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La plus jolie des femmes

Publié le par Plaisir d'écrire

Les fesses de Bérénice sont si douces.

 

J’aime les embrasser.

 

J’aime les lécher.

 

J’aime les mordiller.

 

J’aime les prendre à pleines mains.

 

Bérénice sait que je les aime, ses fesses.

 

Et, quand elle est comme ça, à quatre pattes, que je suis collé à elle, torse contre dos, et que mon pénis se colle à son derrière et qu’il coulisse contre lui, à mes yeux, il n’y a rien de plus beau, de plus émouvant, de plus jouissif.

 

Parce que ce que nous vivons là, rien que nous deux, ce n’est que du bonheur. Ce n’est que de l’amour. Ce n’est que du désir. Nous sommes si bien dans notre nid d’amour.

 

Nous donnons libre cours à notre imagination, et nous nous faisons tout ce qui nous semble être bon, l’un et l’autre. C’est tout ce qui compte.

 

Nous nous faisons du bien, l’un et l’autre. L’un à l’autre.

 

Nous sommes si bien, dans notre lit. Ce premier lit qui est véritablement le nôtre.

 

Et des matins comme celle-ci, j’en veux, mais tous les jours !

 

Je me souviendrai pour le restant de mes jours de ce matin. Je me remémorerai chaque chose que j’ai faite à Bérénice. Chaque geste… Chaque baiser… Chaque caresse… Chaque morsure… Chaque léchouille… Son goût… Sa cyprine… Son anus… Sa poitrine lourde, juste comme il faut…

 

Et quand je me masturbe entre ses fesses et qu’elle me laisse faire, quand mes yeux sont dans ses yeux et qu’elle me regarde avec les yeux d’une amoureuse, je me sens l’homme le plus heureux du monde. Parce que Bérénice me donne toute sa confiance et qu’elle est à l’unisson avec moi.

 

Bérénice est, pour moi, la plus jolie femme du monde. Elle est celle que j'aime plus que tout. Celle qui a le beau sourire. Celle qui a les plus jolies lèvres. Celle qui a la plus jolie des poitrines. Celle qui a le plus beau corps. Celle qui a le plus joli minou du monde… ce minou que j'aime lécher et manger, à la folie. Celle qui a le plus beau cul. Celle qui me donne envie de lui lécher le petit trou.

 

Bérénice est sexy.

 

Si, si ! Je vous jure !

 

Vous ne la connaissez probablement pas, mais moi, je peux vous dire que dans l'intimité, elle n'est pas la Bérénice que l'on croise, quand elle est vétûe de sa tenue d'étudiante sérieuse… Dans l'intimité de notre chambre, c'est une toute autre Bérénice à laquelle j'ai affaire…

 

Elle est sensuelle. Elle est craquante. Elle est irrésistible. Elle est… coquine… Cochonne, même, à certains égards.

 

Elle me donne envie d'elle, plus que tout.

 

J'ai toujours autant envie d'elle, plus que tout...

 

 

 

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C'est si bon...

Publié le par Plaisir d'écrire

J’ai comme l’impression que Bérénice lâche du lest et qu’elle ne pense plus à rien.

 

Elle ne pense plus qu’à nous deux. Elle est corps et âme et sexe, à moi.

 

Elle est si belle. Le plaisir lui va si bien.

 

Sa peau a rougi du fait qu’elle a pris beaucoup de plaisir depuis tout à l’heure et que je me suis occupé d’elle, toute entière.

 

Ses yeux sont mi-clos, et elle a un beau sourire aux lèvres.

 

Oh… oui… Le plaisir lui va si bien.

 

Elle reprend son souffle. Elle en a besoin.

 

Elle va en avoir besoin parce que je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin : j’ai encore envie de lui faire l’amour et de lui donner plus, bien plus, encore plus, toujours plus de plaisir. Je n’en ai pas fini avec son petit cul…

 

Bérénice est encore et toujours à quatre pattes. Moi ? Mon torse épouse toujours autant son dos. Nous sommes collés l’un à l’autre. Nous sommes à fleur de peau, au sens physique du terme. Nous aimons beaucoup ça, que nos corps se caressent et se touchent. Se rencontrent.

 

Nos lèvres se rencontrent. Se touchent. Se goûtent. Se caressent.

 

Bérénice et moi, nous aimons beaucoup ça, nous embrasser. Nous y prenons… beaucoup de plaisir.

 

Nous jouissons de ce moment de répit pour renforcer l’amour et le désir que nous avons l’un pour l’autre.

 

Bérénice a les cheveux lâchés, et je sens leur contact pendant que je l’embrasse et que je continue d’être allongé sur elle, ma poitrine contre son dos.

 

Ma poitrine contre son dos, je sens son corps qui est un peu en sueur. Ce contact est agréable…

 

Je suis si bien avec elle. Et… je sais qu’elle se sent à l’aise quand elle est dans mes bras ou bien quand son corps est contre le mien.

 

Telle une jeune chatte avide et en recherche de caresses, Bérénice fait en sorte que nos deux corps se touchent beaucoup. Elle raffole de ça, la petite coquine !

 

Je suis en érection. Et alors que je continue d’embrasser et de caresser Bérénice, je m’arrange pour que mon sexe se frotte à ses fesses.

 

Et Bérénice le sent contre son beau petit cul, mon pénis… Même si je la domine puisque je suis allongé sur elle, elle joue un peu de ses fesses pour faire en sorte que mon membre coulisse. C’est si bon…

 

Bérénice adore que je m’occupe d’elle, toute entière, et que je lui donne du plaisir. Beaucoup de plaisir… Mais, et elle me l’a déjà dit, la tête sur l’oreiller, après que nous ayons fait l’amour : elle se sent belle, désirée et séductrice quand elle m’en donne. C’est son souci à chaque fois : que je prenne du plaisir et que je jouisse. Elle a besoin de savoir ça, Bérénice. Parfois, elle n’a pas besoin de me parler. Il ne suffit que d’un regard de sa part pour qu’elle me demande. En réponse, je caresse ses cheveux. Je hoche la tête. Je lui souris. Je pose une main douce sur sa joue. Je prends son visage entre mes mains. Je l’embrasse tendrement. Je lui dis que je l’aime. C’est aussi simple que ça. Je prends déjà beaucoup de plaisir quand elle m’embrasse et qu’elle me dit qu’elle est toujours aussi folle de moi. Le fait qu’elle s’occupe de moi et qu’elle me fasse jouir, c’est du bonus à l’état pur.

 

Je sens que mon sexe est si dur. Ça en est presque douloureux. Pourtant, le fait que Bérénice fasse coulisser son joli petit postérieur contre ma queue, c’est si bon...

 

J’en profite alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient contre ses fesses. Je m’y masturbe un tout petit peu. C’est si bon…

 

Ma petite amie, elle, elle sent bien que je me masturbe. À entendre les petits bruits de plaisir qu’elle se remet à émettre, ça lui plaît. Ça lui plaît… beaucoup.

 

Tous les deux, nous avons beaucoup de plaisir...

 

 

 

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Fantasmes, fantasmes...

Publié le par Plaisir d'écrire

Laura m’avait demandé, plus tôt dans la soirée, de verser quelques gouttes d’huile de massage sur ses seins. Puis, tenant ses seins dans le creux de ses mains, elle m’avait demandé de les lui masser. J’y avais pris beaucoup de soin… et beaucoup de plaisir. Mais… ce n’était rien comparé au plaisir qu’elle avait tiré de ces attouchements, de ces caresses, de ce massage.

Je l’avais caressée…

Je l’avais léchée…

Je lui avais donné du plaisir…

Nous nous étions déshabillés. Nous étions entièrement nus, tous les deux, dans cette chambre. Sur ce lit que l’on avait bordé de milliers de pétales de rose. Laura avait profité et joui de ma nudité. Elle en avait rêvé depuis si longtemps. Ça faisait partie de ses fantasmes, quand elle pensait à moi intensément, inexorablement. C’était alors impossible pour elle de se calmer et de penser à autre chose.

Penser à moi… M’imaginer, dans le plus simple appareil… S’imaginer la taille, la grosseur, l’aspect et le goût de mon membre… Dès lors qu’elle y pensait, c’était fini. Plus rien d’ autre ne comptait aux yeux de la jeune femme.

C’était la première fois qu’elle me voyait tout nu…

Elle n’en avait pas perdu une seule miette…

Elle n’arrivait pas à y croire…

J’étais bel et bien à elle. Corps et âme et sexe.

The Other Side du groupe américain Toto…

Ses fantasmes, ils étaient bel et bien là, dans un coin tout proche, tout chaud de son esprit. Ses fantasmes, ils ne la quittaient plus, surtout à ce moment-là où elle était à quatre pattes et qu’elle me faisait face. Elle était dans la plus dénudée des tenues, et je l’étais moi aussi. Nous étions Adam et Ève. Telle une Ève mais des temps modernes, Laura m’était donné la pomme de la tentation. Elle m’avait donné le fruit défendu et moi, j’y avais succombé. J’y avais plus que facilement goûté. Il n’y avait plus rien à faire, à présent. Les dès étaient jetés, et j’étais à Laura. Corps et âme et sexe.

Laura me faisait face. Et pourtant… C’était moi qui étais dans sa ligne de mire. Après tout, c’était MOI, sa chasse gardée. C’était MOI, l’homme sur lequel elle fantasmait depuis un bon moment maintenant, l’homme qu’elle désirait et avec qui elle avait inexorablement envie de coucher.

Et là, ses magnifiques seins coulissaient en rythme, autour de mon sexe. Et quand ils y passaient, ce n’était que pur délice. Oh… oui…

Send It to Me de Gladys Knight…

J’avais beau être dans la ligne de mire de la jeune femme, moi aussi… je la voyais bien. Je l’observais. Ses nichons alléchants coulissaient et enserraient mon pénis, avec un rythme régulier, par intermittence. Tels des cloches qui sonnent et résonnent dans une église ou bien une cathédrale, ils tressautaient, ballottaient. Ils se balançaient, au rythme des mouvements de Laura. C’était une très belle vision pour moi que de les voir s’agiter de cette manière. Ils formaient une jolie sortie de tunnel qui entourait plus qui se retirait de ma queue.

Et, quand elle faisait ça et qu’elle le refaisait, Laura ne pouvait s’empêcher de me regarder dans les yeux. Rappelons-nous que j’étais sa chasse gardée ! La priorité et le souci de Laura étaient de m’offrir le plus de plaisir possible. Elle veillait… Elle s’assurait que je me sente toujours aussi bien. Elle s’assurait que je prenne toujours autant de plaisir. À ce moment-là de nos ébats, plus rien d’autre n’avait d’importance pour elle. Le plus important pour elle, c’était moi.

Tainted Love de Gloria Jones…

Que Laura était belle, telle qu’elle était, dans cette position. Une position digne qui ressemblait à l’allure d’une tigresse. À quatre pattes. Une position… lascive. Une position somme toute… sensuelle. Laura s’amusait avec ses seins. Elle aimait bien les passer et les repasser autour de mon sexe. Elle jouait de sa poitrine bénie des dieux : ses seins, telles des cloches, se balançaient. J’aimais beaucoup quand je pouvais voir ça.

– Tu aimes ça, Benoit ? Tu aimes quand mes seins bougent sans arrêt ?

Je n’ai pas répondu. Je n’ai fait que gémir. C’était si bon… il faut dire. Le plaisir était si délicieux à prendre et à ressentir. Il avait définitivement pris possession de moi… Et quand elle passait et repassait ses putains de seins magnifiques autour de mon membre tout dur, gorgé de désir, de plaisir… et de sperme… Laura faisait durer ce supplice.

Elle en avait tellement rêvé, Laura ! Rappelons-nous qu’avant de me rencontrer, j’avais tapé dans l’œil de Laura. Elle avait été séduite le personnage que j’étais sur scène. Depuis ce moment précis, j’étais devenu le seul objet de ses pensées… plus ou moins innocentes. Et quand elle pensait à moi, ça l’excitait instantanément. Beaucoup. Elle n’arrivait plus à se calmer. Elle avait des papillons dans son ventre. Elle avait chaud. Sans même qu’elle ait fait quoique ce soit, elle se savait et elle se sentait mouillée. Elle ne pensait plus à rien d’autre que de se toucher, se caresser, se doigter… et enfin de se pénétrer avec son vibromasseur en faux cristal ou bien avec le gode qu’elle préférait et qui lui donnait le plus de plaisir, à ses yeux.

Prendre ma virilité entre ses seins et me branler avec, ça avait fait partie de ses fantasmes, aussi. Et quand elle y pensait, elle se disait que moi aussi, je pourrais aimer ce traitement qu’elle offrirait à ma baguette magique et sexuelle. Elle avait rêvé et fantasmé, de temps à autre, qu’elle me prenait entre ses doux et généreux monts d’amour. Ses seins auraient été lubrifiés avec de l’huile de massage, du lubrifiant ou bien tout simplement avec de la salive. Puis, elle aurait fait coulisser ma queue dans le clivage de sa poitrine merveilleuse. La belle rousse s’était imaginée, alors, qu’elle userait et abuserait d’un rythme varié pour me donner du plaisir… et pour me faire jouir. Tantôt un rythme lent, langoureux, moelleux. Et tantôt un rythme plus vif, plus marqué, plus intense.

Depuis que nous nous sommes rencontrés à la fin de la soirée, juste après notre concert, là-bas, au café des Amours mortes, Laura m’avait conquis. J’avais succombé. J’étais plus que jamais à elle. Corps et âme et sexe. C’était ainsi que, de fil en aiguille, elle avait déjà pu réaliser une partie de ses fantasmes. SES FANTASMES… Et, non seulement elle pensait à ses fantasmes et à ses séances de plaisir en solitaire par le passé, elle pensait aux fantasmes que je pouvais avoir, moi aussi, et aux désirs que j’avais refoulé jusque-là. Ça aussi, ça comptait beaucoup pour elle. Et elle n’avait pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin, Laura… Oh… non…

C’est ainsi qu’elle changea de posture, de position, et que ses seins cessèrent de me frôler, me taquiner, me toucher, me caresser, de me masturber.

Elle était encore à quatre pattes, mais cette fois, c’était davantage à califourchon qu’elle était. J’étais allongé, et elle, elle était au-dessus de moi. De sa position, Laura semblait me dominer. C’était tout comme. À califourchon, elle était telle une Amazone au-dessus de moi. Majestueuse. Elle me chevauchait. Sa poitrine gironde était mise en avant, et vraiment, elle était magnifique. Je ne pouvais pas détacher mes yeux d’eux deux. Laura était magnifique. Je ne pouvais détacher mes yeux d’elle. Impossible. Telle une Amazone, elle me chevauchait, et elle était irrésistible, ses longs cheveux roux lâchés.

Celebration de Madonna…

De là où j’étais, idéalement placé et confortablement installé, j’avais une vue parfaite sur Laura, et, je l’avoue : je ne perdais pas une miette d’elle. Je me rinçais l’œil.

Ses seins ronds étaient particulièrement beaux. Irrésistibles. Pleins. Putain de parfaits… Oh… oui… Ses tétons, eux, étaient durs. De véritables diamants de chair. Allongés. Ils pointaient. Ils pleuraient de désir et de plaisir.

De là où j’étais, je voyais bien que ma coquine de partenaire était en sueur. Sa peau brillait et luisait de sueur, et, sur elle, c’était joli. Une belle image…

De là où j’étais, je voyais bien les yeux de Laura qui brillaient. Ils étaient mi-clos. Laura était submergée, ravagée par le désir. Ses pupilles étaient dilatées. Elle ne me quittait pas des yeux une seule nanoseconde. Elle savait pertinemment, au plus profond d’elle, qu’elle était imploser. Qu’elle allait finalement finir par exploser. Elle ne pouvait plus résister au désir. Elle ne voulait plus résister. C’était aussi simple que ça.

Ce n’était plus qu’une question de temps… C’était imminent…

Quand soudain… L’explosion eut lieu…

The Sweetest Perfection de Depeche Mode…

Laura se pencha vers moi, sur moi. Elle se pencha pour m’embrasser. Elle moula ses lèvres sur les miennes. Elle les caressa. Elle les picora. Dans le même temps, je pus sentir ses gros seins se poser contre ma peau et la caresser.

Hmmmm…

Laura continuait de m’embrasser, inexorablement.

Puis, elle s’arrêta net, braqua ses yeux dans les miens, de manière particulièrement intense et elle me dit :

– Benoit… Benoit… Benoit ! Baise-moi ! Je t’en supplie… !

Sur ce, elle reprit sa position d’Amazone. En Andromaque. Je sentis son sexe frotter contre le mien. Je pus sentir le sexe tout mouillé de la jolie Laura.

Putaaaaiiiinnn…

Qu’elle était douce…

Qu’elle était chaude…

Qu’elle était… trempée…

Que c’était bon… !

Ce jeu dura quelques minutes.

Et puis, à un moment, Laura mit un terme à ce jeu. Elle fit un mouvement qui libéra ma queue.

Laura finit par s’empaler sur mon sexe. Mon sexe, tel un pieu, était en elle, enfoncé dans son antre toute mouillée.

Mon réflexe, quand je sentis que je pénétrais Laura, fut de fermer les yeux et de savourer les sensations diverses et variées que je ressentais alors que mon sexe était dans celui de Laura.

J’entendis Laura gémir puis crier...

 

 

 

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Capécure

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu verras

Un quartier

En plein changement:

 

Il va connaître

Une nouvelle vie

Dans le futur.

 

C'est en train d'être

Reconstruit

Pour être beau.

 

Là,

Tu sens l'odeur

Du poisson:

 

Premier port

De pêche

De France.

 

Ça ne te donne peut-être pas envie

Et pourtant...

Boulogne sur Mer.

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Lucile

Publié le par Plaisir d'écrire

J'ai une dizaine d'années, je suis en centre aéré,

Je ne pense à rien du tout, rien ne peut m'arriver;

Les journées se suivent et se ressemblent

Et moi, je ne me pose pas la moindre question...

 

Début des années deux mille: je vis le temps,

J'apprécie tous ces moments, et je suis content;

J'ai perdu des personnes chères, mais ça reste en moi,

Personne n'en saura jamais rien, et c'est bien comme ça...

 

Elle, je la vois... Et je la regarde dès que je peux,

Elle, je n'en suis pas insensible, et, juste nous deux,

Je vois, et elle me plaît: je n'ai d'yeux que pour elle...

 

Elle a mon cœur depuis la seconde où je l'ai vue,

Timide, discrète, mignonne: je vois ses lèvres qui remuent:

C'est ainsi qu'elle m'apprend qu'elle s'appelle Lucile.

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Il fallait que je fasse quelque chose

Publié le par Plaisir d'écrire

Bérénice est si bien. À l’aise. En sécurité, avec moi. Elle jouit de ce moment intime que nous sommes en train de partager, rien que elle et moi.

 

Elle est si belle. Elle m’hypnotise. Elle m’obsède. Je n’ai d’yeux que pour elle.

 

Je l’aime, plus que tout au monde. Et, mon seul dessein, c’est de la rendre heureuse et qu’elle ait le sourire. Qu’elle le garde.

 

Hier soir, ça ne semblait pas en être le cas. Elle paraissait contrariée. Elle n’était pas la Bérénice de d’habitude. J’avais beau essayer de détendre l’atmosphère et d’être aux petits soins pour elle, ça n’avait pas l’effet escompté. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai essayé de savoir, mais elle n’a rien voulu me dire. Je l’ai embrassée. Je lui ai témoigné la tendresse et l’amour que j’ai pour elle, en la regardant les yeux dans les yeux. Je lui ai souri. J’ai posé une main tout doucement sur sa joue. Mais… rien n’y faisait. Bérénice s’est détachée de mon étreinte, et puis elle s’est dirigée vers la salle de bain. Elle m’a dit qu’elle était fatiguée et qu’elle avait besoin de prendre une petite douche et qu’elle avait besoin de sommeil. Ça m’a fait mal de la voir ainsi. Je veux dire : bien sûr que nous avons tous et toutes ces moments où l’on est moins bien que d’habitude. Pourtant… J’aurais aimé faire quelque chose pour que Bérénice puisse penser à autre chose. Et quand elle s’est endormie et que moi, j’étais encore éveillé, ça m’a trotté dans la tête. Il fallait que je fasse quelque chose…

 

Il fallait que je fasse quelque chose.

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Nous deux, à l'unisson

Publié le par Plaisir d'écrire

Le joli petit cul de Bérénice est si beau, tout imbibé de cyprine et de salive. Trempé. Il me donne vraiment envie. À force de l’avoir embrassé, léché et titillé avec mes lèvres… avec ma langue… il n’est plus aussi timide qu’au tout début quand on le caresse. Oh… oui…

 

Je décide, me faisant pervers, de le laisser un tout petit peu. Je veux que Bérénice retrouve son second souffle. Je lui accorde un répit avant de poursuivre et… surtout… de reprendre mon exploration de son orifice anal.

 

Je me contente, avec l’aide de mes mains, de cajoler ses deux jolies fesses. Avec le plat de la main, je les caresse. Une caresse douce, légère. Avec la bouche, je leur donne un tout petit baiser. Mais… un tout petit baiser où l’on entend le contact de mes lèvres sur sa peau. Un peu comme un smack.

 

Bérénice tourne la tête vers moi.

 

Son visage… Son beau visage est transfiguré par le plaisir. Quand je disais que le plaisir lui allait bien… Et bien voilà…

 

C’est un répit, et je suis encore loin d’en avoir fini avec elle. Oh… non…

 

Mais… Pour le moment… Je veux jouir de cet instant de répit et de tendresse avec elle.

 

Je la chevauche et je m’allonge sur elle.

 

Mon torse contre son dos…

 

Mon torse est un petit peu poilu, et je sais que Bérénice aime bien sentir mes poils frôler et taquiner son épiderme. Elle m’a même dit une fois que ça lui faisait quelque chose. Un je-ne-sais-quoi.

 

Tout comme ça lui fait de l’effet quand je m’allonge sur elle et qu’elle sent le poids de mon corps sur le sien. Elle aime sentir nos peaux qui se touchent.

 

Bérénice n’est que érotisme, désir, sensualité mais aussi, et surtout, amour. L’amour de ma vie. C’est aussi simple que ça.

 

Mon torse contre son dos…

 

Bérénice m’accueille volontiers tout contre elle. Tout à l’heure, elle a tourné la tête vers moi. Nous nous regardons. Nous ne nous quittons pas des yeux. Nous ne nous parlons pas. NOS YEUX PARLENT POUR NOUS.

 

J’approche ma tête de la sienne. Ma bouche est en première ligne. J’ai envie d’embrasser tendrement Bérénice. Je le veux.

 

Bérénice, elle, a les yeux mi-clos. Les yeux d’une femme amoureuse qui n’attend qu’une seule chose : que son chéri l’embrasse et lui témoigne tout l’amour qu’il a pour elle.

 

Elle est en train de retrouver sa respiration. Je le vois à sa poitrine lourde. Elle inspire, et elle expire. Ses seins tressautent. Ses seins ballottent. Et moi… j’embrasse tout doucement, tendrement, ma petite coquine de chérie.

 

Nous sommes si bien, rien que tous les deux. A l’unisson.

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Tu n'es plus là

Publié le par Plaisir d'écrire

Le constat est clair,

Très clair:

Tu n'es plus là.

 

Nous aurions pu nous dire,

Tout nous dire:

C'était fini.

 

Tu n'étais plus la même,

Tu étais une autre:

Tu partais déjà.

 

Tu m'as dit plusieurs fois

Mais moi,

Je n'ai pas compris.

 

Et maintenant,

C'est comme avant

Que je ne te voie:

 

On s'oublie.

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Boulogne, début juillet

Publié le par Plaisir d'écrire

Une nouvelle vie commence, et ce dès aujourd'hui:

Sortir le dimanche soir, et me rendre sur le port,

Commander un kebab-frites, le manger dehors

Puis, marcher vers la plage, en se disant que c'est fini...

 

C'est dingue, ce qui bouleversait une vie

Et, et ce même si j'en rêve encore,

Je ne sais pas à quoi auraient servi mes efforts

Car nous semblions tous les deux hors de la partie

 

Et maintenant, on fait notre vie, chacun de notre côté,

Il n'y a plus rien, à deux, à vivre et à raconter:

Les amants deviennent amis, et les souvenirs

 

Vont être les vestiges à venir de notre relation

Parce que j'en ai de plus en plus la sensation;

Ce soir, sur le port, il est temps d'en finir.

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Plus... Bien plus... Encore plus... Toujours plus...

Publié le par Plaisir d'écrire

Son petit trou luise de salive et de cyprine.

 

Bérénice est toute excitée.

Et, à la manière qu’elle me parle et qu’elle me regarde, Bérénice en voudrait encore. Plus… Bien plus… Encore plus… Toujours plus…

 

– Chéri… Chéri… Ta langue… S’il te plaît…

 

Bérénice est haletante. Le plaisir lui coupe le souffle.

 

Bérénice n’est plus qu’une boule de plaisir, et elle en demande et en redemande plus, bien plus, encore plus, toujours plus.

 

Ça n’appartient qu’à moi, mais je trouve que le plaisir lui va bien et la rend encore plus belle.

 

– Chéri… Chéri… Tes mains… Écarte mes fesses… Je veux que tu vois bien mon cul...

 

Ma petite coquine de chérie est déchaînée. Ça s’entend aux mots de plus en plus salaces qu’elle emploie et au grain particulièrement sexy de sa voix.

 

– Chéri… Chéri… Chéri… Tes mains sur mes fesses…

 

Avec le plat de la main, je caresse l’un de ses deux globes. Lentement. Tendrement. Amoureusement. Avec désir. Puis… Au moment où elle ne s’y attend pas, je lui donne une petite claque. L’effet de cette claque est immédiat : j’entends Bérénice gémir.

 

– Oui ! Oui ! OUI ! Encore… Encore...

 

Elle aime ça, Bérénice… !

 

Je maintiens ses fesses écartées afin de pouvoir continuer de lui lécher son anus comme bon me semble.

 

Je replonge mon visage en plein coeur de son cul.

 

Son derrière est tout mouillé. Tout imbibé à la fois de salive et de cyprine.

 

Bérénice, elle, n’en finit pas… n’en finit plus d’émettre ses bruits de plaisir.

 

De temps à autre, elle tourne la tête vers moi, et moi, je vois bien ses yeux suppliants… Elle en demande encore plus. Qu’est-ce qu’elle est gourmande, cette Bérénice ! Mais moi, ça m’arrange bien parce que lui donner du plaisir et la faire jouir est l’une des choses que je préfère dans la vie.

 

De ma langue, j’honore son petit cul. Je lui rends hommage. Je le vénère. Elle me l’offre en cadeau. Elle m’a offert sa plus profonde et sa plus secrète intimité. Je suis un homme ému. Et à compter de là, je fais tout pour lui rendre au centuple cet amour et ce désir qu’elle me porte. C’est aussi simple que ça.

 

Jamais, au grand jamais, le sexe anal ne avait attiré jusqu’à présent. Oui, nous en avions parlé, parfois, elle et moi sur l’oreiller. Mais, ce n’était resté qu’à l’état de fantasme, comme des mots écrits sur une page mais dont on ne fait rien ensuite.

 

Mais là, dans le feu de l’action et qu’elle était toute trempée… Je ne sais pas ce qui m’a pris mais la tentation était trop forte. J’étais curieux et… j’avais enfin envie de poser mes lèvres et ma langue autour de son anus. J’avais envie d’y goûter.

 

Et… une fois que j’y avais goûté, c’était fini. Je m’explique : j’adore son petit cul. Et c’est un véritable plaisir pour lui de m’occuper de lui.

 

Le joli petit œillet de Bérénice est si beau.

 

À compter de ce jour, je veux l’honorer...

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