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À contre-emploi

Publié le par Plaisir d'écrire

À contre-emploi, je serai ce que je ne suis pas,

Ma part sombre n'apparaît pas, mais j'ai du mal

Et, dès lors que je me serai fait la malle,

Je tâcherai de ne pas y penser, pas une seule fois.

 

Avec les années, à force de se faire du tracas,

D'être à sens unique, et que la balle

Est sans cesse dans l'autre camps, le cœur s'emballe

Et, il est temps, maintenant, de vivre à contre-emploi

 

Parce que j'ai pleinement conscience de ne plus être

Celui que tu avais appris à connaître

Et que je ne suis déjà plus depuis quelques temps

 

Et ce n'est pas que je le veux, mais ce n'est plus

Comme au temps de ce forum où nous nous sommes connus:

Sur le bouton rouge, je vais appuyer maintenant.

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Les premiers jours

Publié le par Plaisir d'écrire

Ce sont de belles journées, mais elle pourraient être mieux:

Tu es à droite, puis, tu es à gauche,

Et, quand je déclare qu'il est temps que je te touche,

Ce n'est plus que l'heure de dormir en amoureux.

 

Je me rappelle des premiers jours: des jours plus heureux...

Nous deux, nous avions l'eau à la bouche

Et, même quand c'était l'heure d'aller à la douche,

Nous nous en amusions:  nous en faisions un jeu.

 

J'aimerais pouvoir te parler des premiers jours:

De nos premiers jours, où l'on parlait l'amour,

J'aimerais t'en parler, mais on n'en a pas le temps.

 

Alors, j'en parle à moi-même, dans mes poèmes

Car, c'est bien beau que l'on se dise des "je t'aime"...

C'est bien mieux de vivre à deux le printemps

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Ton cinquième as

Publié le par Plaisir d'écrire

Nous venons de rentrer à l'intérieur, chez nous

Et nous n'avons pas encore franchi le seuil,

Me serrant contre toi, et, telle une feuille,

Tu trembles à l'idée de ce nouveau rendez-vous...

 

Nous franchissons le seuil, on s'embrasse comme des fous

Et je veux voir de la lumière dans chaque œil

Quand je te regarde et que tu te recueilles

Dans mes bras et tu en jouis, là, un point c'est tout.

 

On se donne en spectacle, on se met en scène

Et, très vite, nous ne ménageons plus notre peine

Et nous sommes emportés par la belle jouissance

 

Que représentent nos retrouvailles après les mois

Où nous avons dû attendre, toi, si loin de moi;

Je te dénude, et... tu caches un cinquième as...

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Oh... OUI !

Publié le par Plaisir d'écrire

Bérénice pose une main sur l’une de ses fesses, et de sa main, elle se caresse cette fesse.

Moi, je suis aux premières loges, et je la regarde, Bérénice. Je la regarde attentivement. Intensément.

Mes yeux sont braqués sur Bérénice et ne se détachent pas d’elle.

Mes yeux sont braqués sur ses fesses et ne se détachent pas d’elles.

Tu le vois, mon petit cul, mon chat ?

Quand elle a dit ça, Bérénice avait encore sa main posée sur sa fesse, et elle se caressait. Elle ne me regardait pas, en revanche. Puis, ayant conscience que j’avais les yeux rivés sur son derrière, Bérénice a tourné la tête vers moi et s’est mise à me regarder.

– Il te plaît, mon petit cul ?

Hmmm… Bien sûr que son petit cul me plaît !

Il m’a toujours plu. Oh… oui.

Ses charmes, sans aucune exception, m’ont toujours plu.

Je ne peux pas, je ne sais pas, je n’arrive pas à résister à la tentation.

Bérénice est la tentation incarnée.

Elle est entièrement nue. Quand nous nous sommes endormis, elle a dit, le plus sérieusement du monde, qu’elle avait l’intention de dormir toute nue. Elle a tenu parole, si l’on peut dire.

Et là, elle est à quatre pattes, et elle expose son joli fessier à la face du monde. Ou plutôt… c’est à moi qu’elle l’expose, sans aucun complexe.

Ses deux jolies fesses roses…

Hmmmm…

Mon amour…

Mon amour !

Elle m’expose son beau «petit» cul… et ça me plaît.

Elle sait que je la regarde, cette petite coquine de Bérénice, et elle en joue.

Elle est à quatre pattes.

Elle sait que je la regarde, et, par conséquent, elle m’expose ses deux jolies fesses roses.

Elle se dandine.

Elle… m’excite.

Oh… oui.

Elle a écarté légèrement, subtilement ses jambes. Elle m’a laissé plutôt une jolie vue de son intimité excitée, mouillée, écartée.

– Tu les aimes, mes fesses, hein ?

Oh… oui, je les aime, tes fesses, Bérénice. J’aime tout de toi.

– Tu voudrais… les toucher ?

Oh… oui !

Tu voudrais… les caresser ?

Oh… oui !

Tu voudrais… les embrasser ?

Oh… oui !

– Tu voudrais le lécher, mon petit cul, chéri ?

Oh… oui ! Oui ! Oui ! OUI !

Hmmmm… Je suis toute à toi. Viens...

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C'était bien plus que baiser

Publié le par Plaisir d'écrire

Laura m’accordait toute sa confiance. Elle s’offrait à moi, toute entière. Dans le plus simple appareil, elle me défiait.

Mona Lisa de Nat King Cole…

Oui, Laura était directe dans ses mots et dans ses actes. Oui, son langage avait beau être parfois plus cru que d’habitude. Mais, c’était sur le moment qu’elle me parlait de cette manière. Elle vivait le moment. Elle était toute entière, et elle vivait corps et âme notre rencontre charnelle. Peu m’importait. C’était à moi qu’elle s’adressait et avec qui elle vivait ce moment intime, à deux. Moi, Benoit.

– Ils te donnent envie, mes seins, Benoit ?

Laura était insistante. Mais… Elle s’était faite un devoir, en elle-même, de faire le point sur les désirs que je refoulais. Il ne faut pas oublier qu’elle m’avait dans la peau, Laura. Elle savait que j’étais prêt à tomber à ses pieds. J’étais tombé pour elle. Elle en avait conscience. Dans un sens, elle cherchait à me faire définitivement succomber.

– Je t’en prie, Benoit ! Ne perdons plus un moment ! Je sais que tu as envie de moi, plus que tout. Je t’en prie !

OK… J’étais peut-être, inconsciemment, en train de jouer avec Laura. Elle, elle avait envie de mon sexe entre ses seins bénis des dieux. Et, à présent, je le savais. Pourtant, et là, elle marquait un point : j’avais envie d’elle. Elle avait raison.

– Je vois comment tu regardes mes seins, Benoit. Tu penses que je ne le remarque pas. Mais, tu te trompes. Je ne suis pas dupe, tu sais. Je ne suis pas idiote. Je suis tout sauf ça.

Là, ses yeux étaient dans les miens. Profondément. C’était difficile de maintenir le contact avec son regard.

– Tu ne fais rien de mal, tu sais ? Mes seins sont gros, et tu les aimes. Point final. Nous ne sommes que tous les deux, Benoit ! Laisse-toi aller, enfin quoi !

Je n’étais pas du tout habitué à ça. Laura, elle, je ne la connaissais que depuis la fin de notre concert. Ça s’était passé backstage. Je n’étais pas habitué à tout ça. Je n’avais pas l’habitude qu’une fille prenne les devants.

La Fièvre du duo rap français NTM…

Laura, pratiquement d’un moment à un autre, avait l’esprit d’initiative. Là encore, ça ne faisait toujours pas exception. Elle restait juste elle-même. Ni plus, ni moins.

– Viens...

Une sirène était en train de m’appeler. Tout du moins, c’était à ça que je pensais. De son grain de voix qu’elle voulait sexy, Laura me faisait du charme. Elle n’en avait plus besoin. J’étais à elle depuis longtemps.

– Viens… Benoit… Glisse ta queue entre mes seins. Fais-toi du bien… Je t’en prie !

C’était à mon plaisir qu’elle pensait en premier. Sa générosité était sans bornes. Oui, son corps l’était, généreux. Magnifique. Mais… C’était un tout, et ça faisait que j’étais sous le charme. Laura connaissait les mots qu’elle devait employer et leur tonalité, pour me parler. Pour ne pas me brusquer. Elle pensait à mon plaisir et à ma jouissance d’abord, et puis, seulement après que le plaisir s’était emparé de moi, seulement à ce moment-là, elle me demandait de porter mon attention sur le sien.

Ce n’était pas à sens unique. Nous étions liés, corps et âme et sexe. Nous nous rendions baiser pour baiser, caresse pour caresse, émotion pour émotion. C’était bien plus que baiser. Ça allait bien au-delà.

Là, elle s’était doutée que j’aimais beaucoup sa belle poitrine. Elle n’avait aucun doute là-dessus. Depuis, elle mettait tout en œuvre pour que j’en jouisse, de quelque manière que ce soit.

Lucky Star de Madonna…

Laura estimait qu’elle me connaissait un peu. De plus en plus, même. Elle pensait que dans ma tête, je me disais que je ne méritais pas l’intérêt et l’amour d’une femme. Elle pensait que je me sous-estimais et que, de ce jugement ultra négatif que je me faisais de moi, je trouvais normal, à mes yeux, que aucune femme n’oriente son regard vers moi lorsqu’elle me voyait. J’avais tort. Laura, dès notre rencontre, avait tout chamboulé. Du tout au tout.

Laura, rappelons-nous, nous suivait d’un concert à un autre. C’était pour moi en bonne partie. J’avais titillé son attention dès le premier concert auquel elle avait assisté. C’était peut-être un homme coincé, réservé qu’elle avait vu sur scène. Mais, et là, c’était le plus important, cet homme lui avait plu. Elle avait eu immédiatement un faible pour cet homme qui avait la musique dans la peau et qui fermait les yeux quand il chantait ou quand il touchait les touches noires et blanches de son synthétiseur. Cet homme, elle l’avait senti réservé, maudit, faible. Dès le départ. Pourtant… Il lui plaisait, cet homme. Ça ne faisait même pas l’ombre d’un doute à ses yeux. Cet homme, elle ne le connaissait pas le moins du monde. Et pourtant… C’était comme si elle pensait le connaître, d’une manière ou d’un autre. C’était une sensation étrange mais agréable et qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même.

Et, en ce moment même, dans cette maison qui était située dans un lotissement pavillonnaire de Montpellier et qui appartenait à son amie Sarah, cet homme, c’était moi.

Je surplombais Laura, et mon sexe était en érection. Tout dur. Laura, elle, était dans le plus simple appareil, et elle était belle. Ravissante. Irrésistible.

Ses seins étaient nus. Généreux. Elle les empoignait, et elle les caressait. Ils étaient l’un contre l’autre, et j’aimais les regarder ainsi. Oui, je l’avoue : j’en étais fou. J’EN SUIS ENCORE ET TOUJOURS FOU, d’ailleurs !

De temps à autre, et ce, même si elle était allongée et que je la dominais plus ou moins, elle posait ses mains sur mes fesses, et elle les prenait à pleines mains. Comme pour me rapprocher d’elle. Comme pour que je fasse quelque chose. Comme pour que je me sente pousser des ailes, que je fasse table rase du passé et que je me libère. Pour résumer, pour que je réalise les désirs et les fantasmes que j’ai refoulés pendant des années et des années. Laura, elle, m’avait fait comprendre qu’il n’y avait aucun mal à avoir des fantasmes, et que c’est normal, juste la nature humaine, de vouloir leur donner vie.

Et, alors qu’elle avait saisi mes fesses à pleines mains, je l’ai vue, clairement, distinctement, hocher la tête, de haut en bas, de bas en haut, tout en me regardant intensément. Elle acquiesçait. Sans dire un mot. Glisser mon pénis entre les seins d’une femme et m’y masturber… C’était l’un de mes fantasmes. Ça l’était depuis que j’avais été ado. Et là, Laura était en train de m’offrir ses jolis gros seins voluptueux, en cadeau. De par ce hochement de tête, Laura me montrait qu’elle y consentait et qu’elle en avait envie, elle aussi.

J’en avais envie. Plus que tout, à présent. Mais… Avant d’insérer mon membre dans le clivage doux, chaud et tendre de la poitrine de la mignonne jeune femme rousse, je me suis penché sur elle. Je me suis allongé sur elle, et je me suis remis à l’embrasser. Sur ses lèvres. Sur les joues. Sur le menton. Dans le cou. Ça, c’était ma manière de lui témoigner l’attirance et la tendresse que je ressentais pour elle. Ce n’était pas baiser. Ça allait plus loi, bien plus loin. Elle était venue dans notre loge, quelques minutes après la fin de notre concert, au café des Amours mortes. Elle était venue m’aborder, elle en avait eu le cran. Et moi, en faisant sa connaissance puis en apprenant à la connaître au fur et à mesure, elle m’attirait. Et non seulement elle m’attirait, mais aussi et surtout je me prenais d’affection pour elle.

J’étais si bien à ses côtés. J’ai cessé de l’embrasser et je me suis remis à la surplomber. Puis, comme si je la chevauchais. Je me suis rapproché d’elle, ma virilité en première ligne, braquée dans sa direction. Braquée en direction de ses seins.

Laura, elle, les maintenait encore et encore, l’un contre l’autre. Moi, je me suis léché le bout des doigts, avec ma salive, et j’ai passé ma main entre ses seins, pour humidifier et lubrifier la vallée de ses seins magnifiques.

Nous nous sommes regardés. Laura a encore hoché la tête. Elle était prête et là, elle me venait de me donner son feu vert. C’est alors que j’ai glissé tout doucement ma queue entre ses seins. Mon… dieu… !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Insouciance, quand tu me tiens

Publié le par Plaisir d'écrire

Une chanson qui me rappelle les années d'enfance,

L'été, quand on allait au bord de la mer,

Dans les années quatre-vingt dix, à l'arrière

De la voiture de mes parents: insouciance,

 

Quand tu me tiens... C'était une enfance heureuse,

La voiture roulait, sans regarder derrière,

On partait pour la côte, dès les premières heures

Et j'écoutais toutes ces musiques, en silence.

 

Insouciance, quand tu me tiens... Ce sont des souvenirs

Avec ces routes, ces journées et tous ces plaisirs;

Insouciance, quand tu me tiens... Je n'étais qu'un enfant

 

Et je pensais que rien ne pouvait m'arriver,

Cette chanson, teintée de reggae et de jazz, passait

Et je vivais en jouissant de ce jour défilant.

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Après une belle journée

Publié le par Plaisir d'écrire

Ça a été une journée plus, harassante

Mais nous l'avons passée tous les deux, et nous jouissons

De tous ces moments, et nous avons bien raison

D'en profiter: la proposition est tentante

 

Et, pour ma part, elle est bien intéressante,

Alors... Maintenant que nous sommes à la maison,

Que nous nous détendons, que nous nous reposons,

Je veux m'occuper de toi comme ça me chante:

 

Je veux que tu t'allonges et que tu fasses le vide

Dans ta tête, que l'on soit sur la même longueur d'onde:

Prends une douche, dorlotes-toi bien, mets-toi à l'aise

 

Et quand tu franchiras la porte de la salle de bain,

Tu te seras faite toute belle, tu seras si bien;

Musique sensuelle, bougies parfumées: l'amour, en silence...

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Dans notre chambre

Publié le par Plaisir d'écrire

Amour... Mon si bel amour... S'il te plaît ! Reste

Au lit, et ne fais qu'un avec notre parure,

Quitter le lit pour n'importe quoi est très dur,

Ne pensons pas aux réalités terrestres

 

Tout de suite: replongeons-nous dans la tempête

Alors que nous continuons les aventures

De la chambre d'hôtel, jusqu'à en jouir à l'usure,

Ce sont tout sauf des attractions désastre

 

Car quand je suis sur toi et je prends les devants,

Je n'ai pas du tout lu le guide du bon amant,

Je suis juste mon instinct, écoute mon désir...

 

Amour... Mon unique amour... Tu es si belle,

Peu importe que nous produisons des décibels:

Que notre amour demeure palpable à l'avenir...

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"Mets-toi à quatre pattes, Bérénice..."

Publié le par Plaisir d'écrire

Bérénice me regarde, droit dans les yeux.

Ses yeux ne me lâchent pas d’une semelle. Son regard est rempli d’une émotion particulière : toujours sous l’effet du désir et du plaisir, son regard se faisait suppliant. Comme si elle ne voulait pas que j’arrête. Comme si elle réclamait de moi encore et toujours du plaisir, toujours plus de plaisir.

Un ou deux doigts en elle… Ma langue et mes lèvres sur sa vulve, sur son clitoris… Ma langue qui la lèche… Mes lèvres qui sucent et qui suçotent sa peau intime rose, salée, humide…

Hmmm…

Hmmmm…

La chatte de Bérénice est juste… si délicieuse.

J’aime… quand Bérénice ne pense plus à rien, et qu’elle se laisse aller.

Quelque chose lui trottait dans la tête, et elle n’arrivait pas à s’en débarrasser ?

Je suis conscient que l’on ne peut pas tout résoudre avec du sexe, mais…

Dans ce genre de cas, je veux user et abuser de toute la tendresse et de toute la sensualité que j’ai au plus profond de moi pour pouvoir faire en sorte qu’elle oublie, ne serait-ce que momentanément ces soucis.

Et, quand je prends l’initiative, quand je prends DES INITIATIVES, j’ai tendance à croire que Bérénice aime bien. Dès lors, elle met ses soucis de côté, et elle se laisse aller à nos moments à deux.

Comme là…

Là, quand ma tête est entre ses jambes, et que je savoure le sexe délicieusement juteux, salé, doux, chaud de ma coquine de chérie.

Elle, elle a posé sa main dans mes cheveux, et elle me les caresse.

Elle me guide ainsi.

Moi, ma langue retrouve comme par la magie le contact de son abricot. Je dépose un tout petit baiser sur son clito. Puis, c’est ma langue qui se pose sur lui et qui l’honore de petits coups de langue vifs. Bérénice, elle, accompagne mes caresses de mouvements de son bassin. Ensuite, je prends ses lèvres intimes dans ma bouche, et je les suce… Je les suçote… Je les aspire. Ma langue, elle, reprend après le contrôle des opérations et se repose sur sa cramouille trempée.

Ma langue va… Ma langue vient… De haut en bas… De bas en haut…

Sur son tout petit bouton de rose… Sur ses grandes lèvres… Sur ses petites lèvres…

Sa chatte est ruisselante.

Ses petites lèvres ont rougi sous l’effet de l’excitation et du plaisir. Elles se sont joliment gonflées, aussi.

Ma langue va… Ma langue vient… De haut en bas… De bas en haut…

Sur l’entrée de son vagin… Sur son périnée… Sur son anus…

Hmmm…

Sa chatte est ruisselante.

Je profite… que ma langue soit désormais imprégnée de son liquide d’amour… pour venir titiller doucement, très doucement, délicatement, son anus.

Bien sûr, il m’est déjà arrivé de poser mes lèvres et ma langue sur son petit trou, mais c’était de manière distraite, comme ça, comme en coup de vent, jusqu’à présent.

Je n’avais jamais eu envie… ou plutôt je ne m’étais jamais donné la peine d’aller explorer Bérénice aussi intimement. Et là, c’était ce dont j’avais envie…

Mets-toi à quatre pattes, Bérénice…

Sur le coup, Bérénice m’a regardé. Elle a braqué ses yeux dans les miens comme si elle ne savait pas où je voulais en venir. Et puis, elle a tout compris…

Elle m’a adressé alors un sourire coquin.

Elle est venue m’embrasser goulûment, comme pour savourer, au passage, sa cyprine sur mes lèvres et sur ma langue, et puis elle s’est retournée et s’est mise à quatre pattes., m’exposant au passage, de manière lascive, son très joli petit cul.

Hmmmm...

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En parlant de désirs...

Publié le par Plaisir d'écrire

 

Nous venions d'arrêter, je ne savais pas pour combien de temps, de nous peloter et de nous frotter l'un à l'autre. Et pourtant… Je me tenais encore pour le moment au-dessus de Laura. C'était un peu comme si je la dominais, du fait de ma position.

Nous n'arrêtions pas de nous regarder. Nous aimions bien nous observer. Ça nous permettait, à elle comme à moi, d'avoir une idée de comment l'autre se sentait, s'il était bien et s'il continuait de prendre du plaisir.

Who's that Girl de Madonna…

L'intensité du moment était palpable. Éprouvante même, par intermittence. Nous avions envie l'un de l'autre. Nous n'attendions que ça. Rien n'aurait pu nous détourner de ce que nous désirions.

Puis, je n'arrivais plus à m’empêcher de regarder, d'observer et d'admirer son corps tout entier. En quelque sort, je la caressais avec les yeux. En particulier, sa belle poitrine sur laquelle mes yeux finissaient toujours par revenir.

Laura n'était pas dupe. Elle savait depuis un bon moment déjà que ses seins me plaisaient énormément et que j'en étais tombé amoureux.

– Je suis toute à toi, Benoit. Et je suis trempée. C'est toi qui me fais mouiller. Je suis folle de toi, Benoit. J'ai envie de toi. Je t'en prie !

Je la regardais dans les yeux. Le regard que l'on s'échangeait était intense. Lourd de sens, si l'on peut dire. Il y avait bien un feeling entre nous. Ce n'était pas baiser. Ça allait bien plus loin. Laura m'avait dans la peau, et ça se reflétait dans ses yeux. À aucun moment, elle ne faisait semblant.

J'aimais ça.

Je continuais de plonger mes yeux dans les siens, et je m'y perdais volontiers. Je perdais pied, je perdais le contrôle… et j'aimais ça. J'étais sous l'emprise de Laura. C'était parce qu'elle avait usé et… un tout petit peu abusé de son charme. De ses charmes. Avec subtilité. Sans être racoleuse. Tout en restant elle-même. Laura ne surjouait jamais. Elle prenait juste note du désir de son amant, et, alors, elle voulait le satisfaire du mieux qu'elle pouvait.

Elle était directe. Elle disait ce qu'elle avait en tête, à n'importe quel instant. Mais, en aucun cas, elle ne faisait semblant. Elle ne calculait rien. Elle ne se prenait pas pour ce qu'elle n'était pas. Elle laissait juste libre cours à ses désirs.

En parlant de désirs…

Elle savait que j'étais raide dingue de ses deux seins voluptueux aux larges aréoles rose pâle. Ça ne faisait plus du tout l'ombre d'un désir pour elle à ce moment-là. Elle n'était pas dupe, Laura.

Oui, mes yeux étaient dans les siens.

Oui, j'étais presque allongé sur elle, et que je maintenais au mieux mon rythme pour que Laura continue de prendre du plaisir.

Mais, Laura était tout sauf une idiote : mes yeux, de temps à autre, s'arrêtaient sur ses seins. Elle m'avait surpris, plus d'une fois, alors que ses monts d'amour avaient pris possession de moi. Laura est une femme qui est tout sauf dupe.

Quand elle me prenait sur le vif, Laura, elle, était discrète, ce que moi, je n'étais pas, homme oblige, et elle regardait en direction de ma virilité. Ce qu'elle voyait la confirmait dans sa confiance, dans son désir, et dans ses choix.

J'étais loin d'être insensible à elle. Et, elle voyait bien que mon sexe était en verve.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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