Elle m’a tendu ce tout petit flacon qui contenait je-ne-sais-quoi, encore. Je n’avais pas la moindre idée, ni de ce qu’il y avait à l’intérieur, ni de ce que Laura voulait en faire.
Et puis… j’ai compris.
Laura a pris ses deux magnifiques seins dans ses mains et les a rapprochés l’un de l’autre. Elle les soupesait, et c’était un joli spectacle qui m’excitait, encore et encore.
Elle se pinçait les tétons dans le but qu’ils pointent un peu plus.
– Benoit… Ce que j’ai là dans ma main c’est de l’huile de massage. Elle est à l’ylang-ylang. Et si j’ai pris mes seins comme tu le vois là, c’est parce que… je voudrais que tu verses un petit peu de cette huile et que tu me masses les seins.
Je ne m’attendais pas le moins du monde à ça ! Je veux dire… Laura me plaisait. Ça, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. J’avais dû vivre ça sous la forme de fantasmes, plusieurs fois, au moins, depuis mon adolescence. Mais que Laura s’offre ainsi à moi… Non… Ce n’était juste pas possible. Ce devait être un rêve érotique, un fantasme, un film de charme, mais pas la réalité. C’était impossible que Laura soit seins nus, ainsi, tout contre moi, et qu’elle me tende de l’huile de massage pour que je m’occupe de sa poitrine généreuse et que j’en prenne soin !
J’ai alors pris le flacon et j’en ai retiré le bouchon. Laura continuait de prendre ses seins dans le creux de ses mains et de les presser l’un contre l’autre. Je pointais l’embout du flacon de bas en haut et j’en déposais quelques gouttes sur l’excitant décolleté de la jeune femme rousse.
Gimme More de Britney Spears…
Laura ne portait plus rien en haut. Elle ne portait rien d’autre qu’un peu d’ylang-ylang sur sa poitrine. Ces quelques gouttes n’attendaient plus qu’à entrer en contact avec sa peau et à raffermir ses seins déjà fermes… Lourds… Mes deux mains, alors, allèrent en direction de ses gros seins et se posèrent sur eux. Mes mains s’arrimèrent à présent à cette poitrine bénie des dieux et modelèrent les gouttes d’huile un peu comme on joue avec de la pâte à modeler.
Je massais les seins de Laura… Je les pétrissais… Je les malaxais… Je les faisais miens… J’en… étais… fou. Je les caressais doucement. Je les massais… et ça me plaisait. Je les prenais dans la paume de mes mains… et j’aimais ça.
Laura savait ce qu’elle faisait en me tendant ce flacon. Tout ce que j’espérais, moi, c’était qu’elle y prenne du plaisir, elle aussi. Que j’en ai, moi, juste en touchant ses seins voluptueux, c’était une chose. Qu’elle en ait, elle, ça en était une autre…
Ornée d’huile de massage à l’ylang-ylang, Laura était magnifique. Elle me donnait envie. Oh… oui… J’avais vraiment envie d’elle.
J’avais beau avoir eu un vrai faible pour les petites poitrines quand j’étais ado… Jeanne… Aurélie… Constance… J’étais dingue des seins de Laura. Le constat était là.
Angel de Gavin Friday…
Je prenais délicatement l’un de ses mains dans ma main et je la regardais droit dans les yeux, dans le même temps. C’était un jeu de séduction qui s’instaurait, petit à petit, entre nous. J’en profitais pour titiller son téton du bout de mon doigt, à la dérobée.
Je sentais Laura qui se cambrait…
Quant à moi… je pressais davantage mon corps contre le sien et je me frottais contre elle. Elle devait sentir mon érection contre son bas-ventre parce qu’elle a émis un gémissement. Je l’ai alors embrassée, une nouvelle fois. Je laissais aller mon désir comme bon me semblait.
Ses seins m’étaient comme offerts. Ils étaient dans la ligne de mire de mes mains, et je les touchais comme bon me semblait. Elle se laissait faire parce qu’elle me sentait bien. Elle se sentait bien parce qu’elle me faisait confiance. C’était aussi simple que ça. Et moi… j’étais honoré de cette confiance qu’elle me donnait. Rappelons-le : j’étais quand même encore un inconnu pour elle vu qu’on s’était rencontré que quelques heures plus tôt.
Elle était charmante, douce, gentille, sensuelle, tendre, compatissante… et je voulais prendre soin d’elle. Oh… oui…
Elle commençait à fermer les yeux comme si elle voulait jouir de ces sensations qui prenaient possession d’elle. Ses lèvres s’entrouvraient, par moments. De temps en temps, elle laissait s’échapper un bruit de plaisir. C’était… sexy à souhait.
Je frottais langoureusement mon érection contre elle, et ça me rendait plus dur encore.
J’ai retiré une main de ses gros seins et je l’ai déplacée… en bas… beaucoup plus bas…
Ma main se baladait à sa guise sur cette peau soyeuse, rose pâle. C’était… hmmm… un délice. De sa poitrine, cette main rencontra son ventre plat, sa taille de guêpe. Laura ondulait du bassin telle une danseuse du ventre. Elle était d’une sensualité… Elle me rendait fou d’elle. Je ne vois pas comment il était possible de ne pas envie d’elle. Puis, ma main alla… plus bas encore. Elle découvrit une ligne verticale, fine, de poils. Je compris, pour en avoir entendu parler dans des magazines ou en ayant maté des films porno, qu’il s’agissait du fameux «ticket de métro». Ses poils étaient doux, fins, légers. Passer la main sur son mont de Vénus, c’était… hmmm…
Take My Breath Away du groupe Berlin…
J’ai, de nouveau, regardé Laura dans les yeux et j’ai porté ses lèvres aux miennes. J’ai mis la langue, et nos langues se sont touchées, caressées, léchées.
Ma main, elle, je l’ai posée sur la dentelle du tanga bleu poudre qu’elle portait. J’ai senti que le sous-vêtement était mouillé. J’ai tout de suite compris. Je comprenais à présent mieux ce que Laura avait voulu me dire, plus tôt dans la soirée par «une chaleur qui était née sous sa culotte»…
Elle était donc bel et bien excitée.
C’était une nouvelle révélation pour moi. Alors, j’ai davantage pressé mon érection contre Laura et je l’ai faite frotter plus… intensivement.
Laura a gémi.
Elle, elle a posé ses mains sur mes fesses, comme pour m’encourager à continuer.
C’est alors que j’ai passé ma main à l’intérieur de son tanga trempé...