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J'avais envie de...

Publié le par Plaisir d'écrire

    – Hmmm… Benoit… Tu les vois, mes seins ? Ils te plaisent ?

    Laura a vraiment de beaux seins. J’avais toujours eu un faible pour les petites poitrines. Vraiment. Certes, je n’avais jamais eu de petites copines par le passé, et j’avais encore moins fait l’amour ! Mais, je me souviens de mes lectures de magazines olé-olé quand j’étais ado. Je me souviens de ces scènes et de ces films pour adultes que je regardais. J’en regardais de temps en temps, en cachette. Je faisais tout pour que mes parents n’en savent rien. C’était tout simplement mon jardin secret à moi.

    Bien sûr, ça dépendait des actrices… donc des femmes, mais quand j’étais touché par la beauté de l’une d’entre elles. Certes, la taille de sa poitrine m’importait peu, mais j’étais quand même plus sensible aux petits seins. Rien ne m’empêchait de trouver une poitrine plus… généreuse, jolie de temps à autre.

    Les seins de Laura sont beaux. Gros juste comme il faut. Ni trop petits, ni énormes.

    Nightcall de Kavinsky…

    Juste… gros… généreux. Je les aime.

   Voluptueux avec leurs aréoles rose crème.

    – Je meurs d’envie que tu les caresses encore, Benoit. Qu’ils te soient plus intimes que toute à l’heure…

    Mais moi aussi j’avais envie de les faire miens davantage, ses seins ! J’étais à ses pieds, à genoux, et je voyais ses seins. J’avais un aperçu idéal d’eux. Non, ce n’était pas un fantasme ! Non, ce n’était pas un film porno ! C’était vrai. C’était la réalité qui se passait.

    Les seins de Laura sont beaux. Je les regardais, d'en bas. Toujours à ses pieds, mais j'ai envie de …

    Glory Box de Portishead...

    Ses mains caressaient mes cheveux. C'était comme si elle me guidait. Pourtant… Pourtant, j'avais envie de…

    J'avais envie de me remettre debout, à sa hauteur. Que l'on soit face à face. Que l'on se fasse face. Que je la regarde droit dans les yeux et que je puisse lire le désir qu'elle avait pour moi, à ce moment-là.

    J'avais envie d'être de nouveau debout, à sa hauteur. Que l'on puisse s'embrasser. Que l'on s'embrasse sans s'en lasser. Que je pose une main sur son visage et que l'on savoure nos baisers, les uns après les autres. Que je glisse une autre main dans ses cheveux roux, à ce moment-là.

    J'avais envie d'être de nouveau debout, à sa hauteur. Que je puisse glisser la première main et que je la fasse descendre. Que je la pose sur sa gorge. Qu'elle descende progressivement. Qu'elle atteigne finalement sa poitrine gironde.

    Playground Love du groupe français Air...

    J'avais envie de …

    Les seins de Laura sont beaux. J'étais à présent en train de les caresser, doucement. Je n'avais pas pu m'en empêcher. Dites-moi comment résister à une aussi jolie poitrine… Dites-moi ! Moi, je n'ai pas pu.

    J’avais posé une première main puis j’ai posé la deuxième. Je les avais d’abord posées sur le galbe de cette poitrine magnifique, cette poitrine merveilleuse qui était alors l’unique objet de mon obsession.

    Je caressais ses seins, doucement. Je ne voulais pas m’arrêter. Leur galbe… Leur naissance… Leur décolleté… Leurs aréoles… Leurs tétons… Les seins de Laura sont beaux. Je ne pouvais pas résister.

    Falling Down de Duran Duran…

    Je pétrissais les seins de Laura. Ils étaient l’objet de mon attention.

    J’avais envie de…

    J’avais envie de porter ma langue aux tétons…

    J’avais envie de…

    Waiting for Your Love de Toto…

    La mignonne jeune femme aux longs cheveux roux se détacha de nouveau de mon étreinte. C’est sûr… Cette petite rousse doit posséder un cinquième as, ce n’est pas possible… Mon désir était alors inébranlable, inexorable. J’avais envie de…

    – Ne t’inquiètes pas, Benoit. Ça me plaît… Ça me plaît beaucoup, tu sais. C’est pas pour ça que je m’écarte. Simplement, je… Reste là.

    Laura ne s’était pratiquement pas éloignée. Elle était juste allée chercher… une petite trousse de couleur mauve. Elle en a tiré un petit flacon. Elle me l’a tendu. J’ignorais de quoi il s’agissait. Laura n’allait pas tarder à donner une réponse à ma question...

 

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Goûter... Sentir... Ressentir...

Publié le par Plaisir d'écrire

    J’avais donc bien entendu un bruit, peu audible, un peu sourd soit-il… ! J’étais à genoux, à SES pieds, alors que je l’embrassais et que je vénérais le haut de son corps de petite coquine.

    Sa gorge… son cou… son torse… sa poitrine… ses tétons… son ventre plat… sa taille de guêpe… ses flancs… le bas de ses reins… son nombril… son bas-ventre… Chaque centimètre… (Non!) chaque millimètre carré de son appétissante peau rose… Laura, toute entière, était à ma merci.

   Je voulais… plus…

    Even Better than the Real Thing de U2...

    Laura en voulait plus, elle aussi… C’était du moins ce que j’arrivais à percevoir. Je le devinais à la manière où nous étions actifs, d’égal à égal, dès lors. Nous jouissions de ces préliminaires.

    Je voulais donner à Laura… autant de plaisir que j’en étais capable.

    De tous petits baisers… Des baisers mouillés… Des myriades de baisers… Pleins de baisers…

    De tous petits coups de langue… Des léchouilles… Des coups de langue vifs… Des coups de langue lents… Des coups de langue sensuels… Des coups de langue appuyés… Des coups de langue intenses…

    Je mordillais sa peau… tout doucement…

    Let's Get It On de Marvin Gaye...

    Ma langue sur son nombril… Elle le lape, un peu comme si j'avais versé un tout petit peu de champagne ou d'un quelconque liquide dessus et à l'intérieur et que j'avais envie de le goûter… sensuellement… sur Laura. Je le faisais, sans le breuvage bien sûr, mais la peau de Laura avait déjà très bon goût. Vraiment. J'y relevais comme quelque chose de floral. Laura devait prendre sa douche avec un gel ou bien un lait hydratant qui était probablement à base de fleurs exotiques. Une senteur délicate mais agréable. A moins qu'il ne s'agisse de son parfum qu'elle avait un tout petit peu déposé sur son nombril et sur son bas-ventre…

   Quoi qu'il en soit, ça… me plaisait.

    Pendant que je goûtais Laura avec plaisir et délectation, je m'efforçais à garder un visuel sur elle. Elle fermait à moitié les yeux… Elle avait plongé une main dans mes cheveux, comme pour exiger de moi que je continue. Ça… lui plaisait. Elle poussait de tout petits bruits.

    Quant à ses seins… les tétons pointaient. Laura avait donc dit vrai toute à l'heure quand elle me rassurait et me disait que ça lui plaisait que l'on vive ce moment. Elle est excitée, et ses mamelons d'un rose pâle et crème à la fois le disaient. Elle m'avait aussi parlé «d'une chaleur qui était née sous sa culotte»… Il fallait que j'en ai le cœur net...

    Erotica de Madonna...

 

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Révélation

Publié le par Plaisir d'écrire

    Sa bouche s’est posée sur son sein… Après avoir donné des petits coups de langue sur le décolleté de la belle et plantureuse rousse, j’avais encore plus envie de donner du plaisir à Laura. Elle m’en avait donné, beaucoup, avant, et j’avais vraiment envie, à mon tour, de le lui en donner.

    Je donne des coups de langue sur l’aréole. Je l’imagine…rose… Je donne des coups de langue, tantôt lents...sensuels, tantôt plus vifs..rapides. Je pose mes lèvres sur le téton, et mes lèvres le sentent, le palpent. J’encercle ce téton de mes lèvres, et je l’embrasse. Laura a beau être encore protégée par cette armure de dentelle, couleur bleu poudre, qui lui sert de soutien-gorge, elle n’en est pas moins sensible.

    Sous l’effet de mes coups de langue, de mes petits baisers et de mes succions, je sentais à présent les tétons de Laura pointer, darder. Je les sentais au contact de ma bouche… de mes lèvres… de ma langue… Malgré le fait que ce soutien-gorge push-up cachait encore, pour l’heure, sa poitrine gironde et généreuse… les tétons commençaient lentement mais sûrement à s’allonger. Ils n’étaient pas insensibles à mes caresses.

    Elle haletait. Elle soupirait. Elle gémissait. Elle avait du plaisir…

    Cette jeune femme, audacieuse comme ce n’était pas permis, avait du plaisir parce que c’était MOI qui le lui en donnais ! Ca m’a fait comme un choc. C’était une révélation pour moi. Moi, Benoit, j’étais capable de donner du plaisir à une femme !

    Je délaissais ses seins pour descendre, encore un peu plus au sud. Des petits baisers, tout fins, tout légers, tantôt mouillés, tantôt non, sur son ventre plat. Elle avait une taille de guêpe. Laura me plaisait vraiment. Elle était irrésistible, et ça faisait déjà longtemps que je n’étais plus en mesure de lui résister. J’étais sous le charme, et je lui appartenais.

    Under Your Spell de Desire…

    Et pendant que j’embrassais avec amour et… envie son ventre, j’attendis comme un bruit. Un bruit peu audible, mais je l’ai entendu malgré tout. J’avais beau être à genoux à présent, je levais les yeux, en direction des yeux de Laura. Ses yeux auraient dû la cible de mon regard. Il n’en fût rien. Mes yeux avaient stoppé leur course au niveau de la poitrine de la belle rousse. Je comprenais à présent d’où venait ce minuscule bruit que j’avais entendu, quelques instants auparavant… Elle venait de dégrafer son soutien-gorge bleu poudre. Elle avait à présent les seins nus. Ce qui avait été un rêve, un fantasme… devenait réalité.

 

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"Love to Love You Baby..."

Publié le par Plaisir d'écrire

    Sur fond de musique, Laura et moi étions là, l’un contre l’autre. Nous étions en train de nous embrasser. De nous découvrir. De nous peloter comme des adolescents qui découvrent les plaisirs sensuels, le plaisir des caresses intimes et des baisers tantôt légers tantôt osés. C’était si bon d’embrasser Laura et de poser mes lèvres sur les parties de son corps qui étaient à ma portée. J’y prenais du plaisir, vraiment. Et, et je le dis avec le recul… j’espère que Laura en prenait aussi.

    Elle se frottait encore, encore et toujours contre moi, telle une chatte qui a besoin qu’on la caresse. Elle semblait aimer le contact de nos corps. Mon corps contre le sien… J’avais beau me focaliser sur les baisers que je lui donnais et sur les caresses de mes mains sur son corps, je sentais bien que son corps, justement, répondait à mes baisers et caresses. Je sentais qu’elle jouait de son bassin, et que son bassin se frottait contre mon ventre. Mon bas-ventre. Mon… pénis, aussi ? C’est probable, parce que je me sentais durcir, au fur et à mesure que Laura accentuait ses mouvements de bassin. Cette «petite» savait décidément ce qu’il fallait faire pour donner bien du plaisir à un homme.

    Quant à moi, je continuais de déposer des baisers dans son cou. Des baisers légers. Des baisers mouillés. Je donnais aussi des petits coups de langue. Je léchais son cou. Laura y prenait du plaisir, parce que je l’entendais de plus en plus haleter. Ses mouvements de bassin, eux, devenaient plus rapides, plus prononcés. En résumé, plus… intenses.

    Love to Love You de Donna Summer...

    Je l’embrassais...dans le cou, et je l’entendais haleter. Sa respiration était désormais plus rapide. Et, il me semblait que j’arrivais à entendre son cœur battre, vu que nous étions dans les bras l’un de l’autre. Nous étions corps-à-corps, et je sentais sa peau nue contre la mienne. Son cœur devait, à mon avis, battre le chamade dans sa poitrine parce que j’arrivais percevoir des battements.

    Je me suis décidé à quitter le cou de Laura, et à l’aide de mes lèvres et de ma langue, je suis descendu. Ses omoplates… Sa clavicule… Son épaule… Des baisers, mouillés. Des petits coups de langue, lents. Laura donnait de la voix. Ça commençait davantage à se rapprocher de sons audibles. Elle soupirait. Elle poussait des petits bruits de plaisir. J’entendais sa respiration. Elle devait, peut-être, retenir son souffle. Elle devait, peut-être, appréhender la suite des événements. Ma main, de son côté, continuait sa balade et la découverte du corps généreux de la belle jeune femme rousse. Elle était posée sur l’une de ses hanches.

    Ma bouche continuait, elle aussi, son petit bonhomme de chemin. De l’épaule, elle est revenue au niveau du cou et de la gorge. Puis, elle est descendue. Plein axe. Arrivée au creux des seins de Laura, elle s’y arrêta. Y déposa des baisers. Des coups de langue. Laura gémit. Sa main se posa sur l’arrière de ma tête, comme pour me rapprocher de sa poitrine. Comme un appel à la caresser. Protégée par son armure de dentelle bleu poudre, elle était sensuelle. Sexy. Je ne pouvais alors que placer de fins coups de langue sur le décolleté. Laura gémit. Ma bouche descendit un tout petit peu plus bas, et se posa sur le sein de Laura, pile au niveau des aréoles et des tétons. J’y posai ma bouche… Hmmm… Ça me plaît. J’espère que ça lui plaît, aussi…

    Love Hangover de Diana Ross...

 

 

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Caresses, égards et baisers

Publié le par Plaisir d'écrire

    Laura était là, dans mes bras. Son corps m’impressionnait, oui. Et pourtant… j’avais envie de la caresser partout. Je la désirais fort. Elle était en petite tenue. Elle était sexy. Elle me faisait de l’effet. Beaucoup d’effet. J’avais chaud. Je bandais. Je bandais pour elle. Je la désirais. J’avais envie d’elle à cet instant. Et chaque millimètre carré de sa peau rose pâle n’arrangeait rien : j’avais envie, plus que tout au monde, de toucher, de caresser, de goûter à cette peau. SA peau dont je suis persuadé qu’elle s’occupe avec soin.

    Laura était dans mes bras, et à la manière dont elle se collait et se frottait contre moi, telle une chatte ou un petit chat, j’avais comme l’impression qu’elle (en) demandait plus. Qu’elle VOULAIT plus. Qu’elle avait envie d’aller plus loin, elle aussi. J’ai posé mes mains sur le bas de ses reins, et je l’ai regardée intensément. Elle m’avait libéré de mes doutes et de mes questions existentielles à propos de ma virginité tardive. Je lui faisais alors comprendre, à travers ce regard, que j’avais envie d’elle et que je ne pouvais réfréner mon désir plus longtemps.

    – Tu peux, Benoit… Tu peux me caresser. Là où tu veux. Partout où tu en as envie. Me dénuder. Parce que moi aussi, j’en ai envie. N’oublie pas que je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux. Je… suis… à… toi.

    Elle portait ce joli «petit» ensemble bleu poudre, et d’après ce que je comprenais, elle s’était déshabillée puis elle s’était vêtue de cette lingerie sexy à souhait, et j’en salivais. Comment résister à un corps féminin aussi voluptueux et si bien mis en valeur par de la lingerie sexy ? Impossible.

    Dans mon moment d’audace, je laissais glisser une main sur ce corps parfait, sensuel, sexy, partout où ma main pouvait s’aventurer. Et ma bouche prit son cou d’assaut. Laura se cambra, et glissa une main dans mes cheveux. Comme pour me demander de continuer mes baisers et mes caresses.

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Interlude...

Publié le par Plaisir d'écrire

    En parlant de caresses et de baisers… Pendant que nous émergeons de notre partie de jambes en l’air et que nous retrouvons un second souffle, des flashs de nos ébats me reviennent. Nos regards… La découverte progressive de nous, de nos corps, et de nos âmes… Notre premier baiser… Les premiers attouchements… Quand elle m’a masturbé… Quand elle m’a sucé… Les baisers… Les caresses… Mes doutes, mon appréhension… Quand j’ai pris de l’assurance quand je posais mes mains et ma bouche sur elle… Quand j’ai léché sa belle «petite» chatte appétissante… Ses soupirs, ses gémissements… Ses cris… La première fois où je l’ai faite jouir, de mes doigts et de ma langue… Quand je l’ai pénétrée… Notre jouissance finale, ensemble…

    Et pendant que je me refais le film de la nuit, ce film que nous avions tourné et dans lequel nous étions les uniques acteurs, où nous étions nos propres réalisateurs, ce film qui n’appartient qu’à nous, à jamais, Laura me caresse distraitement les mamelons du bout des doigts. Qu’elle les aime bien, mes petits mamelons, cette petite coquine ! Notre nuit d’amour… et de sexe me le rappelle bien ! Ma première fois… Pour rien au monde, je ne l’oublierai.

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Une invitation au plaisir

Publié le par Plaisir d'écrire

    Je passais mes mains là où j’étais en mesure de les poser, sur le corps voluptueux de ma partenaire. J’étais en reconnaissance, comme un plongeur dans les fonds marins, à la découverte de cette peau dont la surface et les profondeurs me laissaient penser qu’il me faudrait une éternité pour les faire miennes. Cependant, j’évitais de penser à ça parce que ça n’avait pas d’importance. Pas la moindre importance. Tout ce qui comptait pour moi, c’était elle, nous deux. Moi qui la découvrais de plus en plus intimement et qui en tirais du plaisir. Elle qui se et ME laissait faire et qui prenait du plaisir.

    Sa peau était pâle mais soyeuse. Que c’est un délice d’y poser les mains et de la faire mienne. Mes mains, je les posais et les déplaçais, les déposais avec douceur. Ce n’était pas faire «vite fait, mal fait». Non ! Je manquais d’expérience, alors, je prenais mon temps. Je découvrais. Si je sentais Laura frissonner, frémir, s’abandonner au simple contact de mes mains, alors, j’étais sur la bonne voie, et cela me donnait davantage confiance pour continuer de m’occuper d’elle. Ça me rassurait.

    Invisible Touch de Genesis...

    J’étais comme ensorcelé, de plus en plus, au fur et à mesure que la nuit avançait et que le round d’observation n’avait plus lieu d’être. Nous en étions aux choses sérieuses, et nous comptions bien en profiter, rien que nous deux. Oh… oui !

   Le corps de Laura m’impressionnait, de par sa générosité mais aussi par sa sensualité. Bien sûr que j’avais envie de poser mes mains sur son corps et ainsi pouvoir la caresser partout. Mais, n’ayant que deux mains et surtout aucune expérience comparable ou semblable, il fallait que je me fie à mon instinct. Que je sois simple dans ma sensualité mais que je procure dans le même temps le plus de plaisir possible à ma «petite» rousse. Le corps de Laura est une belle invitations aux caresses et aux baisers, aux plaisirs sensuels et charnels.

    Like a Prayer de Madonna...

 

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Avoir envie d'elle, et lui donner du plaisir...

Publié le par Plaisir d'écrire

    Je caressais Laura. Je m’appropriais son corps, petit à petit. En attendant de prendre possession des petits recoins de son corps généreux, je posais mes mains, prudemment, et restais attentif à la moindre de ses réactions. Je voulais que Laura se sente bien au contact de mes mains. Qu’elle ne soit pas soumise. Qu’elle soit, au contraire, apaisée, en sécurité, épanouie… excitée. Son bien-être était ma priorité. D’accord… ! Je n’y connaissais peut-être rien au sexe et aux plaisirs charnels, mais j’avais tout de même conscience de certaines choses, quoi ! Laura me mettait à l’aise, et j’étais à présent… bien excité. J’avais envie d’elle. Ça ne faisait plus l’ombre d’un doute.

    Can’t Feel My Face de The Weeknd…

    Laura était contre moi, à portée de bras. De MES bras. Pour reprendre une phrase qu’elle avait prononcé un peu plus tôt et qui m’avait marqué parce qu’au vu des événements qui s’étaient déroulés jusque-là, le désir que Laura ressentait pour moi était tout sauf feint. J’avais Laura dans mes bras, et je comptais bien en profiter… Son corps appelait le mien, le réclamait. Je ne voulais pas négliger le moindre centimètre carré de Laura. Bien sûr que je n’avais pas trop de certitudes quant à ce que ma «petite» rousse pouvait ressentir à ce moment précis. Même si ses yeux brillaient (quand on dit que les yeux ne mentent jamais ou… rarement…….), même si elle souriait, même si ses yeux étaient mi-clos à certains moments, et même si elle émettait ce qui se rapprochait de petits bruits de plaisir, comment pouvais-je savoir que je donnais du plaisir à cette jeune femme que je ne connaissais que depuis quelques heures à peine?

    Una storia importante de Eros Ramazzotti...

 

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Prendre (enfin) ses reponsabilités

Publié le par Plaisir d'écrire

    Je portai un regard aux yeux de Laura, et j’avais envie de lire la confiance qui pouvait s’afficher en eux. Les yeux de ma «petite» rousse sont brillants quand Laura se sent bien. C’était le cas une fois qu’elle m’avait ôté le bandeau des yeux et qu’elle s’affichait devant moi, dans une tenue bien plus légère par rapport à ce que nous avions bien pu vivre tous les deux, un peu plus tôt dans la soirée. Pourtant, et ce même si nous en avions envie tous les deux, même si j’avais envie d’elle à présent, je voulais obtenir d’elle la permission de la toucher.

    Laura avait dû lire dans mes pensées…

    – Benoit… Tu l’as ma permission, tu sais? Toi seul. Ne prends pas ton air innocent. Nous ne sommes que tous les deux! Tu peux me toucher comme tu le désires et autant que tu en as envie. D’ailleurs, je crève d’envie que tu me touches et que tu me caresses. Laisse-toi aller… Je te guide, d’accord ?

    Touch of My Hand de Britney Spears…

    Je me laissai aller. Le corps de la plantureuse rousse me devenait de plus en plus familier. Je n’étais plus en terre inconnue. D’ailleurs, je ne sais pas si c’est le fait que Laura m’eut bandé les yeux ou si c’était dû à autre chose, mais je me sentais bien. Dans cette maison qui appartenait à ses amis amoureux. Tout près d’elle.

    Je ne pensais pas que ce serait un tel feu d’artifice en moi que de toucher une femme. Je ne pensais pas ressentir ça et y prendre autant de plaisir. Avant la fin de soirée et la fin de notre concert au café des Amours mortes, Laura et moi n’étions que des inconnus l’un pour l’autre. Je ne savais pas quoi dire. Laura me faisait un très beau cadeau en se déshabillant et en portant une lingerie bleu poudre aguichante.

    – Si tu savais depuis combien de temps j’attends ce moment, Laura. Depuis toujours. Et toi, non seulement tu me fais confiance et tu es sexy pour moi, mais en plus, tu me laisses poser la main sur toi et te toucher. Merci. J’aimerais…

    – Tu aimerais… ? Tu aimerais quoi ? Benoit… Tu sais que tu me rends folle, et tu as pu voir ce que je suis capable de te faire pour te donner du plaisir et pour ne pas que tu oublies ta première fois. Mais… Il me faut que tu dises clairement ce dont tu as envie. Comme ça, je saurai tes désirs, ces désirs que tu as refoulés pendant toutes ces années. Dis-les moi comme lorsque tu as voulu que je te suce. Tu ne fais rien de mal, tu sais ?

    Ces mots m’ont libéré. Une sorte de déclic en moi. Laura ne semblait avoir aucun tabou. Sa maturité, sa sensualité, son assurance et son ouverture d’esprit au sens sensuel et sexuel du terme me rendaient fou d’elle.

    Shining Star du groupe dance italien Get Far…

    – J’ai envie de toucher ton corps, Laura. Hmmm… de le découvrir. Tu me fais confiance, et ça, tu ne pouvais pas déjà me faire de plus beau cadeau. A moi de prendre mes responsabilités à présent. Hmmm…

    Je laissais mes deux mains partir à l’aventure et se poser sur son corps, notamment sur son visage, son cou, la naissance de sa poitrine généreuse, son ventre…

    – C’est ça, Benoit… C’est ça… J’aime quand tu montres ton vrai ‘’toi’’, celui que tu as tenté de refouler. Mais, c’est fini. T’ai-je libéré, Benoit? Je… suis…. à… toi.   

 

 

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"Touch Me"...

Publié le par Plaisir d'écrire

    Touch Me de Samantha Fox…

    J’avais les yeux bandés. Laura me les avait cachés juste après qu’elle m’ait laissé lui caresser les seins, alors qu’elle était encore habillée. Elle m’avait demandé de me tenir tranquille parce qu’elle devait chercher quelque chose à l’intérieur de la maison. Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’elle avait dans son esprit malicieux. Peu de temps après, elle était revenu et elle m’avait demandé de lui tendre l’une de mes mains. Laura l’avait saisie doucement et m’avait dit : «Benoit… Prépare-toi à ce que tu t’apprêtes à vivre… Je viens de faire quelque chose pour toi, rien que pour toi. J’espère que tu aimeras. Moi, je pense que tu… vas… aimer.» Ces trois derniers mots, c’est comme si elle me les avait martelé.

    Peu importe ce que Laura me faisait, j’aimais. Elle savait prendre s’y prendre pour rassurer un homme et lui faire donner confiance, cette «petite». Ma main droite, elle la tenait. J’ai ressenti des frissons parce que ma main touchait quelque chose mais qui ne s’apparentait pas à un tissu. De la peau ? Ma main était en contact avec une peau lisse, douce. Une peau sur laquelle j’aimais déjà me promener. Avant qu’elle ne m’ait caché les yeux avec je-ne-sais quoi, elle portait un T-Shirt, avec un motif de cœur rose pile au niveau de sa poitrine généreuse. Ce n’était pas moi qui contrôlais mes mouvements. Laura me faisait bouger le bras, et je pouvais la caresser ainsi.

    The Power of Love de Frankie Goes to Hollywood…

    Laura passa sa langue sur le lobe de l’une de mes oreilles. C’était… exquis. Puis, je ne sentis plus cette langue qui s’était occupée de moi, plus tôt dans la soirée. Pourtant, je sentis un souffle frais au niveau de mon oreille. Laura devait être à portée de bouche de celle-ci… Je commençais à la connaître, tout petit à petit, et ça n’aurait pas été surprenant venant d’elle. Le moindre millimètre carré de mon épiderme était dans sa ligne de mire, et elle avait l’air de se faire un malin plaisir à accroître le plaisir qu’elle me donnait, encore et toujours, et à m’exciter. M’exciter de telle sorte que je puisse à mon tour, plus tard, lui donner en retour, du plaisir.

    – Hmmm… Benoit… Comme tu peux le constater, quand je te laisse de nouveau poser la main sur moi et me toucher, je ne porte plus mon T-Shirt blanc de toute à l’heure. Celui avec le cœur rose au niveau de mes gros seins. Es-tu prêt pour apprécier ce que j’ai fait pour toi ?

    C’est vrai ! Elle m’avait dit qu’elle avait fait quelque chose alors que j’avais les yeux bandés et qu’elle espérait que j’apprécierais…

    – Oui… Je suis prêt, Laura. Prêt à tout, prêt pour toi….

    – Hmmm… Tu ne sais pas à quel point tu me rends heureuse. Je sais qu’on ne se connaît pas depuis longtemps, mais… Pour toi, avec toi, j’aime ce que je fais. Tu es prêt alors ? Allez… Je me lance. Je veux que tu jouisses de moi…

    Toi de Vitaa…

   Juste après qu’elle ait prononcé ces mots, elle m’ôta le bandeau qui obstruait ma vue. Même si mes yeux ont été bandés pendant un laps de temps plutôt court, mes yeux durent se réhabituer au lieu, à la lumière des bougies. Ils ne mirent que quelques secondes avant donc de se réhabituer et se dilater.

    À force de m'exciter comme elle savait le faire, l’appréhension ne semblait plus trop faire partie de moi, ou alors ce n’était plus que ma partie immergée de l’iceberg. Quoi qu’il en fût, j’aimais le spectacle qu’elle m’offrait. Laura continuait de mettre en scène ses fantasmes et créer une atmosphère propice à notre rapprochement progressif et constant. Un contexte propice à de futurs ébats…

    Ses cheveux roux et longs lui arrivaient toujours au niveau de ses épaules. A priori ses lèvres étaient toujours aussi brillantes et… délicieuses. Un délicat petit arôme de cerise sur l’entrée de sa calanque rose. Mais… Elle était moins habillée qu’auparavant. Elle ne portait plus qu’un soutien-gorge push-up en dentelle, couleur bleu poudre, qui rehaussait ses seins et les rendait plus ronds. Sa peau était révélée au grand jour. De là où j’étais, je voyais la naissance de ses seins, et j’en étais excité. Qu’est-ce que cela serait quand elle ou moi ou… nous dégraferait cette pièce de lingerie ? Son ventre était plat. Elle n’avait de piercing au nombril. Et, en bas… son sexe était encore caché par un tanga en dentelle, assorti à son soutien-gorge.

    Got Love de Tove Lo…

 

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