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Petit retour en arrière

Publié le par Plaisir d'écrire

    Elle savait que j’étais puceau, et ce mot aurait pu faire en sorte qu’elle prenne ses jambes à son cou. Elle aurait très bien pu me laisser en plan. Ma virginité tardive l’avait touchée, certes, mais justement elle ne m’avait pas pris en pitié. Elle avait tout fait pour que je me décoince. Elle avait su trouver les mots justes pour me faire comprendre que ce n’était pas une tare et que ça l’avait émue.

    Elle avait de l’or aussi bien à la surface qu’en profondeur.

    Certes, cette petite rousse était un canon. Elle avait de jolis gros seins, capables, je pense, de faire bander un mort. Elle était irrésistible, et, la preuve ! J’avais plié et j’avais rompu. Laura m’avait séduit, aussi, parce qu’elle restait elle-même. Elle était venue vers moi, backstage, un peu après le concert alors qu’elle se doutait que je risquais d’être taciturne, pragmatique. Ça, c’était l’image qu’elle avait de moi, jusqu’à présent, alors qu’elle ne ratait pas un concert de nous, les «Princes of the Universe».

    Elle avait su qu’elle allait devoir prendre son temps avec moi. Elle mourait d’envie de faire l’amour avec moi. Ça, elle ne pouvait s’en empêcher d’y penser. C’était devenu tout simplement impossible pour elle de réprimer ses désirs. Chaque fois qu’elle se masturbait, à l’aide de ses doigts, de vibromasseur en faux cristal ou bien de son gode préféré, elle pensait à moi et elle s’imaginait que c’était moi qui m’occupais d’elle.

    Elle savait qu’il y avait un risque que je ne veuille pas d’elle, mais elle, elle savait qu’elle allait justement devoir prendre ce risque à un moment ou à un autre. Elle avait le cul entre deux chaises, si l’on pouvait dire les choses ainsi. Elle était consciente que j’allais probablement avoir besoin de confiance pour que je m’abandonne (d’un côté) mais que elle aussi, elle était consciente qu’elle n’était plus capable de réfréner ce désir qui se consumait inexorablement en elle et qui la possédait (de l’autre côté)… alors que je n’avais peut-être pas envie d’elle et que ça ne m’avait certainement jamais traversé l’esprit. Tout ça, c’étaient les conclusions qu’elle avait tirées de ces observations quand elle venait à nos concerts, qu’elle m’observait quand je jouais sur scène et qu’elle m’écoutait quand je faisais mon solo.

    Les dés avaient été jetés et elle avait décidé de jeter son dévolu sur moi, une fois pour toutes...

 

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C'était un joli sexe que je... (1/2)

Publié le par Plaisir d'écrire

    Laura était debout, et j’étais à genoux. J’avais un peu écarté son tanga afin que je puisse accès à sa vulve.

    C’était la première chatte que je voyais de mes propres yeux et je la trouvais très belle.

    Ses lèvres n’étaient pas encore écartées, et pourtant, je constatais que son sexe était luisant… luisant de mouille.

    J’avais embrassé sa moule dans un premier temps avant que je ne laisse ma langue entrer en scène à son tour.

    Et quand ma langue s’est mise à la goûter et à la manger… C’était une délicieuse saveur salée que j’avais à présent en bouche. Hmmm… Le liquide d’amour de Laura, rien que pour moi… Ça me rendait fou et j’avais plus, bien plus, encore plus, toujours plus envie de fouiller son sexe avec ma bouche…

    Nothing but You de Paul Van Dyk…

    Il n’y avait pas que ma bouche qui était actrice. Mes yeux, eux aussi, se délectaient de ce sexe de femme attirant et tentateur à souhait.

    C’était un joli sexe que j’embrassais avec mes lèvres. C’était un joli sexe que je léchais avec ma langue. C’était un joli sexe que j’admirais avec mes yeux. C’était un joli sexe dont j’appréciais l’odeur avec mon nez.

    Laura avait un très beau sexe. Elle devait en être fière. A mon avis, c’était le cas. Je ne vois pas comment il aurait pu en être autrement.

    Vous verriez son minou… vous n’auriez envie que d’une chose : y porter vos lèvres et votre langue, les hommes comme les femmes.

    Quand les nymphes de la jeune femme ne sont pas écartées, ils forment un joli ensemble. Tout ce qu’il laisse apparaître à sa surface, c’est du rose. Un peu comme celui des aréoles de ses seins, sauf qu’elles, elles sont pâles.

    Dieu que Laura est magnifique. Qui plus est, elle semble avoir tout pour elle : un corps voluptueux, béni des dieux… un joli sourire tantôt amoureux, tantôt aguicheur… des yeux qui vous font tomber de haut pour elle, et qui font que vous ne pouvez alors plus lui résister…

 

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J'ai envie de laisser libre cours à mon désir

Publié le par Plaisir d'écrire

    J’ai glissé ma main dans le tanga de Laura. Pour beaucoup d’hommes, ce serait banal. Normal, quoi. Pour moi, c’était important et ça représentait énormément. Je me permets juste de rappeler qu’il s’agissait de pas mal de premières fois en une.

    Ce n’était que pur plaisir de maintenir ce contact intime et privilégié avec la jeune femme. Elle m’avait rendu fou et j’avais craqué pour elle. C’était aussi simple que ça.

    It Must Have Been Love de Roxette…

    J’avais la main à l’intérieur de son sous-vêtement et je la passais légèrement… doucement sur sa peau. À l’exception de son pubis en «ticket de métro», la peau était nue alors que je m’attendais à toucher un doux duvet de poils. Plus je me rapprochais de son puits d’amour, plus ce n’était que pur délice…

    Je sentais qu’elle n’avait pas encore bien sûr les lèvres écartées. Ça demandait de moi que je sois patient et que je continue d’exciter davantage Laura. En d’autres termes, que je prenne mon mal en patience, si l’on peut dire, et que je me consacre encore et encore, encore et toujours, au plaisir de ma partenaire.

    Néanmoins… je sentais, quand je la caressais distraitement, qu’elle mouillait déjà un peu.

    Elle n’avait donc pas menti.

    Elle ne faisait pas semblant.

    Elle avait décidé de s’offrir à moi. Elle se donnait à présent corps et âme… et j’aimais ça.

    La peau de son abricot était toute lisse et c’était… trop bon de passer ma main dessus, délicatement. Dans un instant de folie, l’envie et le désir firent que je passais ensuite le bout d’un doigt le long de sa fente, de haut en bas puis de bas en haut, et ce plusieurs fois d’affilée. Ça avait un impact psychologique puisque j’en étais à la fois excité mais aussi… ému. Eh oui… Ça me faisait… beaucoup d’effet.

    Son mont de Vénus a beau être orné d’une jolie petite bande verticale de poils… son sexe, lui, est glabre. Il est… agréable au toucher.

    She’s on Fire de Amy Holland…

    Et justement, rien qu’au toucher… sa porte du plaisir me donnait vraiment envie. Mais… vraiment, je veux dire ! Laura a réellement un beau minou. Pour ne rien «arranger» à cela, elle a une poitrine magnifique. Et sa bouche pulpeuse… Et son ventre plat… Et ses yeux de femme fatale… Rhoo… !

    Je continuais de faire coulisser le bout de mon doigt le long de l’entrée de sa fente.

    On était face à face. Corps à corps. La magie et l’alchimie s’étaient créées entre nous deux. L’un appartenait à l’autre. L’autre appartenait à l’un. C’était comme ça. Nous étions sur la même longueur d’onde.

    J’étais de plus en plus conscient, malgré mon inexpérience, que Laura prenait du plaisir avec moi. Je faisais tout ce que je pouvais… je faisais tout ce dont j’étais capable pour qu’elle passe un moment aussi agréable que possible.

    Un peu plus tôt dans la soirée, quand on était dans sa voiture et qu’elle me suçait, après le concert au bar des Amours mortes, elle m’avait dit, comme ça, dans le feu de l’action, qu’elle m’imaginait, ma tête entre ses jambes et que je m’occupais de sa «belle petite chatte appétissante»…

    À présent, elle était presque entièrement nue. Elle ne portait plus que le tanga et rien d’autre qu’un peu d’huile de massage sur les seins. Ce tanga était mouillé et il allait finir, à un moment ou à un autre, par être détrempé si je continuais dans cette voie… De plus, moi, à mesure que je caressais Laura et que j’avais la main dans sa culotte, j’étais bien plus intime avec elle. Je voulais donc laisser libre cours à mon imagination. Libre cours à mon inspiration. Libre cours à l’action. Tout simplement… j’avais envie de laisser libre cours à l’amour et au sexe.

    Pendant un bref laps de temps, j’ai enlevé ma main du sous-vêtement humide de ma partenaire, coquine à souhait. J’ai regardé Laura dans les yeux et je l’ai embrassée avec appétit et avec fougue. J’avais pris l’un de ses seins rebondis dans ma main et je l’empoignais. Ma main est ensuite remontée jusqu’à son cou et elle s’est posée sur sa gorge. J’ai alors fait remonter encore un peu plus ma main et j’ai effleuré de ses doigts. La main en question, c’était celle qui… la caressait, quelques instants plus tôt.

    Laura a léché l’un de mes doigts, doigt qui avait été badigeonné de sa cyprine. Elle léchait ce doigt avec avidité. Puis, sa bouche s’est ouverte pour forme une sorte de «O ». J’ai alors pénétré ses lèvres de quelques centimètres et la jeune femme s’est mise alors à me sucer mon doigt de la même manière qu’elle aurait sucé ma queue. Elle goûtait à sa saveur. Elle en a émit un nouveau bruit de plaisir, un peu comme un gloussement. Elle y prenait du plaisir.

    Quant à moi, j’avais senti son liquide d’amour sur mes doigts mais je ne connaissais toujours pas sa saveur. Qui plus est, je brûlais littéralement de lécher son sexe mouillé et de le manger…

    Je me suis alors agenouillé de nouveau tout en prenant le soin d’effleurer sa peau avec ma bouche, de haut en bas, au fur et à mesure que ma tête descendait progressivement.

    What the World Needs Now Is Love de Jackie McShannon...

    J’avais à présent la tête à hauteur de son pubis. J’étais quasiment à hauteur du tanga humidifié par sa cyprine. Je voyais à présent l’état d’excitation de Laura. Je voulais cependant en voir bien davantage maintenant…

    J’ai légèrement écarté le tanga et j’ai enfin vu de mes propres yeux sa magnifique chatte…

    Elle était effectivement… appétissante. J’avais vraiment de la lécher avec gourmandise…

    J’ai alors approché ma tête de son sexe et j’y ai placé mon visage. J’ai d’abord embrassé puis j’ai donné un premier coup de langue alors qu’elle ne s’y attendait peut-être pas…

    Hmmm… Elle avait un très bon goût. Certes, salé mais… j’aimais ça.

    Laura a gémi.

    Ça m’a donné encore plus envie...

 

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Deeper and deeper...

Publié le par Plaisir d'écrire

    Elle m’a tendu ce tout petit flacon qui contenait je-ne-sais-quoi, encore. Je n’avais pas la moindre idée, ni de ce qu’il y avait à l’intérieur, ni de ce que Laura voulait en faire.

    Et puis… j’ai compris.

    Laura a pris ses deux magnifiques seins dans ses mains et les a rapprochés l’un de l’autre. Elle les soupesait, et c’était un joli spectacle qui m’excitait, encore et encore.

    Elle se pinçait les tétons dans le but qu’ils pointent un peu plus.

    – Benoit… Ce que j’ai là dans ma main c’est de l’huile de massage. Elle est à l’ylang-ylang. Et si j’ai pris mes seins comme tu le vois là, c’est parce que… je voudrais que tu verses un petit peu de cette huile et que tu me masses les seins.

    Je ne m’attendais pas le moins du monde à ça ! Je veux dire… Laura me plaisait. Ça, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. J’avais dû vivre ça sous la forme de fantasmes, plusieurs fois, au moins, depuis mon adolescence. Mais que Laura s’offre ainsi à moi… Non… Ce n’était juste pas possible. Ce devait être un rêve érotique, un fantasme, un film de charme, mais pas la réalité. C’était impossible que Laura soit seins nus, ainsi, tout contre moi, et qu’elle me tende de l’huile de massage pour que je m’occupe de sa poitrine généreuse et que j’en prenne soin !

    J’ai alors pris le flacon et j’en ai retiré le bouchon. Laura continuait de prendre ses seins dans le creux de ses mains et de les presser l’un contre l’autre. Je pointais l’embout du flacon de bas en haut et j’en déposais quelques gouttes sur l’excitant décolleté de la jeune femme rousse.

    Gimme More de Britney Spears…

    Laura ne portait plus rien en haut. Elle ne portait rien d’autre qu’un peu d’ylang-ylang sur sa poitrine. Ces quelques gouttes n’attendaient plus qu’à entrer en contact avec sa peau et à raffermir ses seins déjà fermes… Lourds… Mes deux mains, alors, allèrent en direction de ses gros seins et se posèrent sur eux. Mes mains s’arrimèrent à présent à cette poitrine bénie des dieux et modelèrent les gouttes d’huile un peu comme on joue avec de la pâte à modeler.

    Je massais les seins de Laura… Je les pétrissais… Je les malaxais… Je les faisais miens… J’en… étais… fou. Je les caressais doucement. Je les massais… et ça me plaisait. Je les prenais dans la paume de mes mains… et j’aimais ça.

    Laura savait ce qu’elle faisait en me tendant ce flacon. Tout ce que j’espérais, moi, c’était qu’elle y prenne du plaisir, elle aussi. Que j’en ai, moi, juste en touchant ses seins voluptueux, c’était une chose. Qu’elle en ait, elle, ça en était une autre…

    Ornée d’huile de massage à l’ylang-ylang, Laura était magnifique. Elle me donnait envie. Oh… oui… J’avais vraiment envie d’elle.

    J’avais beau avoir eu un vrai faible pour les petites poitrines quand j’étais ado… Jeanne… Aurélie… Constance… J’étais dingue des seins de Laura. Le constat était là.

    Angel de Gavin Friday…

    Je prenais délicatement l’un de ses mains dans ma main et je la regardais droit dans les yeux, dans le même temps. C’était un jeu de séduction qui s’instaurait, petit à petit, entre nous. J’en profitais pour titiller son téton du bout de mon doigt, à la dérobée.

    Je sentais Laura qui se cambrait…

    Quant à moi… je pressais davantage mon corps contre le sien et je me frottais contre elle. Elle devait sentir mon érection contre son bas-ventre parce qu’elle a émis un gémissement. Je l’ai alors embrassée, une nouvelle fois. Je laissais aller mon désir comme bon me semblait.

    Ses seins m’étaient comme offerts. Ils étaient dans la ligne de mire de mes mains, et je les touchais comme bon me semblait. Elle se laissait faire parce qu’elle me sentait bien. Elle se sentait bien parce qu’elle me faisait confiance. C’était aussi simple que ça. Et moi… j’étais honoré de cette confiance qu’elle me donnait. Rappelons-le : j’étais quand même encore un inconnu pour elle vu qu’on s’était rencontré que quelques heures plus tôt.

    Elle était charmante, douce, gentille, sensuelle, tendre, compatissante… et je voulais prendre soin d’elle. Oh… oui…

    Elle commençait à fermer les yeux comme si elle voulait jouir de ces sensations qui prenaient possession d’elle. Ses lèvres s’entrouvraient, par moments. De temps en temps, elle laissait s’échapper un bruit de plaisir. C’était… sexy à souhait.

    Je frottais langoureusement mon érection contre elle, et ça me rendait plus dur encore.

    J’ai retiré une main de ses gros seins et je l’ai déplacée… en bas… beaucoup plus bas…

    Ma main se baladait à sa guise sur cette peau soyeuse, rose pâle. C’était… hmmm… un délice. De sa poitrine, cette main rencontra son ventre plat, sa taille de guêpe. Laura ondulait du bassin telle une danseuse du ventre. Elle était d’une sensualité… Elle me rendait fou d’elle. Je ne vois pas comment il était possible de ne pas envie d’elle. Puis, ma main alla… plus bas encore. Elle découvrit une ligne verticale, fine, de poils. Je compris, pour en avoir entendu parler dans des magazines ou en ayant maté des films porno, qu’il s’agissait du fameux «ticket de métro». Ses poils étaient doux, fins, légers. Passer la main sur son mont de Vénus, c’était… hmmm…

    Take My Breath Away du groupe Berlin…

    J’ai, de nouveau, regardé Laura dans les yeux et j’ai porté ses lèvres aux miennes. J’ai mis la langue, et nos langues se sont touchées, caressées, léchées.

    Ma main, elle, je l’ai posée sur la dentelle du tanga bleu poudre qu’elle portait. J’ai senti que le sous-vêtement était mouillé. J’ai tout de suite compris. Je comprenais à présent mieux ce que Laura avait voulu me dire, plus tôt dans la soirée par «une chaleur qui était née sous sa culotte»…

    Elle était donc bel et bien excitée.

    C’était une nouvelle révélation pour moi. Alors, j’ai davantage pressé mon érection contre Laura et je l’ai faite frotter plus… intensivement.

    Laura a gémi.

    Elle, elle a posé ses mains sur mes fesses, comme pour m’encourager à continuer.

    C’est alors que j’ai passé ma main à l’intérieur de son tanga trempé...

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Dans quinze jours

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu es là, dans mes bras, et je te regarde,

J'ai agréablement bien dormi, tout contre toi,

Ton corps est chaud, et je ne peux plus avoir froid,

Je te regarde... et tu me portes l'estocade.

 

Je vois ton cou, et j'y dépose des myriades

De baisers, et là, tu te frottes, tout contre moi,

Tu soupires, tu gémis, et tu cries, à haute voix,

Mais ça... ce sera après nos embrassades...

 

Je me mets à imaginer tes vêtements,

Je me mets à penser à tes mouvements:

Que tu sois étudiante, doctoresse... Je t'aime.

 

Dans quinze jours, on ne parlera plus de distance

Mais bel et bien de baisers et caresses:

Je lécherai baisers et caresses que je sème.

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Emmène-moi

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu me tends la main et tu m'emmènes où tu veux,

Emmène-moi où tu veux... parce que je suis à toi,

Hmmm... ma douce: c'est ce que tu aimes, venant de ma voix,

J'aime cette idée que nous ne soyons que tous les deux.

 

Je voudrais te faire allonger dans des draps soyeux,

Que tu te sentes bien et que tu t'endormes près de moi,

Je réchaufferais ta place pour ne pas que tu aies froid,

Hmmm... j'ai aimé la caresse de tes doigts amoureux.

 

J'ai envie de m'occuper de toi, toute entière,

Tu t'es faite ta place: tu es celle que je préfère,

Hmmm... ma tendre. Hmmm... ma douce. Hmmm... ma puce.

 

Emmène-moi dans l'un de ces jardins que tu aimes tant...

Emmène-moi dans cette chambre où nous serions amants...

Ô fais rimer confiance, audace et innocence.

 

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Plus rien ne sera comme avant

Publié le par Plaisir d'écrire

Elle est partie pour un autre que moi aujourd'hui,

J'avais beau me concentrer et m'occuper d'elle,

Je n'ai rien fait, à part me brûler les ailes,

J'ai joué à l'acteur X, mais là, elle est partie

 

Parce qu'il n'est rien né du tout de notre lit

Et là, je me rends compte que ce n'est plus pareil

Et que mon désir redevient confidentiel;

Elle est partie pour un autre que moi, pour la vie.

 

Rien ne sera plus jamais comme avant : j'ai peur

De ne plus être l'unique obsession de son cœur

Mais voilà: plus rien du tout ne sera comme avant.

 

Une amie m'a dit que le jour se lève encore,

Il se lève, oui, mais ô délicieux corps-à-corps

Où nous jouions à la maîtresse et à l'amant...

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En attendant

Publié le par Plaisir d'écrire

Tu m'envoies une photo de toi au moment où

Je ne m'y attends pas du tout, et j'aime vraiment

Que tu oses le faire, que tu veuilles, là, maintenant,

Que je sois un homme perdu, me rendre fou...

 

Toi... Je ne sais pas si je vais tenir le coup

Jusqu'à ce jour-là, et je t'attends... impatient,

Alors, j'écris de belles histoires en attendant

Et, je regarde cette photo, en pensant à nous...

 

En attendant... Je me fais des films où tu es

La belle actrice, l'actrice principale qui me plaît:

Celle avec qui je vais passer quatre magnifiques jours...

 

En attendant... Je leur écris ces histoires:

Je leur parle de nous, de ce que l'on vit, le soir;

Mais... il n'y a que nous deux qui nous parlons d'amour.

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Si j'étais avec toi...

Publié le par Plaisir d'écrire

Je m'imagine bien dans ton lit, tout contre toi,

T'entendre respirer, que tu t'endormes paisiblement,

Sentir les battements de ton cœur haletant,

Je me le suis imaginé plus d'une fois...

 

Je m'imagine contre ton corps, entendre ta voix

Et que tu me demandes un massage, maintenant,

Pour toi, je ferais tout, même si c'est exigeant,

Je t'ai imaginée, très amoureuse de moi...

 

Tes épaules... Tes seins... Ton ventre... Ton dos... Tes "petits" pieds...

Je m'occuperais bien du moindre centimètre carré

De la surface de ta peau, et que ça impacte

 

Sur les ramifications en profondeur

De ton corps, et que ça décuple tes ardeurs;

Je te prépare au plaisir suprême... avec tact.

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Préliminaires...

Publié le par Plaisir d'écrire

Je sais ce que Bérénice aime, et je m’efforce, dès lors, à la mettre à l’aise du mieux que je peux. Elle a besoin de tout un contexte avant de se donner totalement, corps et âme, à moi.

Ça commence par des yeux amoureux. Des regards où je lui montre et lui témoigne l’amour que j’ai au plus profond de moi et que je ressens pour elle. Je me mets ainsi, moi aussi, à nu.

Une main posée sur sa joue… Un doigt qui va et qui vient, sur sa joue, qui la caresse… Des tout petits baisers sur toute la surface de son visage… Sur son front… Sur ses tempes… Sur ses paupières… Entre son œil et sa bouche… Sur sa joue… Sur sa mâchoire… Sur son menton… Sur… ses lèvres, sur lesquelles je laisse un doigt se promener car il les caresse. A certaines occasions, sa bouche s’ouvre, légèrement, et Bérénice se met à sucer ce doigt, à l’engloutir, de la manière qu’elle aime sucer et engloutir mon…

Je me focalise sur toutes les parties susceptibles de la détendre, de la rendre plus légère, et de la préparer… à des contacts plus… osés, plus… sensuels…

Ses oreilles… Ses délicieuses oreilles, que je m’embrasse… que je lèche… que je… mordille, tout doucement. Ça… lui fait de l’effet, me semble t-il…

Un doigt est en elle, à quelques centimètres de profondeur. Sa porte du plaisir est mouillée, trempée, mais pas encore inondée. Et pourtant… Et pourtant… J’aime déjà ça. Mon doigt va et vient… il va et il vient… Il va et il vient…

Je frotte, doucement, la paume de ma main, sur son fourreau d’amour. Je sais qu’elle apprécie, en général, les frottements de quelque chose sur son intimité. Les draps, quand elle décrète vouloir s’endormir dans le plus simple appareil… De la lingerie, en dentelle, quand elle ressent l’envie et le désir de se faire belle et sexy, pour moi… L’eau, quand elle utilise le pommeau de la douche comme instrument de plaisir lorsqu’elle s’adonne au plaisir solitaire…

Dans la vie de tous les jours, Bérénice garde des enfants et poursuit encore ses études, avec pour objectif d’ouvrir, un jour, sa propre librairie. Dans l’intimité… elle montre un tout autre visage...

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