecter de son jus d’amour… Hmmmmm…

Elle, quand je me décide à porter mes lèvres et ma langue sur elle ET en elle, elle se laisse complètement aller.

Elle m’offre toute sa confiance alors qu’elle s’offre toute entière à moi.

Bérénice est si belle…

À peine ma langue posée sur son intimité, Bérénice gémit déjà de plaisir. Elle halète. Et plus je la lèche avec gourmandise, plus Bérénice exprime son plaisir. Comme bon lui semble, et elle se fiche royalement de savoir ce que les autres (les voisins, je parle) peuvent en penser. Je m’occupe d’elle en lui donnant du plaisir, c’est tout ce qui nous importe.

À peine la pulpe d’un doigt la caresse distraitement et superficiellement, Bérénice tire du plaisir de ces premières caresses.

À peine le bout de mes doigts dessine des petits cercles sur sa porte du plaisir, Bérénice se met à mouiller déjà. J’aime beaucoup ça, que Bérénice mouille rapidement et beaucoup. Pour moi. J’aime… sentir son liquide d’amour sur le bout de mes doigts. J’aime… le puiser et le boire quand je lui fais un cunni. Oh… oui…

Bérénice aime avoir ma tête entre ses jambes.

Bérénice aime resserrer ses cuisses autour de ma tête. Elle enserre mon visage de ses gambettes et, ainsi, je pense qu’elle jouit de me sentir.Quant à moi, elle me barbouille de sa cyprine, et, à vrai dire, j’aime ça. Oui !

Et quand ses jambes ne sont pas autour de ma tête, Bérénice aime bien prendre ses seins et les caresser. Dans le même temps, elle ondule du bassin et elle frotte son bouton de rose et son intimité contre son visage.

C’est… si… bon… J’a-dore…

Et, quand nous nous amusons à cela pendant des minutes et des minutes, Bérénice mouille beaucoup. Elle est dilatée, et ça me permet de pouvoir mieux m’occuper d’elle. Par exemple, je peux désormais ainsi la pénétrer d’un doigt ou de deux. Hmmmm…

Sa chatte enserre mes doigts et les trempe. Ma peau se retrouve trempée.

J’aime quand c’est elle et moi, sur l’oreiller. J’aime quand nous nous amusons, au lit. J’aime que nous fassions l’amour.

Même avec les années, nous jouissons d’explorer de nouveaux territoires.

Et, aujourd’hui, ce matin, il y a un nouveau territoire que je veux explorer, et… le voyage se passe bien. Il est agréable… Mouillé… Salé…

Hmmmm…

J’ai de plus en plus hâte de m’occuper de son petit cul, et j’ai de plus en plus de difficultés à réprimer mon désir.

Bérénice… Vois ce que tu fais de moi...

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Tamara

Publié le par Plaisir d'écrire

Jeune femme à la peau bronzée, probablement des

Îles, tu n'es pas du genre à ce qu'on te remarque,

Tu fuies les hommes chaque fois qu'ils te traquent

Mais c'est parce que tu n'aimes pas qu'ils soient obstinés.

 

Jeune femme au teint hâlé, tu préfères t'en aller

Parce que tu penses qu'ils te mettent dans le même sac

Que ces filles-là à qui ils racontent des cracs

Puis qu'ils laissent après une nuit d'amour, la nuit passée.

 

Tu préfères être seule que mal accompagnée: tu dis

Ça à tes amies quand elles te questionnent sur ta vie;

Peut-être leur caches-tu des choses, en profondeur...

 

Je te regarde depuis un moment, et j'attends,

Tu es assise, un livre à la main, sur un banc:

Je n'ose pas, mais j'irai te voir, tout à l'heure...

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Fatigué

Publié le par Plaisir d'écrire

Je suis fatigué de porter notre amour

Sur mes épaules, et que j'en sente, seul, tout le poids,

Notre amour, c'est nous deux: un point c'est toi et moi,

C'est comme ça, et pas autrement, tous les jours.

 

Je suis fatigué d'avoir souvent le cœur lourd

Quand je vois les photos et quand j'entends ta voix,

Si ce soir, je n'ai pas envie d'en rester là,

C'est qu'on sent encore, toi et moi, les contours

 

De cet amour qui nous brûle depuis plus d'un an

Et qui vit encore en moi, personnellement

Mais, je suis fatigué de ces montagnes russes

 

Qui font que notre amour est, aujourd'hui,

Un monument fragile, à l'état de survie

Mais, en danger à chaque menace, chaque secousse.

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Regarde-moi

Publié le par Plaisir d'écrire

Regarde-moi, s'il te plaît, mon joli amour

Car j'aimerais que tu voies l'amour dans mes yeux,

Que tu y voies à quel point je suis amoureux

Mais, je sens bien d'abord que tu as le cœur lourd

 

Car ça a été quatre magnifiques jours

Et, je veux que tu nous voies en couple bien heureux

Alors que je suis allongé sur toi, fougueux;

Que tu sois mienne dans les derniers jours...? Je suis pour!

 

Regarde-moi... Tu me procures bien du plaisir,

Bien plus que tu ne peux l'imaginer; désir

Qui irrigue mes veines et qui a pris possession...

 

C'est TOI, et pas une autre que je veux, mais bien TOI,

C'est une nouvelle ère, de nouveaux parfums...; toi, moi...

Nous sommes deux mais un, peu nous importe les saisons.

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Bérénice, partout...

Publié le par Plaisir d'écrire

Je lui ai écarté les jambes.

J’ai posé mes deux mains sur ses cuisses, et je l’empêche de les resserrer.

De toute façon, je doute qu’elle le fasse. Bérénice aime tellement que je m’occupe d’elle et que je lui donne du plaisir.

Elle adore écarter ses jambes, rien que pour moi, pour que je puisse avoir un accès parfait à son intimité.

Moi, j’adore quand elle fait ça.

À mes yeux, ça veut tout dire. Ça veut dire qu’elle a envie d’une petite gâterie.

Bérénice est, à mes yeux, la femme la plus sexy du monde. La plus belle. C’est indéniable.

Je l’aime.

Je l’aime, toute entière.

Elle est magnifique. Elle est belle, toute nue.

On dirait une Vénus… Si, si, je vous jure !

Elle a les cuisses écartées, et ça me laisse libre accès à son joli minou qu’elle a en partie épilé.

Même avec le temps qui passe, j’ai toujours autant envie de Bérénice.

Il faut dire qu’elle sait comment faire pour attirer mon attention : minauder… des yeux de biche… de la jolie lingerie en dentelle, sexy à souhait…

Oh oui… Bérénice sait comment me séduire, ça, c’est sûr.

Et là… Hmmmm…

Quand elle a les jambes bien écartées et qu’elle est dans le plus simple appareil… Hmmm… Je n’ai envie que d’une seule chose : la lécher… la goûter… la manger… la dévorer.

Juste ma tête entre ses jambes…

Ma langue sur son clito… Ma langue sur sa chatte ruisselante…

Ma langue… ailleurs…

Et cet ailleurs… je le distingue bien, à présent que ses jambes sont écartées, juste comme il faut.

J’aime tellement son petit cul…

J’ai envie de le lécher et de le titiller, lui aussi…

Je le veux.

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J'écoute cette chanson

Publié le par Plaisir d'écrire

J'écoute une chanson que j'écoutais l'an dernier,

Déjà, et qui me rappelle des souvenirs ce soir,

Je m'apprête à m'endormir dans le noir

En me disant que beaucoup de choses se sont passées:

 

Je suis descendu dans le sud pour travailler,

J'ai rencontré la femme de ma vie, par hasard,

Tout ça s'est passé, et ça fait tout bizarre

De me dire que c'est arrivé: ma réalité.

 

J'écoute cette chanson, et je me revois

Dans ce train pour Paris, puis pour les beaux châteaux

De la Loire qui se trouvent tout près de très belles eaux;

J'écoute cette chanson, et je la vois.

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La belle petite choupette

Publié le par Plaisir d'écrire

Elle est jolie et elle dort encore,

Qu'elle est belle dans son sommeil... Ô belle endormie!

Qu'elle voit tout ce qu'elle a bouleversé dans ma vie:

C'est elle qui fait que les jours sont d'or

 

Et c'est elle, ma dernière image, quand je m'endors

Et dès lors, c'est une très belle nuit,

Une de plus, et, avant de dormir, je souris:

Je lui souris parce que je l'aime... JE L'ADORE!

 

Des amis m'ont dit qu'elle est une belle petite

"Choupette": qu'est-ce que ça veut dire? Je le répète

Parce que c'est un mot qui me plaît beaucoup

 

Et c'est le tout premier mot qui me vient

Quand elle est là et quand son regard est dans le mien;

Belle petite choupette... C'est d'elle dont je suis fou.

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Aujourd'hui

Publié le par Plaisir d'écrire

Je ne veux que toi car tu t'es faite si belle,

Tu m'as encore envoyé une photo car tu

Sais l'effet que je t'ai fait quand tu m'as lu,

Je suis bien, nous serons bien, et si le ciel

 

Se montre capricieux... Ce sera quand même pareil

Parce que l'amour est sauf, et tout sauf foutu;

Tu es si belle sur la photo, et tu m'as plu:

J'ai beaucoup rêvé d'une seconde lune de miel...

 

Tu t'es faite si belle, et je suis un homme heureux,

Nous nous baladerons, et si c'est pluvieux...

Ce n'est pas si grave, et nous nous en fouterons.

 

Je serai, je pense, en avance au rendez-vous

Mais, c'est parce que tu me rends tout simplement fou-

Toujours fou de toi quand nous nous retrouverons.

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