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Elle

Publié le par Plaisir d'écrire

Elle traîne en petite culotte, en petit shorty,

Elle est célibataire, elle n'en a que faire,

Elle est chez elle, elle veut avant tout se plaire:

Elle commence à aimer cette femme sexy

 

Qu'elle est devenue au fil de sa vie,

Les hommes, ce n'est pas ou plus leurs affaires.

Elle porte son soutien-gorge, elle porte ses bas-jarretières,

Elle aime toucher chaque partie de son corps, avec envie.

 

Elle s'aime: elle se découvre et se redécouvre,

Son sexe se liquéfie et s'ouvre;

Qu'elle soit à Lille, à Marseille, à Paris...

 

Son corps n'est plus son ennemi, loin de là!

Elle le découvre: c'est le plaisir qu'elle entrevoit

Et elle n'en pense pas moins même si elle ne fait pas de bruit.

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Sen-su-alité

Publié le par Plaisir d'écrire

     Bérénice sait que j’aime laisser ma main me balader sur son corps soyeux. Parmi les soins qu’elle se prodigue quand elle se «dorlote», dans la salle de bains, Bérénice aime tout particulièrement enduire sa peau d’un lait spécifique. Un lait à la vanille, il me semble. Je l’imagine, dans la salle de bains… Face au miroir… Ses mains qui se baladent partout sur son corps. Ses mains, telle une plume, la caressent. Un contact doux. Parfois des petits cercles pour masser… titiller… Je ne suis pas dans la salle de bains dans ces moments-là, mais j’aimerais y être. Je respecte l’intimité de ma «pupuce», mais, et même si sa nudité me plaît beaucoup, j’aimerais la voir… nue, entière, alors qu’elle prend soin d’elle, avec sensualité. C’est à cela que je pense alors que je laisse mes mains parcourir son corps. Son cou… La naissance de ses seins… Ses seins d’une taille plutôt belle et excitante… Ses aréoles qui virent entre le rose et le rouge… Ses tétons dressés… Son ventre plat… Son mignon «petit» nombril… Je laisse mes mains aller… jusqu’à son pubis. Oh… J’aime ses «petits» poils pubiens. Elle veut les garder, et moi… aussi. Sa main continue… encore et encore… vers le sud, jusqu’au sexe de Bérénice. Ce sexe, beau, délicieux. Le sexe de Bérénice… que j’aime avoir l’habitude de lécher. J’aime son goût intime, salé. J’aime que le liquide salé de Bérénice coule entre ses cuisses, et l’inonde. Et… quand je passe ma main, à cet instant précis, sur son minou, je découvre… que Bérénice est déjà trempée...

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Au-delà des yeux...

Publié le par Plaisir d'écrire

*Au-delà des yeux, je veux voir la vraie toi:

Celle qui me sourit quand les jours sont beaux,

Celle qui retient mon souffle quand nu est son dos,

Celle qui gémit, crie, jouit- jusqu'à ne plus avoir de voix.

 

*Au-delà des yeux, je veux voir les tiens sur moi:

Quand tu es triste et qu'ils sont remplis de larmes d'eau,

Quand tu me détestes et que je ne suis plus ton héros,

Quand tu sanglotes, crie, hurle- jusqu'à ce que nous soyons froids.

 

*Faut-il nous réconcilier sous la couette?

Faut-il déjà couper court à la fête?

Au-delà des yeux... Au-delà de ce que tu penses...

 

*Je suis tombé amoureux de toi, ensorcelé

Par tes bruits et tes silences; je suis fou à lier

Quand ta réserve revient et que ton sourire s'efface.

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Impossible de te résister

Publié le par Plaisir d'écrire

     Elle est nue, entière, et elle m’appelle. Son corps m’appelle, de par sa chaleur. Elle sait que je la regarde. Elle sait que je ne peux pas détacher mes yeux d’elle. Ce n’est juste… pas possible. Elle a ouvert ses beaux yeux chocolat. Même à peine ouverts parce qu’elle émergeait tout juste de son sommeil, Bérénice me faisait craquer, de bon matin. Je ne sais pas si où sont passés tes soucis d’hier. Je ne sais même pas s’ils se sont évaporés, quelque part, mais toujours est-il que ma «petite» étudiante sérieuse s’était vêtue de son sourire d’un jour optimal, et dans l’intimité de notre chambre. C’étaient de tout petits yeux, de petits yeux du matin, mais des yeux brillants, pétillants. Des yeux amoureux. Les yeux d’une femme amoureuse. Je l’ai regardée, profondément, intensément, et j’ai porté ma bouche à la sienne. J’avais envie de l’embrasser, je n’ai pu ni m’en empêcher… ni résister. Comment est-il possible de résister à Bérénice, ne serait-ce que de l’envisager ? IMPOSSIBLE ! Tout comme il m’est impossible de résister à l’idée de passer ma main sur son corps dénudé, sensuel, magnifique. Un appel aux plaisirs sensuels et charnels… Et ça lui plaît, à cette petite coquine, d’après ce que j’entends. Elle émet des petits bruits de plaisir. Et moi… c’est un appel à te découvrir, comme si c’était la première fois...

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Un...baiser?

Publié le par Plaisir d'écrire

     Bérénice me donne envie de l’embrasser. Rhoo ! Encore et encore et encore. Elle a dormi, nue, cette nuit, et j’imagine que là où son corps s’est étendu et s’est reposé, ce n’est plus que chaleur. Chaleur et… moiteur. Quand elle a décrété vouloir dormir dans le plus simple appareil, en tenue d’Eve, je savais qu’il n’était pas question de la défier ou de la contredire. Je savais que Bérénice n’en faisait qu’à sa tête… et ça me plaisait. Bien sûr que ses soucis de la journée étaient bien présents, dans un coin de sa tête… Mais, en n’en faisant qu’à sa tête (justement!), elle n’avait pas attendu que je lui donne une réponse, que ni une ni deux, elle s’était déshabillée : elle avait ôté sa nuisette, ainsi que sa petite culotte. Nue, entière : elle n’en était que belle. Et… elle m’excitait. Oh oui… ! Et ma première pensée du matin, au moment où elle ouvrit ses ravissantes prunelles couleur chocolat, c’était d’embrasser ses putains de lèvres. Même si elles n’avaient pas ce goût vanillé qu’a Bérénice dans la journée, ce n’était pas grave. Je ne pouvais pas résister à Bérénice, je ne voulais pas lui résister. Plus jamais. Ni une, ni deux, je rapprochais mon visage du sien, et lui donnais un baiser. Mes lèvres moulées au siennes. Un petit «smack». Le tout premier baiser de la journée. Nous, nus, tous les deux. Au lit. Un premier… riche en promesses, quelles qu’elles soient...

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Pour la nuit... et pour la vie

Publié le par Plaisir d'écrire

*Dors. Oui... Dors, et ferme tes belles prunelles chocolat,

Regarde-moi de tes yeux d'amoureuse, si tu veux,

Tu viens de me faire jouir... et tu as joui. Alors, oui, tu peux!

Blottis-toi contre moi... Prélassons-nous sur les draps...

 

*Tu as conscience que je suis à portée de tes doigts

Et tu te rends compte à quel point je suis amoureux

Quand tes doigts se baladent, et que je joue à ton jeu;

Même sur le point de dormir... j'ai envie de toi.

 

*Les draps sont bien chauds à ta place parce que ton corps l'est

Et j'y irais bien pour la réchauffer!

La réchauffer pour que tu te sentes bien, pour une belle nuit...

 

*Nous nous endormons, et si je change de position

Alors que tu es paisible et que j'entends ces sons

De plaisir que tu émets... Je t'aime pour la vie.

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Envie...

Publié le par Plaisir d'écrire

     Avant que l’on se couche et l’on s’endorme, et ce, même si elle semblait se faire du mouron pour je-ne-sais-quoi, elle s’était dévêtue et avait affirmé qu’elle avait l’intention de dormir nue cette nuit, tout contre moi. Il faisait plutôt bien dans la chambre, mais Bérénice savait qu’elle aurait chaud en se prélassant, en se «dorlotant» contre mon corps. Dans l’intimité, ma «pupuce» avait pour habitude de me dire que mon corps est chaud, tendre, et que le contact de nos corps est synonyme de promesses et de… frissons forts. Dans la nuit, dans l’intimité de notre chambre, notre lit est chaud parce que nos deux corps s’y prélassent. Bérénice est allongée, tranquillement, lascivement, dans nos draps, face à moi. Je suis allongé, les yeux béats, dans nos draps, et je la regarde avec les yeux de l’amour. La voir nue, dans notre lit… Rhoo ! Elle me donne envie… Oh oui… !

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Jalouse ?

Publié le par Plaisir d'écrire

*La violoniste sexy aux cheveux blonds

Se trouvait hier encore dans cette chambre, ici,

Qu'a t-elle de plus que moi pour rester dans ta vie?

Que veux-tu de plus de moi, à part mon prénom?

 

*Ces quelques restes de vos nuits en disent long:

Les draps, maintenant pêle mêle, sur le lit...

Je pourrais presque entendre ses soupirs et ses cris,

Je note une odeur d'encens, et ça sent très bon.

 

*Les quelques restes de joint: vestiges dans le cendrier,

Les dernières nuits ont dû être agitées... ;

Je t'interdis de me dire que je suis jalouse!

 

*C'est juste que... je repense à notre première fois

Et... J'aimerais de nouveau être avec toi,

Quitte à ce que tu veuilles me prendre... par surprise.

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Petit baiser pour bien commencer la journée

Publié le par Plaisir d'écrire

     Le tout premier baiser de la journée, c’est sacré. Il a quelque chose, un je-ne-sais-quoi. Ses yeux s’ouvrent lentement et se dilatent, pétillent du fait que je suis l’objet de son premier regard. Que Bérénice est belle. Craquante. Irrésistible. Et quand elle sourit… Rhoo ! Ses lèvres sont roses. Pleines. Que c’est un délice d’y poser les miennes. Rhoo ! Bien qu’elle n’ait pas encore mis son fameux baume à la vanille (elle ne le fait qu’au moment de se faire belle, après avoir pris sa petite douche et s’être habillée, maquillée), ses putains de lèvres sont délicieuses. Sans aucun doute, je suis l’homme le plus chanceux de la Terre. Bérénice se fait belle pour moi. Dès le premier petit baiser de la journée, je sais déjà que la journée commence bien, et ça me fait comprendre que le jour se lève encore. Qu’en est-il de Bérénice, par contre… ?

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Je t'appartiens

Publié le par Plaisir d'écrire

*Déboutonne-moi... Sois diablesse... Je n'attends que ça,

Pose tes mains... N'aies pas peur... Tu peux me toucher!

Sois curieuse... Étonne-moi... C'est avec toi que je veux coucher,

Je suis à toi... Je t'appartiens... Ne le vois-tu pas?

 

*Gros plan sur toi: tes doigts sont prêts à être sur moi,

Tu marches sur des œufs, tu n'oses pas t'approcher,

S'il te plaît... Tu n'as rien du tout à te reprocher,

Tu me découvres, tu découvres mon corps, ici... là,

 

*Et je n'ai pas envie que tu t'arrêtes

Parce que ton cœur et ton corps sont en fête,

J'aime voir et sentir que je t'appartiens.

 

*C'est une révélation pour toi, là... maintenant,

Et je veux que tu lâches prise, lentement,

Je veux que tes yeux se noient dans les miens.

 

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