Mais, avant… J’ai quand même envie de continuer encore un petit peu de la lécher avec passion, désir et amour, Bérénice…
Même avec les années, j’aime toujours autant lui manger le minou.
Il faut dire que son abricot est l’abricot le plus délicieux auquel je n’ai jamais goûté. Un délicieux petit arôme de femme en chaleur…
Et, quand elle vient d’écarter généreusement ses jambes afin que je puisse goûter à son fruit intime et que je puisse me délecter de son jus d’amour… Hmmmmm…
Elle, quand je me décide à porter mes lèvres et ma langue sur elle ET en elle, elle se laisse complètement aller.
Elle m’offre toute sa confiance alors qu’elle s’offre toute entière à moi.
Bérénice est si belle…
À peine ma langue posée sur son intimité, Bérénice gémit déjà de plaisir. Elle halète. Et plus je la lèche avec gourmandise, plus Bérénice exprime son plaisir. Comme bon lui semble, et elle se fiche royalement de savoir ce que les autres (les voisins, je parle) peuvent en penser. Je m’occupe d’elle en lui donnant du plaisir, c’est tout ce qui nous importe.
À peine la pulpe d’un doigt la caresse distraitement et superficiellement, Bérénice tire du plaisir de ces premières caresses.
À peine le bout de mes doigts dessine des petits cercles sur sa porte du plaisir, Bérénice se met à mouiller déjà. J’aime beaucoup ça, que Bérénice mouille rapidement et beaucoup. Pour moi. J’aime… sentir son liquide d’amour sur le bout de mes doigts. J’aime… le puiser et le boire quand je lui fais un cunni. Oh… oui…
Bérénice aime avoir ma tête entre ses jambes.
Bérénice aime resserrer ses cuisses autour de ma tête. Elle enserre mon visage de ses gambettes et, ainsi, je pense qu’elle jouit de me sentir.Quant à moi, elle me barbouille de sa cyprine, et, à vrai dire, j’aime ça. Oui !
Et quand ses jambes ne sont pas autour de ma tête, Bérénice aime bien prendre ses seins et les caresser. Dans le même temps, elle ondule du bassin et elle frotte son bouton de rose et son intimité contre son visage.
C’est… si… bon… J’a-dore…
Et, quand nous nous amusons à cela pendant des minutes et des minutes, Bérénice mouille beaucoup. Elle est dilatée, et ça me permet de pouvoir mieux m’occuper d’elle. Par exemple, je peux désormais ainsi la pénétrer d’un doigt ou de deux. Hmmmm…
Sa chatte enserre mes doigts et les trempe. Ma peau se retrouve trempée.
J’aime quand c’est elle et moi, sur l’oreiller. J’aime quand nous nous amusons, au lit. J’aime que nous fassions l’amour.
Même avec les années, nous jouissons d’explorer de nouveaux territoires.
Et, aujourd’hui, ce matin, il y a un nouveau territoire que je veux explorer, et… le voyage se passe bien. Il est agréable… Mouillé… Salé…
Hmmmm…
J’ai de plus en plus hâte de m’occuper de son petit cul, et j’ai de plus en plus de difficultés à réprimer mon désir.
Bérénice… Vois ce que tu fais de moi...